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Babyboo, chérie noire, infirmière

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Lue : 19254 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 27/07/2009

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Baby ! Chérie noire infirmière


« Encore un week-end de foutu » me dit elle « Avec ce temps pourri ! »

« Vous travaillez peut être ? » suggéré je

« Non justement, c’est pas marrant deux jours à la maison avec cette pluie et ce froid ! »

« Heureusement qu’il y a la télé ! »

« Ah oui ! Heureusement! » Me dit elle pas très convaincue

Je l’observais, elle était magnifique dans sa blouse blanche translucide. D’un ton un peu rauque je proposais doucement :

« Il y a l’amour aussi ! »

« L’amour ! » dit elle interdite en me regardant intensément :

« Cela ne se peut pour moi, je vis seule, isolée ......loin de mon petit copain ; oubliée de tous ! »

Après un court silence je poursuivis :
« C’est pourtant bon l’amour ! »

« Tu es marrant, avec qui veux tu que je fasse l’amour ? »

« C’est pourtant simple..... avec moi ! »

Mon regard brûlait le sien, un grand silence se fit, elle ne baissait pas ses yeux sombres, debout près de mon lit elle était immobile, perplexe assurément ; je ne disais rien laissant le temps faire son chemin, j’avançais ma main vers elle, elle ne la prit pas comme je l’aurais souhaité, un étrange sourire baignait son visage, cela m’encouragea à faire l’irréparable. Un long tressaillement anima son corps lorsque ma main passant entre les pans de sa blouse s’inséra entre le compas de ses magnifiques cuisses d’ébène et remonta doucement en les frôlant paume en avant jusqu’à sa culotte. Elle eut un mouvement de défense un peu tardif si bien que lorsqu’elle serra ses cuisses elles emprisonnèrent ma main qui avait eu le temps de passer à l’intérieur de son slip.

Qu’il était attendu et redouté ce moment ; depuis que je la côtoyais j’avais eu tout le temps de l’admirer, magnifique créature des îles ou d’Afrique, grande, féline, sexy, la couleur de sa peau sans défauts, le visage d’une pureté sans pareil et de plus une gentillesse à toute épreuve, une compétence de tous les instants. J’avais mis du temps à l’apprivoiser par des propos gentils, aidé par ma réputation de sportif et d’intellectuel, il faut le dire aussi par mon physique agréable, toutes les infirmières me tournaient autour mais c’est elle qui m’attirait depuis mon entrée dans le service à la suite d’un accident de moto. J’allais sortir sous peu et le temps pressait pour la séduire.

En fait depuis au moins trois ans elle travaillait à l’hôpital durant les vacances scolaires pour gagner l’argent indispensable et compléter la maigre bourse qu’on lui accordait. Vu son niveau d’étude : classes de prépa, école d’ingénieur on lui avait confié les petits soins à donner aux malades.

Elle m’avait confié son prénom : Babyboo, et ses origines : le merveilleux Sénégal ; on l’appelait ainsi me dit elle dans un autre milieu, un pseudo en quelque sorte. Moi qui est un inconditionnel des histoires érotiques cela me dit quelque chose mais ce ne pouvait être cela. Cet ange de vertu, cette jeune fille magnifique considérée dans le service serait comme moi : Pierre le Grand un être exprimant à tous ses fantasmes les plus secrets, sa vie peut être quand le désir la submergeait. Non ce ne pouvait être, cette coïncidence impossible.

Qu’allaient être les conséquences de mon geste, ce geste osé fait sans vraiment l’avoir voulu : un scandale retentissant ? Une paire de gifles ? La simple réprobation de celle dont l’estime me tenait tant à cœur ?

Elle ne cria pas sa colère et son mépris, protestant uniquement en serrant ses cuisses tentant de priver ma main de liberté. Placé comme elle était ma main ne demandait qu’à rester où je l’avais mise, mes doigts entre les lèvres de sa chatte. Son regard me transperçait et j’essayais de l’analyser pour deviner ses sentiments : apparemment pas de haine, pas de colère, de l’étonnement c’est certain, je lisais dans ses yeux le cheminement de sa pensée, sa réaction appropriée à ce geste sans équivoque, le temps s’était arrêté, interdit, j’avais le souffle coupé. Au bout d’un long moment elle se décrispa, elle me souriait maintenant mais je lisais dans ses yeux

Comment oses t’il? Il est gonflé ce mec ! Me faire ça dans la chambre ! On pourrait entrer !

J’avais compris qu’elle ne m’en voulait pas au contraire, je branlais sa vulve serrée d’un doigt curieux, doucement l’étau de ses cuisses s’ouvrit imperceptiblement et je pus la fourrer d’un doigt tandis qu’avec mon pouce je frôlais ses petites lèvres découvrant le capuchon d’un respectable clitoris. Elle resserra ses cuisses mais cette fois je le compris pour conforter cette jouissive position. Nous ne purent à regrets rester longtemps ainsi car un bruit annonçait que l’on venait.

Dans la soirée, au calme, elle revint prendre ma tension, une complicité était née entre nous, il fallait absolument monter un scénario, nous ne pouvions nous contenter de caresses. C’est elle qui parla en premier et je fus interloqué quand elle me demanda de voir ma bite, ne serait ce qu’un instant précisa t’elle. Elle en avait le droit et cela ne me gênait pas outre mesure, au contraire même. Mais pourquoi ce désir impérieux, avait t’elle la hantise d’un petit pénis triste, rabougri ou la peur d’un membre énorme ?

J’obtempérais volontiers en soulevant les couvertures lui montrant ma verge et mes bourses dans la meilleure présentation qu’il soit ; elle sembla fascinée par ses proportions, je lui pris la main et la guidait sur moi, ses doigts fuselés s’enroulèrent autour de ma queue dont elle sentit sa rigidité sereine, elle sembla trouver du plaisir car elle s’attarda caressant mes couilles et mon membre qui se redressa. Pour ne pas être en reste et lui rendre le bien qu’elle me faisait ma main s’égara à nouveau entre ses cuisses, par l’arrière cette fois, je pelotais ses fesses rondes et m’enlisais facilement dans sa chatte humide, car elle était nue sous sa blouse, complice elle n’avait plus sa culotte.

A cette heure tardive l’hôpital était désert et dans le secret de ma chambre nous eurent tout le temps de nous caresser, de nous branler mutuellement, nos mains entre nos cuisses. C’est Baby qui prit son plaisir avant moi, elle gémissait doucement en s’ouvrant, son corps tendu, le souffle court, son ventre quêtait le plaisir par de brusques avancées et quand elle se mit bruyamment à jouir je la rejoignis et j’explosais entre ses doigts d’une habileté diabolique.

Nous mirent un long moment pour retrouver notre calme et pour la ramener sur terre après notre voyage au ciel je lui caressais doucement ses seins généreux qui se dressaient magnifiques entres les pans de sa blouse éclatées.

« Alors ce week-end on le passe ensemble, »

« Comment ? Où ? »

« Chez toi si tu veux ? »

« Pour quoi faire ? »

« Devine !.....pour jouir....on est taillé pour l’amour tous les deux ! »

« Tu crois ? J’ai peur de dire oui !»

« Tu as tort »

« Ecoute, c’est oui, mais on reste ensemble les deux jours, les deux nuits ! »

« Donne ton rencart ! »

« Voilà l’adresse, voilà le code pour entrer, tu viens demain à sept heure du matin, à cette heure là personne ne remarquera rien, je loge au septième »

« Prends la pilule!.......j’amènerais ce qu’il faut »

Elle prenait son pied tout en me parlant et elle poussa un petit cri quand ma main serra en guise d’au revoir les grosses lèvres de sa chatte.


A sept heures sonnantes j’entrais dans un petit immeuble discret d’un quartier tranquille, Je montais l’interminable et magistral escalier et tremblant d’émoi je frappais à l’huis de la porte d’entrée de cette chambre de bonne. Je remarquais une petite clarté dans l’œilleton et la porte s’ouvrit. Une surprise énorme m’attendait, mon infirmière, mon amante pour ces deux jours était complètement nue des escarpins aux pieds, je restais interdit sur le seuil de son appartement et je l’admirais fasciné, ses seins, ses cuisses, son ventre orné d’un petit triangle de poils frisés, et quand elle se retourna pour me faire entrer, je vis ses fesses. Je n’en avais jamais vues d’aussi belles, il faut dire que ce que je regarde en premier chez les femmes c’est leur croupe, les fesses, leur galbe, leur raccord avec les hanches et les cuisses, la raie séparant les deux rotondités, le grain de leur peau.

J’avais sous les yeux la perfection même et quand elle se mit à marcher je crus défaillir par l’ondulation de son corps, le fuselé de ses cuisses, la lourdeur de ses seins fermes. Elle était très à son aise, nullement gênée par ma présence, ce devait être sa tenue habituelle quand elle était chez elle. Elle me débarrassa de mon baise en ville et je compris qu’elle voulait me voir nu moi aussi et elle entreprit de le faire avec délicatesse.

Ce fut rapidement fait sans hâte malgré tout, méthodiquement, rangeant soigneusement mes effets sur un cintre. Il régnait dans la pièce je ne sais quoi d’exotique, les meubles, les bibelots, les plantes, les statuettes d’ébène. Bientôt je fus en slip, proéminence je dois le dire tant ses gestes furtifs m’avaient émoustillé. Elle m’enlaça ; avec ses talons aiguilles très seyant nous étions de taille égale et tout naturellement nos corps s’épousèrent parfaitement. Elle me tendit les lèvres pulpeuses de sa bouche et j’y plantais ma langue qui s’emmêla autour de la sienne.

Premier baiser, premier geste d’amour, nous étions devenus sérieux, appliqués, nous nous caressions chacun prenant connaissance de l’autre, de nos corps parfaits enlacés. Quand je l’embrasais dans le cou je la sentis frémir et elle se serra davantage contre moi. A un moment elle se dégagea comme à regret et en me regardant fixement elle me dit :

« J’aimerais commencer par te sucer j’ai envie de ta belle queue entre mes lèvres ! Veux-tu ? »

Si je voulais ! Je crus défaillir car parmi tous mes fantasmes l’un des plus secrets avec la sodomie est d’imaginer mon membre dans la bouche gourmande d’une femme qui aime cette manière de faire jouir son partenaire, d’une amante qui fait ce geste pour son plaisir et non pour contenter un amant exigeant, une femme enfin qui s’y prend parfaitement en connaissant le pouvoir jouissif de sa bouche, de ses lèvres, de sa langue et les endroits sensibles de la verge d’un homme. Dans mes pensées je l’imaginais à genoux face à moi, baissant lentement mon slip, retardant à plaisir l’instant où elle découvrirait ma queue dressée, je sentais déjà sa main me prendre après m’avoir palpé mes bourses, j’attendais fébrilement l’instant où la pointe de sa langue titillerait mon gland décalotté, avant de m’offrir les profondeurs humides de sa bouche. Je m’entendis lui dire en tremblant :

« Comment t’appeler Chérie ? »

« Appelle moi Baby, c’est bien ! » me dit elle

Elle ne s’agenouilla pas comme je m’y attendais, elle s’éloigna en me prenant par la main et je compris qu’elle me guidait vers une banquette d’angle très basse où elle s’allongea. Elle m’attira en me tirant vers le bas me forçant à m’agenouiller face à elle. Je compris la situation quand se tournant vers moi elle fit glisser mon slip, un petit sourire sur ses lèvres quand mon dard enfin libre bondit, dressé, décalotté, énorme, horizontal, rigide à hauteur de son visage. Cet emplacement n’était pas fortuit car un jeu de miroirs permettait de se voir l’un et l’autre et j’avoue que le fait de se voir comme des spectateurs de nos ébats ajoutait à mon désir, à mon impatience. Mais ce fut Baby qui mena la danse qui suivit pour mon grand plaisir.

Baby prit délicatement mon pénis d’une main le relevant sur mon ventre et s’avançant vers moi, elle me prit une couille dans sa bouche grande ouverte, bouche magnifique, dents étincelantes, une langue rose très longue, très agile, enveloppante. Après avoir avec sa langue enduit mes bourses de sa salive, elle les aspira tour à tour les faisant rouler lèvres serrées dans sa bouche, quand elle déglutissait c’était pour reprendre la couille un instant délaissée. A un moment elle fit l’essai de prendre la paire, en vain, elle se contenta alors de me lécher, sa longue muqueuse explorant mon anatomie, devant et en se penchant entre mes cuisses jusqu’à la raie de mon cul, par moment je sentais la pointe de sa langue titiller mon anus, sensation jouissive indescriptible qui me fit gémir de plaisir et me tendre davantage, ma verge avait prit sa rigidité maximum et elle eu du mal à la rabattre, horizontale, vers elle, vers son visage, près de sa bouche

« Prends moi ! » me dit elle

Dans la position où Baby se trouvait, en la regardant je compris l’analogie entre une bouche et une chatte, la toison en moins, les mêmes lèvres pulpeuses, humides, qu’une vulve lubrifiée avec pour clitoris le pointu de sa langue rose. En plus il y avait les yeux, le regard qui fixait mon gland décalotté qui s’avançait et que je présentais entre ses lèvres charnues carminées. Je vis sa bouche s’ouvrir, s’arrondir autour de mon pénis affolé par une langue furieuse s’enroulant autour de lui, autour de mon gland s’attardant par dessous là où la peau s’arrime au bout du membre. Jamais je n’avais été aussi bien, je me retenais pour ne pas jouir. C’est alors que Baby se recula délaissant ma queue le temps de dire :

« Branle toi ! branle toi doucement ! »

Je commençais à m’activer dans ce doux cloaque, spectacle pornographique que cette grosse verge, la mienne, baisant cette bouche déformée, elle entrait et sortait en chuintant ; à moitié enfoncée, à chaque aller et retour je sortais le gland pour mieux forcer l’entrée charnue :

« A fond ! ! » me dit elle dans un souffle

Je n’osais, me permettant simplement d’amplifier un peu mes déhanchements pour m’enfoncer davantage me demandant jusqu’où je pourrais aller. Je regardais dans les miroirs et je fus surpris de constater qu’elle m’absorbait presque complètement. A un moment je sentis que j’avais atteint le fond de sa gorge, c’est elle qui fit le reste en s’avançant pour me prendre la queue jusqu’au ventre, je me retirais craignant de l’étouffer, elle eu le temps de me dire !

« Oui, ah oui, continue à fond...mon amour ! »

Alors je me laissais aller et je la baisais à fond, comme elle aimait, de plus en plus vite, de plus en plus gros, long, dur, je restais en elle en ahanant. Que c’était bon. A un moment je hurlais de plaisir quand elle me chatouilla les roubignoles par dessous avec sa main. Il fallait que je lui rende le plaisir qu’elle me donnait. Je continuais de me branler dans sa bouche en observant son corps sans défauts allongé sur le divan en chien de fusil à portée de mes mains. Je commençais à lui caresser les seins, leurs pointes durcies, puis son ventre avec ma main droite, ses hanches mises en valeur par sa posture.

Baby frémissait, son corps ondulait doucement quêtant le frôlement de ma main et puis elle s’ouvrit m’offrant l’intimité de son entrecuisses, mes doigts s’enlisèrent entre les lèvres de sa chatte humide et quand je la pénétrais elle râla de satisfaction, j’eus l’impression à cet instant qu’elle serrait davantage ses lèvres sur ma queue. Je me penchais vers elle et petit à petit je m’allongeais à ses côtés, nous étions en sens inverses et naturellement j’insérais ma tête entre ses cuisses.

A mon tour je la baisais avec ma bouche, avec ma langue. Baby s’ouvrit et je pris le temps d’admirer sa chatte, la première chatte noire qui s’offrait à moi, de grosses lèvres charnues ornée d’un fin astrakan ouvertes sur une faille mauve avec un petit minou bandé entre des petites lèvres roses, plus loin entre ses fesses un monde mystérieux.

Bouche grande ouverte je pris possession de cet enchantement enfonçant ma langue dans sa vulve et l’agitant en elle comme une folle. Notre corps à corps devint cataclysme, je sentais Baby me pomper le dard en dodelinant de la tête, pour mieux m’absorber elle m’avait pris par les fesses m’attirant vers elle, je fis de même avec sa croupe de reine. Nous étions tous les deux au point de jouir, devais je me retirer pour ne pas la souiller ? je n’eus pas à choisir car au moment où j’allais jouir je sentis que d’un doigt lubrifié Baby m’enculait, je ne pus lui rendre la politesse car je perdis pieds, mon foutre envahit ma verge remontant des profondeur de mon ventre et en jets violents sortant de mon gland j’éjaculais dans sa bouche. Baby elle aussi jouissait, son corps agité de déhanchements furieux, presque effrayants pour moi qui lui procurait ce bonheur intense non canalisé.

En se tournant sur moi elle me chevauchait maintenant et tout en continuant de me sucer elle se vautrait sur ma tête serrée dans l’étau puissant de ses cuisses et par un mouvement de reptation d’avant en arrière elle profitait au maximum de ma langue plantée dans sa chatte. Je la laissais s’exciter ainsi, longtemps après avoir jouis moi-même d’une manière fulgurante, simplement j’accompagnais son plaisir en lui prenant les fesses à deux mains et en les pelotant énergiquement. Insensiblement l’ouragan de son corps s’apaisa, le calme revint et nous restèrent un long moment dans cette position jouissive, chacun de nous récupérant nos forces et notre lucidité. Nous nous retrouvèrent enlacés, debout, nous regardant en souriant :

« Quel début mon petit Pierre, Je n’aurais jamais cru pouvoir jouir autant avec ta bouche ! »

« Ma bouche et ma langue ! Me pardonneras- tu d’avoir joui moi aussi sans me retirer ? »

« Tu as bien fait, on a pu continuer à se donner du plaisir, d’ailleurs ce n’est pas mauvais au goût le jus de ta queue. Et toi as tu bien joui ? »

« Coquine quand tu m’as fait ta petite enculette j’ai explosé en vol, des étoiles plein les yeux »

« Moi aussi j’ai eu du mal à refaire surface, mais si tu veux on a bien mérité un bon petit dèj ! »

« D’accord Baby, pour tenir deux jours il nous faut des forces ! »

« Deux jours et deux nuit Pierre ! »

Cela promettait, jusqu’à présent je n’avais pu mesurer mon endurance pour le sport en chambre, j’avais toujours assuré et mes amantes n’avaient jamais eu à se plaindre, mais devant la vitalité de Baby j’étais un peu inquiet. Baby toujours à poils virevoltait dans la pièce, nullement inquiète elle.

« Nous allons nous amuser, merci Pierre ! Nous allons faire l’amour de toutes les façons, tiens regarde ! »

Elle me montra, bien alignées sur une étagère une série de statuettes d’ébène que j’avais vu en entrant sans avoir eu la curiosité de les détailler. C’étaient des couples en train de forniquer et cela dans toutes les positions possibles et imaginables. Nous les prirent une par une et devant chacune nous roucoulions en nous pelotant ; ma verge avait repris de la vigueur :

« Même cela, nous le ferons ? » dis je en observant un couple en position scabreuse : le mâle prenait la femelle en levrette mais sa verge était plantée bien haut, en regardant mieux, pas de doute, il l’enculait

« Si tu veux ! » me dit Baby je n’en ai pas un souvenir inoubliable mais je sens que tu vas me faire découvrir des choses,

« Si je veux ! bien sûr ! »

« Pour çà, il faut être bien raide mon amour, tu le seras ? »

Sans attendre ma réponse elle m’entraîna
« J’ai préparé un petit déjeuner de chez nous, tu verras c’est spécial ! »

« Spécial ? c’est bon ? »

« Très bon, pas trop sucré, mais avec lui tu es assuré de tenir ferme, cela me fera plaisir car j’adore les belles bites, bien grosses, bien dures....le veux tu ? »

Si je voulais, bien sûr ! Nous mangèrent donc et c’était très bon, au fur et à mesure je sentais l’effet se produire, ma verge se durcir en se dressant. Baby observait en douce, un léger sourire aux lèvres. J’avais presque mal tant j’étais tendu, jamais ma queue n’avait été si grosse, si longue, si dure. Baby s’approcha de moi un petit pot à la main et délicatement m’enduisit la hampe, puis le gland d’un onguent, sorte de crème lubrifiante qui accentua encore l’effet du petit déjeuner si spécial mais qui aussi me détendit, je me sentis bien tout d’un coup et cela se vit sur mon visage décrispé. Baby souriait en lorgnant sur mon organe en drapeau.

« Et si on jouait maintenant ? » me dit elle sérieuse

« On commence par quoi chérie ? »

« Si tu veux j’aimerais que tu t’occupes de mon petit cul ! »

« Tu n’as pas peur d’avoir mal ? »

« Si, j’ai un mauvais souvenir, mais j’ai envie de jouir par là, c’est bon quand c’est bien fait m’a-t-on dit, je compte sur toi Pierre »

Sans un mot Baby se mit à genoux puis à croupetons sur le divan, elle me présenta la partie la plus affolante de son corps, ses fesses, ses fesses écartelées par la position qu’elle prenait. Je crus défaillir devant l’érotisme du tableau, ce corps offert, cette croupe ouverte, ses hanches graciles, sa taille creusée, ce dos, ces fesses, ces seins pantelants et surtout ce grain de peau sans défauts, sa couleur uniforme mordoré indéfinissable. Avec ma beauté pas de fesses blanchâtres, pas de seins blafards mais une déesse sombre…. de partout.

Je m’approchais par derrière et la prenant par la taille je me plaquais sur elle en l’attirant sur moi, mon membre dressé entre ses fesses serrées sur lui, je me vautrais dans ce vallon enchanteur où régnait un climat tropical, chaud et humide et durant un long moment je fis aller et venir ma verge faisant émerger mon gland des deux rotondités jumelles

Je devais être à la hauteur de son attente, je lui devais bien cela. Je croisais son regard un peu inquiet. Je m’écartais, pris le pot de crème et j’enduisis la raie de son cul. Avant d’agir je la caressais en mouvements symétriques, les seins, la taille, les fesses, d’une main passée entre ses cuisses j’empaumais sa chatte par l’arrière et je m’y attardais en massant ses grosses lèvres avant revenir en remontant vers l’anus bien serré, en évidence, centré entre les admirables volumes.

Mon regard était attiré par ce petit orifice froncé cerné de bistre, cet objet de tous mes fantasmes, Baby m’offrait son anus mignon, voulait elle me permettre de réaliser ce que secrètement je désirais le plus ? Comment cela serait possible je mesurais l’étroitesse du lieu devant l’énormité de mon pieu pointé vers lui ?

Quand d’un doigt je commençais à masser le tour du petit gouffre, Baby commença à onduler, quel spectacle que cette croupe parfaite, mouvante, dansant sous mes yeux exorbités, quand je risquais de me centrer sur son cul Baby se mit à gémir, la crème facilitait l’effraction et bientôt je le branlais en elle de toute la longueur de mon doigt, je le sortais complètement avant de le replonger dans son intimité. Si au début il était serré dans son fondement, il était maintenant plus à l’aise et quand il sortait je pouvais voir son effet, une porte entre ouverte, prête à d’autres assauts. Quand je la fourrais avec deux doigts Baby entre deux plaintes entre deux mouvements de ses fesses murmurait des « oui, oui ; ah ouiiii c’est bon... continue »

Je continuais mais différemment, toujours avec ma main entre ses fesses, le pouce dressé sur son fondement, les doigts en coroles triturant sa grosse chatte, serrant l’une sur l’autre les deux grosses lèvres lubrifiées les faisant aller et venir l’une contre l’autre en d’onctueux glissement. Cela plaisait à Baby qui m’encouragerait à poursuivre mes caresses.

Insensiblement mon pouce s’enlisa dans l’anus entrouvert, mes doigts cherchaient maintenant l’entrée de la vulve, les plus longs s’aventuraient recherchant eux le petit sexe au féminin. Et cela vint naturellement, tous mes doigts allaient et venaient en elle, entrant et sortant des deux méats, de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus facilement. Ce devait être bien pour Baby qui ondulait sous mes caresses, son clitoris émergeait du nid de ses petites lèvres, long et dur, sensible et son titillement la faisait sursauter en mouvement incontrôlés de sa croupe divine. Les moments qu’elle semblait apprécier étaient la pénétration de son cul, quand mon gros pouce forçait l’anneau musculeux qui peu à peu ne résistait plus rendant l’effraction facile.

« Ahhhh que c’est bon Pierre, Je me sens bien….je me sens pleine.. Ahhh ouiiiii continue…avec l’autre main caresse moi aussi les seins …..ouiiii…Plus fort…écrase les….ahhhh oui, mes tétons aussi…Si tu savais comme je suis bien….continue….n’arrête pas…Plus fort….Ahhhh je vais jouir…..Ouiiiiiii je jouis….Ahhhhhhouiiiii… »

Baby venait de plonger dans le monde insondable du plaisir charnel. J’étais heureux de l’avoir accompagnée. Je continuais d’entretenir son feu et je la vis se tendre plusieurs fois. Mon pouce lui défonçait son petit cratère rejoint par un autre moins gros mais plus long… Dans un souffle, entre deux orgasmes elle me cria :

« Pierre ! Encule-moi maintenant ! Je suis prête….j’ai besoin de ta grosse queue en moi…Je la veux…..Viens vite chéri ! »

C’était bien çà, c’est ce qu’elle voulait, que j’essaie de l’enculer. Je m’approchais en rabattant ma queue, j’étais parfaitement à la bonne hauteur, je présentais le bout de mon gland et le centrais sur l’orifice largement dilaté. J’étais désemparé, mon cœur sautait dans ma poitrine, pourtant depuis longtemps j’avais imaginé cet instant, sans jamais trop croire à se qu’il arrive. C’est Baby qui me ramena à la réalité

« C’est ta verge que je sens sur mon cul ? »

« Oui ma Baby ! le bout de mon gland ! »

« Prends-moi, Pierre ! doucement, doucement, oui, pousse, oui c’est bien ! je te sens bien, oui ouiiiii.... j’aime ça, une belle bite dans mon petit cul, ahhhhh c’est bon....ah que c’est bon.... continue... enfonce toi bien.... n’est pas peur... va bien à fond.... allez branle bien mon cul..... claque bien ton ventre sur mes fesses, sorts ta queue, oui , allez fourre moi encore, attends je te caresse les couilles par dessous.... tu es bien toi aussi ? »

Si j’étais bien ! J’étais fasciné par le spectacle, j’avais vu mon gland disparaître avant d’enfoncer ma hampe plus facilement, était ce l’effet de la crème qui rendait si doux le contact de ma verge dans ce petit cul mignon ? Elle était bien serrée dans cet étroit fourreau et chaque pore de la peau de mon zob irradiait nourrissant mon plaisir. Baby aussi appréciait, je crus comprendre qu’elle aimait le moment de la pénétration, quand après avoir sorti ma queue, je replongeais en elle en la guidant avec la main ; pour son plaisir et le mien je m’employais à répéter ce geste.

Je n’avais plus besoin de me guider, ma queue trouvait seule son chemin, c’était devenu facile car le mignon petit cratère était devenu un cloaque grand ouvert à la grosseur de ma verge, si par moment elle n’était pas tout à fait en place, elle coulissait entre les fesses écartelées avant de replonger dans le boyau lubrifié.

Quand elle me caressa les couilles en passant sa main en arrière entre ses cuisses mon plaisir égala le sien, les plaintes avaient fait place aux gémissements, aux cris, à des mots hors du sens, sa croupe s’agitait comme une folle, allant au devant de mon membre pour mieux l’enfoncer. Je sentis le moment où elle se mit à jouir vraiment, son orgasme avait quelque chose d’inquiétant, un véritable cataclysme, elle se serrait sur moi dans l’étau puissant de son cul, à ses instants ma verge à fond je ne pouvais plus bouger et restait prisonnier et puis elle me libérait la queue pour mieux la reprendre.

J’avais oublié de nous voir dans les jeux des miroirs, c’était ma queue que je voyais forniquer dans ce puits , ce spectacle m’émoustilla davantage et je compris que moi aussi j’allais jouir, cela vînt d’un coup, je fus pris de vertige, des étoiles pleins les yeux et je gueulais en éjaculant dans son derrière, en lui pétrissant durement les seins lourds qui dodelinaient en cadence, j’activais mes déhanchements, plus amples plus rapides pour le grand plaisir de Baby qui depuis longtemps était en plein coaltar.

Après avoir pris mon plaisir je continuais de la servir, de ne penser qu’à elle, mes deux mains libres : l’une passant par devant entre ses cuisses je lui pris la chatte et la branlais en cadence avec deux puis trois doigts dans sa vulve tout près de ma queue que je sentais dans son cul. L’autre main prit ses seins que je triturais comme elle aimait sans oublier leurs pointes, ses tétins si sensibles.

A cet instant j’eus le plus grand mal à maîtriser mon amante qui s’agitait en tous sens en hurlant, d’un coup elle s’écroula ivre de fatigue, ma queue ne pu la suivre et en sortant elle fut accompagnée d’une coulée de fécès que Baby en pâmoison ne pu retenir souillant le plastique du divan.

Ce n’était pas grave pour moi, assez fier même de lui avoir fait perdre tout contrôle et ses esprits en la faisant jouir ainsi. La laissant prostrée, allongée, inerte j’entrepris de réparer les dégâts, avec une éponge que je dénichais dans la cuisine je lui lavais les fesses, j’essuyais les coussins, un coup de brise du soir et tout fut de nouveau en ordre.

Elle refit surface lentement, elle me regardait avec un petit sourire aux lèvres, elle était à croquer, un léger cerne aux coins des yeux, témoins de la bataille que nous venions de livrer ; elle se releva, souple comme une liane et je lui fis face. Ma verge en drapeau empêchait de nous plaquer l’un contre l’autre. Pour la serrer contre moi je rabattis mon pieu dressé et le glissait entre ses cuisses qu’elle serra sur moi avant de commencer une danse lascive ponctuée de brusques avancées de son ventre. Manifestement la fête continuait. Tout en restant en place je lui caressais les seins et baisais sa bouche qu’elle m’offrait.

C’est elle qui me guida vers la chambre au bord du lit. Lui pressant la taille je la courbais en arrière, les fesses au bord de la couche. Je m’allongeais près d’elle, serré l’un contre l’autre les yeux dans les yeux. Elle me confia un sourire indéfinissable aux lèvres :

« Tu m’as fait jouir comme une folle….j’aime ce que tu as fait…..es-tu le diable pour me faire jouir autant….la seule fois avant toi je n’avais pas du tout apprécié cette position, mon amant de l’époque m’avait prise sans aucune préparation et avait éjaculé dés la pénétration…Cela m’a fait mal et je m’étais promis de ne plus prêter mon cul.. »

« Et alors qu’en penses tu avec moi ? »

« C’était merveilleusement jouissif….on a deux jours pour recommencer ! ».

Je la pris tendrement dans mes bras et je la caressais. J’avais inséré ma cuisse droite, entre les siennes, bien relevée pressant son minou, mes mains s’égaraient sur son corps, ses seins biens durs, ses hanches, ses fesses. Je lui pris sa bouche ma langue entre ses deux lèvres pulpeuses, carminées. Après le cataclysme que nous venions de vivre qu’elles étaient douces ces caresses, l’effleurement de nos épidermes en sueur, elles entretenaient une langueur agréable.

Ma bouche commença un voyage que je savais érotique, quittant ses lèvres ma langue en pointe fit le tour d’une de ses oreilles avant de s’introduire dans ce mignon pavillon. Baby sursauta d’un coup et j’eus du mal à rester en place tant son excitation était grande.

« Pierre….nonnn…pas l’oreille….pas l’oreille….noonnn ! »

« Je sais que tu aimes cette caresse !

Baby se dressa d’un bond comme foudroyée.

« Comment le sais-tu ?.....Parle……Tu me connais !....avoue tu me suis ! explique-moi…je t’en prie !»

« Oui chérie je te connais depuis que tu m’as dit ton pseudo….je suis un lecteur assidu sur le site histoires érotiques et intimes……Tu as 21ans……Tu es de couleur……tu as fait prépa…..tu veux être ingénieur…..comme la babyboo dont les deux histoires m’ont fait jouir tant elles sont réalistes….tu es Babyboo ?.....oui !...Merci le hasard…merci le Weeb ! »

« Le monde est petit, c’est incroyable….alors tu as aimé me lire ? »

« Oui Baby, J’ai joui……J’ai même fait un commentaire pour te dire l’émoi que j’ai eu en t’imaginant baiser avec Jérôme….. »

« Attends….attends…..les commentaires sont rares….je les ai lus avec intérêt…… !!!!?????......Non….non…c’est impossible….Pierre !.....tu serais Pierre le Grand …..C’est toi ?.....Oui….C’est incroyable…J’ai joui cent fois en te lisant….en m’imaginant dans tes bras quand un autre me faisait l’amour…c’est ta queue qui me pénétrait…et aujourd’hui je n’y pensais plus….Je comprends maintenant….sais-tu que c’est toi… mon maître… qui m’a donné l’envie d’écrire »

« Ne soit pas modeste Baby, tu as un bon coup de plume toi aussi, ton audience va grimper, surtout si tu mets en ligne tes autres aventures…..petite diablesse chérie ! »

Baby se lova dans mes bras, nous étions serrés fiévreusement .l’un contre l’autre et ma bouche commença sa ronde jouissive. De l’oreille où je m’attardais un instant ma bouche embrassa son cou avant de s’ouvrir pour mordiller la partie charnue de l’épaule. Mes mains continuaient de caresser le corps de Baby, qui offrait ses seins gonflés et durs, leurs pointes érectées, elles se perdaient entre ses fesses divines, elles frôlaient son dos, sa taille, ses hanches rebondies. Ma cuisse déformait sa chatte en de lentes circonvolutions.

Baby restait silencieuse, mais son corps me parlait, me murmurait son plaisir. Ma bouche poursuivant son chemin s’était insérée au dessous d’un de ses bras là où la chair est tendre, parfumée, ma langue s’activa avant de rejoindre mes mains sur ses seins. Tour à tour je pris leurs pointes entre mes lèvres et quand je serrais l’un contre l’autre les merveilleux volumes je pus les lécher d’un seul coup de langue.

Ma bouche poursuivi son périple, abandonnant la poitrine de Baby à mes seules mains qui continuèrent à les peloter amoureusement. Elle passa sur le ventre plat s’attardant sur le nombril discret et sensible. J’avais libéré l’entrecuisse de Baby qui s’ouvrait impatient de recevoir enfin la caresse subtile de ma bouche, le titillement de ma langue, prélude avant la pénétration de mon pénis qui déchainerait l’avalanche du plaisir, la jouissance ; l’orgasme puissant.

Je fis un petit détour, ma bouche mordillant sa hanche et sa taille, avant que, d’un saut surprenant pour Baby, j’embrasse un de ses pieds, je suçais son gros pouce, le gobant entièrement comme un petit gland ce qui n’eut pas l’air de déplaire en attendant des caresses des effractions plus substantielles. Il fallait faire vite maintenant, le trop est l’ennemi du bien, je remontais mon visage à l’intérieur des cuisses ouvertes et tendres, m’assurais avec ma langue que sa chatte était bien prête puis en rampant sur Baby je fis surface, nos visages, nos regards rivés l’un sur l’autre : j’étais sur elle entre ses cuisses ouvertes, je la pris sous les fesses soulevant son bassin, ma bite trouva naturellement son chemin entre les grosses lèvres de la chatte de Baby, mon gland décalotté à l’entrée de sa grotte. Les yeux de Baby me crièrent son désir d’être enfin pénétrée……Je m’enfonçais en elle la clouant sur le lit.

Ce fut une fête. Baby, les yeux dans le vague, souriait entre chaque orgasme dévastateur. Quand elle jouissait son merveilleux corps s’agitait en tout sens tordant ma verge dans son ventre, quand elle revenait au calme ses yeux me disaient encore et encore alors moi maître de moi je me gardais pour son plaisir et ma queue poursuivait son œuvre celle de donner du plaisir à la plus belle femme qu’il m’est été donné de baiser.

A un moment son orgasme dépassa toute mesure, c’était presque effrayant, sa chatte d’un coup se mit à durcir, à s’ouvrir, ma queue presque libre dans son vagin dilaté, à chaque pénétration il se mit à chanter en un sifflement d’air expulsé. Son corps soulevé arqué pour une pénétration plus profonde, ses seins gonflés, ses pointes dures.




La suite fut indescriptible, nous étions comme fous, enragés, enlacés, nos corps en sueur agités de mouvements chaotiques. Moi j’étais bien avec ma verge dans l’intimité d’une amante déchaînée, elle plus que moi s’empalait sur ma queue bien raide, bien dure, elle s’ouvrait pour m’absorber et se serrait sur moi en se retirant sans m’abandonner. Elle jouissait comme une folle, le regard perdu, la bouche tordue crachant des phrases en créole qui m’échappaient mais dont je devinais l’intensité. A un moment elle m’enfourcha, me chevaucha, les cuisses écartées et c’est elle qui se fit jouir en bougeant son bassin, se branlant sur ma queue, en la tordant en tous sens au rythme de ses inspirations, je crus que j’allais éjaculer tant la sensation était forte.

Chérie jouissait, son visage était ravagé par l’orgasme, elle se dandinait sur moi, je lui pris les seins, la ployant sur moi pour les prendre dans ma bouche, les tétins entre mes lèvres. Elle s’écroula en hurlant et je la repris sous moi entre mes cuisses en relevant ses fesses. Chérie me regardait intensément, elle semblait dans un état second, un sourire crispé au bord de sa bouche et d’un coup elle se crispa m’attirant vers elle en me prenant par les fesses, me forçant à la prendre au plus profond d’elle même et d’un coup dans un long cri me broya la queue dans sa chatte. Ce fut trop et je me laissais aller en éclatant en longues giclées de sperm arrosant son utérus. Nous jouissions ensemble et cela dura jusqu’au moment où toujours encastrés l’un dans l’autre nous nous écroulèrent sur la couche, morts de fatigue, pantelants mais ivres du plaisir que nous nous étions donné.


Allongée, épuisée Chérie fermait les yeux. Je la considérais, splendide créature, féline, excitante ; elle était légèrement tournée sur le lit à ma gauche, la tête dans l’oreiller, presque à plat ventre, cuisses entre ouvertes, elle me présentait ses fesses magnifiques ouvertes sur une intimité sombre. Quelle allure, quelle classe. Je bandais encore, ma queue d’une rigidité sereine comme si cette présentation était naturelle, habituelle, que devait t’elle aux produits exotiques du petit déjeuner et à cette crème qui faisait que j’étais bien en permanence ? Ma bite très grosse, très raide encore prête pour d’autres assauts.


C’était plutôt les idées qui me manquaient après ce festival de nouveautés que je venais de vivre en si peu de temps. Que faire devant ce cul qui m’attirait ? Je pensais alors au matériel que j’avais amené. Je me glissais hors des draps en quête de mon petit baise en ville. En silence je cachais sous l’oreiller deux vibromasseurs et un godemichet importé d’Afrique. Ce dernier en ivoire poli était la folie des bourgeoises du centre Afrique, énorme phallus décalotté associé dans sa masse à une magnifique paire de couilles. Sa couleur ambrée telle celle d’un membre de blanc faisait se pâmer les donzelles habituées aux verges noires de leurs congénères.



Les deux vibromasseurs cylindriques n’avaient pas une grosseur exagérée, ils étaient assez longs cependant et bien conçus pour laisser à la main qui les guiderait une bonne garde pour les manœuvrer. Une de leur extrémité comportait une ogive vibrante à pile incorporée. Aucune ressemblance avec un pénis puisque agissant sournoisement en profondeur, leur mérite était à la hauteur de leurs vibrations réglables, rapides et désordonnées. Leur cylindre n’était pas tout à fait lisse mais était garni en surface de petites irrégularités qui devait faire sentir leur présence quand on savait les utiliser.

Chérie était assoupie et un souffle régulier chuintait de ses lèvres charnues et sensuelles. Par désœuvrement je commençais mon action de réanimation de ce corps taillé pour faire l’amour. Avec un des sex-toys, le plus long, le moins gros, on aurait dit la tige d’une brosse à dents, les picots en plus, j’entrepris de caresser ce qui était à ma portée : le cou, le dos, le dessous de bras furent visités par l’ogive curieuse mais inerte. En redescendant vers les fesses je contournais le sein passant par la vallée de la taille pour frôler le ventre. Je me présentais au bas du dos dans la commissure des fesses admirables et j’en suivi le cours sans chercher à m’insérer entre les deux rotondités.

Arrivé à la naissance des cuisses la magnifique vallée duveteuse s’ouvrait largement me permettant de passer l’ogive sur l’anus et le périnée avant de pénétrer sans effraction l’entrecuisses entre ouvert. Je perdais de vue l’ogive jouissive et commençais de lents allers et retours dans le vallon enchanteur de sa chatte. Inconsciemment et malgré la délicatesse de ces caresses, Chérie dans ses rêves bougea en s’écartant, se prêtant involontairement au léger frottis ; A quoi pouvait elle rêver à cet instant.

Je m’installais mieux, à genoux à ses côtés, je m’activais, m’ingéniant à lui faire du bien. J’étais comme hypnotisé par le spectacle de ce sexe factice mais docile qui peu à peu sortait Chérie de son sommeil. Ce long et fin phallus blanc sur sa peau noire, cette ogive butinant le tour de l’anus mauve devint en quelque sorte mon pénis, ma verge, mon gland. J’étais à cet instant un voyeur actif se rinçant l’œil d’au plus près. Je m’attardais sur la chatte entre les grosses lèvres qui partant de l’anus cachent dans leur début le vagin mystérieux et profond avant de s’entrouvrir vers la boursouflure des petites lèvres nid du petit minou clitoridien.

Petit à petit je vis la montée d’un mucus translucide qui inonda l’endroit et qui facilita le glissement de l’objet. J’exerçais alors une pression un peu plus soutenue entre les fesses et présentais l’extrémité du vibro sur le petit trou voisin de la chatte. Je me décidais alors de mettre en marche les vibrations en restant au plus bas régime. Chérie poussa un petit cri de surprise, dans le calme de la chambre on pouvait entendre le ronronnement discret de l’ogive. A demi réveillée, curieuse une main en arrière elle prit en main la source de cette sensation, elle soupira d’aise semble t’il, lâcha le cylindre jouissif et s’ouvrit consentante et fit mine de se rendormir.

Encouragé je présentais le vibro bien centré sur le petit gouffre, par petite touches je l’enduisis du mucus que je puisais dans la raie voisine lubrifié, si bien qu’il fut bientôt oint d’une liqueur nacrée. Les vibrations aidant, je n’eus aucun mal à fracturer l’anneau de son cul et insensiblement à enfoncer le membre, je cherchais la bonne direction que je trouvais sans peine. J’étais envoûté par le spectacle de se gode que je faisais maintenant aller et venir dans ce puits sans fond. Je jouais aussi avec l’intensité des vibrations ce qui sembla plaire à Chérie qui commença à participer à la fête en ondulant de la croupe.

Excité au plus haut point, la tête en feu laissant le gode en bonne place, bien enfoncé, je saisis le deuxième godemichet et le présentais par devant dans l’arc des cuisses mais au lieu de baiser la chatte je titillais avec l’ogive vibrante le petit clifounet le manipulant en tous sens. La réaction de Chérie fut immédiate, elle se cambra en susurrant :


« Mais tu es un diable Pierre, je jouis encore, jamais je ne t’aurais cru si inventif, si attentionné, enfonce toi bien dans ma chatte ahh oui ouiiii que c’est bon, mon cul aussi, ouiii en même temps, C’est bon quand tu restes au bord des lèvres ouiiii c’est bon aussi quand tu tournes les godes en les emmanchant ahhhhhh c’est bon, continue, plus vite, ouiiii plus à fond. Ce n’est pas possible d’être aussi bien ouiii le cul ouii la chatte, le cul la chatte, les deux, ouiiiii je perds les pédales, j’ai des étoiles plein les yeux, diable ! tu es mon diable..... »


En parlant, pour ne pas être en reste, passant sa main en arrière, elle m’avait saisit la pine et elle me masturbait avec le plus de douceur possible. Malgré le bien qu’elle me faisait, sans rien dire je sorti le godemichet d’ivoire de dessous l’oreiller et le plaçais entre mes cuisses à proximité de sa main qui s’activait sur moi. Chérie le toucha, curieuse elle le palpa et je lui laissais dans sa main. Elle le ramena à elle par devant et entrevit ce membre, ces couilles rondes et gonflées, elle poussa un cri de surprise et par réflexe porta le gland blafard à sa bouche en tenant le phallus par les couilles.

Profitant de son émoi je la fit jouir comme une folle en lui pistonnant ces deux jolis trous qu’elle m’offrait en jouant à fond sur l’agitation des ogives. Je la mis à mes côtés, à genoux penchée, en position de levrette pour mieux la servir ma pine toujours dans sa main. Qu’elle était belle ainsi, une beauté animale, féline, sa croupe dressée, fesses écartelées. Je me plaçais devant elle à portée de sa bouche et la dirigeais :
15

« Donnes moi l’engin Chérie ! bien, j’aimerais que tu me suces la bite, comment la trouves tu ? oui ah oui c’est bon, tu suces bien...mets ta main entre tes cuisses et prends le vibro.... celui de ta chatte....branle toi... attends je libère ton petit cul...pourquoi non ? parce qu’il te fait du bien ! Tu vas être mieux encore je te le promets, que pense tu de la grosse bite d’ivoire ? Elle est grosse ? oui elle est longue aussi, longue et lisse, je la verrais bien dans ton cul ! j’essaie ? oui ? tu la sens, je vais t’enculer doucement.... là voilà... tu l’absorbes....tu as mal.... non ? Tu la sens bien.......oui.... c’est bien....si tu voyais comme il est beau ton petit cul arrondi autour du membre....continue de te branler la chatte.... suce moi bien.... caresse mes couilles aussi....tu as l’air d’être bien. »


Chérie ne disais plus rien, elle était dans un autre monde, celui de la luxure, elle jouissait en silence, moi penché en avant sur elle je la branlais, je sortais l’engin pour mieux la reprendre. A un moment même je trempais le postiche dans le pot de crème spéciale qui se trouvait à ma portée ce qui eu l’air d’améliorer grandement son effet. De son côté je sentais son application, elle voulait que je la rejoigne dans le plaisir, je sentais sa langue autour de ma queue, ses lèvres charnues et sa main qui me tripotait les couilles, depuis un moment elle me pompait le dard en aspirant les joues creuses. Je sentis moi aussi le plaisir monter, puissant, impérieux, je lui dis que j’allais jouir elle s’activa davantage encore et dans un cri j’éclatais dans sa bouche.

Elle me garda longtemps en elle, le temps ne nous appartenait plus, j’étais bien dans sa bouche avec par dessous sa main qui me tripotait nerveusement les roubignoles, quand à Chérie, l’anus rempli du gode africain qui allait et venait dans son cul et le vibro avec lequel elle se pistonnait la chatte elle n’en pouvait plus, la bouche pleine de mon sperm qui coulait dans la commissure de ses lèvres elle se tordait en tout sens présentant son cul et sa chatte aux engins du plaisir.


A un moment elle refit surface, gardant les dards factices en bonnes places elle se dégagea et après m’avoir roulé une pelle au goût âcre elle me guida, me faisant comprendre de me mettre à genoux au bord de la couche, elle se plaqua sur moi, son ventre sur mes fesses mimant la possession en levrette, elle s’excita ainsi un long moment ; elle devait être debout dans la travée du lit. Ses deux mains libres me caressaient pour mieux m’étreindre, la poitrine, les hanches, la taille en gestes enveloppants et symétriques ; ce n’était pas désagréable. A un moment elle s’écarta de moi et les mains s’occupèrent de mes fesses, elles les pétrissaient, les écartelaient.

Je ressentis une tiédeur humide et je compris qu’elle me léchait la raie des fesses, sa langue en pointe butinant mon anus. Quelle amante ! aussi inventive que moi, jamais rassasiée malgré ce qui avait précédé elle en voulait plus et je n’étais pas contre, curieux de savoir où tout cela allait nous mener. Quelle sensation cette langue agile qui m’affolait le cul d’autant qu’en même temps une de ses mains affolait ma teub en une lascive branlette. Je me laissais faire et Chérie prit de plus en plus d’assurance, mon périnée se mit à vibrer à l’unisson de ce que ce que je devinais être le vibro qu’elle avait du sortir de sa chatte.

Elle fit diversion en m’astiquant énergiquement mon membre si bien que je compris qu’elle m’enculait quand la moitié du gode s’agitait en vibrant dans mon fondement. Ce fut d’abord terrible pour moi, sensation nouvelle, idée de viol, cela vite estompé par l’adresse de mon amante qui peu à peu, insensiblement me fourra à fond. Je me surpris à m’ouvrir sur l’engin jouissif pour mieux le serrer ensuite entre mes fesses ceci tout en me branlant la verge dans la main complice serrée sur elle.


Chérie diaboliquement variait les plaisirs en jouant sur l’intensité des vibrations et la cadence des branlettes. Le plaisir commençait à envahir mon ventre quand à mon grand regret elle me planta, m’abandonna toujours à genoux sur le lit, fesses en l’air, le vibro planté dans mon cul fracturé, verge en drapeau. Je la sentais derrière moi pourtant qui s ‘activait. L’attente ne fut pas longue car de nouveau je la sentis sur moi, elle dégagea mon anus un bref instant du vibro masseur pour mieux à nouveau me le représenter entre mes fesses ; Je sentis une différence, mon cul avait du se refermer un peu durant l’intermède car l’engin eut plus de mal à se remettre en place, cela me faisait presque mal.

Je me rendis à l’évidence, ce qui rentrait dans mon cul était plus gros. Une pensée pris forme et cela se confirma quand une main en arrière je palpais ce qui me faisait cet effet. Je fus horrifié de sentir sans équivoque aucune le phallus d’ivoire planté dans mon cul. Je ne sais comment Chérie s’était harnaché le membre entre ses cuisses et elle me tenait à sa merci les mains sur mes hanches m’attirant vers elle. Un coup d’œil sur un miroir je la vis qui regardait comme envoûtée le spectacle de cet énorme membre s’enfoncer entre mes fesses, dans mon cul, elle était le mâle ce coup ci.

La surprise et les premières douleurs passées je la laissais faire, n’avais je pas moi aussi garni son cul avec l’énorme bite blafarde. D’ailleurs elle s’y prenait bien elle ondulait en s’avançant, je sentais le membre s’enfoncer petit à petit, il était bien lubrifié et quand je sentis le gland en moi la suite fut plus facile, je sentais même une sorte de plénitude agréable. Chérie commençait à aller et venir doucement en augmentant progressivement l’amplitude des pénétrations en m’attirant les mains agrippées sur mes hanches. A un moment je retrouvais son ventre claquer mes fesses et je compris qu’elle m’emmanchait bien à fond, j’étais bien, je sentais le gros membre dans mon ventre. Bien centrée Chérie n’avait plus besoin de me tenir et d’une main elle me reprit la queue.

Dans le miroir je la voyais s’agiter et quand elle reculait je voyais l’énorme gode apparaître en sortant bien haut d’entre mes fesses, il semblait accroché à ses hanches graciles à l’aide d’une mince ceinture. Envoûtée elle aussi par le spectacle elle se mit à geindre. A fond elle se vautrait sur moi et j’imaginais qu’elle prenait son plaisir avec les couilles d’ivoires roulant sur sa chatte. On se mit à jouir ensemble, moi je fus emporté dans un orgasme puissant et ne me rendis même pas compte de l’instant où j’éjaculais dans les doigts de Chérie qui hurlait et qui s’écroula en m’entraînant sur le lit. Comme deux masses, enlacés, nous plongèrent dans un lourd sommeil.





C’est la sonnerie du téléphone qui nous réveilla ; Chérie se leva avec lenteur et saisit gracieusement le combiné
« Allo ! » dit elle d’un air vaseux
« Ah bonjour Sonia........ non tu ne me dérange pas.......je dormais, quelle heure est il ?.........Vingt heures....déjà...... sortir ?.....ce soir ?....où ?....au cinoche ?....au ciné ? non je suis pas seule, je suis avec un ami !.....tu veux venir ? »
Chérie me regarda avec un regard interrogateur. Mon regard lui demanda de qui il s’agissait, en souriant elle dressa son pouce en ayant l’air de dire que la fameuse Sonia était bien et avec ses deux mains elle mima une forme généreuse de sa poitrine, une taille creusée et des fesses généreuses. Je fis signe qu’elle décide elle même. Chérie me passa un écouteur pour que je puisse suivre la conversation. J’entendis Sonia !

« Non Chérie viens toi, chez moi, tu sais comme on est bien toutes les deux ! J’ai fait une acquisition sensationnelle, made in Japon, c’est exquis ! si tu savais tu viendrais vite »


« Je suis désolée Sonia mais je ne peux venir, viens plutôt et apporte ton acquisition »

« C’est lourd sais tu ! »
« C’est lourd ? »
« Oui cela tient dans une valise »
« Tu m’intriguse Sonia, allez viens vite ! »
« Chérie tu seras seule ? »
« Au début non, car Pierre doit rester un moment mais après si tu veux oui ! »
Se croyant seule Sonia indiqua
« Tu sais bien que je te préfère aux hommes Chérie ! »
« Allez viens, tu verras Pierre est très gentil, il nous laissera toutes les deux, on sera bien tous les trois, c’est d’accord ? »
« Si tu crois ! »
« Aller c’est oui, nous t’attendons, je prépare un petit encas.....Allo! allo ! n’oublie pas la valise ! j’ai moi aussi quelques objets qui te feront plaisir, allez chao à tout de suite »



Et Chérie raccrocha. Elle m’expliqua que Sonia était une rousse sensationnelle, qu’elle avait été déçue par un homme et que plusieurs fois déjà à force de s’ennuyer toutes les deux, elles s’étaient rapprochées et à l’occasion de petites siestes, serrées l’une contre l’autre, par tendresse elles s’étaient embrassées sur la bouche en se caressant et bien au chaud sous la couette s’étaient fait jouir l’une par l’autre. J’avoue me dit elle que je lui dois des nuits extraordinaires, d’autant que nous essayons de nous équiper pour nous aider à jouir, Pierre j’ai moi aussi une collection de sex-toy comme on dit maintenant. Sonia est un peu comme toi, Pierre, très inventive, de plus elle a un sacré châssis, tu verras si on s’entend ! Je ne sais pas ce qu’elle a acheté mais ce doit être aux poils pour qu’elle se réjouisse comme cela.


« Il vaudrait peut être mieux que je vous laisse seules ? »

« Non Pierre ! mais ne fait rien au début, laisse moi faire, fais toi petit, ne l’agace pas....ah j’oubliais quand nous souperons ne mange pas de la sauce tomate car dedans il y a un petit produit du pays destiné aux femmes uniquement, c’est du tonnerre tu verras ! Mais maintenant habillons nous, rangeons un peu la castra, Elle ne va tarder. Aller un petit bisou, tu n’es pas jaloux au moins ? »

« Non Chérie ça m’excite au contraire ! »




16
Sur ce Chérie s’habilla comme seules savent le faire les filles de couleur, nous étions fin prêts quand Sonia fit son entrée. J’en restais ébahi devant sa beauté et son sex-appeal, rousse habillée de vert comme ses yeux, elle dévoila ses formes généreuses en quittant son manteau. Elle embrassa Chérie et me tendit une main molle, Dans un éclatement de cuisses elle s’écrasa sur le divan et elle nous observa

« Chérie ! C’est donc Pierre ? » Dit elle en me détaillant, son regard me brûlait tandis que j’étais fasciné par ses seins, par ses cuisses croisées. Nous bavardèrent un moment mais Sonia était fébrile, elle lorgnait de temps en temps vers sa valise délaissée dans un coin.

Chérie se mit à ses côtés et sans se soucier de moi elle l’enlaça tendrement, l’embrassant dans le cou, puis sur la bouche. Sonia comme électrisée se relâcha écartant les cuisses. Chérie, très lucide, elle, glissa une main sous la robe dans l’entre cuisses écartelé palpant sans doute dans les profondeurs cachées la chatte de Sonia. Malgré ma présence qui sans doute la gênait Sonia se laissa guider vers un orgasme inéluctable trop longtemps contenu. Elle s’offrait ouverte à cette main qui devait dévorer sa mangue fendue sous le slip.

Aux avances de son ventre je devinais les pénétrations savantes des doigts de Baby Chérie, ses mouvements de plus en plus désordonnés annonçaient l’orgasme proche. Peut lui importait si le fin tissu de sa robe remontait dénudant ses cuisses gainées de bas sombres et luisants sustentés par un joli porte jarretelle vert pâle. La bouche de Chérie émigra dans son cou ce qui permit à Sonia de s’exprimer en geignant au rythme de la montée impérieuse de sa jouissance.

« J’ai honte ! j’ai honte ! » soufflait elle

« N’est plus honte Sonia, tu sais comme je suis heureuse quand je te fais jouir. Jouis comme si nous étions seules, jouis plus encore, Pierre est gentil tu sais, tiens Pierre passe moi le petit coffret rose sur la table »

Ce que je fis discrètement le posant sur le petit guéridon à côté d’elles. Chérie ouvrit le couvercle découvrant une panoplie de quatre ou cinq grosses pines artificielles de différentes formes. Elles étaient alignées comme à la parade, prêtent à l’emploi polies, luisantes, lubrifiées. Sonia jeta un œil et tomba en pâmoison, elle hurla quand Chérie prenant en main le plus gros, un des plus noueux l’approcha de son visage, elle ouvrit ses cuisses davantage et je pus voir son slip noir fantaisie sorte de petit flottant orné de dentelles.

« Ecarte ta culotte ! » lui dit Chérie presque durement. Sonia les yeux dans le vague écarta le soyeux rempart découvrant la toison rousse assez abondante de sa grosse chatte. Savamment la belle bite fit ce qu’elle devait faire, dans les poils d’abord en dégageant la faille des grandes lèvres avant de s’insérer entre elles en les écartant démasquant la vulve. Le bout décalotté se centra délicatement à l’entrée du vagin. J’assistais pétrifié au forçage du gland qui s’enlisa doucement avant l’emmanchement brutal de la verge au plus profond de la chatte.

Je ne pus m’empêcher de pousser un petit cri et de me toucher la queue en érection sur mon pantalon. Sonia ne put résister à cet assaut brutal et jouissif, elle s’allongea de tout son long sur le canapé cuisses ouvertes, offertes, Chérie à genoux dans la travée était plus à son aise pour agiter convulsivement le membre, de temps à autre elle se penchait et prenait à pleine bouche les lèvres de son amante étouffant ses plaintes et ses cris, puis elle se relevait les yeux fixés sur cette queue qui défonçait une chatte en furie, le rythme s’accentua, l’amplitude aussi, Chérie tournait et tordait le membre noueux dans la cramouille humide.

D’un coup Sonia poussa un grand cri, fouettant des cuisses, elle s’envoya en l’air comme une folle. Son orgasme s’éternisa, elle dodelinait de la tête en tout sens, battait des bras essayant de s’accrocher à chérie puis, enfin dans un dernier soubresaut de son ventre elle se calma peu à peu en terminant par un serrage de cuisses sur l’objet jouissif. Quand elle rouvrit les yeux elle regarda Chérie d’un air reconnaissant et amoureusement lui dit

« Quel calibre Chérie ! il me tarde de te le faire connaître à toi aussi quand tu voudras! »

Elle me regarda ensuite d’un air plus amical
« Vous êtes merveilleuses toutes les deux » dis je simplement. Chérie me fit un sourire discret et je compris à sa mimique que je commençais à apprivoiser Sonia.

Chérie proposa de souper et nous nous mirent autour de la table, Sonia entre nous deux. Je me gardais de la sauce interdite qui fut consommée abondamment par les deux beautés ; par contre je repris de cette crème brune spéciale homme, vous me comprenez. Le rhum blanc aidant nous commencions à être très gais tous les trois, Chérie sur la gauche de Sonia recommença à l’embrasser tout en caressant ses seins sur le tissu de son corsage d’abord puis sa main s’introduit subrepticement sous le fin linon. Ce n’étaient plus des petits bécots mais l’assaut furieux de deux bouches gourgandines grande ouvertes, les langues s’enroulant comme des serpents.

Mon désir poussé à l’extrême par ce spectacle lesbien je décidais d’entreprendre un contre-feu en passant sous la table. Ce que je vis dans la pénombre était hallucinant, quatre cuisses ouvertes, deux slips diaphanes. Je m’approchais et je profitais d’un écartèlement nerveux pour mettre ma tête à l’intérieur du compas merveilleux des cuisses sombres, celles de ma chère Baby, ma bouche commençait à mordiller la chair molle en remontant vers l’entrecuisse quand d’un geste on dirigea mon visage dans l’entrecuisse voisin.
Etait-ce une attention de Baby pour mêler Sonia à nos jeux ?

J’étais maintenant au milieu des cuisses blanches de Sonia gainées de noir jusqu’à mi hauteur. Ma bouche butina d’abord timidement la chair nue entre les bas et le slip. Aucune réaction défavorable ne venant contrarier mes projets, je m’enhardis en remontant ma bouche vers la source.

A un moment j’eus la satisfaction de voir que l’on aidait mon entreprise, les fesses s’avancèrent au bord de la chaise pour mieux dégager la raie des fesses, mettant en avant, bien à ma portée la bosse du vagin masquée par la petite culotte. Ainsi, à genou sous la table, je refermais ma bouche ouverte sur la grosse mangue touffue de la chatte de Sonia. En haut cela allait aussi grand train, d’un œil je vis que Chérie avait mis à l’air les seins de son amante et elle les pétrissait vigoureusement tout en continuant de lui baiser la bouche. Je replongeais et profitant du désarroi je n’eus aucun mal à écarter le frêle rempart qui masquait la vulve, obstacle se résumant en cet endroit à une étroite bande de dentelle.

Je fis des merveilles avec ma langue la faisant aller et venir dans la faille des grosses lèvres. Elle partait de l’anus pour remonter entre les petites lèvres d’où je fis naître un petit membre que je titillais longuement. En roulant ma langue pointue et raidie j’investis profondément la vulve et l’agitais en tout sens. Mes mains ne purent rester inactives et avec la complicité de Sonia que je devinais par sa manière de me faciliter la tâche je pus lui quitter la culotte sans avoir besoin de dégrafer les bas du petit porte jarretelle ceint autour de sa taille.

Je fus alors plus libre pour me vautrer dans ce lieu enchanteur tout en caressant la taille gracile, les hanches dodues, les grosses fesses. Ma langue vint lécher, toutes papilles dehors, la vallée rousse du minou, amusant le périnée, contournant l’anus bien dégagé, mordillant le ventre ou le gras des cuisses. Manifestement Sonia appréciait mes attentions, je le ressentais par l’aide qu’elle m’apportait, aux postures qu’elle prenait, à sa manière de guider mon visage sur elle en attirant ma tête entre ses cuisses, mais je compris qu’il lui fallait quelque chose de plus substantiel.

Plein d’idées mais à regret je me retirais malgré les mains qui me retenaient, je quittais le dessous de table. En haut cela bougeait également et en traversant la pièce pour chercher du renfort je vis que Chérie s’installait à genou sur la table, présentant à Sonia la partie la plus charnue de son anatomie, les jambes de part et d’autre. Je trouvais ce que je voulais et avant de regagner mon repaire je posais le petit coffret rose sur la chaise libre de Chérie.

Sonia me regardait, son regard était trouble, elle allait me dire un mot que j’étouffais d’un baiser farouche lacérant ses deux seins durcis par l’émoi où elle était plongée. Elle s’agrippait à moi mais je la laissais ouvrant le coffret avant de repasser sous la table. Je la retrouvais comme je l’avais laissée et je vis les contractions de sa craquette, manifestement l’envie de Sonia faisait son chemin. Je pris sa main et la guidais vers la plus grosse bite du coffret posé à ses côtés, celle qui l’avait tant fait jouir avant le souper, je lui fermais la main sur lui et je sentis son frissonnement avant que l’engin disparaisse de ma vue.

J’entendis un grand cri puis un long et syncopé roucoulement de Chérie en pamoison, le godemichet devait faire son œuvre. Je souris en pensant à ce qui devait se passer au dessus, tout cela commençait à me plaire. Il fallait maintenant finir mon travail. Je présentais le gode d’ivoire et n’eus aucun mal à l’introduire dans la chatte accueillante de Sonia. Alors consciencieusement, implacablement je la servis en enfonçant le jouet à fond, en le ressortant complètement en le déglutissant de la chatte en feu. A chaque pénétration les lèvres s’écartelaient en chuintant avant de se serrer sur le membre lubrifié. La position était inconfortable pour moi mais j’étais fasciné par cette chatte en furie, par ses fesses écartelées et lascives animées de brusques élancements antagonistes.

Sonia jouissait pleinement maintenant elle serra fortement ses cuisses sur l’engin qui fouaillait à fond son ventre. Je ne pus alors, en passant sous ses cuisses serrées, que saisir la grosse paire de couilles et les agiter en tous sens pour parfaire l’effet jouissif du gode emmanché.

Il y eu alors comme un écroulement sur la table, suivit d’un hurlement de plaisir, les cuisses de Sonia s’ouvrirent avant de disparaître de ma vue, je vis ses pieds sur la chaise avant qu’ils disparaissent à leur tour. Durant le transfert le manche à couilles avait disparu lui aussi dans l’écrin de la chatte de Sonia sans doute. Je me trouvais donc seul sous la table et j’entrepris d’émerger en prenant le même chemin que Sonia et me retrouvais assis sur la chaise à sa place. Le spectacle que je découvris était hallucinant.

Sonia s’était hissée sur la table en position de levrette derrière Chérie dans la même position mais le buste sur la table, la croupe dressée en l’air offerte aux soins de Sonia qui branlait sa chatte avec le gros gode de l’écrin. Je n’en pouvais plus il fallait plonger dans le stupre moi aussi, rapidement je quittais mon pantalon et mon slip, je dénudais les fesses de Sonia en retroussant sa robe jusqu’à la taille et debout sur la chaise, je pris mon temps pour bien me préparer, je mouillais abondamment ma queue de liqueur nacré de ma salive , je crachais entre les fesses de Sonia et m’approchais mon gland en appui faisant barrage à la coulée de salive ruisselant dans la commissure des fesses piégeant le liquide autour de l’anus mignon.

Je me concentrais alors pour ce moment décisif du début de la sodomie, j’amadouais savamment son puits culier qui au fil des pressions et des relâchements de ma verge se transforma petit à petit en une bouche vorace heureuse d’absorber mon gland et en réclamant une grande partie de ma hampe.

Je pris alors enfin mon plaisir en ahanant sauvagement sa croupe, me plaquant à fond en l’attirant les deux mains agrippées à la taille, écartelant ses miches, écrasant mes couilles dans sa raie sur son cul arrondi sur ma virilité. C’est en passant la main par dessous dans l’arc de ses cuisses que je retrouvais l’ivoire toujours plantée dans sa vulve que j’eus un puissant orgasme, à chaque introspection de son cul j’éjaculais un petit jet de foutre tandis que je sortais le gode. Sonia jouissait elle aussi par les deux trous, elle jouissait si fort que sans le vouloir elle ne put continuer de faire jouir Chérie et l’abandonna.

Mon foutre suintait abondamment du derrière de Sonia et venait lubrifier le gode à l’étage en dessous se qui facilita le pitonnage de cette bite rigide dans sa chatte qui échappa bizarrement à mon contrôle, pris en compte je le vis bien par Chérie libérée qui avait repris la bouche de Sonia. Je pus alors à mon aise finir de jouir dans le petit cul de ma belle rousse tout en saisissant par dessous la paire de seins qui dodelinaient en cadence.

Nous ne purent tenir longtemps à ce rythme endiablé et tandis que Sonia s’écroulait sur la table je m’assis pantelant sur la chaise, avec Chérie haletante, à genou entre mes jambes qui entreprit de me nettoyer le panet souillé avec sa langue en le prenant dans sa bouche. Incroyablement, à cause des aphrodisiaques dont j’avais largement profités je bandais toujours, ma grosse queue raidie plaquée sur mon ventre.


« Alors ! ce que contient cette valise ne vous intéresse plus ? »


C’est Sonia qui nous ramena à la réalité et c’est moi qui fus chargé d’ouvrir la valise et de découvrir son contenu et j’avoue qu’après un rapide coup d’œil je ressentis comme une bouffée de chaleur devant l’ingéniosité des Japonais. Je n’osais comprendre son fonctionnement.

« Alors c’est quoi » dit Chérie

« Tu vas voir » répondit Sonia

« Bon d’accord ! » dit je, « Mais à poils toutes les deux ! »

Je commençais à déballer les différentes pièces et à les assembler tandis que mes deux beautés se déshabillèrent mutuellement Chaque occasion leur fut mise à profit pour se caresser pour s’embrasser et j’eus beaucoup de mal à me concentrer sur mon ouvrage d’autant qu’une fois nues elles m’entourèrent d’attentions dont je ne fus pas insensible.

L’engin on peut le dire est une espèce de glissière actionnée par un ingénieux système électrique permettant à plusieurs pénis masculins factices une fois mis en place d’exécuter des mouvements de va et viens. Après branchement du moteur, éberlués nous vîmes un phallus effectuer des aller et retour horizontaux d’une amplitude d’au moins vingt centimètres.

J’allais faire une petite critique du système en indiquant qu’il devait être difficile de prendre le train en marche si j’ose dire et que la patiente devrait s’approcher prudemment pour s’enliser à reculons au risque en s’y prenant mal de se faire défoncer l’anus. Mais Sonia qui avait dut lire la documentation nous indiqua que le vendeur lui avait donné des conseils très utiles :

Premièrement amener le membre en position arrière et en reculant à genoux, les fesses offertes face à l’engin, se placer le gland dans la chatte avant de mettre en route ou mieux et c’est là que nous vîmes le génie du constructeur, démarrer le système avec une course négligeable de l’ordre d’un demi centimètre en jouant sur une télécommande et puis à la demande toujours avec la même commande d’allonger progressivement la course, vers l’avant uniquement de manière que sans bouger la pénétration d’abord négligeable puisse aller au plus profond de la chatte.

Une autre invention permettait de faire coulisser sur la verge une grosse paire de couilles bien rondes mais particulières car au dessus on pouvait voir une sorte de petit pénis conique avec un bout arrondi réglable lui aussi. Sonia indiqua en rosissant que si on voulait on pouvait en fin de course se faire sodomiser l’anneau musculeux de l’anus.

Nous étions tous les trois fascinés par l’usage que nous allions en faire. Depuis un moment Chérie une main entre les cuisses se massait le clitoris en ondulant. Sonia nous indiqua que les va et viens pouvaient être lents, très lents mêmes ou rapides, de plus au gré de l’utilisatrice ou de l’utilisateur me dit elle en minaudant, le gland décalotté de cette belle bite et l’extrémité du petit membre pouvaient vibrer plus ou moins et au moment choisi décharger à volonté un liquide spécial, visqueux, antiseptique et tiède.

Chérie gémissait maintenant en se masturbant la chatte avec trois de ses doigts et Sonia décida de lui faire expérimenter la petite merveille. Je fixais solidement l’appareil, Sonia mis au sol un tapis épais et Chérie se mit à genoux, croupe offerte, Sonia lui graissa légèrement la vulve et l’anus avec la fameuse crème tandis que je réglais l’appareil en position zéro de telle sorte que le gland soit à bonne hauteur en l’immisçant entre les deux lèvres de son vagin. Sonia et moi enlacés, unis par toutes les pores de notre épiderme furent alors les spectateurs d’un moment pornographique le plus hallucinant que nous n’aillions jamais vu.

Chérie comme un vétéran du plaisir solitaire su faire rendre à l’engin tout ce qu’il promettait. Nous vîmes l’énorme phallus s’ébranler doucement entre les poils de la chatte. Chérie se centra sur lui non sans avoir fait éjaculer du gland décalotté un petit jet huileux quand à la giclée provenant du petit gode en retrait il arrosa copieusement la raie des fesses écartelées. Subjugués fascinés serrés l’un contre l’autre, Sonia et moi assistèrent médusés aux longs ébranlements de ce gros membre réaliste, raide et souple à la fois. Au retour il sortait complètement avant de replonger, bien serré dans la vulve arrondie autour de lui. Chérie se pistonnait lentement, très lentement mais de plus en plus profondément, sa cramouille restait largement offerte avant que ne replonge l’infatigable gode.

C’était presque insupportable pour nous de voir cette machine infernale baiser Chérie qui manifestement trouvait du plaisir, elle gémissait doucement. Le moment qu’elle semblait apprécier le plus c’est le moment ou le gland sorti la refourrait en chuintant, elle poussait à ces brefs instants des petits cris de satisfaction. Cela devint insupportable quand le petit gland commença à effleurer l’anus avant que petit à petit il le déflore et l’encule après un petit jet de graissage.

Et puis la cadence du baisage s’accéléra, l’amplitude aussi ; Chérie usait largement des éjaculations des deux godes qui la servaient, si bien qu’à chaque introspection un liquide sirupeux et nacré giclait abondamment de sa chatte et de son cul et ruisselait dans la raie inondée. Quand les godes étaient bien emmanchés dans leurs fourreaux respectifs ils restaient un bref instant immobiles en se mettant à vibrer, les fesses animées alors de tremblements du meilleur effet pour Chérie en pleine orgasme maintenant,

Elle tortillait du cul pour augmenter son plaisir, si le gland était alors mal centré il trouvait son chemin en s’arque boutant dans la raie des fesses et c’est une grosse bite ployée qui l’emmanchait. Avec Sonia nous n’en pouvions plus, depuis un moment je me branlais et elle se caressait elle aussi. Entre la hampe du membre et les couilles nous n’avions pas remarqué des sortes de petits picots souples qui titillaient le clitoris de Chérie à chaque plongée.

D’un seul coup, cela se déclencha, Chérie comme folle se mit à hurler, son beau corps d’ébène animé de contorsions grotesques, elle proférait des injures pornographiques à l’égard de cet amant qui implacablement la baisait, elle avait perdu le contrôle de la machine infernale, de ces deux verges infatigables qui se déchaînaient entre ses fesses écartelées dans les deux trous béants de sa chatte et de son cul.

C’est Sonia qui me branlait la verge maintenant au même rythme que l’engin et j’allais jouir dans sa main quand tout s’écroula, Chérie sur le côté entraînant dans sa chute la machine à baiser qui se désengagea mais continua ses aller et retour dans le vide, elle crachait des jets de foutre dont la puissance nous surprit inondant le tapis, Chérie hystérique gueulait battant des cuisses, sans le vouloir l’ogive se replaça entre ses fesses et brutalement se centra sur l’anus cette fois et s’y enfonça jusqu’à la garde. Chérie hurla, manifestement elle n’en pouvait plus.

Nous dûmes la ceinturer avec force pour l’immobiliser, elle était en pleine crise, je l’enfourchais et la pris par devant, limant sa chatte de ma grosse queue naturelle, elle me serra alors passionnément dans ses bras et peu à peu s’apaisa, je la laissais. Sonia interdite et toute pâle elle aussi s’allongea près de nous :

« Pierre ! faudra-t’il moi aussi que je subisse cette torture et que je meure de plaisir ? »

Je l’enlaçais en l’embrassant tendrement dans le cou et la pris à son tour, mon pieux dans sa vulve révulsée ; doucement je m’agitais en elle, puis restant à fond il ne resta que la grande houle de nos deux corps soudés, de nos fesses serrées, et ce fut son orgasme, orgasme naturel celui là, orgasme d’une violence inouï d’un désir trop longtemps accumulé, tandis qu’elle jouissait en gémissant j’écrasais sa bouche, baisais son cou, ses seins, ses tétons, mes mains pétrissaient sa taille, ses hanches, ses fesses. Dans un grand cri la jouissance nous unit et je tapissais son vagin de mon foutre. Quelle soirée ! mes amis, Chérie s’exprima :

« Vous êtes gentils tous les deux, merci ! »

« Alors ! c’était comment ? » demanda Sonia en l’embrassant

« C’était bien ! j’ai beaucoup joui si bien qu’à un moment j’ai perdu l’esprit tant la sensation était forte, je ne contrôlais plus rien et je me suis fait défoncer ! »

« Tu nous conseillerais d’essayer nous aussi ? » dit Sonia

« Oui, si on est seule et que l’on est en manque, mais c’est mieux à deux amants ou à trois mes amours, ce qu’il manque avec cet engin c’est la chaleur de deux corps qui s’étreignent, c’est le claquement d’un ventre sur des fesses offertes, ce sont les mains à la taille ou sur les hanches qui nous attirent et quand on se baise face à face c’est le regard de l’autre qui d’un coup se trouble quand il va jouir, rien de tout cela avec la machine, seule son infatigable virilité nous fait jouir autant de fois qu’on le peut, c’est quand même beaucoup ! »

« Sonia et moi avons apprécié le spectacle envoûtant que vous donniez tous les deux ! »

« Tous les deux ? ah oui, la machine et moi ! Je vais vous faire rire, vous me croirez si vous voulez mais j’ai envie de baiser vraiment avec une vraie bite, avec toi aussi Sonia »

« Oui mais Sonia doit avoir envie elle aussi ! »

« Le spectacle m’a excité au plus haut point, heureusement que Pierre m’a fait jouir ! cela m’a un peu calmé mais j’ai encore envie moi aussi !»

« J’ai une idée ! » dis je

Je m’appliquais alors à m’équiper devant le regard incrédule de mes deux beautés. Prenant le gros gode d’ivoire, je m’harnachais avec la ceinture autour de la taille mais en plaçant la grosse verge blafarde derrière moi, les couilles entre mes fesses, le dard bien dressé, je me mis à genoux sur le tapis. Elles n’eurent aucun mal à comprendre la manœuvre et c’est Chérie qui s’installa ses fesses devant moi pour profiter d’un vrai pénis cette fois, bien chaud, bien gros, bien dur, je la pris par la taille comme elle aimait et l’attirais vers moi pour centrer sa chatte encore ouverte sur mon gland et sans attendre je m’enfonçais d’un coup dans le bonheur, avant que par d’amples déhanchements, je la serve comme un bon amant doit le faire.

Dans mon dos je sentais le gode d’ivoire ballotter en rythme sous les yeux de Sonia à genoux derrière nous. Elle s’empala sur l’énorme gode d’ivoire et je compris quand elle me prit par la taille qu’elle me faisait face. Dans cette position elle me laissa faire et à chacun de mes reculs, abandonnant l’une j’emmanchais l’autre. Laquelle de mes deux beautés était la mieux servie, je ne saurais le dire, toute deux gémissaient à chaque pénétration, Sonia ne voulant pas être en reste passant une main par dessous entre mes fesses me caressa les couilles tout en, avec ses doigts, titiller le clitoris de Chérie.

Nous étions bien tous les trois et je crois qu’à la machine infernale elles appréciaient mieux le naturel de notre copulation. Avant de jouir je me retournais et forçant Sonia de me présenter ses fesses, c’est elle qui profita de ma verge raidie, Chérie un moment insatisfaite glissa l’engin entre ses fesses et se laissa masturber la chatte au gré du rythme de mon bassin. Dans cette position, moi m’agitant entre les deux croupes offertes je les fis jouir à maintes reprises, souvent ensemble, parfois séparément.

J’essayais de me garder pour d’autres assauts. Ce sont mes deux amantes qui eurent l’idée de changer le lieu de leur bonheur si bien qu’après quelques ajustements c’est dans leur derrière que je m’agitais, je pouvais voir ma grosse bite entre les fesses de Sonia et ce fut un miracle que je ne décharge pas dans son cul. Dans un moment d’accalmie me relevant je guidais Chérie et Sonia à genoux, fesses en l’air sur le divan et l’une après l’autre je les baisais en levrette, chacune attendant avec impatience l’instant où délaissant leur copine je la pénétrerais à nouveau.

J’arrivais en passant rapidement de l’une à l’autre à les faire jouir en continu d’autant que pour faire patienter l’amante délaissée avec les doigts dans l’anus je palliai à l’absence de mon membre. Dans quelle chatte allais-je jouir ? Je sentais le moment arriver où je ne pourrais plus me contrôler ; et que pensera celle qui ne me fera pas jouir ? Par esprit d’équité je les retournais vers moi, mon membre sur leurs visages et je fus heureux de les voir me branler la verge, de me caresser les parties et avec leur langue me prendre dans leur bouche jusqu’à l’éclatement de mon foutre. Jamais jouissance ne fut si forte, si durable, mes deux comparses s’ingéniant à la faire durer.

Elles me scrutaient, estimant mon orgasme aux grimaces de mon visage, à ma bouche tordue par le plaisir, à mes yeux fous, aux déhanchements grotesques de mon ventre et enfin à la puissance des jets nacrés qui souillaient leurs beaux visages, leurs seins. Si j’avais été lucide j’aurai aimé lire le plaisir qu’elles avaient à me rendre le bonheur que je leur avais donné. A l’instant de la dernière goutte répandue sur leurs visages alors que la jouissance encore présente peu à peu s’estompait ; sans rien pouvoir réagir je m’écroulais, mort de fatigue. Je sentis que l’on m’allongeait sur un lit confortable, autre sensation je sentis mon pénis s’amollir, se ratatiner, disparaître quasiment dans sa fourrure. J’entendis des rires, je ressentis des caresses qui n’eurent aucun effets sur ma virilité anéantie et avant de plonger dans le néant j’eus la consolation d’entendre Chérie dire à Sonia ;

« Il a son compte le mec, j’ai cru qu’il ne s’effondrerait jamais, quel tempérament ! Quelle inventivité, il m’a fait jouir comme jamais un amant ne l’avait fait ! »

« En plus il est beau et gentil, j’avoue qu’il m’a bien fait jouir, si tous étaient comme lui je ne serais pas devenue lesbienne !»

« Tu le regrettes ? »

« Non chérie, toutes les deux on sait compenser l’insuffisance des hommes, leur égoïsme, viens embrasse moi ! »


Quand je revins sur terre, il faisait grand jour, la chambre était vide. Je me tâtais et constatais que ma verge avait de nouveau fière allure. J’allais me lever quand Sonia toute pimpante entra avec un plateau fumant et odorant ;

« Sais tu quel jour nous sommes Pierre ? me dit elle gentiment

« Euh ! »

« Et bien nous sommes lundi, dix heures du mat....Chérie est partie bosser, elle te remercie pour les bons moments passés ensemble, moi aussi d’ailleurs et j’attendais ton réveil ! »

Gentiment elle installa un bon petit déjeuner et elle me regarda attentivement le dévorer. Elle était resplendissante, elle sentait bon et de nouveau je fus pris d’un ardent désir

« Que fais tu dans la vie ? » me demanda t’elle

« Pour l’instant je suis au chômage, je suis ethnologue de formation, j’ai mon doctorat mais pas de place pour l’instant. J’écris un peu, je fais des traductions mais il me faudrait plus d’argent pour voyager ! »

En attendant parler de doctorat, le regard de Sonia s’alluma et j’observais un imperceptible serrement de ses cuisses. Les femmes fantasmeraient elles sur les docteurs comme nous les hommes sur les infirmières ?

« Et toi Sonia que fais tu ? »

« Oh moi tu sais,Pierre, je travaille très peu et ce que je fais n’est guère avouable, mais je gagne pas mal d’argent ! »

Je pensais, serait-ce une pute ? Elle se pencha vers moi et confidentiellement, à voix basse alors que nous étions seuls elle murmura

« Je fais du cinéma, un peu spécial, du cinéma de charme, du porno pour ne rien te cacher »

Elle m’expliqua qu’une ou deux fois par mois on lui demandait de participer à des séances filmées et que ces films étaient ensuite projetés dans des salles spécialisées très fréquentées par la gent masculine. Après un court instant de réflexion elle m’indiqua que si je voulais, inventif et bien monté comme j’étais je pourrais me faire pas mal de blé tout en m’amusant. Elle me mit cependant en garde en m’affirmant que les places étaient très convoitées et que l’examen d’entrée était au moins aussi sélectif que le doctorat. Elle me tendit un petit Bristol, dont le nom n’indiquait en rien ce genre d’activité.

« Si tu te décides ! ne parle pas de moi, de Sonia, cela ne t’avancerait pas, au contraire je crois, le milieu est très cloisonné »

Comme elle était belle, qu’elle sentait bon, qu’elle me souriait gentiment, je l’enlaçais tendrement. Elle me laissa faire, elle semblait troublée, je l’allongeais à mes côtés et sans préparation lui retroussant sa jupe je m’installais entre ses cuisses écartées et relevées. Sans façon j’écartais sa petite culotte et je me guidais en elle, sa chatte était prête à m’accueillir, son miel permit à ma grosse queue de coulisser sans mal à fond dans sa vulve. Elle se mit à jouir immédiatement, que c’est beau une femme que l’on fait jouir, son regard perdu dans un autre monde, elle me fit comprendre de rester bien au fond et d’onduler pour faire jouer mon pénis en elle, ce que je fis en relevant ses fesses. Quand elle se mit à gémir, quand je la vis en plein orgasme je la rejoignis dans le plaisir et dans une grande houle, nos bouches s’étant rejointes dans un cri, je la remplis de ma semence.

Nous mirent un long moment avant de nous remettre de cet intense et bref moment de jouissance et quand nous séparèrent elle me dit en se réajustant

« J’espère que nous nous reverrons Pierre ? »

« Je le souhaite aussi, tu es vraiment canon Sonia ! »
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Babyboo, chérie noire, infirmière

Le 13/04/2010 - 19:05 par Paradise Kiss
Encore une fabuleuse histoire ... Merci
Le 14/09/2009 - 04:26 par Pierre le Grand
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