ACCUEIL > Lieux publics > Récit : Baiser en Mercédès

Baiser en Mercédès

+22

Lue : 26885 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 02/03/2009

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Mercédès s’arracha de mes bras et se mit à genoux entre mes cuisses dans la travée arrière de la limousine, sa main passa sous le pan de ma chemise qu’elle retroussa, sa main saisit la hampe de ma verge :
« - comment la trouves tu ? lui dis-je » « - mignonne ! » dit elle

Je sentis une pointe de déception dans la voix, mon membre énorme il y a un instant avait débandé et se présentait sous un jour moins favorable

« - prends le bien en main, caresse le, il va se réveiller, allez soit gentille avec lui, il te le rendra au centuple »

Entre les mains de Mercédès déjà l’érection de mon membre commençait, lentement mais inexorablement, il n’était pas encore très dur quand Mercédès le présenta entre ses lèvres, elle plongea vers lui et l’absorba d’un coup en entier, l’effet fut fulgurant, à chaque aller et retour de la bouche la mignonne quéquette palpitait en grossissant, petit à petit Mercédès ne put en absorber qu’une partie, le gland commença à émerger de sa protection de peau et d’un coup de langue se dégagea fier, arrogant, gorgé de sang et de vie.

Mercédès le visage dans mon entrecuisse observait mon émoi, je me tortillais sur la banquette, les yeux dans le vague, je m’offrais à ses caresses les cuisses écartées, les jambes relevées, en appui sur les sièges avant de la voiture, Mercédès était fascinée par l’érotisme du tableau qu’elle avait sous les yeux cette verge dressée, plaquée sur mon ventre, le gland épanoui retenant le filet de peau si sensible du prépuce, la paire de couilles masquée par la luxuriance d’une sombre toison bouclée. J’ai des testicules de vieux mâle, pour l’heure on les devinait comme deux œufs légèrement décalés dans leur bourse de peau fripée et puis le mystérieux périnée avec dans cette position l’anus sombre offert entre les fesses écartelées.

Mercédès ne put résister, en ouvrant grand sa bouche rose elle aspira la couille la plus basse et l’enveloppa de sa langue, elle ne la lâcha que pour prendre l’autre ou pour lécher par-dessous le phallus raidi, de la base de la hampe au gland turgescent en suivant la grosse veine bleue. J’étais en plein coaltar, sur le point d’éjaculer à plusieurs reprises surtout quand Mercédès me gobait entre ses lèvres en serrant la base de ma queue entre ses doigts, mais elle sut se modérer pour me faire durer.

« - Ah Mercédès, c’est bon, tu sens comme elle grossit....oui... ouiii... comme çà continue....ahhh....tu me suces les couilles....tu les prends dans ta bouche... merci...c’est bon...c’est chaud.....arrête....oui....reprends.....tu me lèches la bite...mon gland....ce n’est pas possible d’être si bien...Ah Mercédès je vais te faire jouir à mon tour....attends je m’écarte plus....lèche mon cul.. tu veux ?...je sens ta langue en pointe sur lui...tu le mouilles....qu’est ce que je sens....c’est ton doigt qui me presse l’anus.....ohhf.... je le sens qui coulisse...çà ne me fait pas mal....mais que fais tu ? ton doigt dans mon cul...mes couilles dans ta bouche...et tu me masturbes....non.....arrête...c’est trooop....garde moi ma chérie....bien je me replace, tu suces bien tu sais, c’est bon, mais relèves toi maintenant, comme çà, devant moi, Mercédès tu es belle... »

Je venais de passer un moment exceptionnel, jamais avant Mercédès. Je n’avais ressenti cette sensation, elle était maintenant devant moi, debout dans la large travée de la spacieuse limousine, Je lui pris la taille, nue entre le corsage et le pantalon et embrassais chastement son ventre. J’allais la déculotter, quel plaisir de mettre au jour ces trésors que le pantalon de lin laissait deviner. Je commençais par le petit crochet de la ceinture et baissais la fermeture éclair sur le côté, la suite fut plus délicate, pour démouler les fesses et les hanches, Mercédès était faite comme un violon, Je me sentis l’âme de Stradivarius.

Sous le pantalon, le slip apparut, il était confortable, choisi pratique pour faire un long parcours en voiture, il n’en était pas moins excitant, J’échappais une plainte devant tant d’érotisme là, sous mes yeux, à un souffle. Mercédès m’aida à ôter complètement le pantalon, elle ne portait pas de bas, J’avançais mes mains vers ces trésors qui s’offraient et la tournais de profil, ma main droite se posa sur la croupe rebondie, la gauche sur le devant du slip sur la bosse de son membre, Je lui malaxais longuement les fesses, empaumant les rondeurs divines, le fin tissus de la culotte ne m’empêcha pas de s’enfoncer entre les deux lobes, les doigts au fond de cette profonde vallée ; par devant je sentais les grosses lèvres sous le tissus déjà mouillé, quel régal !

Mercédès se prêtait à la caresse, elle s’écarta quand mes deux mains firent leur jonction sous l’arc de l’entrecuisse, elles étaient libres de frôler, de caresser, d’affoler cette partie du corps si érogène. Mercédès commença à gémir, manifestement elle appréciait ce prélude au plaisir, elle se déhanchait, serrait ses cuisses par moment quand elle voulait qu’une main reste en bonne place. Ce fut pire quand j’entrepris d’ôter le dernier rempart de sa petite culotte.

Les fesses nues apparurent, rondes, jumelles, symétriques, par devant l’astrakan bouclé ; pour enlever le slip des pieds où il avait chuté, Mercédès leva une jambe puis l’autre en se penchant vers moi, quand elle se releva, mes doigts étaient sur elle, en elle, les deux orifices voisins pénétrés, cela s’était fait en douceur, la chatte humide était prête à bien d’autres assauts, l’anus lubrifié par le doigt trempé au préalable dans le bénitier de la vulve. Mercédès se pencha en avant, le plaisir montait lentement :

« Hubert, je sens tes doigts...ils s’agitent...ils me pistonnent....dans ma chatte... dans mon cul....oui c’est bien....c’est bon...ils coulissent bien...je suis toute mouillée....oui dans ma chatte....ouiii dans mon cul..... ma chatte...mon cul... ouiii.... continue.....mets deux doigts dans ma cramouille....ahhh...ouiii..... tu me fais jouir Hubert... avec tes doigts, avec tes mains si douces.....serre moi les lèvres de ma craquette en même temps....aller....plus fort....plus fort encore...plus profond...Ahhhh....ohhh...je jouis...je m’ouvre....ma chatte...mon cul. Je veux que tu jouisses aussi...donne moi ta queue...elle est bien raide hein ! elle te fait de l’effet la Mercédès ! »

En disant cela Mercédès s’était ouverte en relevant sa jambe gauche et posant son pied sur la banquette, sa main passant par l’arrière sous l’arc de ses cuisses saisit ma verge dressée pour la caresser en tournant, du ventre vers le gland violacé de plaisir ; c’était trop pour moi, au bord de l’éjaculation je caressais par des gestes enveloppants l’intérieur duveteux des cuisses ouvertes, la paume de mes mains pressant les trésors bien dégagés, mes doigts inquisiteurs sur la vulve baveuse et l’anus fracturé.

« - Mercédès, je t’en prie, mets toi à genou dans la travée... oui comme cela, la tête du côté de la portière.....penche toi bien.... oui en levrette...tu es bien ?... oui ....Ah quel cul ! tu es belle ma chérie, je vois tes fesses épanouies....écarte un peu tes cuisses.....je viens vers toi...je suis à genoux entre tes jambes....je m’approche...écarte bien tes fesses... oui comme cela.. avec tes mains... ce n’est pas possible je vois ta raie. je vois ton cul... je devine ta chatte ..... »

J’étais dans un état second, je pris mon membre et l’approchant de la croupe offerte je frôlais de mon gland le fond de se lieu envoûtant, je me servais de ma verge raidie comme d’un pinceau, je devais ployer son membre pour l’enfouir au fond de l’entrecuisse sur le ventre, quand je l’en sortais le gland s’encastrait entre les grosses lèvres de la vulve, il s’attardait sur l’anus et je pouvais le voir se centrer à l’entrée du monde des ténèbres, en reculant davantage le gros cylindre de ma hampe se redressait, plaqué sur mon ventre, nœud en l’air épousait le fond de la raie des fesses que Mercédès complice refermait sur lui, je la prenais alors par les hanches pour mieux me vautrer sur elle, seul le gland émergeait des deux volumes jumeaux ; et puis la ronde infernale recommençait, j’abaissais ma queue, le gland replongeait, se mouillait dans le bénitier humide de la chatte pour revenir sur l’anus où il s’attardait de plus en plus, il en faisait le tour avant de presser le méat plissé.

« - Mouilles toi bien » dit Mercédès dans un souffle

Quand je voulus le faire en me déplaçant mon gland vers le miel de son minou, je trouvais la porte fermée par une main placée dans l’entrecuisse l’endroit lui semblait désormais interdit, interdit comme moi en cet instant, je n’osais comprendre le message, je me mis à trembler, l’émotion était à son paroxysme, mon cœur s’accéléra et mon membre se raidit plus encore. Je revins vers ce petit trou, le moins lisse mais libre lui et augmentais la pression, j’eus l’idée en visant bien de saliver, un filet de liqueur nacrée dans la commissure des fesses, je vis avec satisfaction ce ruisselet argenté suivre le cours abrupt de la raie des fesses et se bloquer contre le barrage du gland, ce dernier eut tôt fait de s’enduire, l’opération se renouvela à plusieurs reprises, la verge entière luisait, l’anus lubrifié subissait maintenant l’assaut obstiné du nœud décalotté. C’était clair si je pouvais j’étais autorisé à entrer, jamais auparavant je n’avais pu réaliser ce fantasme, Mercédès ne pouvait me donner une plus belle preuve de son amour, de plus son sex-appeal me donnait la force, la vigueur nécessaire. Un problème se posait cependant, comment ce petit cratère si mignon pourrait absorber ce phallus si vigoureux ?

Je commençais bientôt à comprendre, petit à petit la résistance diminua, l’extrémité conique de mon gland desserra l’anneau musculeux, en fait ce fut ce dernier qui amadoué par les caresses s’ouvrit progressivement permettant un début de pénétration, ma main était maintenant inutile ma verge bien centrée sur le trou du cul entrouvert, je pus en maintenant sa pression commencer à lui caresser le corps, ses fesses, ses hanches graciles, sa taille, se faisant je l’attirais vers moi, vers ce pieu qui l’empalait, je palpais le ventre amolli par la position, une de mes mains se perdit entre les seins qui dodelinaient chauds comme un couple de pigeons, l’autre plus coquine s’enfonça par devant entre les cuisses et s’attarda sur le clitoris, Mercédès bandait, son bouton était gros et dur, la caresse très délicate déclencha une ample houle de la croupe investie.

J’accentuais la pression de mon membre bandé pour ne pas perdre le contact avec l’anus entrouvert, j’avais sous les yeux la danse lascive de la partie la plus charnue de ma maîtresse, quel spectacle ! Ses fesses écartelées, adorables volumes qui s’offraient à moi, à mon membre encastré. Je devinais que petit à petit mon gland violacé pénétrait dans l’anneau musculeux, j’en fus sûr quand ce dernier céda, un bref regard me confirma, mon gland avait disparu, englouti dans ce merveilleux puits sans fond. Je commençais à aller et venir avec une faible amplitude, mes mains avaient délaissé quelques instants les seins et le sexe, ainsi prenant Mercédès par les hanches je ne perdais rien du spectacle hallucinant des introspections de mon phallus.

----------------------------------------

Mercédès avait perdu pied depuis longtemps, jamais sodomisation n’avait été faîte avec tant d’amour, de douceur ; caressée de toutes parts elle sentait des élancements dans tout son corps, ce n’était pas encore la jouissance, mais elle la sentait monter doucement ; jamais son clitoris n’avait été si gros, si raide, la moindre caresse provoquait chez elle des contorsions incontrôlées, des serrements de ses cuisses, la houle lascive de sa croupe fendue. Elle sentait le gland si doux en elle, elle avait adoré l’instant où elle s’était ouverte sur lui, il entrait et sortait maintenant, Hubert les mains sur ses hanches l’attirait vers lui et la repoussait, quand le gland était en elle elle se serrait sur lui, sur sa hampe moins grosse, il devait la forcer de l’intérieur pour sortir, c’était une sorte de boutonnage continu de son anus que la verge retroussait en sortant. Une main de Mercédès prit la place délaissée sur sa vulve, tandis qu’une chaleur envahissait progressivement son cul, elle se caressa la moule et le clito gaillard ; peu à peu Hubert s’enfonçait en elle par des vas et viens de plus en plus amples, de plus en plus rapides, elle entendait son souffle court, ses plaintes continues, ses mains crispées sur sa taille, bientôt elle sentit s’approcher les couilles sous son cul, les baloches s’agitaient au rythme des pénétrations et venaient fouiller sa chatte, et puis se fut le bruit régulier, le claquement du ventre dur de son amant sur ses fesses, lors d’un enfoncement sa main saisit la paire de valseuses forçant Hubert à rester en place, à fond. Mercédès se caressait maintenant la vulve avec ces attributs masculins, les faisant rouler entre ses lèvres.

Leur jouissance éclata simultanément. Celle de Mercédès était plus complète que lors d’un baisage ordinaire, elle se sentait pleine, la verge bien serrée dans son cul, ce cul si sensible, gorgé de sang, terminus d’une infinité de cellules nerveuses ; oui on peut jouir par le cul lorsqu’il est investi par une queue prévenante et si en plus on se caresse la chatte, si votre amant se déhanche sur vous, tordant son pieu dans l’œillet de l’anus déformé, s’il vous pince la pointe raidie de vos tétins ; les tournant entres ses doigts, la jouissance vous envahit alors dans tout le corps, on n’en est plus maîtresse , il s’agite en tout sens, on est saisi de contorsions qui paraîtraient grotesques à deux amants qui ne sauraient atteindre cette complicité, ce sommet du plaisir commun.

---------------------------------------

Jamais Je n’avais eu cette sensation, jamais mon membre n’avait connu la douceur de ce doux cloaque, ce puits sans fond plus serré qu’une chatte dilatée, moins rigide qu’une main serrée sur lui, moins armé qu’une bouche vorace, j’avais déjà joui dans ces différents anneaux, jamais autant qu’en ce moment et pour la première fois dans un anus accueillant. J’aimerais Mercédès toute ma vie pour cette preuve d’amour, je sentais monter des profondeurs une marée de bonheur, ces couilles pétries par mon amante pesaient des tonnes ; ce qui ajoutait à mon plaisir c’est de voir que Mercédès aussi était bien, cela se voyait à l’agitation de son corps, à la dureté de ses seins, sa chatte aussi s’était durcie, je m’agitais encore plusieurs fois de toute la longueur de ma verge et puis je plongeais, nous plongèrent dans la plus grande jouissance de notre vie.

Nous nous retrouvèrent, écroulés l’un dans l’autre, allongés dans la travée sur la moquette de la Mercédès, pantelants, éblouis, complètement nus nous ne surent jamais comment les derniers vêtements que nous portions avant l’explosion de nos sens s’enlevèrent ou s’arrachèrent, ce que nous surent quand côte à côte sur la banquette nous nous embrassèrent tendrement c’est que nous venions de passer un des moments les plus forts de notre vie. Nous nous savions proches du terme de ce moment de rêve, pourrions nous revivre des instants aussi intenses ? Nous nous regardions les yeux dans les yeux, complices, heureux. Je pris Mercédès dans mes bras, nous nous serrions tendrement l’un contre l’autre se frôlant de nos mains ; au dehors le soleil semblait heureux lui aussi, il dardait ses rayons sur le frais petit bosquet.

Mercédès s’allongea nue sur la banquette, la tête sur un coussin, un rayon de lumière filtrant au travers des vitres révélait ses formes gracieuses, Je m’étendis sur elle et me mis à genoux entre ses cuisses, Je lui soulevais les fesses en relevant ses cuisses avec mes bras, Je coinçais un autre coussin par dessous et m’approchais, j’étais à bonne hauteur, avec ma main je présentais mon pénis entres les lèvres entrouvertes et d’un coup en me penchant vers l’être aimé je la pénétrais à fond, elle était prête à me recevoir c’était onctueux comme du miel, son orgasme se déclencha immédiatement, hallucinant par sa soudaineté et sa puissance . Par des mouvements de nos bassins nous nous mêlèrent enchevêtrés l’un dans l’autre. Dans ces instants troublants, tout en m’agitant entre ses cuisses je lui caressais les seins, merveilleux volumes dressés ; je faisais rouler leurs pointes durcies avec mes doigts ce qui la fit geindre de plaisir, j’étais heureux de la voir jouir et en douceur je fis tout pour faire durer son plaisir.

« - ahhh...Hubert.... que c’est bon !....branles toi à fond...jouis.. gicle....continue
plus vite...je la sens...elle est grosse tu sais....je jouis ....baise moi...dans la chatte c’est bon...c’est bien....parle moi toi aussi....insulte moi et après salaud tu m’encules....oui... ça t’étonnes....hein, Hubert ....la gentille petite Mercédès... devient comme une furie....encule moi encore...j’aime ça...ta queue dans mon cul...alors tu gicles ou tu te réserves pour mes fesses....tu les a aimées tout à l’heure...alors tu te décides...tu attends peut être que çà soit moi qui t’empale....t’en fais pas çà viendra »

Je me mis à l’unisson de cette comédie destinée à nous exciter encore plus et quoiqu’il m’en coutât je me mis à la brusquer

« - ah tu aimes te faire fourrer le derrière et bien je suis là pour çà...aller tourne toi..... à genoux .... sur la banquette …..Quel cul tu as ma fille.... attends que je le graisse....tu sens mon gland dans ta moule toute mouillée....si tu le voyais comme il brille de foutre maintenant.....j’arrive....allez pousse....ouvre toi.... ouvre ton cul ! Ahhh que c’est bon »

En effet Je n’eus aucun mal à entrer dans l’anus encore dilatée par les dernières pénétrations, je poussais à fond et prenant ma maîtresse par les hanches je la pistonnais énergiquement, je n’eus de cesse que de la voir se tordre de plaisir et de l’entendre gémir. Moi aussi j’étais bien, ma verge dans son cul, quel spectacle que de voir mon membre coulisser grassement entre ces fesses magnifiques, écartelées, de le voir sortir de l’anneau dilaté et de replonger avant qu’il ne se referme et ne m’emprisonne.

C’est alors que sur la plage arrière de la voiture j’aperçus une solide canne de montagne, tournée dans un bois noueux l’extrémité en ivoire cannelé était recourbée en un gracieux demi cercle ; dans un état second, Je saisis la canne et la présentais sous son amante agenouillée, l’extrémité recourbée dans l’entrecuisse, la canne passant entre ses seins, Je n’eus pas à chercher longtemps pour introduire l’embout cannelé dans la vulve lubrifiée et pour l’agiter en cadence avec mon membre dans le trou voisin . Cette double pénétration désorienta complètement Mercédès attaquée de toutes parts, ne sachant que serrer de la verge dans son cul ou de l’ivoire dans son vagin elle s’abandonna, elle s’agita si fort de plaisir qu’en plein orgasme j’éjaculais au fond de son cul dilaté ; quelques minutes plus tard nous nous écroulèrent l’un sur l’autre.

Nous mirent un moment avant de se remettre de cet extraordinaire accouplement, je fus le premier à réagir :

« - Pardon, ma petite Mercédès de t’avoir insultée... pardon pour la fin, je ne sais ce qui m’a pris avec cette canne.... si tu savais comme je t’aime.... comme j’ai la plus haute estime pour toi...je ne voudrais pas que tu crois que je te prends pour... »

« - tu as fini de geindre, je t’ai provoqué exprès, je suis un peu dominatrice tu sais....j’ai beaucoup aimé tout ce que nous avons fait, je crois que je m’en souviendrai toujours, mais là je t’avoue j’ai mon compte, allez ne te tracasse pas c’était très très bien »

Mercédès me regardait reconnaissante, elle vit mon membre qui n’avait rien perdu de sa superbe, il était maculé de son féquès. Alors prenant dans la boîte à gants un mouchoir parfumé elle entreprit gentiment sa toilette.

« Mercédès, si tu voulais, j’aimerais jouir dans ta jolie bouche, tout à l’heure j’ai résisté quand tu faisais tout pour me faire exploser dans ta gorge, je me gardais pour ton cul et ta chatte, maintenant j’aimerais me laisser aller entre tes lèvres, le veux tu ? »

« Ah merci de me le proposer, abandonne toi, ne te retiens pas quand tu jouiras dans ma bouche, je veux sentir ton sperme sur ma langue, c’est bon paraît il »

Sur ce elle entreprit de me satisfaire et je dois dire que je fus comblé tant les caresses de sa langue autour de mon gland , les va et viens de sa bouche sur ma hampe, les sucions savantes, joues creusées, la valse de ses mains sous mes couilles, la pression des doigts sur mon fondement dans la raie de mon cul, mais surtout ses yeux qui guettaient la moindre de mes réactions, ses yeux brûlants qui étincelèrent quand elle devina ma jouissance dans mon regard perdu, dans les avancées de mon ventre, et mon éjaculation en longs jets nacrés dans sa bouche. Elle s’activa jusqu’à la dernière goutte, celle qui me fit hurler de bonheur. Quand je sortis ma queue souillée de ses lèvres elle fit sa toilette à petits coups de langue comme une chatte avec ses petits.

« Que faisons- nous maintenant chérie ? »

« Hubert je veux voir ta queue redevenir celle que j’ai connue au début quand je la trouvais petite »

« C’est facile, attendons, mais ne m’excite pas »

Amusée Mercédès regardait ma queue se ratatiner et regagner peu à peu son écrin de poils où elle aimait se cacher.

« Incroyable » me dit-elle « est ce possible de grossir de la sorte ; mais il va falloir partir, on se reverra ? »

« Demain, si tu veux, chez moi, à dix sept heure, cela te convient il ? »

« Demain ! oui, c’est d’accord, mais où ? »

« Chez moi, en ville »

Je lui donnais un petit bristol où était imprimé : mon prénom et l’adresse de ma garçonnière.

« J’aimerai que tu viennes en jupe avec des bas fantaisies et une petite culotte sexy ! »

« Je mettrais des portes jarretelles, je crois que tu aimeras ! »

Je me rhabillais Tandis qu’elle enfilait son slip, sa jupe et son corsage. Je la suivis jusqu’à l’entrée du parc où avait lieu le bal. Nous nous embrassèrent presque chastement pour ne pas attirer l’attention.

« Hubert, il me tarde d’être à demain, merci de m’avoir fait jouir comme jamais auparavant »

« Demain ce devrait être encore mieux ma chérie »

« Est ce possible ? »

« Tu m’inspires Mercédès, moi aussi, j’ai hâte d’être à demain »

Nous nous quittèrent à regret et en me dirigeant vers ma voiture je m’interrogeais, Mercédès ! Mercédès ! Qui es tu ? Pour avoir cette classe et cette sensualité hors norme.


Il faut vous expliquer comment tout cela était arrivé.

C’était dans une vaste enceinte campagnarde, champ d’une compétition de sport mécanique que j’aperçus ce qui pour moi est le canon de la beauté féminine. Je la vis d’abord de dos au milieu d’un groupe de personnes visiblement de sa famille. Il y avait des jeunes, des adultes, seuls ou en couples, des vieux. Elle tenait un grand gaillard par les épaules en le serrant de près. Par cette chaleur elle était vêtue d’un corsage de toile claire à manches courtes et d’un pantalon blanc d’un beau tissé légèrement translucide ne cachant rien d’une petite culotte s’agrippant désespérément au bas de ces fesses. Elle était magnifique, charnue, bronzée, une croupe, des cuisses, des jambes comme il est rare d’en voir, mon rêve en tout cas.

Je m’arrêtais à quelques distances noyé dans la foule mouvante qui cherchait les meilleures places sur le circuit. Quel cul ! Des fesses oblondes bronzées, des hanches divines dominant des jambes parfaites. Elle était coiffée avec des nattes tressées savamment arrangées sur sa tête. Elle semblait follement amoureuse de son homme, lui prenant la tête le forçant à la regarder, lui caressant la joue, tripotant ses cheveux, son menton ; elle le possédait se plaquant sur lui en riant d’un coup aux éclats, lui passant brusquement une main entre deux boutons de sa chemise. Lui paraissait extrêmement gêné essayait de la maintenir un peu à distance.

Mais quelle fille était ce donc ? Hystérique ou pucelle, putain ou allumeuse et lui était ce son mari, son amant, son copain, son cousin ? En observant ce groupe cela faisait penser à une famille de hobereaux, leurs vêtements paraissaient plus adaptés pour une réunion hippique qu’à une course de gros cubes. Je fis un petit détour pour voir son visage. Au premier regard je fus un peu déçu, le visage ne valait pas la croupe, les traits n’étaient pas très fins, deux grands yeux marrons fiévreux, un nez épais, une grande bouche avec des lèvres charnues, des dents magnifiques cependant, un menton volontaire, le cou avait fière allure. A mieux regarder l’ensemble était harmonieux, le type de la fille de bonne noblesse, sportive, écuyère, libérée sûrement.

Un mouvement de foule se fit à l’appel des hauts parleurs annonçant le début d’une manche, mouvement un peu anarchique provoqué par le vrombissement des mécaniques. Les spectateurs se massèrent au bord de la lice toute proche. Je m’arrangeais pour côtoyer la beauté et sa famille, il me fallut jouer des coudes pour arriver au bord de la piste le gaillard sur ma gauche la fille à ses côtés derrière moi, légèrement de profil tourné vers son mec. C’était son mari ou son amant cela ne faisait plus aucun doute, elle le gratifiait de petits bécots sur la bouche cherchant à introduire sa langue entre ses lèvres. Lui paraissait toujours embarrassé résistait à l’amante passionnée. Etait ce à cause de la présence de la famille ? Trouvait-il anachronique ces petits assauts amoureux en public à une époque où l’on peut baiser à couilles rabattues, à son aise et en toute tranquillité dans un lit moelleux ; était-il épuisé, lassé de caresses ? Etait-il simplement indifférent, impuissant, homosexuel ? Comment savoir ?

A chaque passage de la tête de la course nous nous penchions pour mieux voir et j’essayais petit à petit, discrètement de conforter ma position, avec mon bras gauche légèrement replié en arrière je sentais ses seins sous le fin corsage. Emoustillé je m’enhardis en ouvrant un peu mes jambes j’essayais en douce de m’approcher, de la frôler avec mon mollet, je sentis d’abord sa chaleur avant cette fois d’établir un contact furtif. Je profitais de la fièvre qui s’emparait de la foule à chaque passage pour garder le contact, mon mollet contre les siens. En me tournant légèrement c’est ma cuisse qui épousa l’arrière de la sienne. Rien ne pouvait révéler cet attouchement, nos bustes bien séparés mais en bas dans l’anonymat ma cuisse repliée épousait l’arrière des cuisses serrées de la belle qui ne se dérobait pas.

La foule était maintenant très dense et chacun voulant voir la course nous étions comprimés contre la lice ce qui n’était pas pour me déplaire j’en profitais pour remuer un peu, faisant varier la pression de nos rondeurs. Toujours aucune réaction hostile, ne pouvait-elle ignorer mon intention ? A un moment elle bougea changeant légèrement de position en se tournant davantage vers son ami mais est ce le hasard elle fut mieux à ma portée si j’ose dire, après avoir perdu le contact l’espace d’un instant dés qu’elle s’immobilisa à nouveau je me plaquais sur elle plus intimement encore.

Apparemment insensible à mes assauts elle continuait de poutougner son mâle plus axé lui sur la course que sur la gaudriole dans les derniers tours de cette première manche chacun voulant voir le quartette de champions qui menaient la course. Dans l’affolement général, dans la fièvre de cette fin de course je confortais ma position en m’insérant entre ses cuisses qu’elle ouvrit légèrement. Etait ce le signe, l’encouragement que j’attendais je posais ma main pendante sur sa hanche en épousant le haut de sa cuisse, c’était bon, pas de réaction avec mes doigts je caressais ce qui s’offrait à moi, explorant ces chaudes rondeurs à un moment je sentis son entrecuisse mais par devant et comme fou au lieu de me retirer, paume ouverte avec mes doigts je lui pressais sa moule serrant dans ma main les deux grosses lèvres de sa chatte.
C’est alors qu’elle hurla ......catastrophe ! ! Son cri ne pouvait passer pour un encouragement au vainqueur, la course était d’ailleurs terminée, les voisins, la famille, le mâle se tournaient vers elle interrogatifs, elle retournée me regardait, les gens me dévisageaient le regard déjà hostile. Par réflexe je lui souris en disant simplement Pardon mademoiselle, je vous prie de m’excuser comme si on pouvait excuser de se faire pincer la chatte en présence de sa famille, de son amant. Le silence me parut un siècle, son regard me brûlait, ses yeux dans les mien, elle me jaugeait, j’étais en suspend craignant l’orage qui allait se déchaîner contre moi..... et puis son visage se détendit et c’est en souriant que je l’entendis me dire

- Je vous pardonne mais vous m’avez écrasé l’orteil, c’était horrible....horrible

Tout l’entourage rassuré sourit à son tour, la belle avait évité l’esclandre et je sentis dans son regard un brin d’ironie, une petite mimique d’encouragement elle me dit - Pour vous faire pardonner, comme je suis légèrement plus petite que vous laissez moi s’il vous plaît votre place au bord de la barrière comme cela je serais à côté de mon chéri et vous derrière nous vous verrez très bien.

- Je suis d’accord et encore pardon mais nous sommes tellement nombreux et serrés !
Elle saisit très bien mon allusion et comme convenu elle prit ma place et je restais derrière elle. Elle était beaucoup mieux, elle pouvait voir les préparatifs de la deuxième manche et surtout elle fut plus à l’aise pour cajoler son mâle, pour l’heure elle lui frisait les poils de sa poitrine et voulut à tout prix qu’il lui prêta sa langue, il chercha à abréger le patin qu’elle lui roulait sans aucune pruderie montrant parfois sa langue agile entre ses lèvres. Ils étaient mieux et j’étais mieux elle devait le savoir car après m’être fait oublier un moment et alors que la deuxième manche battait son plein tenant l’assistance en haleine je n’eus qu’à m’avancer imperceptiblement pour me plaquer mais maintenant franchement, mon bas ventre écrasant sa croupe opulente. Premiers contacts fugaces pour voir, pressions variables pour manifester ma volonté, circonvolutions pour m’encastrer en elle. Je pris la lice de ma main droite mon bras à hauteur de ses hanches, puis sa taille. Elle semblait consentante, par moment elle m’abandonnait pour baiser son amant plus attentif aux bolides qu’à son bien, c’était ensuite pour mieux s’encastrer en moi, mon membre bandé, arqué sous mon pantalon de toile pressant ses fesses écartelées. Par instant, discrètement et furtivement ma main descendait sur sa hanche, l’attirant vers moi et puis remontant sur le côté prenant son sein par dessous pour le soupeser une fraction de seconde sur son corsage. Entre chaque course nous restions sur place car elle était excellente au dire du maniaque de la moto. Entre deux bécots elle lui dit :

- Je vais aller me changer, enfiler une robe pour le bal, tu viens ?

- Mais tu es bien comme ca, reste !

- Je suis en ébullition, je serais plus libre en jupette, dit ? Tu m’aimes bien en jupette ? Hein, non ? dit donc ingrat, hypocrite, tu la trouvais pourtant commode mon gros oursaillon !

Elle lui parlait tout bas mais je pouvais entendre, lui s’en rendait compte, il était rouge, gêné, puis trouvant une solution géniale.

- Ben tu y vas et tu nous rejoints

- Où ? Si la course est finie

- Tu me retrouve à la buvette près de l’orchestre

- Bon j’irai tout à l’heure au début de la dernière course

J’avais compris, elle allait s’en aller, s’isoler, partir seule pour se changer, chez elle ? Dans sa voiture ?
La course avait repris, dans un fracas de moteurs hurlants poussés au paroxysme de leur puissance, j’étais moi même à la limite de mon self contrôle. C’est elle qui me chercha, ses fesses se trémoussèrent et je me plaquais sur elle pour profiter de ses derniers instants. Dans la foule mouvante mes déhanchements se noyèrent dans la folie collective. Laissant de côté toute prudence ma main saisit sa taille, descendit rapidement sur sa hanche gracile, contourna la cuisse divine et s’encastra entre ses jambes, en remontant j’empaumais sa chatte, elle sursauta en serrant ses cuisses. Aux mouvements de sa croupe je sentis sa complicité. Mais il ne fallait pas tout gâcher en nous faisant remarquer. Après une dernière pression de mon bas ventre en feu sur sa croupe incendiaire je retirais ma main et cessais de me presser contre elle.

J’avais mon idée, était elle bonne ? Je quittais ma place en traversant l’épaisse ceinture de spectateurs, je me retirais pour ne pas montrer que je partais en même temps qu’elle, avait t’elle comprit ? Ne m’étais-je pas trompé sur elle ? Est ce que je ne lâchais pas la proie pour l’ombre ? Au bout d’un quart d’heure j’en étais persuadé, je m’étais mis un peu à l’écart observant le dos des spectateurs. J’étais triste, frustré quand je la vis émerger de la foule, elle regardait de droite et de gauche quand elle me vit elle sourit mais d’une mimique me fit comprendre de m’écarter et elle partit sans se retourner. Elle me repoussait, elle s’était fait peloter, c’est tout, c’était une allumeuse sans plus.

Pourtant son sourire était engageant, je la suivis, sa marche était royale ses hanches et ses fesses ondulant à chacun de ses pas. Elle s’engagea vers la sortie en direction des immenses parkings installés dans les champs aux alentours du domaine. Quand elle fut assez loin elle se retourna et sourit en m’apercevant, je courus alors et me jetais dans ses bras. Soudés l’un à l’autre nous nous embrassèrent avec une violence inouïe unis par toutes les pores de notre épiderme. Nous communiâmes ainsi de longues secondes nos langues mêlées.

- J’ai eu peur que tu ne comprennes pas mon petit stratagème

- Tu parlais bas mais tu savais que j’entendais

- J’espérais que tu comprendrais mais quand je t’ai vu partir j’ai eu peur

- Peur de quoi ?

- Peur de te perdre, de ne plus sentir ton corps tes mains sur moi, tu as mis le feu en moi

- Cela t’a plu, tu es belle, bien ronde, bien chaude. Mais ne restons pas là, je te suis, où vas tu ?

- A ma voiture garée au fin fond du parking

- Allons- y, je veux te donner ce que tu désires

- Quoi donc ?

- Je veux te faire plaisir, te faire jouir, te donner du bonheur

- Mais comment ?

- Tu le verras, je sens que nous sommes faits l’un pour l’autre, quand je te caressais j’ai senti ton émoi quand ma main a serré ta chatte

- Tu es quand même gonflé au milieu de tout ce monde

- Tu as aimé ?

- J’étais folle tu as du t’en rendre compte

- Tes fesses me l’ont dit

En parlant nous avancions vers le bout du champ, vers l’orée d’un petit bois

- On va vers la voiture de ton .....

- De mon quoi, c’est mon voisin, quel ballot avec ses motos, son sport ! Il ne pense qu’à ça

- Il t’a baisé déjà ?

- Forcément c’est mon voisin, mais ça n’a pas été le pied

- Pourquoi il est mal monté ?

- Ce n’est pas ça, ce n’est pas son truc, il jouit trop vite aussi, et toi ?

- Je te laisse la surprise, mais si tu es comme je le pense on ne devrait pas s’ennuyer

- Comme je le pense ?

- Je pense que tu es comme moi, une amoureuse, une amante, une maîtresse pleine de désirs inavoués, pleine de fantasmes inassouvis.

En lui parlant je l’enlaçais à nouveau en la caressant une main sur ses seins l’autre flattant sa croupe, je la ployais en l’embrassant mon bas ventre dans son entrecuisses entrouvert.

- Dépêchons nous dit elle en se dégageant Pour te répondre je vais à ma voiture, je suis venue seule et moi seule sait où je suis garée, cela te rassure ? D’ailleurs la voilà.

- Je te baise dans la voiture ou dans le petit bois lui dis-je crûment

- Dans la voiture nous serons mieux

- Mieux ce n’est pas sur, dans cette petite Fiat çà va être de l’acrobatie

- Mais non nigaud, pas la Fiat, ma voiture c’est la Mercédès blanche là au bout de l’allée près du bois, nous serons bien et tranquilles

- Tu t’es déjà fait monter là dedans ? lui dis-je

Elle ne me répondit pas mais m’ouvrit une portière à l’arrière elle me dit simplement

- Je t’appelle comment ? Ce sera plus pratique !

- Hubert, c’est mon prénom

- Et moi c’est Mercédès comme ma voiture

Elle monta à l’avant pour avancer les sièges au maximum. C’était une grosse voiture dernier modèle, c’était grand, c’était intime, cela sentait la voiture de femme. Je profitais d’être seul pour me préparer et lui faire une surprise, j’ôtais mon pantalon et mon slip et cachais ma nudité sous ma chemise.
Mercédès me rejoignit sur la banquette arrière, ses yeux brillaient d’envie, son nez légèrement pincé, elle aperçut le pantalon :

« - qu’est ce ? » murmura t’elle

« - c’est pour mieux te manger mon enfant » lui dis-je en mimant la voix du grand méchant loup. Nous rirent de bon cœur en nous jetant dans les bras l’un de l’autre, nos bouches s’unirent en un baiser qui devint rapidement passionné, nos langues se mêlèrent, s’enroulèrent, tous les deux étions saisis d’un désir violent, ma bouche plongea dans le cou de son amante qui sursauta de plaisir, c’était doux, c’était chaud, cela sentait bon. Mercédès sentit une caresse sur la pointe d’un de ses seins, elle gloussa quand une langue agile et pointue titilla le creux de son oreille :

« J’aimerai que tu me fasses l’amour, ici, maintenant»

« - çà te ferait plaisir Mercédès ? »

Son regard parlait pour elle

« - j’en ai une envie folle, l’amour en voiture, je mouille déjà »

« - Si tu savais comme moi aussi j’ai envie, je vais te faire jouir pour cela »

Mercédès s’arracha de mes bras et se mit à genoux dans la travée entre mes cuisses, sa main passa sous le pan de chemise qu’elle retroussa, sa main saisit la hampe de mon membre :
« - comment la trouves tu ? »
« - mignonne ! » dit- elle

Vous connaissez la suite. Vivement demain, chez moi, ce sera : Baiser Mercédès à paraître je l’espère si cela vous plaît !
30 vote(s)


Histoire de Pierre le Grand

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Baiser en Mercédès

Le 14/09/2009 - 04:30 par Pierre le Grand
Si cette histoire vous a plu, cliquez sur Auteurs, puis sur P comme Pierre le Grand, vous pourrez alors accéder à l'ensemble de mes histoire. En vous connectant vous pourrez faire un commentaire pour me guider pour la suite
Le 31/05/2009 - 23:24 par DARWI
hello ! je trouve que vous écrivez très bien ! mais pour l'instant cette histoire est ma préférée !vous êtes très "agréable" à lire ! c'était juste pour vous dire merci !

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :