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Baiser Mercédès 2

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Lue : 10080 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 06/04/2009

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Baiser Mercédès
Mercédès ! Merveilleuse Mercédès ! Elle était là, beauté personnifiée, sur le pas ensoleillé de ma porte, son regard planté dans le mien. Nous savions tous les deux ce que nous voulions, jouir ensemble en nous surprenant, en réalisant nos fantasmes les plus secrets.

J’avais enfin trouvé une partenaire à ma hauteur, celle qui comme moi, plus peut être, aimait l’amour et toutes ses adorables perversions. Je la trouvais encore plus belle que dans mon souvenir, elle était désirable dans sa tenue d’été qui moulait son corps et ses seins parfait. Je la fis donc entrer chez moi.

" Hubert, comment faisons nous ? Tu veux que... "

Elle ne put finir car leurs bouches s’unirent pour un baiser, ils attendaient cet instant depuis si longtemps et ils se donnèrent à fond. Un baiser, quel merveilleux prélude à l’amour, quand les souffles se mêlent, quand les regards se croisent, quand les langues s’enroulent, quand les ventres se pressent, s’épousent et que les mains s’égarent.

Mercédès appréciait ce baiser passionné, Hubert embrassait bien, c’était à la fois doux et violent. Qu’il est bon cet indispensable geste d’amour souvent oublié des amants impatients, c’est la plus douce des pénétrations, celle autorisée des amours débutants, mais pour les amants chevronnés c’est le début de l’extase, le moment où les corps se réveillent et s’enchevêtrent.

Mercédès s’offrit aux timides caresses d’Hubert, ce n’étaient que des effleurements presque chastes sur le tissus de sa jupe, une reconnaissance de ses formes, elle l’encouragea sans rien dire mais en allant au devant de ces mains si douces, si attentionnées, elle accentuait leur pression, leur présentait des endroits où peut être elles n’auraient pas osé aller. Il se laissa guider et bientôt elle ressentit les premiers émois, les premiers élancements. Hubert devenait plus coquin, plus habile et quand à son tour elle le caressa, leurs deux mains voisines entre leurs deux ventres soudés, la caresse se fit plus pressante.

Mercédès sentait les doigts qui s’agitaient en bonne place entre ses cuisses et brusquement le plaisir survint avec une violence inouïe, trop longtemps attendu il surgissait de son ventre et irradiait tout son corps, ses seins se durcirent et sa bouche devint plus gourmande. Ce fut un plaisir fulgurant, très bref, comme une vague déferlante qui naît de rien et se brise avec fureur sur la grève.
Ce fut Mercédès qui parla en premier :

" Eh bien ! sacré début mon cher, c’est comme cela que l’on fait plaisir à sa petite Mercédès ? J’ai les jambes en coton ? "

" Tu étais bien... ? Oui... ? Je suis content, je voudrais tant que tu sois bien avec moi, moi aussi j’étais bien, heureux surtout de te retrouver, je me disais : Viendra-t-elle ? "


Je la fis entrer dans ma chambre, l’éclairage était savamment tamisé, une musique douce stéréophonique emplissait la pièce d’une chaude intimité, chaque morceau choisi par mes soins pour inspirer la danse, l’amour et la volupté. J’avais dessiné tous les meubles, disposé tous les miroirs, réglé tous les spots lumineux.

" Tu as bon goût Hubert, on se sent bien ici ! On danse ? Dit-elle en m’enlaçant. "

Nous étions bien, la musique unissait nos corps qui se frôlaient avant de se presser l’un dans l’autre. Je sentais ses seins sur ma poitrine, ses cuisses s’insérer entres les miennes à chaque pas. C’est Mercédès qui eu l’idée de l’effeuillage :

" Nous enlevons un vêtement, chacun à tour de rôle, tu veux ? Oui ! Je commence par ma jupe. "

" D’accord mais c’est moi qui te l’enlève, après ce sera ton tour. "

Je m’agenouillais devant elle et lui dégrafais les petits crochets qui maintenaient sa jupe, je fis glisser le tissus sur ses hanches et je découvris ses cuisses gainées de bas noirs sexy fantaisie, soutenus par d’adorables rubans qui zébraient le haut de ses cuisses nues, un coquin porte jarretelle masquait en partie un cache-membre rétro rouge à gros pois noirs. Mais ce qui était époustouflant c’était le petit tablier blanc de soubrette ceint à la taille qui cachait un peu le devant mais sur l’arrière laissait s’épanouir la splendide paire de fesses moulée de rouge et de noir.

Comme je m’extasiais devant ce tableau érotique que j’avais souhaité, Mercédès me dit :

"Depuis hier soir j’ai failli ne rien trouver, je m’énervais en pensant à ta déception quand j’ai eu l’idée de fouiller dans les tiroirs et j’ai trouvé cela ! "

" Tu as bien fait de prendre les affaires de votre bonne car avec la tenue d’infirmière c’est ce qui m’excite, de plus, elle à l’air bien foutue la môme... "

" Mais non Hubert ce sont des dessous à ma mère que j’ai trouvés au fond d’un de ses tiroirs... "

" Pardon Mercédès, ce n’est pas grave, ta mère est ou à été une bonne ! "

Elle éclata d’un rire qu’elle eu du mal à réfréner.

" Maman une bonne ! Maman une bonne ! Oui elle est bonne ! "

Je n’insistais pas mais je pensais que si la maman n’avait pas été bonniche, c’est qu’elle devait avoir des petits fantasmes ou que son mari et ses amants, si elle en avait, devaient comme moi aimer les amours ancillaires. Mercédès souhaita me déculotter, ce qu’elle fit prestement en me laissant en slip. Tout en dansant je lui quittais son corsage dénudant ses seins. Les miroirs aux murs nous renvoyaient notre image, mes fesses apparurent ainsi que ma verge en pleine forme quand elle baissa mon slip.

" Ah Hubert, quelle bite ! "

Elle s’agenouilla devant un miroir et cela l’excita de se voir prendre en main ce phallus désiré et de le porter à sa bouche. Quelle science, quel progrès depuis la veille, sûre d’elle même, sûre du plaisir qu’elle me donnait elle se déchaîna sur mon chibre. Après avoir fait virevolter sa langue autour de mon gland décalotté, elle me prit en bouche, à la limite de l’étouffement. Quand elle la déglutit, ma verge était brillante, enduite de salive argentée.

Il lui fut facile d’aller et venir, à petits coups rapides, ses lèvres serrées autour de ma hampe. Puis elle me masturba en me branlant d’une main alors que l’autre flattait mes couilles par-dessous, j’étais dans un état second mon regard fixé sur mon reflet dans le miroir tout proche, sur ma verge qu’elle décalottait avant de cacher mon gland sous le manteau de l’enfance comme le dit si bien Cabrel, le poète. Cela dura et ce fut délicieux rien à voir avec la sensation pourtant forte que l’on a quand on cherche le plaisir solitaire. Quand elle me retourna, une main par devant qui m’astiquait et l’autre passée par derrière entre mes cuisses je crus que j’allais jouir entre ses mains réunies sur moi et je fis un effort pour me libérer.

" Merci Mercédès, je vais moi aussi te faire plaisir en te caressant avec mes doigts, avec ma bouche, avec mes lèvres, ma langue est impatiente de trouver ta chatte pour la première fois elle va te rendre le plaisir que tu viens de m’offrir. "

Tremblante d’émotion elle se redressa et se plaqua sur moi, je l’écartais un peu le temps de faire glisser sa culotte dénudant petit à petit son opulente croupe. Je lui laissais son petit tablier de bonne qui m’excitait au possible. Elle écarta les cuisses et je m’avançais contre elle, nos ventres soudés, mon membre dans la raie de son cul, j’étais envoûté par l’image que me renvoyait le miroir, celle de mon gland et d’une partie de ma hampe émergeant à l’arrière entre ses deux fesses divines qui la broyaient. En serrant sa taille je la ployais et en la soulevant je l’allongeais confortablement sur le dos dans une sorte de siège capitonné avec des accoudoirs spéciaux qui maintenaient écartées les jambes relevées à bonne hauteur.

Il faut faire ici un petit aparté, mon imagination fertile a inventé et réalisé comment dire des "commodités " pour faire l’amour à l’attention des femmes qui, attirées par mon sexe-appeal viennent chez moi pour s’envoyer en l’air. Je n’invite ici que les plus chaudes, celles qui aiment vraiment les perversions du cul, elles sont assez rares. Les suggestions des plus fougueuses m’ont permis d’améliorer ce matériel et le rendre indispensable aux plus exigeantes.

Je m’agenouillais donc dans le compas ouvert de ses jambes, ma bouche idéalement placée à la hauteur de son minou offert, écartelé au fond de la raie de son petit cul mignon. Je l’attaquais à petits coups de langue, m’insérant entre ses lèvres. La langue durcie je fouaillais sa chatte m’attardant à hauteur du clitoris qui commençait à poindre dans l’écrin des petites lèvres violacées. L’enveloppant d’attentions particulières je pus bientôt le titiller avec ma bouche, les lèvres serrées sur lui.

Bien calé à l’intérieur de ses cuisses gainées de noir j’inspectais avec ma langue l’ensemble de cette vallée luxuriante allant du pubis en passant par le clito, m’insérant entre les grosses lèvres de sa chatte, léchant la partie sensible menant à l’anus. Ce dernier, petit orifice mauve et froncé étrangement fermé en un point. Comment imaginer qu’il puisse se déchaîner se transformant en volcan mangeur d’énorme bite comme la mienne. Son heure viendrait, pour le moment je me contentais de le lécher à pleine langue, puis de le forcer la langue en pointe pour commencer à l’amadouer.

De temps en temps je relevais ma tête pour admirer Mercédès, je la regardais, elle me souriait complice et je replongeais en haut de ses cuisses nues. Le minou de mon amante était légèrement velu, poilu comme un doux velours. J’embouchais le bouton en ouvrant grande ma bouche et j’introduisis ma langue musculeuse dans son vagin, elle se mit à jouir presque immédiatement, ses plaintes ponctuant mes introspections. Passant mes bras sous ses cuisses je lui pris les deux seins que je pelotais, titillant ses deux tétons durcis à la cadence de ma langue.

La jouissance devint orgasme, un orgasme puissant et dévastateur, j’eus du mal à suivre sa chatte en furie mais je restais planté en elle jusqu’à ce qu’elle retrouve le calme. J’aidais Mercédès à se relever, je l’étreignais, les miroirs nous renvoyaient notre image multipliée, sous tous les angles, moi nu avec une formidable érection, Mercédès adorablement parée de ses bas noirs moulant ses jambes parfaites et sustentés par son porte jarretelle mutin. En la serrant contre moi le dard passé sous son petit tablier de bonne je lui écartais ses fesses divines.

" Nous sommes mieux que dans la voiture, c’est chouette tes petits meubles spéciaux, confortablement installé on n’a que le souci de bien jouir. "

" Et tu n’as pas tout vu, je vais si tu veux te fourrer la chatte... "

" Oh oui Hubert, ma chatte et mon anus, c’est bon par les deux trous... "

" Installe-toi ici " dis je en lui montrant un deuxième siège spécial. Elle put s’agenouiller à quatre pattes cette fois jambes écartées et en se penchant elle put reposer ses bras et sa tête sur des accoudoirs en velours prévus à cet usage. Dans cette position les seins libres pendaient allongeant leurs pointes tandis que les hanches et la croupe prenaient leur volume maximum. La taille était creusée, les fesses ouvertes.

" Mercédès, tu vas pouvoir participer davantage car en plus des sensations que tu vas ressentir quand je te fourrerais la chatte ou quand je te défoncerais le cul tu vas tout voir comme si tu avais le nez dessus... "

En disant cela je mis en route le système que j’avais mis au point. Un grand écran s’illumina, on pouvait l’observer quelle que soit la direction de nos regards. Apparut alors une croupe fendue révélant à nos yeux une vallée profonde bien dégagée. Mercédès ne compris pas tout de suite que cette projection en couleurs naturelles, ce spectacle pornographique, c’était son image. Elle réagit cependant en reconnaissant sa parure :

" Ce n’est pas possible, c’est moi, ce ventre, cette chatte humide ! "

" Oui c’est toi, aussi là, et puis là et là aussi ! "

En disant cela j’actionnais des boutons placés devant moi et aussi devant elle. Cela commandait de nombreuses mini caméras donnant notre image sous tous les angles avec en plus la possibilité de zoomer ou au contraire d’avoir une vue plus large. J’entrais dans l’écran sur son arrière, on vit mon membre dressé, décalotté, gorgé de sang. J’actionnais la caméra filmant par dessous, ma verge apparut à la porte de sa chatte entrebâillée

" Ahhh Hubert ! c'est fou ! Je vais voir ton membre s’enfoncer dans ma chatte ? "

" Oui, mon membre en toi enfoncé jusqu’aux couilles, il va te pistonner, tu vas le sentir, tu vas le voir, tiens regarde mon gland, tu le vois s’approcher, tu le vois qui s’introduit dans ta moule velue, tes grosses lèvres qui s’écartent... Tu les vois ? "

" Oui je vois tout, je sens tout, ahhh, c’est bon, c’est jouissif, tu es le diable chéri ! "

Le tableau était fantastique, j’étais payé de mon imagination, de mes efforts, c’est un vrai porno qui défilait sur l’écran. Mercédès eut vite compris qu’elle pouvait participer aux changements de caméra et à leur réglage. Elle resta un moment sur son visage tourmenté, sa bouche ouverte émettait des cris et des plaintes.

Le membre s’ébranlait maintenant de près de la moitié de sa longueur, le gland pourtant énorme paraissait petit vu la grosseur du membre qui arrondissait le muscle annulaire de la chatte en un doux collier. Les seins battaient la chamade sous mes assauts, les lobes durcis, les bouts bien formés.

C’est une chose de baiser un beau cul mais quand en plus on se voit s’enfiler, le spectacle s’ajoute aux sensations. Mercédès et moi étions acteurs et spectateurs de nos effusions, nos regards fascinés brûlaient l’écran et nous rendaient plus imaginatifs encore s’il en était besoin. De profil, bien centré sur mon amante, les mains bien agrippées à sa taille je m’activais, ventre dur, fesses serrées, je limais consciencieusement la verge dans sa craquette. Un zoom par la caméra du dessous révélait l’introduction complète de ma verge, les couilles durcies vibrant quand mon ventre frappait sa croupe, ses fesses s’animant de vibrations synchrones.

Mercédès les yeux exorbités en pleine pâmoison dévorait l’écran où sa chatte écartelée honorait l’énorme phallus emmanché. En plein orgasme elle hurlait de jouissance devant l’implacable assaut qui la défonçait, j’en variais la cadence et l’amplitude. Les cris devenaient hurlements lorsqu’après être resté au bord de sa chatte, entre ses lèvres je l’enfilais à fond d’une poussée brutale, sa chatte froufroutait alors sous la poussée de l’air éjecté. Je continuais de la servir quand elle se calmait et l’orgasme revenait de plus en plus puissant.

La croupe s’animait alors de circonvolutions ou d’avancées brutales venant à la rencontre de mon ventre, je lui écartais les fesses pour aller plus loin en elle. A un moment de calme, je l’abandonnais laissant son con ouvert et vide. Nous pûmes alors voir l’énormité de mon membre et des testicules devant la chatte béante.

" Hubert... Chéri... Ne me laisse pas... J'ai besoin de jouir encore et encore... Je t’en prie... Continue... "

Je n’avais nulle envie de la laisser sur sa faim. Nous nous offrirent alors le spectacle le plus effrayant que l’on puisse voir. A l’aide d’un petit bouton je baissais le siège du petit parcours qui sépare le vagin de l’anus de mon amante et me centrant sur ce dernier, d’une grande poussée je m’engloutis en elle. Après un petit cri de surprise son orgasme reprit immédiatement et je la fis hurler ainsi une bonne heure d’horloge, mon bassin animé comme un pendule, mon ventre dur et musclé martelant ses fesses écartelées.

Mercédès se serait écroulée si elle n’avait été si confortablement installée. La caméra scrutait sans indulgence l’image de son cul ravagé par la grosseur de mon pénis. Quand ce dernier sortait de son écrin on pouvait voir le derrière complètement dilaté grand ouvert sur une entrée rose.

Loin d’être fini la séance continua sur un autre meuble plus confortable pour moi car je m’y allongeais sur le dos et c’est maintenant Mercédès qui m’honora de sa visite en s’empalant sur ma virilité dressée, d’abord face à moi dans sa chatte d’abord puis en s’avançant dans son cul. Mes mains passées derrière elle écartaient ses fesses pour dégager le champ de la caméra. Je participais en levant mon bassin en cadence. Mercédès élastique sur ses genoux tressautait sur ma bite avec un plaisir évident.

Après deux ou trois spasmes elle se désengageât pour me reprendre en me tournant le dos cette fois. J’eus alors le spectacle de la danse lascive de sa croupe fendue au rythme de la musique syncopée qui n’avait pas cessée depuis le début de nos ébats.

Epuisée sans doute Mercédès se retira de moi, nous nous relevèrent pour nous embrasser lovés l’un dans l’autre avec des petits gestes amoureux, ma main sur ses seins la sienne sur mes génitoires et ma verge. Elle retira sa langue de ma bouche pour me dire :

" Il faut que je parle Hubert chéri, je n’ai jamais tant joui, ma chatte grâce à toi n’a jamais été à pareille fête... Quel bonheur tu as su me donner... Je t’aime ! "

Cette confidence qui lui échappait enfin me bouleversa plus que de raison, un sentiment inconnu m’envahit, sentiment que je n’avais jamais éprouvé au cours de mes nombreuses séances de baises avec d’autres poules. Je vous l'ai dit au début, la beauté de Mercédès correspondait à mes goûts, maintenant son ardeur à faire l’amour, sa gentillesse, notre connivence, l’intimité de son corps me faisait fondre... Je me ressaisis en pensant :

" Aller Hubert ! Réagis ! Tu vieillis mon bonhomme ! "

" Hubert je ne peux partir vêtu comme une bonniche, cela ferait drôle là où l’on m’attend ! "

" Et bien quitte tes bas et ta parure je les garderais en souvenirs pour quand tu reviendras... Tu reviendras dit moi ? Tu l’espères ! Moi aussi ! Laisse moi aussi ton petit tablier. L’odeur de tes dessous me rappellera les moments exquis que nous venons de passer ensemble. "

" Merci... "

Gracieusement elle roula ses bas sur ses jambes, dégrafa son petit porte jarretelles, elle enfila sa jupe et son corsage

" Je ne peux pourtant pas partir sans culotte ? "

" Pourquoi ? Toi seule le saura, c’est bon de penser que dans la foule on se promène le cul et la chatte nus, tu crois que les gens le devinent mais pour eux il n’y a rien d’anormal ! Mais si tu veux je peux te prêter un de mes slips de soie ? "

" Non tu as raison je pars comme çà ! "

Sur le seuil de la porte nous nous sommes dit au revoir, j’étais toujours nu, je la pris et la serrais dans mes bras en l’embrassant sauvagement, je ne pus résister, je la retroussais et m’insérais entre ses cuisses nues, je la baisais debout, elle se mit à jouir, la situation semblait l’exciter au plus haut point, d’un coup sa chatte se resserrât très fortement sur mon membre et elle se trémoussa si fort que je me mis à jouir moi aussi et c’est en gueulant que j’éclatais en elle la remplissant de foutre.

Sa chatte lubrifiée s’amadoua et me serra moins, je pus refouler mon sperme au plus profond de son être. Tout alla vite ensuite, elle se dégageât, m’embrassa tendrement sur la bouche et sortit. Je la regardais s’éloigner au travers de la porte entrouverte et bien moi qui le savais je vis bien qu’elle était nue sous sa jupe par la libre ondulation de ses fesses.

J’étais très content de moi et d’elle, quelle amante ! Quelle maîtresse elle allait être, nous semblions faits l’un pour l’autre, le même feu nous rapprochait, le même désir de jouir. Je me douchais, me parfumais et j’enfilais une robe de chambre quand le carillon de la porte d’entrée tinta. Était-ce Mercédès ? Avait elle oublié quelque chose ?

J’ouvris la porte et me trouvais en présence d’une femme de belle allure, la quarantaine, assez grande, bien mise, enveloppée mais pas trop, épanouie serait plus juste. Comme je n’étais pas en tenue décente, j’entrebâillais la porte et regardais la femme d’un air interrogateur.

" Monsieur j’ai quelque chose de grave à vous dire, puis je entrer quelques instants ? "

J’obtempérais : " C’est que je ne suis guère en tenue de réception !" lui dis-je

" Ce n’est rien, je n’en ai pas pour longtemps. "

Elle cherchait ses mots ne sachant pas comment engager la conversation :

" Monsieur ! Je suis la mère d’Agnès ! "

Devant mon air étonné elle me dit :

" Allons monsieur, je sais tout, j’ai vu ma fille entrer ici voila près de trois heures, elle vient de ressortir, je l’ai vue, j’attendais tout ce temps, je ne sais... Ou plutôt si j’imagine maintenant le contenu de vos relations, elles doivent cesser immédiatement. "

En disant cela elle avait ponctué avec force le dernier mot.

" Cela nous regarde madame. "

Je ne lui dis pas que je connaissais sa fille sous le pseudonyme de Mercédès.

" Oui et cela me regarde également, savez vous qui je suis monsieur ? "

" Oui, une mère en colère. "

" Non monsieur je suis la Comtesse de Rouetz et ma fille, Agnès d’Uzus, est comtesse également, notre sang est bleu monsieur, il est pur, sans tache, aucune mésalliance depuis le grand Louis XIV, et ma fille comme une chienne semble prendre du plaisir aux plaisirs ancillaires avec la valetaille.

Chez nous monsieur, c’est bon pour les mâles, dans nos traditions ils font des bâtards mais les filles se gardent monsieur sinon on les enferme en ne laissant à proximité que des chiens de race »

J’étais abasourdi, Mercédès ? Agnès d’Uzus ! Je venais de baiser une Comtesse véritable.

" Madame la Comtesse calmez-vous et écoutez-moi, je comprends vos raisons mais j’aimerais revoir votre fille, elle baise rudement bien et je l’ai servi royalement. "

" Monsieur vous dépassez les bornes, puisqu’il en est ainsi je vais prendre d’autres dispositions. "

Sur ce elle allait sortir mais je la retins.

" Attendez Comtesse ! Entrez dans ce boudoir et regardez ceci. "

Je lui mis sous le nez la parure noire et rouge que venait de quitter Mercédès.

" Sentez Comtesse, ces dessous de soubrette ont l’odeur de votre fille, sublime d’ailleurs, ils viennent de participer à une fête de l’amour, j’ai baisé une bonniche, ne confondez pas chère Comtesse. "

Je commençais à m’amuser, la Comtesse était troublée, émue, je poursuivais mon avantage.

" La fille s’appelle Mercédès et non Agnès, pour participer à notre partie de jambes en l’air elle a piqué ses frusques coquines dans un tiroir de la commode de sa mère. Est-ce vous ? "

" Je suis sa mère, ce n’est pas Mercédès mais Agnès, Agnès Comtesse d’Uzus je vous en fais le serment. "

Elle était désemparée, j’en profitais en la prenant par les épaules et en l’attirant vers moi

" Mais alors ces dessous sont les vôtres ? Comment comprendre ? Vous qui donnez des leçons.

Sa veste s’ouvrit et je la pris par la taille.

" Bas les pattes manant ! " Dit-elle en se dégageant avec force.

Sous sa poussée mon peignoir s’ouvrit et avant que j’ai eu le temps de le réajuster son regard me transperça attiré par la grosseur de mon membre mis à jour. Je sentis nettement un tremblement des traits de la Comtesse et je la poursuivis l’attirant vers un traquenard dont j’espérais pouvoir tirer parti. La Comtesse s’était ressaisie.

" Ces dessous vous les portez pour quoi ? Pour qui ?

Je l’avais saisie aux poignets, je l’enlaçais et me plaquais sur elle.

" Je devine ! Pour les sangs bleus des alentours, les barons, les comtes, les ducs qui te baisent en levrette. "

" Non ! Non, je vous en prie ! "

Je l’embrassais dans le cou, pétrissant ses seins que je sentais lourds sous le corsage

" Pas pour les laquais, les jardiniers, les chauffeurs j’espère ! "

" Non, non pitié ! je défaille ! laissez moi ! "

Je m’étais collé sur elle et lui pétrissais la croupe sous sa jupe soyeuse.

" Pour le comte alors, pour le comte ! C'est cela hein ! Putain ! Il te baise comme une boniche, un jour la comtesse dans le lit à baldaquin en pyjama et toi en nuisette sous les draps et dans le noir, le lendemain le cul nu, les cuisses gainées de noir entre deux portes, à l’office ou dans la cave ! "

Elle était tremblante dans mes bras, à bout de force, ce devait être une drôle de bandeuse, en la serrant de près sa main en un mouvement malencontreux s’insérât sous ma robe de chambre et toucha mon dard, sa main se referma sur lui puis soupesa mes couilles, cela très rapidement, elle sorti sa main comme horrifiée . Je la tenais, j’allais me farcir la comtesse, je le devinais, je le sentais.

" C’est cela ? Le comte baise-t-il bien ? Cela l’excite le cul des boniches ! "

Elle pleura d’un coup.

" C’est cela, c’est malheureusement vrai, il n’est pas très puissant, il a besoin d’expédients pour s’exciter. "

" Et toi ? Jouis-tu quand il t’emmanche ? "

" Oh moi ! Peu importe... "

" Et bien moi, cela ne m’est pas égal je veux te faire jouir, tu as vu ma verge, je le sais, tu l’as caressée même, tu as senti la puissance de mes couilles, je te veux ! en soubrette, cela m’excite aussi une comtesse en bonne, je te laisse habille toi ! J’arrive dans cinq minutes. "

Quand je revins elle ne s’était pas enfuie , elle finissait d’enfiler son slip rouge et noir, elle se redressa me faisant face, je me présentais le membre dressé, elle se jeta dans mes bras, m’embrassa avec fougue puis se mit à genoux devant moi, elle prit ma verge d’une main, mes couilles de l’autre, elle décalotta mon gland et se mit à me faire une fellation dont je me souviendrais toute ma vie.

Elle m’entraîna à m’asseoir puis à m’allonger sur la moquette mon dard planté dans sa bouche, je me mis en bonne place et déclenchais la vidéo. Sur l’écran sa bouche me dévora et la comtesse fut la première à me gober entièrement, penchée sur moi elle semblait prendre son élan, faisait quelques tentatives en absorbant la moitié de ma hampe puis en une descente vertigineuse elle s’empalait la bouche jusqu’au ventre. Ces caresses délicates me firent l’effet le plus sensationnel de ma carrière de baiseur et je dus pour ne pas éclater dans sa bouche me retirer et battre en retraite.

Je la déculottais rapidement en l’allongeant contre moi et je lui ouvris les cuisses. Face à la caméra, dégageant la sombre vallée de ses fesses je découvris son trou tapissé d’une épaisse toison manifestement entretenue, bouclée et taillée avec soin. C’est dans cet écrin soyeux que sous les regards médusés de la comtesse scrutant l’écran que je plaçais mon énorme phallus. Couché sur son arrière je m’approchais et je me vautrais dans ce canyon luxuriant, mon gland faisant des aller et retours de la commissure des fesses jusqu’au ventre.

Il fallut un bon moment avant que la comtesse se dégèle. Elle suivait tout du spectacle de mon gland passant sans s’arrêter sur l’anus et dans les lèvres de sa chatte, j’accentuais la pression et parfois mon nœud s’enfonçait profondément à l’entrée du méat, les longs mouvements devinrent des titillements rapides sur sa vulve. La comtesse commença à gémir, je la caressais en l’embrassant dans le cou, en mordillant le lobe d’une oreille, je pétrissais ses deux seins opulents, flattais la taille et les hanches, effleurais d’un doigt un clitoris très rond tandis que mon gland s’envasais entre ses fesses.

La comtesse était à bout, je n’eus pas la cruauté de la faire attendre plus longtemps, je la renversais sur le dos lui remontant les fesses, les jambes relevées en appui sur mes épaules, les cuisses écartées, la chatte offerte. Je guidais mon gland à la porte du bonheur et je lui défonçais la vulve d’une avancée inexorable. L’orgasme se déclencha immédiatement et dura une éternité, s’accélérant sous les coups de boutoirs de mon bassin. Elle jouissait toujours quand je la retournais à genoux sur la moquette

" Ah comtesse ! Prête moi tes grosses fesses, je vais t’enculer ! Tu verras comme c’est bon, je vais faire comme si tu étais une bonniche... Bien Mélanie tu es gentille avec le Baron, écarte tes miches... Oui comme çà ! Tu sens mon gland sur ton anus... Allez détends toi ! N’est pas peur ce n’est encore que mon doigt ! Oui pousse... Bien je me retire...

Maintenant c’est ma bite ! Ahhhh c’est bon le cul d’une boniche ! Tu ne diras rien à madame surtout sinon je te fouetterais les fesses... Tu auras un petit billet pour acheter des bonbons si tu te laisse bien faire... Tu vas voir comme c’est bon... Voilà, je t’emmanche ! Elle est grosse hein ?! Tu te trémousses ! Tu as l’air d’aimer çà ! Si tu voyais ton cul arrondi sur moi ! comme c’est jouissif !

J’ai l’impression que tu n’es pas vierge de se côté... Je suis bien... A l’aise dans ton cul ! Ahhhhhh je jouis ! Ahh j’éjacule, je te remplis de foutre, çà coulisse mieux maintenant ! Mais dit donc coquine tu me dévores entièrement, tu me manges, tu me serres ! Ohhhhhfff !!! Je jouis encore ! Salope, putain, tu veux m’épuiser, me tarir, me sécher, tiens ! Tiens ! Prends çà ! "

En disant toutes ces âneries je la servais implacablement, elle prenait de la bite aussi bien que sa fille mais son orgasme était moins discret, elle vociférait des phrases incompréhensives et finalement épuisée par tant de plaisir elle s’écroula en se tordant sur le tapis. Je la repris de face et me plaquais sur elle le membre dans sa chatte, elle eut quelques spasmes et perdit complètement les pédales, je la fourrais férocement jusqu’à ce que contre toute attente pantelante, épuisée elle ne s’endorme dans mes bras.

Elle reprit conscience lentement, dehors il faisait nuit noire. Brusquement elle se dressa effrayée

" Où suis je ? Ah oui chez toi, mon amant ! Quelle heure est il ? "

" Peu importe comtesse. "

" Appelle-moi Gertrude. "

" Nous sommes bien ! Reste ! Je vais te faire jouir jusqu’au matin ! "

" Non c’est impossible, c’est impossible ! "

" Si ! Profite ! Pense à toi pour une fois ! Préviens le château ! "

Gertrude se leva, je l’entendis téléphoner plusieurs fois puis elle revint les yeux brillants.

" Je reste j’ai arrangé le coup... Je suis chez la Marquise du Blandon, elle est prévenue, elle a eu l’air étonné, curieuse même, mais je peux compter sur elle, c’est une amie. "

" La nuit est à nous alors ! Gertrude ! Ma comtesse ! Nous allons jouir jusqu’à l’aube ! "

" Qu’allons nous faire, tu as déjà assouvi la plupart de mes fantasmes. "

" Lesquels ? "

" Celui de ta grosse queue que j’ai pu sucer et que tu m’as fourré dans ma chatte et dans mon cul. Tu m’as fait découvrir la jouissance que j’ignorais jusqu’alors, c’est beaucoup déjà ! "

" Comment as tu pu tenir ainsi les plus belles années de ta vie, te contenter du baron insipide, ne pas le tromper jusqu’à aujourd’hui ? "

" Oui c’est mon premier faux pas, je n’ai pu tenir quand j’ai aperçu la grosseur de ton membre, quand j’ai senti dans ma main sa vigueur, j’ai su que j’allais succomber car au plus profond de mon refoulement j’ai toujours rêvé d’un énorme braquemart comme le tien qui me ferait hurler en fouaillant mon ventre. Le fantasme du gros membre si tu savais comme j’ai rêvé en sucer un de ton calibre. Dans mes rêves les plus fous j’ai fait mille brouillons en me tortillant dans mon lit... "

" Tu veux dire que tu n’avais jamais fait de fellation à un homme avant moi ? "

" Non jamais ! "

" Et bien bravo ! Sans te flatter j’ai connu un grand nombre de bouches gourmandes plus ou moins avides de mon dard, tu comptes parmi celles qui m’ont mis le plus en émoi, j’ai cru à un moment que j’allais éclater entre tes lèvres. "

" Ohhh ! Il le fallait, il fallait m’inonder la bouche, me souiller les seins, me forcer à lécher ton chibre maculé de foutre. Je ne te l’ai pas dit tout à l’heure mais mon désir suprême c’est de faire jouir un homme de pouvoir l’observer en le suçant, lire dans ses yeux le plaisir que je lui donne... "

" Et la sodomie Gertrude ? As-tu aimé ? "

" J’adore ! Mais là je te dois une confidence je l’ai auto-pratiquée dès ma plus tendre enfance, avec mes doigts en me masturbant puis j’ose à peine le dire... Avec des objets. "

" Quels objets ?... "

" Ce qui se trouvait ! Des légumes on en trouve partout... De plus en plus gros, de plus en plus longs. "

" Oui j’ai constaté que tu n’étais plus vierge de ce côté, par contre tu as une chatte plus étroite que Mercédès... Non pardon, de ta fille Agnès. "

" Ne me parle pas de ma fille, j’ai trop honte, si elle savait ! "

" Allons calmes toi, tu es belle, tes fantasmes t’ont maintenu à un bon niveau de baiseuse, crois en mon expérience, je te promets du plaisir si tu mets de côté la fidélité que tu as respectée jusque là. Mais que penses-tu de mon installation ? "

" Au début j’osais à peine regarder mais j’avoue que j’ai certainement joui encore plus de voir et de te sentir t’enfoncer dans ma chatte, de voir ton gros membre inspecter mon entrecuisses m’a rendue folle, je crois que.... »

Pour couper cours à nos discours, je l’enlaçais et nous nous étreignirent dans un long baiser.

" Gertrude as tu déjà fait du théâtre ? "

" Ah oui cela, souvent ! Pourquoi ? Que vas-tu encore inventer ? "

" Si tu voulais nous pourrions jouer la comédie en faisant l’amour, il y a deux scénarios possibles, même plus, tu serais comtesse et moi un serviteur fidèle et dévoué à ta personne et qui se plierait à tes fantasmes et qui en échange ne récolterai que mépris de ta part ou bien à contrario c’est toi qui serait ma femme de chambre mais au lieu d’être un baron à queue triste, je te pourfendrais par tous les trous de ton anatomie, qu’en penses tu ? "

" Quelle merveilleuse idée, je voudrais être soubrette, c’était mes rôles, mais toi tu ne serais pas baron, j’en ai ma claque du baron, çà me rappellerait le château, tu serais du... Allons ne mégotons pas tu serais marquis ! "

" Marquis comment ? "

" Marquis... Le marquis de Carabas ! "

" Très bien et toi tu seras Rose ou Colombe ! "

" Non, non si tu veux je serai moi-même, la bonne Gertrude ! "

" Et bien d’accord nous allons improviser, habillons nous pour avoir le plaisir de nous dénuder ! "

Quelle femme cette Gertrude, qui venait me mettre en demeure de laisser sa fille et qui s’avérait avoir un caractère de gourgandine, je sentais qu’avec un tel tempérament nous allons pouvoir aller assez loin dans nos jeux. Nous étions habillés et je la priais d’aller à l’office. Je la suivis à peu de distance et lorsque j’entrais elle joua parfaitement son jeu.

" Ah monsieur le marquis, votre place n’est pas ici au milieu de la vaisselle et des légumes. "

" Mais Gertrude j’ai tous les droits ici ! "

Dis-je en en m’approchant, je lui pinçais la taille et m’avançais pour lui baiser la bouche.

" Monsieur le Marquis ! Si madame la marquise nous voyait !

" Elle est à cent lieues... "

Et déjà je l’enlaçais, l’embrassant fougueusement, je me plaquais sur elle la coinçant le long d’une déserte, je l’embrassais dans le cou une main caressant ses seins et l’autre sur son opulente croupe

" A ma petite Gertrude, c’est bon, c’est frais, c’est sain, c’est ferme tout cela, tu m’appartiens, tu es ma chose, j’ai des droits sur toi, de père en fils nous avons fait jouir toute la lignée de tes aïeules, tu es belle Gertrude... Allez tourne toi... Penches-toi... Je te retrousse... Ah quel beau cul ! Mais tu as des dessous de reine, aller je baisse ta culotte, bien... Ecarte-toi un peu que je te mouille, je m’enlise dans ta chatte, mais tu es toute trempée... Vite sors moi la bite ! "

Gertrude la main en arrière s’activa sur ma braguette et experte eut tôt fait de sortir l’objet de son écrin :

" Monsieur le marquis me semble bien équipé, je défaille à la pensée de... Ahhhhh, j’ai déjà la chatte pleine, quel membre ! Jamais je n’aurais pensé avoir le privilège de votre queue dans ma cramouille , c’est trop bon , je jouis ahhhh oui encore ! Plus fort plus vite, bien à fond ! Ahhh je la sens bien ! Votre pine royale ! "

Je la servais un bon moment et la fis jouir plusieurs fois, puis pour changer je me pointais à l’étage au dessus.

" Ahhh monsieur le marquis quel honneur pour moi de vous recevoir entre mes fesses, dans mon cul ! "

" Mais je suis déjà dedans, tu l’as déjà à moitié enfoncé dans ton anus joli ma belle, je rentre à fond maintenant, penche toi bien ! Tu la sens ? "

" Si je la sens, ah oui vous me remplissez, c’est bon, c’est même mieux que dans ma chatte ! Ahhhhh je jouis, je jouis du cul Ahhhh ! "

" Si tu as bien joui, tourne toi ! Assis toi sur la table... Bien... les pieds sur le banc... Ecarte tes cuisses... Renverse toi en arrière ! "

" Qu’allez vous me faire, je tremble... "

" Je vais te sucer ma belle, te sucer la raie du cul, aller allonge toi ! "

" Mais monsieur le Marquis, le légumier me gêne ! "

" Pousse le... Tiens tiens les jolis légumes... "

" Mais que faite vous avec cette carotte... ? "

" Tu le vois bien gourgandine, je te suce la chatte et je t’encules avec la carotte, j’ai pris la plus grosse ! "

" Monsieur le marquis sauf votre respect pour mon cul je préfère votre grosse bite, c’est plus gros, c’est plus chaud et c’est plus souple... Ahhh merci, merci ahhh je joui, c’est bon »

Debout entre ses cuisses je lui avais soulevé les fesses pour l’enculer bien à fond ; j’étais heureux de la voir se tortiller sous moi

" On change de rue si tu veux, on va dans ma chambre, tout y est prévu pour jouir bien installé, j’amène le gros concombre il pourrait servir, tu devines pourquoi Gertrude ? "

" Je n’ose y penser cher Marquis, vous êtes le diable, mais je suis si bien avec vous ! "

Nous étions dans la chambre et j’allais lui faire connaître mes fameux sièges à bien jouir. Pour cette amante passionnée qu’était Gertrude j’allais l’installer dans celui que je réservais aux plus fougueuses, aux femmes les plus attirées par le sexe et les positions scabreuses. Je la présentais à une banquette mais au lieu d’être en forme de I celle ci était en Y, je lui fis remarquer un orifice entre les branches du Y.

" Tu vois par ce trou, je peux faire sortir un membre factice de bonne grosseur, très long et souple on peut le faire aller et venir avec l’amplitude que l’on veut en agissant ici et là c’est pour forcer l’allure tu comprends ? "

En lui disant cela j’actionnais un petit mécanisme et l’engin sorti de son écrin. Gertrude semblait médusée devant le réalisme de ce godemiché en forme de phallus qui allait et venait en sortant de son antre.

" Qu’en penses-tu Gertrude ? "

" J’ai franchit le pas Hubert je veux tout essayer avec toi, fais moi jouir jusqu’au matin. Si je comprends je dois m’allonger sur le dos... Et ce membre ? c’est pour... ? "

" Pour ton cul ma chère, moi je m’occuperais de ta chatte, cela te va comme programme ? Touche le Gertrude, n’est pas peur, tu vois quand je pousse il sort de toute sa longueur et quand je fais ce geste il peut grossir et remplir le plus gros des vagins, le plus rodé des trous de balle, attends je l’enduis d’une crème spéciale pour que çà glisse bien, voilà...

En guise de réponse elle s’allongea cuisses écartées, les fesses en bonne place et prit en main le petit boîtier de commande ? Déjà la bite factice s’activait.

" Ah Monsieur le Marquis, j’ai honte ! Honte d’en avoir envie ! J’en tremble ! "

" Honte ! Mais non ! Regarde, regarde l’écran, ce membre est vivant tu es sa maîtresse... Il va t’obéir... Bien... Sors le plus... Attends je le présente... "

J’avais pris en main la verge souple et ployée elle s’agitait dans la raie des fesses de la comtesse, l’ogive allant et venant dans son périnée passant en effleurant l’anus avant de s’enliser entre les grosses lèvres de la chatte. Je fis durer cette caresse le temps de voir les contorsions de Gertrude et d’entendre son gémissement continu. Gertrude fermait les yeux concentrée sur la plaisir qui commençait à poindre entre ses cuisses. Je repris le membre en main mais cette fois je le présentais le gland sous la chatte bien en face de son cul et là il fit son œuvre en forçant le passage.

" Tu le sens qui va et viens dans ton cul, si tu veux plus profond c’est là, si tu veux plus vite ici, si tu le veux plus gros fait comme ceci... "

Je lui montrais le fonctionnement, Gertrude semblait dans un état second, éberluée de ce qui lui arrivait mais complice et désireuse de jouir encore et longtemps, petit à petit elle fit vivre ce membre factice dans son cul.

Gertrude n’était pas au bout des surprises que lui réservait ce siège jouissif, je m’avançais et je l’enfourchais mes deux jambes à hauteur de sa taille, je me penchais sur elle et je l’embrassais avec tendresse cette fois, dans cette position je mis ma queue entres ses nichons et les serrant sur mon membre je le fis aller et venir entre ses miches, sans rien lui dire Gertrude compris qu’en se penchant un peu en avant elle pouvait me prendre le bout de ma queue dans sa bouche, qu’elle amante pour une femme délaissée des décennies en proie à ses envies rentrées, elle se déchaînait, osait tout pour jouir enfin.

Je dus me retirer pour ne pas jouir et sans attendre je me plaçais entre ses cuisses et présentais mon dard à l’entrée de sa vulve au dessus de son cul défoncé par le god.

Alors ce fut comme un cataclysme je la fourrais en me branlant dans sa chatte de toute la longueur de mon pénis, au dessous dans son corps je sentais avec ma verge les aller et retour du gode dans son cul, elle l’avait fait enfler, les deux membres séparés par une mince cloison. En me penchant je lui pris les seins les pelotant énergiquement.

Jamais je ne vis pareil orgasme, le corps de Gertrude, les yeux perdus , ondulait en tout sens, elle avançait son ventre au devant des deux membres qui la perforaient au plus profond de ses entrailles, d’une main elle se caressait le clitoris entre les lèvres de sa chatte écartelée par le gros cylindre de ma bite.

A un moment comme éreintée elle devint molle, j’en profitais pour la lever et l’installer sur un siège voisin, bombé celui là, muni d’un trou lui aussi je la plaçais sur le ventre la chatte face au trou, les fesses en l’air. L’infatigable pine se mit en branle, je la centrais pour l’emmancher entre les grosses lèvres. Gertrude n’était plus en état de régler quoi que ce soit et je me chargeais de régler la machine infernale, la machine à faire jouir.

Petit à petit je réglais la course de phallus, sa vitesse et sa grosseur. J’étais fasciné par le spectacle de cette grosse pine qui écartelait sa vulve ; j’en aurais oublié son petit cratère ouvert par les assauts précédents. Il m’appelait pourtant au fond du canyon abrupt de ses fesses, vallon enchanteur où régnait un climat tropical chaud et humide . Je m’avançais et comme je l’avais fait avec ses seins je glissais ma queue entre ses fesses après avoir versé dans la raie du cul un peu d’huile de vaseline. Ma queue coulissait onctueusement entre les deux lobes serrés par mes deux mains. Quand je m’avançais mon gland décalotté sortait comme un diable de ses rotondités.

Après un moment de ce branlage jouissif prenant ma verge par le bout, au ras de mon gland je l’enlisais dans l’attirant cloaque, je bougeais imperceptiblement au même rythme de la verge factice dans son vagin. Gertrude grognait à chaque pénétration. J’ai toujours adoré rester ainsi au bord du trou du cul, le gland encastré dans l’anneau musculeux. Je sais aussi que mes amantes apprécient ces prémices avant de sentir ma grosse queue les remplir jusqu’aux couilles claquant leurs fesses. Je sentis son cul s’amadouer et la sans attendre je l’enculais, double pénétration là aussi mais cette fois les membres avaient changé de trou.

Gertrude appréciait la situation, sa jouissance était continue, elle n’avait plus la force de crier, ni celle d’animer sa croupe de circonvolutions incontrôlées, une plainte accompagnait nos ébats ; son orgasme était sans fin et cela jusqu’à ce que j’arrête car gourmande elle serait morte d’épuisement.

Je laissais Gertrude pantelante, le visage ravagé par la jouissance mais irradié de bonheur :

" Ah Hubert ! que n’es tu noble pour me servir de chevalier servant ! "

Le matin blêmissait et Gertrude redevenue sérieuse et hautaine se rhabilla

" Adieu ! me dit elle.

" Laisse mon Agnès je t’en prie... "

" Etais-tu bien ? T’ai je rendu heureuse ? "

" J’ai joui comme une pute Hubert, toute ma vie désormais je penserai à notre nuit, au bonheur, à la jouissance que tu m’as donnée, à ton énorme membre si doux cependant, à tes appareils jouissifs, tu as su me faire basculer vers ce que je n’espérais plus et sans retenue, abandonnant toute pudeur, j’ai profité de toi à plein, j’espère que tu as trouvé toi aussi un peu de plaisir ? Mais maintenant je dois retrouver ma dignité et mon rang... "

Elle s’habilla rapidement et redevint la hoberaute qui avait fait une entrée tonitruante la veille au soir. Cependant son regard me brûlait, ses beaux yeux étaient cernés par tant de jouissance accumulée.

" Gertrude, si tu le veux je vais te donner un souvenir de moi, avec lui tu m’oublieras moins vite, mieux même tu pourras contenter une partie de tes fantasmes ! "

" T’oublier Hubert ! Il le faudrait. Mais que contient cet écrin ? "

" Ne l’ouvre que lorsque tu seras seule au château et range l’objet qu’il contient dans un tiroir secret, cet objet est un moulage... Un beau moulage que j’ai fait en une matière nouvelle... J’ai moulé mon membre en pleine érection... Tu verras c’est a s’y méprendre... Il y a le phallus et les deux couilles... Cela te rappellera mes mensurations... Tu pourras les vérifier avec ta bouche, tes mains, tes doigts, ta langue, mais surtout avec ta chatte et avec ton anus... C’est bon tu verras quand on est seule et que l’on meurt d’ennui ! "

" Hubert ! Je te fuis, je m’échappe de ton influence perverse, je suis entré chez toi Comtesse et j’en ressort pute... "

" Mais non Gertrude tu en ressorts amoureuse, tu es une amante sans être maîtresse, tu es une femme de passion, tu viens de découvrir ton corps et ses pulsions, tes fantasmes ont quitté ta tête, ils sont dans ta chair, entre tes seins, dans la vallée entre tes cuisses, en ta croupe, au plus profond de ta chatte, tu sais maintenant le plaisir qu’ils peuvent te donner »

" Merci Hubert, je me sauve ! "

En disant cela elle m’enlaça en se plaquant sur moi, nos bouches mêlées en un profond baiser, la glace du vestibule nous renvoya notre image, j’étais nu, complètement nu, Gertrude me contemplait une dernière fois à regrets, ma stature, ma poitrine musclée discrètement velue, ma taille élancée surmontant un fessier royal, un ventre plat, des cuisses fuselées et surtout lorsque je m’éloignais d’elle la formidable érection de mon dard. Gertrude poussa un râle et s’encastra sur moi.

" Gertrude, ma comtesse prends ma verge et guide moi... "

Mais sa main était déjà sur ma virilité, les yeux révulsés elle se pâmait à nouveau

" Je vais te baiser debout comme tu es ! "

Je la retroussais sa jupe retenue par ses hanches dénudant ses jambes, ses cuisses gainées de noir, j’aperçus les rubans de ses jarretelles zébrant le haut de ses cuisses nues et blanches ainsi que son petit slip de bonniche

" Oui ! Guide moi ! Garde ton slip, détends le ! Oui ! Ecarte le ! Dégage ta chatte... Oui ! "

Je pliais mes jambes pour mettre mon gland à hauteur dans son entrecuisses, guidé par ses mains entre ses deux grosses lèvres à l’entrée de son vagin ravagé et lubrifié, je m’assurais qu’il était en bonne position et là d’une brutale remontée je lui sabrais la chatte mes couilles en butée sur ses fesses. Elle hurla de plaisir et je sentis mon dard dégouliner de sa liqueur. Nous étions plaqués l’un dans l’autre nous heurtant sauvagement, ses seins écrasés sur mon buste puissant, elle épinglée sur mon chibre.

Ma verge complètement en elle fourrait ses entrailles au plus profond sans pouvoir la branler. Gertrude jouissait en râlant, je la pris sous les fesses mes mains écartant ses miches je la soulevais de la longueur de ma queue avant de la laisser retomber et s’empaler sur mon nœud.

Excité je la soulevais comme une plume en la laissant tomber de plus en plus fort de plus en plus vite. Je compliquais la figure en introduisant le petit doigt d’une main dans son cul et le pouce de l’autre au dessus de mon chibre encastré sur son clitoris. Gertrude devint comme hystérique, j’avais du mal à contenir son agitation, je dus l’asseoir sur une petite patère à bonne hauteur et là plus libre de mes mouvements c’est moi maintenant qui allait et venait en elle.

C’est ainsi que jambes pendantes, cuisses écartées, chatte obstruée, clito excité et anus visité, je me laissais aller et j’éclatais en elle, je hurlais à mon tour de jouissance ce qui décupla la furie de Gertrude qui comprenant son pouvoir me serra dans sa chatte pour me faire cracher en râlant de plaisir toute ma semence. Ma jouissance fut brève mais violente, effrayante comme celle d’un cerf au fond des taillis.

Je me retirais comme j’étais entré reposant Gertrude sur le sol, la chatte et la culotte maculés de nos foutres. Les jambes flageolantes, la démarche mal assurée, les cuisses souillées de sperme elle franchit le seuil de ma garçonnière et partit sans se retourner. Je constatais après son départ que d’un geste furtif elle avait emporté l’écrin...
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Baiser Mercédès 2

Le 28/05/2009 - 18:24 par Cloelia
Coucou voila mon poste tant attendu je viens de lire ton histoire. C’est que tu as un bon cout de clavier lol. J’ai beaucoup aimée la première partie très bien décrite pour moi manque juste un peu de romantisme enfin tu commence à me connaitre par mon style ;-). J’admire aussi l’évolution de tes personnage on ressent bien grâce à eux l’envie que tu as de nous faire partager ces moments et je t’en remercie infiniment. Merci beaucoup pour ces histoires, continu comme ça j’adore. Bises
Le 11/05/2009 - 09:01 par babyboo7788
Hi! Je suis nouvelle sur ce site, et j'ai eu l'occasion de passer des heures entières à lire quelques petites nouvelles, mais je dois avouer que les vôtres m'ont totalement émues. De votre style d'écriture jusqu'aux faits et gestes qui y sont décrits... je suis totalement fan!!!! J'attendrai la suite avec impatience... A tres bientot j'espère

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