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Bal coquin

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Lue : 2785 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 17/02/2021

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Pour ceux ou celles qui connaissent, ou ont déjà été dans ce genre d'endroit, ou encore, pour celles qui n'y ont pas encore été, ou qui hésitent, l'anecdote que je raconte ici, n'engage que moi quant à son intérêt, je n'en fais ni la pub, ni ne décourage d'y aller.

Suite à une proposition d’un danseur à la main légère et à qui j’ai laissé libre circulation raisonnable, celui-ci m’apprend qu'à quelques kilomètres, il y aura une soirée bal masqué, très sélect et très particulière, après avoir eu les détails, sans que je lui demande, et ou je lui ai dit que ça ne m'intéressait pas, mais dans ma tête, ce n'était pas le cas, et après mure réflexion, je m'y prépare pour y aller par curiosité.


Afin de ne pas gâcher cette soirée, ni me forcer et en profiter pleinement, d'être aussi plus réceptive aux éventuels touchers, je m'arrange avec mon mari pour ne pas avoir de rapport la veille, mon mari, à qui je le propose aussi, mais qui me dit, "une autre fois peut-être", car il avait une occasion avec une autre femme.


Pour ne pas donner trop de similitude avec cette soirée, j'ai changé quelques détails, mais pas son fonctionnement, quand je disais sélect, cela se rapportait principalement au physique et aux tenues des femmes, nous devions être sexy avec un physique attirant.


Il faut savoir que ce genre de soirée n'est pas ouvert à tout le monde, on n’y rentre que par connaissance, aux vêtements que portaient les femmes, surtout celles en couple au médaillon transparent ou bleu pour la plupart, je devinais que le tarif des entrées n'était pas un problème.


Ces couples de la haute, venaient incognitos, faire frissonner leurs femmes sous les caresses d'autres hommes, qui eux venaient aussi pour tripoter d'autres formes, formes qu'elles avaient toutes, il n'y avait ni grosses, ni de squelettiques.


À l'entrée, lorsqu’on m'a demandé, de la part de qui je venais, j'ai fait celle qui ne se rappelait plus de son nom, celui qui m'a appris l'existence de ce bal, je n'avais pas envie que cela soit inscrit quelque part, je savais que dans ce genre de bal, ils n'avaient pas les "moyens" de refuser les femmes venant seules, trop content qu'ils y en aient, après m'avoir détaillé de la tête aux pieds, et avec mon assurance, on me fait un sourire en me faisant entrer.




Il n'y a même pas un minimum à payer, payant pour les hommes, très très chers même, pour femmes seules, tout était gratuit, entrée, boissons, petits fours, pour les couples, c'était sous conditions, pour les femmes, leur tenue devait être sexy également et non-farfelue.


J'avais mis une robe de soirée, longue, mais fendue mi-cuisse sur la jambe droite devant, et fendue derrière sur la jambe gauche, le décolleté était plongeant, on voyait mon soutif, j'avais mis des bas noirs dim-up et des chaussures à petits talons aiguilles, les femmes devaient impérativement porter une broche médaillon qui était fourni.


La broche, grande comme une pièce de monnaie de 2 € qui se portait près du cou et de manière visible, il y avait quatre couleurs, chacune avait une signification, transparente, pour les couples, ou seul l'homme avait payé plein pot, bleu, vert et rouge pour les couples ou l'homme avait payé à tarif réduit, pour le bleu et vert, gratuit pour le rouge.


Ce qui donnait à titre d’exemple 450 €, pour un homme seul, pareil pour le couple, si elle prenait le médaillon transparent, 250 €, si elle prenait le médaillon bleu, 150 €, si elle prenait le vert et gratuit si elle mettait le rouge, le médaillon de la femme du couple était identique aux femmes seules, mais ne se défaisait pas, les femmes seules choisissaient leur couleur à mettre et avaient quatre médaillons épingle, le défaut de médaillon était considéré comme rouge.


Celui qui dansait avec une femme devait regarder la couleur du médaillon qui lui indiquait son droit.
Transparent = discussion uniquement
Bleu = frottement autorisé
Vert = pelotage soft autorisé (seins, fesses)
Rouge = pelotage hard autorisé, tout permis


Tout cela sous conditions de discrétion sur la piste à la lumière tamisée et semi-interdit aux tables, il y avait des "vigiles" qui veillaient et rappelaient à l'ordre, ceux qui se croyaient seuls, et qui exagéraient, l'ambiance était cool, en regardant certaines, leurs expressions, de ce que leur masque laissait voir, on devinait ce qui se passait.


Je n'ai pas vraiment vu, ce que les autres femmes avaient, j'avais mis le transparent pour commencer, on m'invite, un type, 1.70 m avec une ligne acceptable 75 kg, il discute, baratine avec du verbe, parle de couleur médaillon, à un moment, il me frôle sans le vouloir, il se confond en excuses et s'écarte un peu plus, je lui indique qu'il n'y a pas de mal à ça, que ce n'est pas cata, se remettant normal, il reparle couleur.


Sachant le pourquoi, je lui demande ce que ça changerait s'il était bleu, peut être que cela ne vous déplairait pas dit-il, je lui réponds, imaginez qu'il est bleu alors, il me demande si je ne veux pas le mettre, de peur de faire ce qu'il n'a pas le droit au vu du médaillon, mais comme je ne les ai pas sur moi.


Je lui demande de me faire confiance, ce qu'il fait lentement en me regardant, me disant que quand une femme se débat, l'homme est rappelé à l'ordre et viré direct s'il récidive, la danse finie, mais renchaîne aussitôt sur une autre, nous continuons, il frotte, effleure, me jauge, s'enhardit de mon sourire et réponses qui vont dans son sens, quand il me demande si j'apprécie.


Je lui demande si j’ai fait un signe qui indique le contraire, non dit-il, en moi-même, je ne regrette pas d'être venue, cela est plus direct que dans les restos dansant, la série de danses se termine et on change de cavalier (hélas), j'en prends un, qui lui me casse les pieds, ensuite, se sont soit des bourrins, soit des croque-morts.


Finalement, je retombe enfin sur mon premier danseur, qui s'en réjoui aussi, sa démarche et le reste faisaient qu'un autre avec le même masque, je l'aurais reconnu, il me redemande par correction, la couleur qu'il doit voir et je lui dis, "j'avais dit bleu", il me frôle aussitôt, tout en discutant de choses anodines contrairement à mes zombis d'avant.


Il me demande si cela me plaît, auquel je réponds par un sourire, il continue en me demandant mes impressions, cela dure la série de deux danses, on discute, il me commente nos ressentis, me demande s'il a raison, la danse s'arrête et comme on n'a pas le droit de faire 2 séries d'affilés, on se dirige vers le bar pour aller boire un verre.


On discute ensuite à une table, je lui dis que s'il veut, qu'il peut aller danser avec d'autres, car avec moi, sa soirée risque d'être fade, il me dit galamment que je n'ai rien de fade, et que même si certaines femmes sont attirantes, je les vaux largement, même si je n’en crois rien, je sourie quand même.



On se remet ensemble pour danser, il recommence à m'effleurer, la série de danses finies, on se sépare et on se remet ensemble pour faire croire qu'on n'a pas pu faire autrement, enfin en principe, on n'a pas le droit, car un "vigile" nous a vu et il a souri en regardant ailleurs.



Ils sont la pour éviter les débordements et non empoisonner les clients consentants, il serait intervenu je pense, que si je n'avais pas voulu danser avec, on danse donc et d'emblée, il me demande si la couleur est restée et si j'avais apprécié, je lui dis oui, il continu de m'effleurer de façon plus accentuée, je lui dis, faites attention, vous allez faire verdir mon médaillon.



Il s'excuse, disant qu'il s'est laissé emporter, avec humour, je lui répond, "oui, je vois ça, hé bien pour la peine, ça y est, il est vert maintenant, ça vous apprendra", comprenant mon humour, il me dit, donc il est vert, je dis oui, lentement, en regardant ce que le masque laisse voir de mon expression, il me tripote un sein discrètement, disant que je le prévienne si la couleur change, je sursaute au premier contact, il s'arrête, mais je lui indique que le vert est devenu fixe.



Frôlant et tripotant en même temps, il me demande si cela me plaît, et qu'est ce que se serait, si le médaillon était rouge, sentant quelque chose de dur sur la hanche par moment, je réponds, autant que vous apparemment, la danse fini, nous n'avons pas osé renouveler une troisième série de suite, et je lui ai dit de rester à ma portée pour la suivante.



Pas de chance, on était trop loin et un type m'a accroché, voyant ma couleur de médaillon, il commence à faire la tête, et ne parlait plus que pour poser des questions débiles, autant ça passe vite avec mon danseur préféré, autant, c'est interminable avec les "mecapute", après ce siècle de danse avec ce plouc, mon danseur m'attrape.



Avec un sourire, il me demande si la couleur n'a pas changé, je lui réponds vert fixe, il m'attrape un sein, qu'il malaxe à mesure qu'il voit ce que je ressens, on danse et toujours, il me l'indique, afin de rester discret, je lui tiens les épaules, il les triture des deux mains à travers le tissu, pinçant les tétons.



Il me sent frémir et haleter, me demandant de me lâcher, me faisant dire si j'aime a plusieurs reprises, mais de façons différentes, la danse finie, a regrets, on se sépare et je quitte la piste, il me rejoint, on discute, et quand une autre série recommence on y retourne, il me dit "toujours vert", et tristement je lui dis, "non hélas", son visage se fige.



Le mien reste triste, je sens qu'il ne sait pas quoi dire, et toujours avec mon air triste, je lui dis, que cela a viré au rouge, son sourire revient, je ne dois pas être si mauvais dit-il, ou les autres le sont vraiment, je réponds, " il y a beaucoup des deux", pendant qu'il fait marcher ses doigts sur ma robe.



Il me dit, "vous savez qu'avec le rouge, tout est permis", et je lui réponds, "c'est bien fait pour vous, ça vous apprendra", il dit, " j'ai le feu vert alors", je dis, " non, rouge", sa main qui s'était rapprochée, s'appuie sur mon sexe à travers le tissu, j'ai mes mains sur ses épaules, qui me servent à me tenir.



J'ai peine à tenir les yeux ouvert, il s'active à travers le tissu de façon lente pour la discrétion, en discutant, voyant que je me donne complètement à ses caresses, il me demande s'il peut avoir une faveur, je dis laquelle, il me dit, " de retirer votre soutif dans les toilettes et revenir danser ensuite", complètement excitée, je réponds, tout ce que vous voulez, mais continuez.



Il continu encore un peu et la danse finie, je vais aux toilettes, je retire mon soutif et je retire aussi mon string qui est trempé, du coup, je vais chercher un médaillon rouge, pour qu'il soit rassuré, je retourne dans la salle ou une autre série repartait, j'attends la suivante, on se remet à danser, il réussi à passer la main là ou j'avais prévu, je suis aux anges dit il, il me tripote les seins à tour de rôle.



À la deuxième danse, il remonte sa main par en dessous de ma robe, sur le devant ou est la fente, et quand il arrive sur les lèvres, il s'aperçoit que je n'ai rien, moins gêné que la première fois, il me frotte le clito, nos visages se touchent, je l'encourage en chuchotant et quand il sent que je suis à point, il me pénètre de deux doigts et me fait jouir presque aussitôt.



Il m'entend prendre mon plaisir, après cela, je le remercie de ce qu'il vient de me donner, il me demande la permission pour me tripoter les seins, je lui dis de regarder la couleur du médaillon qui est rouge, il demande si ce qu'il fait ne me dérange pas, c'est-à-dire son sexe qui se frotte à moi, je dis encore une fois, "rouge".



Il me dit que s'il n'était pas un gentleman, il demanderait bien une autre faveur, je dis, "laquelle", il me dit que c'est gênant, je lui redis, "rouge le médaillon, ca sera donc oui, mais il faut me le demander", il répond, "dégonfler ce qui me gène", je lui réponds que c'est la moindre des choses.



À la fin de la danse, il me dit de l'attendre, pour enfiler quelque chose (afin de ne rien tacher), il revient peu de temps après, avant la fin de la première danse, on attend en discutant, il me demande, s'il peut me tenir la main, je lui dis que je ne me sauverais pas, il répond que c'est pour maintenir une érection.


Permettant le maintien de son enveloppe, on discute et une autre série arrive, nous allons sur la piste et nos mains gauches sur l'épaule de l'autre, sa main droite sur mon sein et la mienne, a travers son pantalon, j'astique quelques dizaines de secondes, lui, il me malaxe le sein et téton, je lui parle en même temps, lui demandant ne rien retenir, et ce qui devait arriver arriva, il lâche tout dans la capote avec des soubresauts et la bouche ouverte, il s'en cache en m'embrasant dans l'épaule, je lui demande, "pas de suçon surtout".

Je lui dis qu'il n'y a pas que moi qui montre la couleur de sa culotte, se fondant en excuse, je le rassure en disant qu'il n'y a pas de mal à ça, bien au contraire, que ça me faisait plaisir de voir que je fais autant d'effet, la danse n'était pas encore fini qu'il me dit qu'il doit aller faire quelque chose, car, de ce que j'ai compris, la boursouflure régressait et risquait de sortir de son enveloppe en se répandant partout.


Il s'éclipse aux toilettes, me laissant sur la piste, la série finie, une autre reprend et comme j'étais encore sur la piste, un type m'accroche pour danser, en même temps, il voit le rouge du médaillon, je me souviens aussi de sa couleur à ce moment-là, prisonnière de mon inattention, j'ai quand même eu la chance, dû au fait, que comme il était grand, il aurait fallu qu'il se contorsionne pour me tripoter le sexe, il s'est donc contenté de le toucher à travers le tissu et de me tripoter les seins en se frôlant.


J'ai eu beau faire des sourires par moment, je pense qu'il s'est aperçu que je ne ressentais rien ou presque, de ce qu'il me faisait, afin de ne pas retomber sur un autre, vers le milieu de la deuxième danse, je l'ai conduit vers le bord de la piste, de façon à ne pas danser à nouveau, mon danseur préféré m'attendait en regardant ailleurs, vexé, que j'ai été avec un autre, vexé en lui-même, mais il ne le montrait pas, je lui ai dit qu'il n'aurait pas dû me laisser en milieu de piste, car je me suis faite accrocher.


Mes paroles lui ont redonné le sourire, il a été cherché à boire, nous discutons, il ne me pose aucune question perso, juste savoir si je suis déjà venue, nous avons principalement dialogué de l'endroit, je lui demande si la soirée n'est pas un peu coûteuse, courtois, il me répond qu'elle est sous-évaluée aujourd'hui, je lui dis que ça fait cher pour si peu, il répond, que si je reviens la semaine prochaine, il paiera le double s'il faut.


Je lui dis que pour le service, avec le quart de ce que ça lui a coûté, il pourrait avoir plus, il me dit, "vous rigolez, j'ai eu plus de plaisir cet après-midi avec juste votre main, qu'avec une pro qui m'aurait tout donnée."


On discute encore un peu, on se remet sur la piste, il me tripote, l'excitation revient, et puis en parlant, il me sous-entend qu'il aimerait qu'on dîne ensemble, si je le souhaitais, après une autre série, l'heure avançait, il me dit, "je vais attendre jusqu'à 19 h à cinq km d'ici, sur telle route, telle direction, sur un parking resto, qui sait si ma chance fonctionne encore, j'ai telle voiture, telle couleur, on se dit au revoir.


Je lui glisse que je suis fatiguée et que je rentre directement, nous nous quittons, les hommes ont le vestiaire séparé des femmes, tout comme les parkings, ainsi que les sorties pour rejoindre la route, je pense que c'est pour éviter qu'un homme, attende une femme qui ne le souhaiterait pas, je me rhabille de mes sous-vêtements, et je quitte l'endroit, j'allais pour rentrer et sans y penser, je vois le resto dont il parlait, au nombre de kilomètres, il correspondait.


Il me semble apercevoir un véhicule de la couleur qu'il disait, ne voyant pas le modèle, si c'était lui, il devait être dedans, il était face à l'entrée, je fais encore deux kilomètres, et puis je me dis, bon, aller, j'y vais, il est sympa et pas collant ce type, il ne mérite pas de poireauter inutilement, je fais demi-tour, je rentre dans ce parking et me gare, lui m'ayant vu arriver par la droite au lieu de la gauche, il ne sait pas que c'est moi, il n'est pas encore ouvert le resto, trop de bonnes heures.


Je me tâte à nouveau, en me disant, je reste, je pars, puis par "pitié" presque, je redémarre, et m'arrête à coté de lui, j'ai voulu le taquiner, en lui demandant si le resto était ouvert, mais il a reconnu ma voix, vous êtes venue dit-il, la partie cachée est tout aussi agréable à regarder, on discute deux minutes et je dis ok pour le resto si je paie, il me dit de venir me garer à côté de lui, sur un endroit plus près, je monte dans sa voiture, il me dévisage et fait les compliments d'usage, ou je dis que normalement, on ne devrait pas être là, nous dérogeons au bal masqué.


M'assurant de sa discrétion, on discute de la journée, de l'excitation, des bourrins que j'ai eus, on retrace les moments forts, ce que l'un pensait à un moment précis et bien sûr, l'excitation revient, comme ce n'est pas facile non plus, de dire ce que j'avais ressenti, nerveusement, je manipule son levier de vitesse, (à la voiture), il pose sa main sur la mienne en disant, " je revis aussi ce moment-là, quand vos mains, etc. etc. Je frissonne au contact.


Il s'excuse, disant que la soirée est finie, qu'il n'a pas voulu être entreprenant, je dis, " non ce n'est pas ça, c'est un sursaut d'étonnement", je peux remettre mes mains alors dit il, il le fait et attend ma réaction, mais voyant que je ne dis rien, il me la caresse, je frissonne, il la retire et aussitôt, je dis non, laissez là, je me rattrape disant ça ne me gêne pas, il me caresse la main.


Demandant si j'aime, voyant bien mon émoi, il répond pour moi, disant, "oui, je devine que cela ne vous déplaît pas", je réponds évasivement en regardant devant moi, il m'attrape la main avec sa main gauche et avec sa droite, il me caresse le poignet, il remonte au bras, comme je ne dis rien, il continue en disant qu'au moindre signe de ma part, il ne ferait rien.


De plus, je regarde devant moi et par moment vers lui en souriant, il monte jusqu'au bras et avant d'arriver à l'épaule, du revers de ses doigts, frôle le téton, me tendant dans le siège, les vitres n'étant pas teinté sur le devant et la console entre nous était gênante, il me dit "si j'osais, je vous demanderais bien de passer derrière, nous serions plus à l'aise".


Je dis non, mais je le regrette un peu, car on est visible de l'extérieur, quand il me le redemande, je redis, " non, quand même pas", il repasse sa main sur mon téton disant, vraiment pas, il voit mon tressaillement, il sort en me disant venez, laissez votre envie décider, il insiste encore et je le suis.


On se retrouve sur les sièges derrière plus spacieux pour les jambes, les larges appuie-tête cachant assez bien, tout comme les vitres teintées, il avance les sièges avant, ce qui donne plus de place, disant, "il y a une chose que je n'ai pas pu apprécier toute à l'heure", je dis, " ha oui quoi", vos jambes dit il, je réponds, "bof", puis-je dit-il, en écartant les pans de ma robe et me caressant les genoux du bout des doigts.


Comme je ne dis rien, il passe sa main et me caresse les cuisses, je ne dis rien, et il me dit, au bal, j'avais une petite idée sur vous, et je pense que j'avais raison, je lui demande laquelle il dit, "vous êtes une femme, à qui il ne faut rien demander, mais à qui il faut prendre", ce faisant, il m'attrape les jambes en me faisant pivoter sur mes fesses, je lui dis "sûrement pas".


Il répond, "alors comment ce fait il, que je vous ai tourné sans peine, au lieu de vous retenir en laissant vos jambes au sol, vous avez juste tenu le siège, pour vous asseoir tourné vers moi, en souriant, je dis, "pour ne pas tomber", pendant qu'il parle, il me caresse les jambes qui sont sur ses genoux.


Je sens son sexe qui est dur, il caresse en remontant de plus en plus, sentant bien que je n'attendais que ça, je ne sais pas pourquoi, j'ai sorti un "non" sans m'en rendre compte, en laissant mes bras au niveau des épaules, il me dit, "c'est un non, oui", et il m'attrape les jambes pour les mettre en l'air, et je glisse sur le siège, me retrouvant sur le dos et les jambes en l'air, je laisse échapper un petit cri.


Ma robe retombe complètement, dévoilant mon intimité, sa tète se faufile entre mes jambes qu'il embrasse et qui lui laisse le passage, il pose un baiser sur le tissu du string, ou l'effet est immédiat, il me dit, "ça y est, vous êtes à moi maintenant, dites le que vous m'appartenez", ne disant rien, il remet ses lèvres sur mon sexe et repose la question, je lui dis "oui".


Oui quoi dit-il, je réponds, je vous appartiens, il retire mon string et me suce à nouveau, j'arrive au premier orgasme où il boit tout, ensuite surprise, il ne me pénètre pas, il me rassoit, me retire mon soutif en disant encore une fois, "vous êtes à moi ce soir", remettez-vous bien, étonné, nous sortons pour dîner, je téléphone pour prévenir mon mari, en fait, c'est aussi pour lui donner tous les renseignements sur le type, numéro de plaque, le resto, etc.


Cela fait, je le rejoins, il me demande de retirer ma veste pour manger et de dégrafer 3 boutons à ma robe, je fais une grimace avec le sourire, faite, dit-il, je suis sûr que vous aimez cela et que votre mari vous le demande aussi, le serveur s'est rincé l'œil, il me l'indiquait à chaque fois, qu'il repartait, on a discuté de nos vies ensuite, et bien manger.


Me demandant à un moment, si mon mari ne dit rien, quand je ne rentre pas comme là, je dis non, qu'il sait déjà avec qui je suis, étonné, il me dit qu'il est cool, et que s'il osait……… Je dus lui demander quoi à plusieurs reprises, il me dit qu'il m'emmènerait bien dans un endroit plus confortable que la voiture, je demande, "c'est-à-dire", et il propose chez lui, mais c'est loin ou l'hôtel, je réponds, "ok, mais sous conditions".


Me demandant lesquelles, je réponds que je donne ses coordonnées à mon mari, il répond, "pour qu'il vienne me casser la figure", je dis, "oui, au cas où on me retrouverait en petits morceaux", je vous comprends dit-il, mais vous n'avez rien à craindre, je réponds que si c'était le cas, je ne serais pas ici, mais être rassuré me rendrait plus docile.


Il me dit que je sais parler aux hommes, l'addition arrive, on se bat pour payer, mais me disant qu'il aurait honte, je lui dis ok, mais hôtel, c'est pour moi, ok dit-il, il sort ses papiers, je lui demande son portable et j'appelle mon mari, et le lui passe, très gêné au début, mais mon mari le rassure, en disant que de la laisser avec un gentleman qui ne lui fera que du bien, il n'a rien à craindre, mais que si cela n'était pas le cas, il n'appellerait pas la police, etc. etc.


Il lui donne le numéro de PI, son nom adresse, mon mari demande aussi une photo, qu'il accepte, je le prends en photo et j'envoie, nous partons ensuite, chacun dans sa voiture au premier hôtel.


Il me suit et on se bat encore pour payer et ou je dois quand même le laisser faire, car je n'ai que la CB société, et un hôtel à 20 km de la maison, ça paraîtrait louche, on arrive à la chambre, chacun prend sa douche, et se rhabille, la nuit agitée commence, il me rappelle ce que je lui ai dit, concernant ma docilité pour son identité, et ou je lui réponds, que je tiendrais tous mes engagements.


Voyons ça dit il, mais je vous préviens, cet après-midi, c'était vous qui commandiez, et moi, j'obéissais, maintenant, c'est l'inverse, c'est à vous d'être à mon bon vouloir, et je vais en abuser un maximum, je dis, "hummmm, chiche", il dit, bien, et me demande de tomber la robe, après m'avoir caressé les seins, il me fait mettre à quatre pattes sur le lit, l'anus bien en vu, il me masturbe le clito et quand je suis à point, il met un préservatif, et m'enfile comme une perle dit-il.


Il me fait jouir presque aussitôt, car j'étais pas mal en retard sur la pénétration, il continue un peu, puis prenant un rythme très ralenti, il me dit, "vous êtes à mon bon vouloir et je peux tout", en même temps, il retire son sexe et me le met sur ma rondelle, de façon lente, pour voir ma réaction, n'étant pas négative, il me pénètre, me sodomise en levrette.


Après que j'ai joui encore, je le sens perdre le contrôle, et il jouit en pestant contre lui, en donnant des coups encore plus forts, après cela, ayant perdu de sa superbe, il s'excuse, je lui dis qu'il ne faut pas, c'est plus flatteur que frustrant, il va se rafraîchir et on dial, il me tripote les seins, ce qui ne me gêne pas, mais quand il va au clito, je lui indique que s'il veut, que je sois plus réceptive, quand il sera remis de ses émotions, qu'il faut mieux laisser mon bouton.


Les hommes pensent que cet endroit est une source inépuisable, alors que non, si on est touchée à cet endroit en permanence, l'excitation s'atténuera et il deviendra moins sensible, comprenant cela, il m'a caressé et embrassé les jambes, cuisses, fesses, seins, le dos aussi, cela a dure une bonne heure, puis je lui ai demandé s'il voulait que j'aille me rafraîchir, il a dit, "non, je veux m'enivrer de ton odeur".


Ses baisers se font de plus en plus précis, je frémis, il me dit, "ton mari ne doit pas savoir, à quel point il a de la chance, non seulement il n'y a rien à jeter, mais en plus, tu démarres au quart de tour", il me fait remettre en levrette l'anus en l'air et me le suce de façon gourmande, une fois excitée, il me met sur le dos, enfile le préservatif pour que je le suce et me demande de me masturber.


Il n'est pas aussi dur qu'avant, mais ça va, il va ensuite se mettre entre mes cuisses pour regarder de prés, ce qui accentue mon excitation, il me met son doigt dans l'anus et me suce le clito, je cherche à me libérer de ce plaisir intense, mais il tient fermement sa tête entre mes cuisses et je lui jouis encore dans la bouche en gémissant, je me suis reposée encore, il a continué à me caresser le corps, le massant même, après encore une bonne heure où il a senti que ses caresses me refaisaient effet.


Il me suce, et quand je suis à point, me baise à la missionnaire, étant rassasiée, on tient la distance, même s'il n'est pas aussi dur que la première fois, cela reste plus que correct, nous sommes arrivés à jouir ensemble, j'adore jouir de concert, fatigué, nous avons discutés et nous nous sommes endormis sans nous laver, réveillée à cinq heures, sentant mauvais, j'ai été me doucher, ça l'a réveillé, une fois sortie, il a pris la sienne.


S'en voulant de s'être endormi avec moi, il dit, "je n'ai pas su profiter de ma nuit", croyant que je ne voulais plus, je lui ai dit, "intéressé par des prolongations", sans répondre, il m'a embrassé partout, il m'a sucé et fait jouir encore, n'ayant plus de capotes, je l'ai masturbé avec mes seins et lui ai dit de ne rien retenir, il m'a inondé partout, nous avons repris une douche et je suis parti de mon côté, se doutant qu'on se reverrait plus, il a dit, " je reste pour profiter de votre odeur dans ces draps".

Je ne suis plus retournée à ce genre de bal, car si je n'avais pas eu mon danseur, je m'y serais ennuyée à mourir, cadre agréable, luxueux, propre et beau, le buffet bien garnit et de qualité, le personnel de sécurité, très discret et cool, je ne trouve rien à redire à ce niveau.


Seul reproche, la plupart des hommes viennent là en se disant qu'avec ce qu'ils ont payés, ils vont obligatoirement se taper une bourgeoise, comme si cela était un du, ils ont payés, alors forcement, on doit coucher avec.


Un autre reproche, c'est que si les femmes qui plaisent ne paient pas, ils devraient être plus sélects avec les hommes, non pas sur le physique, mais sur le genre, mis à part le costume, certains avaient plus le genre écorché vif, dans un abattoir ou les égouts, ils passaient inaperçus, mais en dansant avec, ils faisaient plus halloween.


En somme aux questions disant :
Est-ce que je regrette mon après-midi, la réponse est non.
Est-ce que j'y retournerais, la réponse est non également.


Le monde étant petit, neuf ou dix mois après, un dimanche matin avant de chercher un restaurant pour manger, en se promenant, je vois un type me regarder différemment, je le regarde et le reconnais, il fait celui qui ne me connaît pas, mais comme il est seul, je lui souris, il me sourit aussi.


Je lui demande s'il est seul, répondant "oui", je lui présente mon mari, en lui rappelant qui il est, assez gêné, mais mon mari le rassure aussitôt en lui disant, "vous manger avec nous à midi", j'insiste en disant pareil, nous avons déjeuné, nous avons discuté comme des amis, sans parler de ce qu'on avait vécu ensemble, mon mari a payer en lui disant que c'était son tour, nous nous sommes promenés et ensuite chacun est parti de son côté.

Ayant parlé de sa boite, et me rappelant de son nom, dans la semaine qui suit, j’appelle à son travail, je n’ai pas le temps de me présenter, il dit mon prénom, je lui demande ce qu’il fait vendredi soir, il me répond que si c’est pour aller dîner ensemble, il n’existe rien qu’il ne pourrait décommander, je lui dis que je paie le resto et qu’il retienne une chambre.


Vos désirs sont des ordres répond t’il, nous nous sommes rejoint au resto dansant que je lui ai indiqué, il m’a dit être retourné là ou on s’est rencontré, mais autant, il pourrait payer le double si j’y suis, qu’il ne mettrait pas le cinquième pour y retourner, autant l’idée était bonne, mais la clientèle n’était pas à la hauteur.

Avec humour, je lui dis qu’il est tombé sur la seule femme valable et moi sur le seul homme intéressant, me répondant qu’il ne pouvait qu’être d’accord avec moi, par la suite nous nous sommes recroisés par hasard, mais il était accompagné et je n’ai pas voulu qu’il soit gêné de ma présence, son croisement de regard furtif en disait long, nous ne nous sommes plus jamais revus ensuite.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Bal coquin

Le 04/12/2023 - 12:05 par linsee
Pas mal
Le 19/05/2021 - 17:03 par annizette
merci a tous mes lecteurs le paradoxe fleuron25, c'est que je ne sais pas inventer d'histoire, ce n'est pas faute d'avoir essayer, mais je me retrouve toujours devant une feuille blanche, la seule histoire inventée ici, c'est "la 2 eme partie "d'employé voyeur", qui n'est même pas inventé mais transposé sur une anecdote qui m'est arrivé a un autre moment. j'ai déjà beaucoup de mal a détourner les endroits et autres détails pour ne pas être reconnue j'admire ceux capables d'inventer une histoire, enfin une histoire intéressante, quand je vois le boulot que c'est, que de raconter de mémoire, alors inventer, ça doit être pire bravo aussi aux auteurs
Le 19/05/2021 - 14:23 par Fleuron25
Pas mal du tout. Vous devez en avoir vécus des choses exçîtantes pour pôuvoir nourrire votré imagînatiôn Ainsî, GENIAL.
Le 18/02/2021 - 16:39 par vieuxmec
bonjour toujours un plaisir de vous lire

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