ACCUEIL > Divers > Récit : La vengeance de Greg 6

La vengeance de Greg 6

+30

Lue : 1272 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 07/03/2021

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Après la soirée chez Bruno, Greg avait raccompagné Sabine chez elle, elle ne voulait pas trop inquiéter ses parents, surtout que depuis qu’elle était partie de chez elle, la veille au matin, elle était encore une jeune fille vierge et chaste, tandis qu’aujourd’hui, elle s’était prise une bite dans chacun de ses orifices, et était totalement accroc au sexe.
En se dirigeant chez elle, en compagnie de Greg, elle repensa à cette famille incestueuse, Patrick, Isabelle et Greg baisaient ensemble sans aucune honte, et elle se doutait que bientôt Monica succomberait à la grosse bite de son fils, alors en arrivant devant sa maison, elle se demanda si sa famille pourrait également devenir aussi dépravée que celle de Greg, et si son père pourrait devenir son amant.
Alors avant de quitter Greg, elle lui demanda :
- Dis, ça te dirait de coucher avec ma mère ?
- Euh, oui, pourquoi pas, et je suppose que tu as envie de baiser avec ton père.
- Oui, très envie, mais ma mère est coincée du cul, elle crierait vite au scandale si elle nous surprenait, mais si tu t’occupes d’elle, elle n’aurait plus rien à dire.
- Donc en fait, tu veux que je baise ta mère, pour que tu puisses baiser avec ton père tranquillement.
- C’est tout fait ça.
- Ok, pourquoi pas, d’ailleurs maintenant que j’ai baisé toutes tes copines, j’avais l’intention de m’attaquer à vos mères.
- Parfait, je vais voir quand est-ce qu’on peut faire ça.
Ils se roulèrent une pelle langoureuse, et se séparèrent.
Maintenant que Greg avait réussi à pervertir toutes les filles qui l’avait martyrisé durant des mois, il désirait parfaire sa vengeance en dépravant leurs mères, mais il se dit que Sabine était la seule sur laquelle, il n’avait eu besoin d’utiliser son fameux programme pour la baiser, alors il se demanda comment sa mère allait réagir.


Sabine rentra chez elle et comme ses parents étaient absents, elle monta dans sa chambre, et fit ses devoirs comme la jeune fille sage qu’elle était encore en partant d’ici la veille, mais elle n’arrivait pas à penser à autre chose qu’à la bite de son père, elle se demandait quelle taille et quelle forme, elle pouvait bien avoir, et même quel gout pouvait bien avoir son sperme.
Elle n’avait plus que ça en tête, elle abandonna ses devoirs et se mit à se caresser la chatte en pensant à la bite de son père.
Elle s’allongea sur son lit, écarta les cuisses en pliant les genoux et commença à jouer avec son clito en gémissant doucement.
Elle rêvait de se faire défoncer par son père, comme le père de Greg lui avait défoncé la chatte, elle voulait sentir sa bite coulisser dans son ventre, elle s’enfonça deux doigts dans sa chatte trempée, et gémit encore plus fort.
Elle était tellement bien dans son fantasme incestueux, qu’elle n’entendit pas la porte d’entrée s’ouvrir, c’était Pierre, son père, qui rentrait du travail, il posa ses affaires, et s’occupa du courrier.
Il trouva une lettre destinée à Sabine, alors il l’appela mais n’eut aucune réponse, il se décida donc à aller lui apporter son courrier dans sa chambre.
Lorsqu’il arriva devant la porte de la chambre de sa fille, il perçut des bruits étranges, comme la porte était entrebâillée, il la poussa doucement.
Il fut totalement abasourdi par le spectacle qui se déroulait sous ses yeux, Sabine avait les yeux fermés, mais les cuisses grandes ouvertes, et se caressait le clitoris en gémissant de plaisir. Elle avait même ouvert son corsage et se pelotait les seins en pinçant ses tétons bien durs.
Pierre ne sut comment réagir, sa fille était majeure, il n’avait pas à intervenir dans sa vie sexuelle, mais elle était si belle et si désirable, qu’il sentit sa bite se mettre à gonfler dans son caleçon, il eut un éclair de moralité, qui lui disait qu’il devait avoir honte de bander pour sa fille, alors il s’apprêtait à partir et à fermer la porte lorsqu’il entendit sabine dire :
- Ouiii, papa, prends-moi, défonce-moi, je veux ta queue.
Pierre en resta figé sur place, et sa bite se durcit d’un coup, il n’arrivait pas à croire ce qu’il venait d’entendre.
Il resta à l’entrée de la chambre de sa fille, tandis que celle-ci n’arrivait plus à se contenter de ses doigts et désirait quelque chose de plus gros au fond de sa chatte, alors elle ouvrit les yeux et chercha ce qu’elle pouvait bien se fourrer entre les cuisses pour se faire jouir.
Ses yeux tombèrent sur son cierge de communion, il était presqu’aussi épais que la bite de Greg, Sabine n’hésita pas une seconde et s’en saisit pour commencer par le faire glisser contre son clitoris gonflé.
Pierre n’en revenait toujours pas, mais sa bite avait atteint une telle raideur qu’il ne se souvenait pas avoir bander aussi dure un jour, son cœur battait à cent à l’heure, ses yeux n’arrivaient pas à renoncer à cette vision infâme de sa fille se donnant du plaisir avec son cierge de communion.
Lorsqu’elle se l’enfonça dans la chatte en gémissant :
- Ooooh, ouiiiii, papaaaaa, vas-yyyy, baise-moiii, défonce-moi
Pierre regarda sa fille s’enfoncer le cierge dans la chatte, sa bite était tellement dure qu’elle lui faisait mal, il sentait pulser le sang dans les veines, il fallait qu’il la libère pour mettre un terme à son supplice, alors il se décida à la sortir et se mit à la branler doucement, en continuant de regarder sa fille jouir avec son cierge.
Sabine le faisait maintenant coulisser doucement dans son vagin, et continuait de gémir :
- Encore, papaaaa, plus fort, je suis ta salope, défonce-moiiii
Pierre, la bite dans une main, n’était plus en état de se raisonner et malgré toute la bienveillance qu’il avait pour sa fille, il ne pensait plus qu’à une chose : fourrer cette superbe petite chatte avec sa bite bien dure.
Et après tout, elle ne demandait que ça, sa fille réclamait sa bite, il ne ferait que satisfaire son désir.
Alors il finit de retirer complètement son pantalon et son caleçon, pour approcher doucement du lit de Sabine, celle-ci ne l’avait toujours pas remarqué, même si ça ne valait pas une bonne queue bien chaude et bien dure, elle prenait son pied avec son cierge.
Pierre monta sur le lit de sa fille qui continuait de faire coulisser le cierge dans sa chatte en feu, il se plaça entre ses cuisses et posa sa bite bien dure contre la main de sa fille.
Sabine ouvrit les yeux et découvrit son père à moitié nu entre ses cuisses, elle n’hésita pas une seule seconde, elle retira le cierge de son vagin et attrapa la bite bien dure de son père, pour placer son gland à l’entrée de sa chatte trempée en lui disant :
- Vas-y, papa, enfonce ta bite, prends-moi, je suis toute à toi, baise-moi.
Pierre ne dit pas un seul mot, il se pencha sur sa fille et sentit sa queue s’engouffrer dans une antre humide et chaude à souhait, il regarda sa fille pousser un long râle de plaisir, tandis qu’il lui attrapait ses superbes seins pour les peloter fermement.
Lorsque Sabine sentit que son père lui avait enfoncé toute sa bite dans la chatte, elle l’attrapa par le cou et lui dit avant de lui rouler une pelle :
- Elle est bonne ta bite, papa, elle me fait du bien, baise-moi, maintenant.
Pierre envoya sa langue dans la bouche de sa fille et tandis que leurs langues tourbillonnaient ensemble, sa bite commençait à coulisser dans ce fourreau si accueillant.
Il prenait un plaisir fou à baiser avec sa propre fille, mais à ce moment précis, il oublia qu’il avait sa bite plantée dans le ventre de sa fille, Sabine n’était plus qu’une superbe créature de luxure qui lui donnait un plaisir incroyable, et il allait lui rendre tout ce plaisir.
Il commença à accélérer les va-et-vient, ses couilles cognaient contre la chatte de cette superbe salope, Sabine abandonna la bouche de son père pour crier son plaisir :
- OUIIII, ENCOORREEEEE, OUIIIII, PLUUSSSS FOOORRTTTT, JE JOUIIIISSSSS
Pierre sentit le vagin de cette magnifique salope se contracter si fort autour de sa bite, et comme il n’avait pas baisé depuis des semaines, il ne put résister à l’envie de fourrer cette merveilleuse petite chatte, il jouit une quantité impressionnante de sperme dans cette antre fantastique.
Sabine partit dans un orgasme ravageur, et tandis que Pierre giclait une dernière fois au fond de sa chatte, il réalisa ce qu’il venait de faire.
Il vit sa fille s’évanouir de jouissance, alors même s’il se sentait si bien au fond de la chatte de sa fille, il retira sa bite, il regarda son sperme suinter de son vagin, en ressentant une immense culpabilité, il avait fait une grave entorse à la morale.
Il se dépêcha de profiter que Sabine soit assoupie pour se rhabiller et partir, il espérait qu’à son réveil, elle ne se souvienne de rien.
Il ne fallait surtout pas que sa femme l’apprenne, sinon c’était fini pour leur vie de famille.
Il descendit dans le salon et essaya de reprendre ses esprits et de comprendre pourquoi il avait succombé à cet acte incestueux.
Mais Solange, sa femme, rentra peu de temps après, et même si Pierre lui parut perturbé, elle était loin de pouvoir imaginer ce qu’il avait pu vivre avec sa fille.
Elle lui demanda :
- Tout va bien, chéri ?
- Euh, oui, oui, juste un petit souci au travail.
Solange partit dans la cuisine pour préparer le diner, tandis que Sabine se remettait de son orgasme incestueux avec son père.
Elle partit prendre une douche et enfila une petite nuisette en coton, qui lui arrivait à mi-cuisse, elle descendit dans le salon et profitant d’être seule avec père, elle lui dit :
- Tu m’en as mis une sacrée dose, papa, mais j’adore ça.
Pierre devint blanc comme un linge, il vérifia que sa femme n’ait rien entendu et dit à sa fille :
- Parle moins fort, si ta mère l’apprend, c’est le divorce assuré.
- Comme tu veux, papa, mais j’ai adoré ça.
Pierre était très mal à l’aise, il se sentait coupable d’avoir succomber à cette tentation particulièrement immorale, mais il avait du mal à reconnaitre sa fille si sage et si prude encore la veille, alors il lui demanda :
- Mais, au fait, depuis quand est-ce que tu n’es plus vierge ?
Sans la moindre honte, Sabine répondit à son père :
- Depuis hier, papa, je me suis fait baiser et même enculer, par un garçon du lycée.
Il fut de nouveau choqué par cette révélation, il ne reconnaissait vraiment plus sa fille si gentille et si réservée la veille encore, mais il chercha à en connaitre la raison :
- Pourquoi tu as fait ça ? je ne te reconnais plus, tu as tellement changé en une seule journée !
- Tu ne vas tout de même pas te plaindre, quand même, c’est grâce à lui que tu as pu me baiser, et tu sais, je me suis fait baiser par d’autres hommes hier aussi.
- Quoi ?!
- Oui, en fait c’est l’homme à tout faire du lycée qui m’a dépucelé la chatte, parce que l’infirmière m’a dit que la bite de Greg était trop grosse pour une première fois, et ensuite j’ai baisé avec mon prof de sport dans le local de la piscine, et enfin c’est le père de Greg qui m’a baisé hier soir.
Pierre n’en revenait pas, il était abasourdi par les révélations inconvenantes de sa fille, il avait laissé partir une jeune fille sage et il retrouvait une grosse salope, qui baisait avec 4 hommes différents le jour de son dépucelage.
Mais il craignit pour sa santé, et il avait lui-même succombé à ses charmes, alors plutôt que de lui faire la morale, il lui dit :
- Il va falloir faire attention, ma chérie, tu peux attraper de graves maladies, il va falloir te protéger si tu veux continuer à mener cette vie de débauchée.
- Oui, tu as raison, je prendrais des capotes, avec moi, maintenant.
- Oui ce serait mieux, et je vais te prescrire un test sanguin, pour se rassurer.
- Merci papa, et on recommence quand tu veux
Mais Pierre ne put lui répondre car sa femme venait d’arriver dans le salon et elle fut surprise de voir sa fille en nuisette, alors qu’ils n’avaient pas encore diner, mais Sabine lui donna pour raison, qu’elle avait fait beaucoup de sport, qu’elle avait eu besoin de prendre une bonne douche, pour se rafraichir et qu’elle voulait être à l’aise.
Solange ne chercha pas à en savoir d’avantage, et lui demanda de mettre la table.
Pierre était encore troublé par ce qu’il venait de faire avec sa fille et de leur discussion, mais en la regardant se pencher en avant pour prendre les assiettes dans le placard, il avait les yeux rivés sur son ravissant petit cul, et sans s’en rendre compte, il se caressa la queue, en imaginant tous les salauds qui avaient baisé sa salope de fille avant lui.
Il se surprit à avoir hâte de pouvoir de nouveau fourrer sa bite dans la chatte de cette petite salope.
Heureusement pour lui, Solange, trop occupée à la cuisine, ne remarqua rien, mais Sabine avait surpris le regard de son père sur son cul, alors pour l’exciter un peu plus, lorsqu’elle dut se pencher de nouveau pour prendre les verres, elle souleva sa nuisette, exhibant à son père ses superbes fesses nues, elle se pencha doucement pour lui laisser tout le temps de la manger des yeux, et elle put aisément lire dans son regard vicieux, qu’il mourrait d’envie de la baiser de nouveau.
Elle se releva juste avant que sa mère ne remarque son petit jeu, totalement immoral, sa nuisette recouvrit ses fesses, mais Pierre eut un mal fou à reprendre le contrôle de ses pulsions, et dût s’isoler dans les toilettes pour se branler, afin que sa femme ne remarque pas la bosse qu’il avait dans le pantalon.
Le diner se passa tranquillement, Sabine ne tenta rien de compromettant, mais lorsqu’ils passèrent au salon, pour regarder la télévision, elle s’assit à côté de son père sur le canapé, tandis que Solange, comme d’habitude, prenait la place dans le fauteuil.
Elle fut surprise que Sabine reste avec eux, en règle générale, elle montait dans sa chambre après le repas, trouvant ennuyeuse les émissions politiques ou les documentaires qu’ils regardaient.

Au bout de quelques minutes d’émission, Sabine plia les jambes sur le canapé, se mettant en position semi- fœtale, les fesses tournées vers son père.
Pierre était concentré sur l’émission, et n’avait pas remarqué le manège de sa fille, mais Sabine avait d’autres idées en tête que cette émission barbante, des intentions beaucoup plus incestueuses et plus lubriques.
Profitant que sa mère n’ait pas une vue directe sur ses fesses, elle remonta doucement sa nuisette, dévoilant à son père son joli petit cul.
Mais celui-ci avait les yeux rivés sur le poste de télé, et son attention était entièrement consacré à l’émission, Sabine fut d’abord frustrée et déçue que son petit manège ne fonctionne pas, alors elle se dit qu’elle devait attirer l’attention de son père, elle vérifia que sa mère soit toute aussi concentrée à l’émission.
Elle posa alors un pied, lentement sur la cuisse de son père, celui-ci sortit enfin de sa léthargie télévisuelle, et fut embarrassé de voir que sa fille exhibait ses superbes fesses, alors que sa mère était juste à côté.
Mais il sentit de nouveau sa bite se redresser dans son pantalon, il n’osa pas bouger, il sentait le pied de sa fille se rapprocher très lentement de la bosse que formait sa queue.
Il n’écoutait plus du tout l’émission, toute son attention était portée sur cette magnifique paire de fesses et sur ce pied qui allait bientôt lui caresser la queue.
Sabine avait atteint son objectif, les yeux de son père était rivé à ses fesses nues, et elle s’en amusait, elle jeta un œil à sa mère, avant de sentir la bosse dure que formait la bite de son père contre son pied.

A ce moment-là, Pierre se retint comme il put de pousser un long gémissement de plaisir, et sans le vouloir consciemment, il posa une main sur les fesses de sa fille.
Il sentait maintenant son pied lui caresser doucement la bite, alors n’y tenant plus, et en sentant cette peau douce et chaude contre sa main, il jeta un œil à sa femme avant de glisser ses doigts dans la raie du cul de sa fille pour commencer à lui caresser l’anus et la chatte.

Sabine n’avait encore rien dit, mais elle avait gagné, son père succombait à ses désirs, alors pour bien lui faire comprendre où elle voulait sentir ses doigts, elle posa sa main gauche sur sa fesse et l’écarta, tout en lui mimant de son autre main, de lui enfoncer ses doigts dans le cul et la chatte.
Pierre n’arrivait pas à croire que sa fille soit devenue aussi salope, il avait de plus en plus de mal à ne pas se jeter sur elle pour la baiser et la défoncer comme elle le méritait, jusque-là, la présence de sa femme arrivait encore à réfréner ses pulsions, pourtant l’invitation obscène de sa fille, le fit complètement craquer, il lui enfonça un doigt dans chacun de ses orifices, et fut presque déconcerté de sentir son anus accepter si facilement l’introduction de son doigt.
Sabine se mordit les lèvres pour ne pas gémir de plaisir, elle sentait les doigts de son père dans ses orifices, et ça la rendait complètement folle, lorsqu’il commença à les faire coulisser, elle sut qu’elle ne tiendrait pas longtemps avant de crier de plaisir.
Mais Pierre n’était pas mieux, Sabine frottait son pied le long de sa queue, et lorsqu’elle voulut le faire glisser à l’intérieur de son pantalon, il ne trouva rien de mieux que de l’aider en ouvrant sa braguette et en sortant sa bite bien dure, pour que sa fille puisse la branler avec son pied.
Il n’était plus en état de réfléchir et même si sa femme était juste à côté et que s’il lui venait l’idée de tourner la tête, elle aurait vu sur une scène des plus immorale et obscène.
Sabine, la cuisse en l’air, les pieds autour de la bite de son père, tandis que celui-ci lui enfonçait ses doigts dans son cul et sa chatte.
Heureusement pour eux, Solange était trop concentrée sur l’émission télé et ne remarqua même pas lorsque Pierre glissa vers Sabine pour placer sa bite à l’entrée de sa chatte trempée.
Il enfonça sa queue dans son vagin brulant, d’un puissant coup de rein et glissa une main sous sa nuisette pour aller lui pétrir les seins.
Sabine était à la fois excitée et effrayée, elle se faisait baiser par son père, alors que sa mère était juste à côté, elle sentait sa bite s’enfoncer au fond de sa chatte en feu, ses mains lui peloter les seins fermement, elle faisait tout son possible pour ne pas gémir de plaisir, afin de ne pas attirer l’attention de sa mère.
Pourtant elle mourrait d’envie d’exprimer son plaisir, mais elle craignait que sa mère ne soit pas aussi ouverte que son père pour les relations incestueuses.
Alors que son père commençait à faire coulisser doucement sa bite dans sa chatte, elle vit sa mère commencer à piquer du nez, elle stoppa son père, craignant qu’elle ne se lève pour aller se coucher.
Pierre avait également remarqué l’état de somnolence de sa femme, et hésitait à reprendre une position plus convenable, mais il était si bien au fond de la chatte brulante de sa fille, qu’il ne bougea pas d’un poil.
Ils attendirent immobiles, emboités l’un dans l’autre, dans une ambiance étrangement lubrique, et après quelques minutes d’incertitude, Pierre n’en pouvant plus de rester transi dans cette chatte en feu, commença à reprendre doucement les va-et-vient.
Solange s’était complètement assoupie sur le fauteuil, tandis que sa fille se faisait fourrer la chatte par son père.
Au fil des pénétrations, Pierre prit de plus en plus confiance, et voyant que sa femme s’était totalement endormie, se mit à envoyer de puissants coups de bite dans la chatte de Sabine, celle-ci ne se retint plus de gémir et put exprimer pleinement le plaisir que lui procurait la queue de son père.
Elle retira complètement sa nuisette et se retrouva à poil sur le fauteuil, avec la bite de son père qui lui défonçait la chatte.
Oubliant complètement la présence de sa femme, Pierre se mit également à poil et ils changèrent de position, Sabine l’enjamba et s’empala la chatte sur sa queue de son père en lui disant :
- Vas-y, papa, défonce-moi, elle est trop bonne ta bite.
Elle se mit à chevaucher la queue de son père, tandis qu’il bouffait ses tétons durs d’excitation, il lui mordillait à lui en faire mal, mais elle jouissait, elle prenait un plaisir fou à baiser avec son père, alors que sa mère était endormie juste à côté.
Mais elle voulait sentir sa bite dans chacun de ses orifices, alors tout en chevauchant la bite de son père, elle lui dit entre deux gémissements :
- PapAAAAAAA,… , tu AAAASSSS,…, déjAAAAAA, …, enculEEEEEE, …, mamAAAAANNNNN ?
Pierre dut abandonner les seins si doux de sa fille pour lui répondre, et tandis qu’elle continuait de monter et descendre sur sa bite, il lui dit :
- Non, ta mère n’est pas aussi salope que toi, ma chérie.
- OHHH, OUIIIIII, J’AIIII ENVIIIEEE DEEEE TAAAA QUEUEEEEE DANNNSSSS MOOONNNN CCUUUULLL
- Ma bite est toute à toi, ma puce.
Sabine jeta un regard vers sa mère, qui dormait toujours profondément, Sabine savait que si elle se faisait enculer par son père, sur le canapé, elle jouirait comme une folle et ses cris de jouissance risquaient de réveiller sa mère.
Mais le désir de sentir la bite de son père au fond de son cul était plus fort que la crainte de se faire surprendre en plein acte incestueux par sa mère, alors elle se redressa, descendit du canapé et se retourna pour mettre ses fesses au-dessus de la queue de son père.
Elle se tenait les fesses écartées et dit à son père :
- Place ta bite contre mon anus, je me suis déjà fait enculer, et j’adore ça.
Pierre obéit à sa fille, mais alors que son gland ouvrait si facilement l’anus de Sabine qui palpitait d’impatience, il lui dit :
- Tu es vraiment une sacrée salope, ma fille.
Sabine ne lui répondit pas, descendant ses fesses sur la bite de son père, elle sentit son anus s’ouvrir et accepter ce tout nouveau visiteur de ses intestins, elle poussa un long gémissement de plaisir en sentant la queue paternelle s’enfoncer doucement au fond de son cul.
Mais le plaisir était partagé par Pierre, c’était la première fois qu’il pouvait enfoncer sa bite dans le cul d’une salope, que cette salope soit sa propre fille ne le dérangeait plus du tout, il sentait sa bite agréablement compressée par les sphincters de Sabine, qu’il en poussa un grognement de plaisir.
Sabine continua de descendre son cul jusqu’à ce que ses fesses touchent le pubis de son père, elle avait réussi à se prendre toute la bite paternelle dans le cul, et ressentit une intense extase.
Elle était immobile à apprécier la présence de la bite de son père plantée au fond de son cul, lorsque sa mère se réveilla, qui se leva encore somnolente.
Pierre et Sabine restèrent figés, l’un avec la bite au fond du cul de l’autre, Sabine eut tout juste le temps d’attraper sa nuisette pour se couvrir et ne pas paraitre complètement nue aux yeux de sa mère.
Mais Solange était encore suffisamment endormie pour ne pas remarquer que son mari était à poil derrière sa fille, et qu’il avait sa bite plantée au fond de son cul.
Elle les regarda à peine et les laissa en leur souhaitant :
- Bonne nuit.
Les cœurs de Pierre et de Sabine battaient à cent à l’heure, jusqu’à ce qu’ils entendent la porte de la chambre parentale se refermer.
A partir de ce moment, ils se déchainèrent, Sabine se fit défoncer le cul par son père et ne se gêna pas pour crier son plaisir, mais même si elle jouit plusieurs fois avec la bite de Pierre dans chacun de ses orifices, le fait que sa mère ne soit pas là, émoussa un peu son plaisir.

Lorsque son père finit par lui jouir dans le cul, alors qu’il l’enculait à genou, et à plat ventre contre la table basse du salon, elle s’évanouit en hurlant de plaisir.
Lorsqu’elle eut repris pied dans la réalité, elle se dit qu’elle allait devoir trouver un moyen pour pouvoir baiser avec son père, et en présence de sa mère.
Elle comptait sur l’aide à Greg, pour satisfaire ses désirs, mais il était déjà tard, et elle avait le cul qui débordait du sperme de son père.

Pierre avait attendu à poil sur le fauteuil, admirant le cul de sa fille, d’où suintait doucement son sperme, et il se dit qu’il avait peut-être commis l’irréparable, mais il ne pourrait plus passer une journée sans fourrer cette superbe salope, mais il fallait qu’il découvre ce qui l’avait rendu si salope.
Il avait laissé une jeune fille prude et chaste le vendredi, et il avait retrouvé une chienne en chaleur le samedi, il ne le regrettait pas, mais il voulait savoir qui avait bien pu faire de sa fille, la salope qu’elle était aujourd’hui, et qui apparemment s’était prise des bites par tous les trous.
Ils allèrent tous les deux, prendre une bonne douche et partirent se coucher dans leurs chambres respectives.

Le lendemain matin, tout le monde se leva aux heures habituelles, et alors que Solange était en train de se doucher, Sabine se retrouva de nouveau seule avec son père dans la cuisine, et lorsqu’il lui plaqua les mains aux fesses en lui disant :
- J’ai rêvé de ton cul toute la nuit, ma petite salope.
Sabine lui fit un sourire des plus lubriques, elle se pencha en avant et cambra ses fesses, en lui disant :
- Mais il est tout à toi, mon papa chéri.
Pierre ne résista pas à l’envie de retrousser la nuisette de sa fille, pour lui peloter ses superbes fesses.
Sabine posa ses épaules sur le meuble et vint s’écarter les fesses avec les mains en disant :
- Vas-y, papa, encule-moi, défonce-moi le cul, comme hier soir
Pierre sortit sa bite et lui glissa entre les fesses, il enfonça sa queue au fond du cul de sa fille d’un puissant coup de rein, la faisant crier de plaisir et de surprise mélangé.
Il s’agrippa aux fines hanches de Sabine et commença à lui besogner le trou de bal violemment, il lui grognait :
- Tu n’es vraiment qu’une chienne en chaleur, ma fille, ton cul est si accueillant, c’est si bon de t’enculer, salope.
- Ouiiii, papaaaa, défonce-moiiii le cuuuulll, vas-yyyy, encule-moiiiii bien fooorrtttt
Les fesses de Sabine se mirent à claquer à chacun des coups de queue que son père lui mettait au fond du cul.
Elle gueulait de plaisir, et l’encourageait à continuer toujours plus vite et toujours plus fort.
Pierre ne résista pas longtemps à l’envie de fourrer de nouveau le cul de sa fille avec son sperme bien chaud.
Il lui envoya de puissantes giclées de sperme dans les intestins et se vida les couilles une nouvelle fois entre les fesses de sa fille, Sabine reprenait doucement son souffle après avoir encore joui comme une folle.
Pierre eut tout juste le temps de remballer sa queue encore couverte de sperme et de tache brunâtre, tandis que Sabine rabaissait sa nuisette avec le cul suintant du sperme de son père, lorsque Solange sortit de la salle de bain.
Elle les trouva anormalement rouge, et leur demanda :
- Ça va, tous les deux ? Vous avez l’air d’avoir fait un marathon
Sabine n’avait pas suffisamment repris son souffle pour répondre, alors c’est Pierre qui répondit :
- C’est presque ça, on a fait quelques exercices matinaux pour se mettre en forme.
- C’est bien ça, bon je vous laisse, je file au boulot.
Lorsque Sabine eut repris son souffle, elle se rapprocha discrètement de son père, et lui caressa l’entrejambe en lui murmurant :
- J’espère qu’on recommencera nos exercices matinaux, tous les jours.
- On verra, faut que j’aille bosser, moi aussi.
Solange venait de sortir de la maison, et avant que son père en fasse autant, Sabine l’interpela en lui disant :
- Dis papa, ça te dérangerait que maman couche avec un autre homme ?
- Euh, …, pourquoi tu me demandes ça ?
- Eh bien, je me disais que si elle acceptait de baiser avec un autre homme, et qu’on la surprenait en pleine baise, elle ne pourrait pas nous reprocher de baiser ensemble.
- Tu as des idées tellement vicieuses derrière la tête toi, ma fille.
- Tout à fait, et donc, tu accepterais que je ramène un ami pour qu’il la baise ?
- Euh, c’est peut-être un peu rapide, je ne sais pas.
- Tu ne voudrais pas pouvoir me baiser n’importe où et n’importe quand, même devant elle, sans qu’elle ne puisse rien nous reprocher.
Pierre n’arrivait toujours pas à croire que sa fille si innocente, soit devenue si dépravée, il prit quelques secondes pour réfléchir à cette proposition, certes, très alléchante, mais également très risquée, il se demanda s’il se sentait prêt à prendre le risque que sa femme baise avec un autre homme ?
Sabine insista :
- Alors, tu acceptes ?
Pierre était pressé et il se dit qu’il voulait rencontrer celui qui avait transformé sa gentille fille en une chienne en chaleur, il essaya de se rassurer en se disant que sa femme était loin d’être une femme facile, très catholique, et très vertueuse, elle avait toujours refusé de coucher avec lui en pleine lumière, il ne se souvenait même pas l’avoir déjà vu complètement nue, alors il estima qu’il ne prenait pas tellement de risque, et il répondit :
- Ok, mais si ta mère refuse, on n’insiste pas, et on fera ça en secret.
- Ok, merci papa, à ce soir.
Pierre sortit de la maison et prit la route avec des pensées obscènes, plein la tête, il se remémorait tout ce qu’il venait de vivre avec sa fille, et il ne comprenait toujours pas comment sa fille si sage et si pure était devenue aussi dépravé et aussi vicieuse, mais il avait pris un plaisir incroyable en lui fourrant le cul et la chatte, même s’il avait encore quelques remords à avoir succomber à l’inceste, il ne se souvenait pas avoir pris autant de plaisir avec une femme, jusqu’à hier, il n’avait jamais fourré sa bite dans le cul d’une femme, et aujourd’hui, il avait enculé plusieurs fois sa salope de fille.
Pierre failli avoir un accident en revoyant les images du cul de Sabine avec sa bite plantée entre ses superbes fesses, il essaya de se ressaisir, mais il sentait qu’il bandait, rien que de penser aux fesses de sa fille.
Il se dit qu’il allait avoir du mal à s’en passer, et se surprit même à espérer que celui qui avait dévergondé sa fille ait le même effet sur sa femme, il se mit à s’imaginer en train d’enculer sa fille sur le canapé, tandis que sa femme était à genou, complètement nue sur le fauteuil, et qu’elle se prenait la bite d’un autre homme dans la chatte.
Il faillit rentrer, de nouveau, dans une voiture, et freina de justesse, il se rendit compte qu’il bandait dur, il se donna des gifles pour arrêter de fantasmer, mais il trouvait que la proposition si indécente de sa fille l’excitait énormément, elle n’avait pas tort, si Solange acceptait de coucher avec un autre homme, elle aurait commis l’adultère, et Pierre pourrait s’engouffrer dans cette faille pour l’accuser d’avoir fait plonger leur famille dans la luxure, et ainsi, justifier de l’attitude perverse de leur fille qu’il baiserait pour assouvir la débauche des femmes de cette famille.
Mais dans son délire obscène, il se demanda bien comment celui qui avait transformé sa fille en grosse salope, allait s’y prendre pour dévergonder sa femme.

Il eut la réponse le soir même, Sabine avait passé la journée au lycée, elle était à peine arrivée qu’elle avait rejoint Greg et après lui avoir roulé une pelle passionnée, elle lui raconta son histoire avec son père et lui demanda s’il accepterait de baiser sa mère.
Greg réfléchissait à mettre en place la seconde phase de sa vengeance, il avait déjà baisé la mère de Margot, et il pouvait compter sur Antoine et ses amis pour s’occuper d’elle et de sa fille, comme Sabine était la seconde fille qu’il avait baisé, il était donc naturel que sa mère soit la suivante, également.
Il regarda les six salopes qu’il avait baisé et se dit qu’elles étaient toutes passées de fille fière et hautaine à celui de salope en chaleur, elles passaient maintenant leur temps dans les toilettes à vider les couilles des garçons du lycée.
Alors après avoir accepté la proposition de Sabine pour baiser sa mère, il se dit qu’il avait baisé avec Sabine sans utiliser son fameux programme, alors il allait tenter de dévergonder sa mère sans l’utiliser non plus, il commençait à avoir une grande confiance en lui, et se sentait prêt à passer à la seconde phase de sa vengeance, après avoir dévergonder les filles, il allait s’occuper des mères.
Ils passèrent donc la journée à préparer la déchéance de Solange, et comme elle ne travaillait pas le vendredi, ils prévirent donc de faire cela le prochain jeudi soir.

Quelques jours plus tard, à la fin des cours du fameux jeudi, Greg accompagna Sabine chez elle, et comme ses parents rentraient tard, ils s’adonnèrent à leur sport favori et baisèrent un peu partout dans la maison.
Lorsque son père rentra, Sabine venait tout juste de recevoir le sperme de Greg au fond de son cul, et était encore à poil sur le canapé du salon.
Greg était également complètement nu, la bite encore bien raide, il alla serrer la main de Pierre, ce dernier était abasourdi, il ne s’imaginait pas retrouver sa fille à poil avec un garçon, dont la taille de la bite était vraiment impressionnante.
Sabine se redressa, encore essoufflée, et le cul suintant le sperme de Greg, elle dit à son père :
- Coucou, papa, je te présente Greg, c’est grâce à lui que ta fille est devenue une petite salope, et je pense que maman va également beaucoup l’apprécier, enfin surtout sa grosse bite, tu verras.

Pierre avait passé sa journée à imaginer ce garçon, il regarda mieux Greg, et mis à part son énorme bite, il n’avait rien qui pouvait séduire une femme, et encore moins la sienne, qu’il savait particulièrement coincée du côté sexuel, il estima que ce garçon bedonnant et disgracieux n’avait aucune chance de dévergonder sa femme, et il en fut étrangement déçu.
Mais il fut également très intrigué, car il se demandait comment ce garçon indigne de la beauté de sa fille, avait réussi à la faire plonger dans la luxure.
Il lui serra la main, en regardant le seul atout à sa faveur, son énorme bite, mais s’il comptait là-dessus pour séduire sa femme, il allait plutôt la faire fuir, et Pierre sourit en imaginant sa femme s’enfuir devant un tel engin.
Mais il se souvint qu’elle n’allait pas tarder à arriver, et comme les deux jeunes étaient encore à poil et que ça sentait le sexe partout dans le salon, il leur dit :
- Montez-vous habiller, je vais aérer un peu, avant que Solange n’arrive.
Sabine et Greg finissaient tout juste de monter l’escalier lorsque la porte d’entrée s’ouvrit et que Solange entra chez elle.
Pierre avait fait son possible pour aérer, mais il persistait une forte odeur de sperme et de sueur mélangé, Solange avait le nez fin, elle remarqua aussitôt cette odeur très particulière, mais elle n’arrivait pas à mettre un nom dessus, elle ne la trouvait pas désagréable, et même à force de chercher son origine, elle lui procurait une curieuse sensation, c’était étrangement enivrant, alors avant que les fenêtres ouvertes pas son mari ne la fasse partir complètement, elle lui demanda :
- Peux-tu fermer les fenêtres, Pierre, s’il te plait.
Un peu étonné, il lui répondit :
- Euh, …, oui
Il s’effectua et remarqua que sa femme semblait rechercher l’origine de l’odeur de baise de sa fille et de Greg, il la regarda continuer à humer en se demandant si le peu d’expérience sexuelle qu’elle avait, lui permettrait de deviner ce qui sentait comme ça.
Mais malgré la sensation agréable et émoustillante que cette odeur lui procurait, elle n’arriva pas à en définir la provenance, ce qui la frustra et fit sourire intérieurement Pierre.
Il la laissa chercher quelques minutes et lui dit :
- Au fait, nous avons un invité ce soir, Sabine a invité un copain.
Cessant sa prospection olfactive, elle répondit, étonnée :
- Ah bon ?
- Oui, un certain Greg, ils sont en train de réviser dans sa chambre.
Alors que Sabine était plutôt à genou devant Greg et finissait de lui nettoyer sa grosse bite avec sa langue vicieuse.
Solange questionna son mari :
- Tu l’as vu ? c’est son petit copain ? tu n’as pas peur de les laisser seuls dans sa chambre ?
- Doucement avec tes questions, alors oui je l’ai vu, …
- Et ?
Pierre hésita sur la deuxième réponse, mais comme sa fille baisait avec ce garçon, il répondit :
- Euh, oui, apparemment ils sortent ensemble ?
- Et tu les laisses seuls dans sa chambre, tu es fou ou quoi ?
Retenant sa femme qui s’apprêtait à monter pour surveiller les deux jeunes pervers, et voulant être certain qu’ils avaient eu le temps de se rhabiller, il lui dit :
- Laisse-les, ait un peu confiance en ta fille, ce n’est pas une fille débauchée
Semblant convaincre sa femme, Pierre se disait pour lui-même :
 Si tu savais, ma pauvre, comme ta fille est une sacrée salope.
Solange consentit à laisser sa fille et ce fameux Greg tranquille, et dit :
- C’est vrai, tu as raison, Sabine est une fille sage et réservée, elle a la tête sur les épaules.
A ce moment précis, elle l’avait plutôt entre les cuisses de Greg, en train de lui sucer le gland.
Elle finit de lui nettoyer la bite et lui dit :
- Allez, faut qu’on s’habille, tu as ma mère à baiser.
- Comme je t’ai dit, ce sera avec plaisir, mais il faut que j’apprenne à la connaitre avant de savoir comment m’y prendre avec elle.
- Oui, ok, mais tu verras, elle est très coincée du cul, je me demande si je tiens mon côté salope de mon père.
Ils se rhabillèrent et descendirent rejoindre les parents de Sabine.
Lorsque Solange découvrit Greg, elle fut d‘abord stupéfaite que sa fille sorte avec ce garçon, si malvenu, puis lorsqu’il vint lui faire la bise, elle fut de nouveau envahie par cette odeur si singulière, elle découvrait enfin l’origine de cette effluve.
Elle était certaine que ce n’était pas un parfum, cela émanait de lui, de sa peau, et curieusement elle oublia le côté disgracieux de ce garçon et le trouva fabuleusement attirant.
Elle lui demanda :
- Alors, vous sortez avec ma fille ?
- Euh, oui, en quelque sorte.
Intriguée par la réponse, Solange demanda :
- Comment ça, en quelque sorte ?
Mais avant que Greg ne s’enfonce d’avantage, Sabine intervint et lui répondit :
- Maman, on est ensemble depuis 3 jours seulement.
Solange ressentit une étrange satisfaction à ce que leur relation soit toute récente, et n’insista pas d’avantage, elle continua de questionner Greg sur ses passions et ses désirs.
Inconsciemment, elle n’arrivait pas à s’éloigner de lui, elle désirait conserver cette fragrance près d’elle, pendant ce temps, Sabine s’était rapprochée de son père et lui caresser la bite discrètement par-dessus son pantalon, en lui chuchotant :
- Je crois que maman est sous le charme.
Pierre était perturbé, à la fois, par les caresses de sa fille, mais surtout par la réaction de sa femme, qui semblait envoûtée par ce jeune homme si ingrat, il n’arrivait pas à en comprendre la raison, et alors que sa fille refermait ses doigts sur la bosse que formait sa queue, il se surprit à se demander si sa femme n’allait pas finir par succomber.
Mais alors que Solange ne leur prêtait plus la moindre attention, il glissa sa main sous la jupe de sa fille, et lui pelota ses superbes fesses nues.
Sabine le laissa faire et lui chuchota :
- Doucement, papa, tu pourras bientôt me baiser devant maman, soit un peu patient.
Pierre se rappela la raison de la présence de Greg, il devait pervertir sa femme, la rendre aussi salope que sa fille, et étrangement en la regardant discuter avec lui, il était de plus en plus persuadé, qu’il allait arriver à ses fins.
Il se mit à bander comme un âne, en imaginant sa femme s’offrir à Greg, et la main de sa fille n’arrangeait rien à son excitation, il mourrait d’envie de plaquer cette salope sur la table et de lui défoncer la chatte, mais il ne voulait pas interrompre ce moment hors du temps, la main de sa fille cramponner à sa queue, sa main sur les fesses de sa fille et sa femme qui détestait qu’on la touche, laissait Greg lui caresser l’épaule, le bras, la main, en souriant, en rougissant même.
Pierre crut qu’il allait jouir dans son pantalon, tellement ça l’excitait, alors, lorsque Greg se rapprocha doucement de sa femme et osa poser sa main sur sa hanche, sans qu’elle ne la retire et qu’elle ne se préoccupe si son mari ou sa fille étaient là.
Pierre attrapa alors Sabine par le cul, et s’assit doucement au bout de la table, il ouvrit son pantalon pour sortir sa bite bien dure.
Sabine comprit parfaitement ce que désirait son père, elle se glissa sous la table et commença à lui pomper la bite.
Mais c’était tellement bon de sentir sa langue et sa bouche si chaude autour de sa bite, qu’il ne put retenir un long râle de plaisir.
Et alors que la main de Greg glissait dangereusement vers les fesses de Solange, celle-ci entendit son mari soupirer, et se rappela qu’il n’était pas loin.
Elle retira, à contrecœur, la main de Greg de sa hanche, et rougit de désarroi.
Heureusement ou peut-être malheureusement, elle ne pouvait pas voir Sabine, sous la table en train de pomper la bite de son père avec appétit.
Elle reprit un peu ses esprits et ayant un peu honte, demanda à son mari :
- Sabine n’est pas là ?
Pierre était au bord de l’éjaculation, il ne put répondre que :
- Nooonn, elle est occupée.
Encore toute embrouillée, par ce qu’elle ressentait, Solange ne remarqua pas l’extase de son mari, elle avait le ventre rempli de fourmis, ses seins semblaient avoir gonfler, elle n’osa pas se l’avouer mais ses tétons pointaient atrocement, et son entrecuisse était trempé.
Elle prit une profonde inspiration et dit :
- Bon je vais préparer le diner.
Aussitôt Greg lui répondit :
- Bonne idée, vous voulez un coup de main ?
Solange répondit avec une rapidité et avec un tel désir qu’elle se surprit elle-même :
- Oui, avec plaisir, suivez-moi.
Dès qu’elle fut enfin seule avec Greg dans la cuisine, elle sentit ses jambes se mettre à flageoler, elle s’agrippa au plan de travail, pour éviter de tomber, remarquant son émoi, Greg posa sa main dans son dos, et lui demanda :
- Ça va, Solange, vous allez bien ?
Elle sentait la main chaude de Greg dans le bas de son dos, elle eut honte de cette pensée, mais elle aurait voulu la sentir encore plus bas, elle eut un vertige en imaginant la main de Greg lui caresser les fesses, et s’écroula sur le sol.
Greg la retint comme il put, mais maintenant qu’elle était à genou devant lui, l’odeur si particulière qui se dégageait de ce jeune homme était encore plus forte, Solange leva la tête et ses yeux se posèrent instinctivement sur sa braguette, elle était obnubilée par cette odeur si forte et si douce, elle l'enivrait, elle la captivait, alors oubliant toute retenue et toute son éducation puritaine, elle posa ses mains sur la ceinture de Greg et commença à la défaire.
Il régnait un silence de plomb dans la cuisine, seuls les cliquetis de la ceinture de Greg troublait ce lourd silence.
Solange était prise d’une impatience incontrôlable, elle continua sa prospection, s’attaquant au bouton du pantalon, puis rapidement à la braguette, elle tira ensuite un coup sec sur le pantalon de Greg, qui se retrouva en caleçon devant Solange.
Elle vit une bosse énorme déformer ce sous-vêtement, mais l’odeur était maintenant si forte qu’elle l'envoûtait totalement, elle était soumise à une force incontrôlable, alors n’écoutant plus que ses désirs les plus inavouables, elle attrapa l’élastique du caleçon et le baissa pour libérer l’énorme bite de Greg.
Alors qu’elle n’avait jamais vu un sexe masculin de sa vie, elle savait qu’elle avait enfin l’objet de ses convoitises sous les yeux, sans aucune hésitation elle la prit doucement entre les mains, elle était impressionnée par sa taille, mais curieusement elle n’en avait pas peur, et sentant son entrecuisse tellement chaud et humide, qu’elle avait presque hâte de sentir ce sexe incroyable en elle.
Sans que Greg n’ait rien à lui dire, elle se rapprocha de ce sexe tendu, et alors qu’elle avait toujours refusé de le faire à son mari, trouvant cela particulièrement dégoutant et abject, elle ouvrit la bouche et se mit à passer sa langue tout le long de cette bite impressionnante.
Mue par un instinct qu’elle ne se connaissait pas, elle se mit à sucer et à lécher cette bite fabuleuse, avec envie, elle désirait donner du plaisir à son amant, et elle se sentait prête à assouvir tous ses désirs.
Tandis que Pierre, qui avait emmené Sabine juste à côté de l’entrée de la cuisine, avait tout suivi, et alors que sa femme commençait à sucer la bite de Greg, il jouit au fond de la chatte de sa fille.
Il regardait sa femme sucer avec envie la bite énorme de Greg, alors qu’elle avait toujours refusé, ne serait-ce que toucher sa queue, il en était presque jaloux, mais il ne pouvait qu’admettre que ce garçon avait le don de transformer les filles et les femmes vertueuses en de grosses salopes.
En finissant de remplir la chatte brulante de sa fille, il se demanda jusqu’où il allait faire plonger sa femme dans la luxure.
Solange était trop concentrée à s’appliquer à donner du plaisir à son jeune amant pour entendre sa salope de fille jouir sous les coups de queue de son père, plus rien ne comptait que cette bite qui l’ensorcelait prodigieusement.
Alors que c’était sa première fellation, elle s’appliqua et passa sa langue dans chaque recoin de cette énorme queue, allant jusqu’à lécher et sucer les bourses légèrement velues de Greg.
Ce dernier prenait un plaisir fou à se faire sucer par la langue vicieuse de cette petite bourgeoise, prête à devenir une belle grosse salope.
Greg avait fini de retirer complètement son pantalon et son caleçon et après qu’elle lui ait bien pomper la queue, il lui dit :
- Relevez-vous.
Il fut étonné de continuer à la vouvoyer, mais cela rajoutait à son plaisir de dévergonder cette superbe bourgeoise.
Il l’aida à se relever, et une fois qu’elle fut debout, il se glissa doucement dans son dos en lui disant :
- Vous êtes à moi, ce soir.
Bien que ce soit une évidence pour Solange, cette phrase fut comme une marque indélébile dans son esprit, elle lui appartenait, elle était prête à tout pour satisfaire ses désirs, et alors qu’elle sentait glisser la fermeture éclair de sa robe, elle se sentait devenir une autre femme.
Lorsque sa robe tomba sur le sol, ce fut comme-ci la Solange fidèle et innocente tombait avec elle sur le sol, elle se retrouva en sous-vêtement au milieu de la cuisine, devant son amant, et alors que Greg s’attaquait à l’agrafe de son soutien-gorge, elle attrapa, elle-même, les bords de sa culotte et la fit glisser sur ses cuisses.
Ses sous-vêtements tombèrent à leur tour sur le sol, et Solange se sentit libérée d’une énorme entrave, elle pouvait enfin devenir cette femme qu’elle sentait naitre au contact de Greg, une femme prête à s’offrir corps et âme, afin de satisfaire les moindres désirs de son amant.
Il revint se placer devant elle, et tout en collant son énorme bite contre son ventre, il la poussa doucement vers la table de la cuisine, en lui caressant les seins.
Sous la douce poussée de Greg, Solange recula en venant rouler une pelle à celui qui allait achever sa transformation, et lorsqu’elle sentit la table contre ses fesses, elle se hissa dessus et écarta les cuisses, sentant cette bite si chaude et si dure venir frotter contre son clitoris.
Ce simple contact de leurs sexes, la fit monter sur un petit nuage d’allégresse, et s’offrant totalement à son amant, elle lui dit :
- Allez-y, je veux la sentir, toute entière, en moi.
La chatte de Solange était tellement trempée, que Greg n’eut aucune mal à enfoncer son gland dans cet antre brulant, et alors qu’il s’enfonçait doucement en elle.
Solange sentait les paroi de son vagin épouser chaque contour de cette bite prodigieuse, la sensation était extraordinaire, jamais elle n’avait ressenti une telle chose en elle, chaque cm de cette queue qui s’enfonçait dans son ventre, la faisait devenir une nouvelle femme, cette femme si chaste et vertueuse qu’elle avait été toute sa vie, laissait place à une femme libérée de toute moralité ou de toute pudeur superflue.
Lorsqu’elle sentit le pubis de Greg se mêler au sien, elle sut qu’elle avait réussi à accueillir entièrement le sexe de son amant, au fond de son ventre, cela lui procura une intense jouissance, et elle s’offrit complètement à lui, elle s’allongea sur la table, le laissant pétrir ses seins et jouer avec ses tétons bien durs.
Et alors que Greg commençait à faire coulisser sa grosse bite au fond de sa chatte, elle se mit à gémir de plaisir, en lui disant :
- Ouiiii, encoooreeee, ouiiiii, pluuusss FFOOORRTTTT

Même si Pierre venait de jouir dans la chatte de sa fille, le spectacle si lubrique qui se déroulait devant ses yeux, le faisait bander comme un fou.
Il ne reconnaissait plus sa femme, jamais elle n’avait voulu coucher avec lui en pleine lumière, jamais elle ne lui avait sucé la bite, jamais elle ne s’était offerte comme elle s’offrait sans retenue à ce Greg.
Tout en regardant sa femme se faire fourrer la chatte par l’énorme queue de Greg, il profita que sa salope de fille ait le cul toujours bien cambré, pour enfoncer sa bite à l’intérieur.
Il était toujours surpris de la facilité avec laquelle il enculait sa fille, mais elle ne lui avait pas menti, elle s’était faite enculer par la grosse bite de Greg, elle poussa simplement un gémissement de plaisir, et reçut la queue de son père au fond de son cul sans ressentir la moindre douleur, et lui dit :
- Mmmmmm, ouiiii, papa, vas-y, défonce-moi le cul.
Pierre se mit à enculer sa fille, tout en regardant sa femme jouir sous les coups de queue de Greg.
Solange, complètement nue sur la table de la cuisine, le sexe de son manant qui coulissait de plus en plus fort au fond du sien, l’avait transporté dans un autre monde, empli de volupté et de plaisir.
Plus rien ne comptait que cette bite qui cognait contre son utérus, elle gémissait de plaisir, elle laissait son jeune amant jouer avec ses tétons bien durs, et cela lui procurait encore plus de plaisir.
Elle finit par atteindre le summum de la jouissance, et découvrit pour la première fois de sa vie, l’orgasme, elle poussa un cri empli de joie et de bonheur, et alors que Greg sentait son vagin se contracter fortement autour de sa bite, elle s’évanouit sur la table de la cuisine.

Il attendit que les contractions diminuent pour retirer sa queue toujours bien raide de sa chatte brulante, et dans un élan de tendresse pour cette femme qui découvrait le plaisir, il la souleva et la prit dans ses bras pour la porter jusqu’à sa chambre.
Il passa devant Pierre et Sabine qui avaient interrompu leur sodomie incestueuse, et Pierre lui indiqua où emmener sa femme, et tandis qu’il s’apprêtait à les suivre, Greg lui dit :
- Je reste seul avec elle, cette nuit, à partir d’aujourd’hui, elle n’est plus vraiment votre femme, mais votre fille saura très bien s’occuper de votre bite.
Pierre en resta sans voix, mais il le laissa emmener sa femme dans leur chambre, et tandis que Sabine l’entrainait dans la sienne, Greg déposait Solange sur son lit.
En sentant la fraicheur des draps, elle émergea doucement de son merveilleux monde de plaisir, et en voyant Greg à ses côtés, qui caressait tendrement ses seins nus, elle sourit, elle était heureuse d’être avec son amant, elle avait totalement oublié son mari et sa fille.
Alors elle se redressa et tandis qu’elle plaquait les épaules de Greg sur le lit, elle l’enjamba et s’assieds sur sa grosse tige, toujours aussi dure, en lui disant :
- À moi de vous donner du plaisir.
Mais lorsqu’elle sentit sa chatte trempée se poser sur cette bite si chaude et si dure, elle ne put s’empêcher de la faire glisser le long de ce fabuleux organe, et tandis que Greg reprenait possession de ses seins, elle ferma les yeux et se mit à pousser de longs soupirs de plaisir.
Greg trouva curieux qu’elle continue de le vouvoyer après qu’il l’ait baisé, mais cela lui procurait un plaisir étrange et ses mouvements de bassin le long de sa queue ne faisait que l’accentuer.
Il sentait sa chatte imbiber sa bite de sa mouille, et dans un mouvement de bassin plus ample que les autres, Solange plaça le gland à l’entrée de son vagin, et la réaction qui suivit, fut surprenante pour eux deux.
Greg sentit sa bite se faire aspirer dans un fourreau chaud et humide à souhait, tandis que pour Solange, la sensation fut encore plus excitante, c’était comme-ci sa chatte réclamait cette bite, elle perçut l’impatience absolue de son entrecuisse, et sans qu’elle n’ait besoin de toucher cette queue, elle trouva parfaitement le chemin de son antre brulante, et encore une fois, elle poussa un long râle de plaisir en se faisant complètement remplir le vagin.
Lorsque son pubis retrouva enfin celui de son amant, et qu’elle sentit sa bite toute entière vibrer dans son ventre, elle ne put se retenir de lui dire :
- Qu’est-ce que c’est bon, mon dieu, j’adore sentir votre sexe en moi.
Greg continua de lui caresser les seins et lui dit :
- Vous pouvez dire, ma bite ou ma queue, vous savez.
Etrangement, ces mots vulgaires excitèrent Solange, et alors qu’elle commençait à faire coulisser sa chatte sur la bite de Greg, elle lui dit :
- Oh ouiii, j’adore ça, votre bite en moi, ça me fait tellement jouir.
- Prenez votre temps, je vais vous baiser toute la nuit.
Encore un mot vulgaire, qui décupla le plaisir de Solange, elle accéléra les pénétrations, se lançant dans une cavalcade folle, gémissant et jouissant de plus en plus fort.
Ils baisèrent effectivement jusqu’au petit matin, s’endormant l’un dans l’autre lorsque le soleil s’apprêtait à se lever.

Pierre et Sabine avait eu également une nuit agitée, ils entendaient les cris de jouissance de Solange et cela les excita énormément, mais Pierre avait déjà joui plusieurs fois, et il finit par s’endormir contre sa fille en entendant sa femme crier de plaisir.

A SUIVRE.
30 vote(s)


Histoire de bobby28

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La vengeance de Greg 6

Le 08/03/2021 - 06:20 par bobby28
Je vais sans doute republier venom ici, et j'avais l'idée de récrire les mystères de l'asie, en essayant de mieux contrôler l'histoire
Le 07/03/2021 - 23:29 par Thierry
Bonsoir, ils faut mieux faire beaucoup moins bien que l'Asie & Venom. Misanthrope

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :