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Belle expérience

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Lue : 8450 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 05/04/2010

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C’est dans un magasin spécialisé en informatique, que j’ai rencontré cet homme, plus âgé que moi. BCBG, plus prés de 70 ans que de 60. Il regardait le descriptif de matériel exposé en hochant la tête, paraissant dépassé ! Je lui ai souri et lui ai proposé mon assistance, qu’il accepta immédiatement. Après un long moment, il me dit vouloir acheter ce matériel, mais me demanda si j’accepterai de le guider ou l’aider à l’installation. Un brin réticent à donner mes coordonnées téléphoniques, il me donna sa carte de visite, me demandant de l’appeler dés le lendemain. Ma femme travaillait, et j’avais de longs moments de liberté.

Je l’appelai donc le lendemain matin, et, après avoir tenté par téléphone de le guider, je me suis vite rendu compte qu’il n’était pas très compétent dans ce domaine. C’est alors, qu’il me demanda, si j’accepterai de me rendre à son domicile pour réaliser la mise en service, et lui donner des explications. Son domicile n’était pas trop éloigné, et j’ai accepté de lui venir en aide.

En tout début d’après midi, je me suis rendu chez cet homme, en banlieue marseillaise. Il habitait une villa cossue, avec un beau parc.
Il m’accueillit avec un grand sourire, referma le lourd portail et m’invita à entrer.
Son matériel informatique était connecté, et semblait être opérationnel. Il s’excusa de m’abandonner, pour aller préparer le café. Il ne fallut que quelques minutes pour paramètrer son matériel, et j’étais étonné de ce qu’il avait pu faire….alors qu’il paraissait assez peu doué en informatique.
Il revint rapidement, m’invitant à passer au salon pour prendre le café. La pièce était grande, meublée somptueusement, l’ambiance feutrée, pénombre, les lourdes tentures étaient fermées et une seule lampe sur pied diffusait un éclairage pâle. Il régnait dans la pièce, un parfum enivrant, émis par des bâtons d’encens.
Les tasses et des biscuits étaient posés sur une table basse. Il y avait aussi, des catalogues de lingerie féminine, et de vêtements de luxe masculins.

Le maître des lieux s’excusa à nouveau, me demanda de me mettre à l’aise, je m’appelle Pierre, ne me dites pas Monsieur sans arrêt, j’ai l’air d’être vieux !
Je profitais de l’absence de Pierre, pour feuilleter un catalogue de lingerie féminine, de très belles images un brin troublantes ! Je n’avais pas entendu Pierre revenir, il était derrière le canapé sur lequel j’étais installé. Il posa la main sur mon épaule me faisant sursauter, il rit et me dit avec un sourire coquin, ce sont de belles images non ? Vous aimez ? Je répondis que oui, que je trouvais les beaux dessous très sensuels. Pierre me dit que sa femme était absente pour plusieurs semaines, mais qu’elle adorait la lingerie sexy, et que ses commodes en étaient remplies !

Il parlait avec une voix chaude et calme, il servit le café, avec d’excellents petits gâteaux de soirée. Il mit un fond sonore, musique douce, ambiance qui devenait très envoûtante pour moi.
Pierre se leva, et me pris par le bras, venez, puisque vous semblez aimer, je vais prouver ce que j’ai dit !
Il me fit entrer dans une grande chambre, somptueuse et décorés d’une manière très féminine, même l’odeur qui régnait dans cette pièce était envoûtante. Pierre referma la porte et alluma un chevet. Il y avait, sur une commode, des bustes de mannequins, avec des perruques, cheveux longs et courts, brunes et blonde. Pierre ouvris un tiroir, rempli de dessous très beaux, parfaitement ordonnés. Il laissa le tiroir ouvert, ou fit coulisser une porte de penderie. Un coté était réservé aux robes de son épouse, l’autre a des dessous, jour ou nuit, combinaisons, nuisettes, kimonos etc.…

Pierre me dit en souriant…..il y a plusieurs armoires et commodes également pleines de mêmes choses, dans cette chambre, et aussi dans une autre !
Pierre sortit un ensemble culotte soutien gorge et les mis dans les mains. Je suis devenu écarlate probablement ! Touchez cette dentelle, vous pouvez !
Il sortit du placard, une combinaison noire, avec des fleurs brodées, de même teinte que l’ensemble. Touchez, c’est doux non ?

Il me fit asseoir sur le bord du lit, et me demanda si j’avais déjà eu la tentation d’essayer des dessous féminins ? Ne soyez pas gêné, ça vous est arrivé ? Je répondis que non, je devais passer du livide au rouge écarlate….mais je me sentais à la fois gêné…et émoustillé.
Pierre me dit, je vais aller appeler ma femme au téléphone, pardonnez moi de vous laisser seul encore une fois, j’en ai pour une petite demi heure, ma femme a toujours des tas de choses à me raconter.
Profitez, vous pouvez ou pas, fermer le verrou de la chambre, je frapperai de toute façon avant d’entrer.
Faites vous le plaisir de passer des dessous de ma femme, vous pouvez tout essayer vous verrez comme c’est troublant comme impression, très émouvant, très érotique, vous avez une glace, même ses perruques devraient vous transformer.

Il s’approcha de moi, déposa une bise sur ma joue, me sourit et me dit, à tout à l’heure alors.
Il referma la porte derrière lui, et j’entendis ses pas gravir l’escalier.
Je me suis approché de la commode, et j’ai sorti des trésors de lingerie, je me suis surpris à me déshabiller, j’étais très troublé…..
J’ai réussi à mettre un soutien gorge à agrafage sur l’avant, avec le string assorti, j’ai passé une combinaison qui m’arrivait à mi cuisse, j’étais très excité…..J’ai essayé une perruque blonde courte…puis me suis appliqué à mettre une perruque brune longue…..les longs cheveux caressaient mes épaules….

J’ai trouvé, assorti au string, une porte jarretelle très beau que je me suis empressé de passer. J’ai trouvé des bas simples mais très fins, un peu courts, mais je me sentais devenir femme des pieds à la tête.
J’ai enfilé un kimono qui arrivait au dessus des genoux, et je me suis étendu sur le grand lit.
Mon cœur battait vite…plus encore quand Pierre frappa discrètement à la porte.
Ne vous inquiétez pas, prenez votre temps, j’espère que vous avez pu trouver une jolie tenue. Puis-je entrer ? Prenez votre temps.
J’étais émoustillé au possible, troublé, partagé entre l’envie de me montrer vêtu comme une femme…..et l’envie de dire non !, attendez…

Je finis par me lever, par me regarder dans la grande glace….et je suis allé ouvrir la porte à Pierre.
Oh, vous avez beaucoup de goût, vous êtes très attirante ainsi vêtue…..
Très attirante, il s’adressait à moi en employant le féminin…..
Pierre referma la porte, puis déplaça un curseur qui modifia l’éclairage de la pièce, qui était maintenant très doux et très peu lumineux.
Pierre me pris par la main et m’attira jusqu'à un fauteuil, ou il prit place. J’étais debout face à lui, il entreprit de dénouer le lacet qui fermait mon kimono. Celui-ci s’ouvrit immédiatement…et je me sentais enrobé d’une chaleur interne intense. Pierre fit glisser le kimono qui tomba à mes pieds.
Je me retrouvais complètement femme, perruque longue, string, soutien gorge, porte jarretelles, bas et combinaison….j’étais bien…trop bien sans doute.

Pierre s’est levé, et, prenant un pinceau à lèvres, entreprit à recouvrir ma bouche d’un vernis à lèvres à peine rosé….puis, vaporisa rapidement, une giclée de parfum sur mon cou, et mes cuisses.
Il vérifia son œuvre…s’approcha très prés de moi, et me dit tout bas….vous êtes très attirante ma chère….
Il me prit par la main, et m’attira, puis m’allongea sur le grand lit. Il me dit à l’oreille, je vais vous faire ressentir, l’excitation que doit ressentir votre femme quand vous la caressez.
Pierre passa derrière le paravent, situé dans l’angle de la pièce, et revint vers moi, revêtu simplement d’un pyjama ample de soie blanche.
Il fit encore glisser le curseur de la lampe de chevet, et il ne régnait plus dans la chambre, qu’une très faible, mais chaude lumière.

Pierre s’allongeât prés de moi, et me dit prés de l’oreille, détendez vous ma chère, vous allez aimer.
J’étais étendu sur le dos, la combinaison remontait jusqu'à mi cuisses, presque à la limite du haut des bas, j’étais ému, excité, et gêné à la fois.
Pierre posa tout d’abord sa main, au dessus de mon genoux, n’est ce pas doux me demanda t’il, une main d’homme sur vos bas ? Je bredouillais que si. Il remontait sa main lentement jusqu'à la limite de mes bas et du haut de mes cuisses, puis renouvelait très lentement son geste.
Pierre se mit contre moi, et me fit doucement basculer sur le coté. Il vint se placer contre moi, mais sans me coller.
Sa main se glissa entre mes cuisses, et remonta lentement. Arrivé à ma peau, au dessus des bas, il joua avec les jarretelles, avant de remonter jusqu'à mes fesses, pour les caresser lentement, fermement, passant de l’une à l’autre.

Son geste se précisait, il passa un bras sous mes épaules, glissa sa main entre la combinette et ma peau, et commença à palper mes seins, tandis que son autre main, tentait de se glisser entre mes deux fesses. J’étais en transe, bouillant de confusion et d’excitation. Pierre embrassait doucement mon cou, son souffle s’accélérait. Il s’était collé à moi cette fois ci et sa main ne quittait pas mes fesses tandis que l’autre s’était glissée sous le bas de la combinette, et caressait mes cuisses mon ventre, mes seins.

Pierre me fit allonger sur le dos, ses yeux brillaient d’excitation. Sa main se glissa en dessous l’élastique du string et sa main saisit ma verge dressée comme un pieu. Il colla en même temps sa bouche sur la mienne, et fouilla a avec sa langue, ma propre langue et toute ma bouche. Le goût de mon vernis à lèvres m’excitait encore plus. Pierre me roula une pelle longuement en me plotant avec frénésie, cuisses, sexe, fesses, sa main tenait ma joue par moment et sa langue redoublait de vigueur dans ma bouche.

Quand il lâcha son emprise, il me dit doucement, maintenant chérie, je vais faire de vous une femme. Il remonta une de mes cuisses très haut, et saisit une sorte de petite poire à lavement, posée sur le chevet. Détendez vous chérie, je vais vous lubrifier. Je sentais la petite canule me pénétrer, puis un liquide froid et visqueux m’envahir. Il fit pareil sur le pourtour de mon petit trou. Il me laissa ainsi sur le coté et fit glisser son pyjama de satin. Il recouvra son sexe de très belle taille, qui bandait fermement, d’un préservatif. Viens chéri me dit il, il se mit face à moi, collé à moi, et me roula la plus exquise des pelles, je n’en pouvais plus de désir.
Il me dit de ne pas bouger, c’est moi qui vais te donner du plaisir ma chatte, et il passa derrière moi, son corps collé au mien. Je sentais sa belle queue collée à mes fesses, de ses deux mains, il les écarta, et frotta le bout de son sexe pour bien sentir l’orifice de mon trou d’amour.

Quand il fut bien en position, il força très légèrement pour tâter de son gland mon anus, et y pénétrer juste à peine pour que je m’entrouvre.
Pierre m’embrassa dans le cou, pelotant mes seins de sa main libre, et, avec mon aide, pris possession de ma bouche, sa langue était chaude, brûlante, ses lèvres si douces….

Pierre me dit alors, je vais te baiser chérie, tu veux bien ? Tu as envie que je te baise mon amour ?
Je lui dit oui…oui…oui….et à chaque oui, une poussée de pierre faisait pénétrer son sexe en moi, puis un peu plus….et, quand au comble de l’excitation, j’ai crié ouiiiiiii, un violent coup de boutoir à fait rentrer tout entier ce beau sexe au fond de moi. Les couilles de Pierre étaient collées à mes fesses. Ses mains me pelotaient la queue, les cuisses, les seins.
Il se mit à, avec douceur d’abord, a faire des va et viens dans moi. J’étais une vraie femme. Mon corps était mouillé, d’excitation et de chaleur.

Pierre me fit alors allonger sur le ventre, et inonda à nouveau de gel mon petit trou. Il me demanda de fermer mes cuisses et se glissa d’un coup de rein entre mes fesses. Il était allongé de tout son long sur moi, s’appuyant sur ses bras, et commença un long et délicieux pilonnage de mon cul. Tu as un cul merveilleux me dit il, tu aimes te faire baiser chérie….tu vas être comblée….
Le string qui était resté en place était trempé, quand j’ai senti ma jouissance proche, Pierre m’a dit, viens chérie, jouis dans le string, et li redoubla ses vas et viens et s’enfonça au plus profond de moi, jusqu'à ce que tout mon jus gicle et inonde le string. Pierre ralentit ses va et viens, et sortit de moi, mais il me serra contre lui, et m’embrassa à pleine bouche.
Attend moi ici tu veux bien ?

Il revint quelques minutes après, avec une grande serviette et des dessous tout propres.
Il me déshabilla, essuya mon corps transpirant, mon sperme, et me fit passer une guêpière, puis de nouveaux bas, résille cette fois, et un string assortit. Il me fit asseoir sur le bord du lit, et me demanda si j’avais aimé devenir sa maitresse. Je reprenais mes esprits, mais cette nouvelle tenue m’excitait déjà. Je léchais mes lèvres, le goût du peu de vernis qui restait était exquis. Pierre s’empressa de bien redessiner ma bouche avec ce si doux vernis.

Il m’entraîna jusqu'à une autre chambre, et me fit passer une robe qui arrivait au dessus du genoux, et très évasée et fluide. Il chercha dans le placard des chaussures avec des talons compensés, et me fit marcher autour de la pièce.
Il mit à nouveau une musique douce, voluptueuse même, s’assit sur un fauteuil et commença à caresser sa belle queue en me regardant. J’étais à nouveau très excité. Pierre me fit approcher, et commença à me ploter, par-dessous la robe, c’était divin.

La belle pendule comtoise se mit à sonner…..déjà 17 heures….Pierre sentit que je devais songer à partir…il redoublait ses caresses, puis me fit asseoir sur ses genoux pour m’embrasser à pleine bouche, en saisissant à nouveau mon sexe dur comme un pieux.
Viens s’il te plaît, il me prit la main, et alla me coller contre la porte, recules un peu tes fesses, poses les bras très haut chérie.

Il fit remonter la fine robe au dessus de mes fesses, écarta l’élastique du string et d’un coup sec cette fois ci, s’enfonça complètement en moi. Il fit des vas et viens rapides et m’empalait profondément dés que je m’écartais un peu plus. Sa main branlait ma queue, et très vite, je l’ai senti s’emballer, m’empaler de plus en plus fort, de plus en plus profondément, jusqu'à ressentir au travers du préservatif des violentes giclées de sperme chaud……il m’avait inondé ; dans le préservatif certes, mais avait joui au fond de moi. Il continua à me ploter les seins puis se retira doucement.
Il me dit de m’allonger sur le lit, m’embrassa goulûment, puis descendit sa tête jusqu’au string, qu’il baissa, et il commença à me sucer délicatement, engloutissant complètement mon sexe qui n’en pouvait plus. Il caressait mes fesses en même temps. Sa bouche quitta ma queue, le temps qu’il saisisse un plug anal gonflant et vibrant. Tu partiras de chez moi comblée chérie me dit il.

Il rentra sans forcer le plug entre mes fesses, et le gonfla lentement. Il me suçait merveilleusement bien, et subitement appuyait sur la poire qui dilatait le plug et mon anus. C’était merveilleux, sa langue me rendait fou…folle plutôt.. Il gonfla un peu plus le Plug, et je lui dis stop Pierre, c’est un peu trop…..il dégonfla à peine le Plug anal planté au fond de moi, et le fit vibrer. Mon cul n’y tenait plus de plaisir, sa bouche me suçait avec passion et j’ai laissé giclé ma queue et tout mon sperme dans sa bouche. Il me suça encore un bon moment avant de laisser ma queue sortir de sa bouche.

J’étais toujours en guêpière, robe, et Pierre me déshabilla lui-même avec douceur. Il me conduisit vers la salle de bain magnifique et me sortit deux grands draps de bain. Je te laisse me dit il. Prends ton temps. Je me douchais soigneusement, me savonnant bien pour supprimer parfum, rouge à lèvre et odeurs coquines.
Je sortais avec une serviette nouée autour de la taille. Pierre m’entraîna vers le lit ou il avait disposé une grande serviette. Il me fit allonger sur le ventre, et me dit, maintenant, je vais te rincer l’intérieur chérie.
Il tira un pied médical sur roulette, avec suspendu en hauteur, un réservoir. Un tuyau et une longue canule y étaient raccordés.
Pierre me mit un coussin épais sous le ventre et me dit, je vais t’inonder à nouveau.

Il m’enfila la canule entre les fesses, la fit un peu aller et venir…..puis ouvrit le robinet. Je sentis l’eau tiède m’envahir, un doux bien être également. Pierre fermait de temps en temps le robinet pour le rouvrir après.
Après un long moment, il me dit, gourmande, vous avez tout pris. Vous n’avez pas de spasme de l’intestin ? Je lui répondis que non, il retira la canule, retira son bas de pyjama, remit un préservatif et me demanda si il pouvait venir prendre un bain de jouissance au fond de moi. Je bandais à nouveau très fort. Pierre me fit ouvrir les cuisses, il s’installa entre mes cuisses, à genoux, mes fesses était à portée de son sexe, comme j’avais un coussin sous le ventre.

Il m’enfila avec délicatesse, se mit en appuis sur les bras, et me pilonna à nouveau. Il cria de plaisir en jouissant et il se retira rapidement. Serre les fesses, je te conduis aux toilettes.
Une fois soulagé des deux litres d’eau qui remplissaient mon ventre, je me sentais bien, libéré.
Pierre avait disposé mes vêtements sur le lit de sa femme, débarrassé des dessous souillés.
Il m’accompagna gentiment jusqu'à la porte et me dit, à plus tard peut être ?


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Histoire de jackcmoi

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Commentaires du récit : Belle expérience

Le 14/04/2010 - 21:58 par Paradise Kiss
Bonne histoire et bien écrite...

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