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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 18/11/2025
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Belle-maman, je te veux
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Cloé porte à ses parents un amour sincère, elle fantasme, mais ne désespère pas de faire l'amour avec eux. Après avoir obtenu sa licence à 23 ans, après une tentative audacieuse et bien calculée, elle se retrouve dans leur lit et repousse les draps. Elle commence des attouchements qui mettent sa maman Lucette dans un état de stresse terrible, elle se cabre lorsque la main de sa fille glisse sous sa chemise de nuit et se pose sur sa vulve. Les doigts agiles, lui taquinent le clitoris, le pressent avant de l'agiter doucement.
Lucette reste sans voix, elle n'a pas ma force de repousser la main audacieuse qui lui branle la boule des plaisirs. Rapidement contre sa volonté, elle jouit. Maintenant elle s'attaque à son papa, qui ne réalise pas encore. Elle saisit sa verge au travers son boxer et l'agite. Rapidement une érection se produit, Marc ne résiste pas longtemps, il éjacule dans son boxer, en grognant comme une bête.
Cloé retrousse sa nuisette, prend la main de sa maman et la pose sur son bas ventre. Elle fait glisser les doigts de sa maman sur sa fente qui rapidement se met à suinter. Machinalement, Lucette caresse la fente. Cloé lui lâche la main et laisse sa maman continuer. Elle reproduit sur sa fille le même attouchement.
Cloé saisit la main de son papa et la pose sur celle de sa maman qui s'active sur le clitoris. Les deux mains ensembles s'activent sur la chatte à la toison soyeuse. Une jouissance fait pousser à Cloé un gémissement qui fait sursauter ses parents. Depuis cette nuit, Cloé sollicite très souvent ses parents.
Très surpris, Lucette et Marc, acceptent cette situation immorale. Les étreintes furtives et maladroites du début deviennent rapidement fougueuses et très jouissives, jamais Cloé n'a joui aussi fort. Très fréquemment, elle se donne à eux pour obtenir des jouissances fabuleuses. Même son petit copain, Lionel, ne la fait pas jouir aussi intensément. Marc sodomise même sa femme qui lui refusait jusqu'à présent son anus.
Au fil des étreintes, Lucette, à chaque fois, subit la sodomie, la coquine maintenant en est friande, et en redemande.
A présent qu'elle est mariée, un soir, lorsqu'ils sont au lit, nus, Cloé avoue à son mari que ses parents ont été ses amants. Lionel sursaute, regarde sa femme en fronçant les sourcils et lui demande :
-Tu couches encore avec eux depuis que nous sommes mariés ?
En se raclant la gorge bruyamment, Cloé répond :
-Hum, cela m'arrive de temps en temps, j'adore la chatte de maman et la bite de mon papa dans mon ventre me fait planer !
Lionel ravale sa salive, mais il ne prend pas le mors aux dents, au contraire, curieux, il pose beaucoup de questions, veut des détails, particulièrement sur belle-maman. Cloé en souriant lui dit :
-Mais ma parole, tu fantasmes sur maman ?
En se pinçant les lèvres, Lionel répond :
-Pour être franc, il faut dire que ta maman est bandante malgré son âge, mais comme on dit, c'est dans les vieux pots que l'on fait la meilleure soupe !
Cloé éclate de rire, et ajoute :
-C'est vrai, maman est vraiment une bonne amante, je le confirme, elle a fait ses premières armes de lesbienne avec moi, et j'en suis fière !
Elle monte sur son mari, se vautre sur lui, en ondulant comme un reptile. La queue de Lionel se dresse. Vicieusement, Cloé frotte son bas-ventre contre le sexe tendu.
Sa chatte est en ébullition. Elle saisit la verge dure et s'empale jusqu'à la garde. Elle s'agite, en grognant, son souffle est rapide, ses gémissements sont rauques. Mais Lionel lui pose toujours des questions indiscrètes :
-Elle jouit fort ta maman, elle hurle lorsque que ton papa lui pilonne la chatte ou l'encule ?
En pleine excitation, Cloé répond avec des trémolos dans la voix :
-Oui, oui, maman hurle, ouh putain, Lionel, je vais jouir ouiiiiiiiiiiiiiii !
Cloé explose, elle se plaque contre le torse de son mari en haletant, qui lui donne des coups de reins avec de plus en plus de rage, il demande :
-Elle gueule comme toi ta maman, dis-le moi , dis-le moi ?
Cloé se redresse et en regardant son mari dans les yeux lui dit :
-Oui, elle hurle beaucoup plus que moi !
Lionel envoie dans le ventre de sa femme sa semence épaisse. Sans se rendre compte, il dit :
-Putain elle doit être vachement bonne, ta maman !
Cloé en fronçant les sourcils demande :
-Mais mon salaud, tu m'as baisé en pensant à maman, avoue ?
Entre souffles, Lionel répond :
-Oui, j'avoue, depuis que tu m'as dit que tu couches avec tes parents, je ne pense qu'à ta maman, oh putain, comme je la baiserai !
Cloé embrasse son mari fougueusement, le baiser est très long et très humide, les salives s'échangent dans des grognements de bêtes. Un jour que Cloé fait l'amour avec ses parents, elle dit en ravalant sa salive :
-J'ai tout avoué à Lionel, eh bien, vous savez, cela l'a excité. Maman, il désire te défroncer et il n'en démord pas, il n'en dort plus la nuit tellement que cela le travail !
Lucette, flattée, reste sans voix un instant, puis en regardant son mari dit :
-Tu te recomptes mon chéri, même à mon âge je suis encore désirable, c'est fou ça non !
En haussant les épaules, Marc répond :
-Tu parles avec le cul que tu as ma chéri, tu ferais bander un mort !
Les deux femmes éclatent de rire et reprennent leurs activités sexuelles, devant Marc qui n'attend que son tour pour défoncer sa fille. Pendant une bonne partie de la journée, c'est l'orgie. Marc est très vigoureux et honore les deux femmes comme il se doit.
C'est samedi, comme un rituel, Marc et Cloé sont invités au restaurant par ses beaux-parents. Depuis qu'il sait que sa belle-maman couche avec sa fille, il la regarde d'un autre œil. À table, il lui lance des regards et des sourires ravageurs, qui en disent long. Marc sourit intérieurement, en épiant du coin des yeux son gendre dont il sait ce qu'il souhaite. Il l'imagine même de voir sa femme prise sauvagement par lui.
Lucette aussi épie son gendre, depuis qu'elle sait qu'il veut, comme dit sa fille, la défoncer, cela ne la laisse pas de marbre. Depuis que Lucette s'est dévergondée avec sa fille, elle est prête à tout, pour prendre du plaisir. Elle, si prude, a bien changé, souvent son mari lui dit qu'elle a le feu au cul.
La soirée se passe parfaitement bien, il est tard, il faut rentrer. Lucette dit :
-Pour finir en beauté, prenons un dernier verre à la maison mes chéris !
Une fois rentré, Marc ouvre une bonne bouteille et remplit les verres. Il prend place dans un fauteuil, immédiatement, sa fille s'assied sur ses genoux. Elle le prend par le cou et lui donne une multitude de baisers sur le visage. Lionel regarde, son cœur bat la chamade, il se dit que si ils font l'amour devant lui, il a une chance de sauter sa belle-mère, l'idée le fait saliver. Soudain, Cloé embrasse goulument son papa. Le bougre la tient par la taille, son souffle est court. Il est un peu gêné de la présence de son gendre, mais remplit la bouche de sa fille de salive. Une fois les lèvres séparées, il dit :
-Tu aimes ça, ma chérie !
Cloé répond :
-Oh oui papa, mais j'aime mieux avaler ton sperme, il est si bon; mais tu bandes mon cochon!
Marc caresse la croupe de sa fille et lui dit :
- Eh oui c'est ta faute, d'ailleurs, je suis à ta disposition, ma chérie, fais-toi plaisir !
Lionel serre les poings, il regarde sa belle-maman qui semble excitée par ce qu'elle voit et entend. Puis, il prend son courage à deux mains et s'approche d'elle. Il lui relève le menton avec deux doigts et dépose un baiser bruyant sur ses lèvres. Les yeux de Lucette se mettent à pétiller. Elle se lève, le regarde droit dans les yeux et lui demande :
-Alors, mon gendre, j'ai appris que l'on veut défoncer sa belle-mère, je suis là, qu'est-ce que vous attendez ?
Lionel ne s'attendait pas à ça, timidement, il l'enlace et pose ses lèvres sur les siennes, Lucette accepte le baiser, et lui rend avec plus de fougue. Sur le fauteuil, Cloé s'agite, la verge de son papa et fortement gonflée, elle dit en souriant :
-Je fais de l'effet au papa cochon qui veut baiser sa fille, hein !
Avec des trémolos dans la voix, il répond :
-Oh oui ma chérie, ta chatte et ton petit cul de salope me manquent, je n'en peux plus, soit à moi, tu sais comme je t'aime, touche ma bite, sent comme elle te veut !
Au travers du pantalon, Cloé tâte la queue de son papa, qui est dure comme du bois. Elle la presse plusieurs fois, puis se décide à l'extraire du carcan de tissu ou elle est emprisonnée. Elle jaillit brusquement en oscillant sur le ventre que vient de dénuder Cloé. Elle la saisit d'une main en regardant vers son mari, et l'agite férocement en marmonnant :
-Donne tout papa, je veux boire ton sperme !
En serrant les dents, elle branle la bite avec rage. Marc geint, agite son bassin, puis il se cabre et hurle :
-Je vais jouir, Cloé, Cloé, je vais jouir !
Immédiatement, Cloé décalotte le gland, le gobe, ensuite reprend le branlage. Une puissante giclée lui remplit la gorge. Elle repousse son papa, et en se pinçant les lèvres regarde son mari. Elle avale par petites gorgées la liqueur onctueuse. Puis, elle ouvre la bouche toute grande pour faire voir à son mari qu'elle a tout avalé. Lucette souriante dégrafe le pantalon de son gendre et lui sort la bite qui est en érection. Elle l'agite, ensuite comme sa fille décalotte le gland et le gobe, les succions sont bruyantes, Lucette se fait un plaisir de sucer la bite de Lionel.
Sa bouche affamée descend sur la hampe fortement veinée, puis aspire un à un les testicules gorgés de semence. Elle les suce en faisant gémir son gendre soumit. Elle donne des coups de langue bien ajustés sur le gland épais, qui laisse échapper quelques perles visqueuses. Les gémissements rauques qu'il pousse, attirent l'attention de Cloé et de son papa. Ils regardent Lucette dévorer avec rage la queue de Lionel. Son ardeur porte ses fruits, un jet de sperme lui remplit la gorge et comme sa fille, l'avale avec gourmandise.
Lucette, avec des gestes lents, s'effeuille comme une stripteaseuse, un à un ses vêtements tombent sur le sol. Une fois nue, elle se déhanche comme une danseuse orientale, en provoquant son gendre. Lui, émerveillé, regarde les seins généreux aux mamelons épais, plantés au centre de grosses aréoles brunes. Elle se tourne et agite sa croupe, se penche en avant, toujours en s'agitant doucement. Puis, comme une provocation, elle écarte délicatement ses lobes fessiers. Lionel ravale sa salive bruyamment lorsqu'il aperçoit l'anneau ridé, affreusement boursouflé.
Marc ne reconnait plus sa femme, il lui dit :
-Mais qu'est-ce qui te prend d'exhiber ton anus comme ça, tu deviens folle !
En souriant, Lucette répond :
-Je veux que mon gendre regarde ma fleur, et s'il la désire, je lui l'offre volontiers, je veux être sa pute, comme je suis la vôtre, mes chéris !
Marc secoue la tête négativement et, en se pinçant les lèvres, dit faiblement !
-Ma chérie, tu as raison, fais de ton gendre une machine à baiser, depuis que tu sais qu'il veut te sauter, tu es intenable !
Lionel bande comme un cerf, il ne quitte pas des yeux la croupe aux larges hanches. Rapidement, sans demander son reste, il retire ses vêtements, s'avance et commence à caresser la croupe généreuse de belle-maman, qui soupire profondément.
Marc et sa fille semblent intéressés par la suite des évènements, ils font une pause. Lionel palpe la croupe généreuse de Lucette. Jamais, il n'aurait imaginé devenir l'amant de sa belle-mère, bien que l'idée de l'être lui soit déjà passée dans la tête. Là, il va concrétiser. Sa verge est secouée de soubresauts incontrôlables. Ses doigts glissent dans le large sillon, taquinent n'anus déformé par les innombrables pénétrations. Son majeur tourne sur le muscle rectal, appuie plusieurs fois dessus avant qu'il ne cède. Lentement, Lionel enfonce son doigt dans le fondement de Lucette qui soupire de bonheur. Comme aspiré, l'intrus disparait entièrement dans le rectum. Un très lent va-et-vient fait geindre belle-maman. Mais habituée à plus gros, elle dit faiblement :
-Enfonce deux doigts, mon chéri, et fouille-moi bien le cul, c'est si bon !
Un deuxième visiteur se joint au premier, et ensemble fouillent l'anus, Lucette geint de bonheur. Marc, en regardant sa fille, dit :
-Ta maman est insatiable autant que toi, ma chérie, retire tes frusques que je te défonce !
Cloé qui n'attendait que cela, rapidement, se retrouve nue. Elle se place à califourchon sur les genoux de son papa et, en lui saisissant habilement la verge, la dirige vers son temple en ébullition. Elle s'empale dessus et, en s'accrochant au cou de son papa, s'agite comme une forcenée, à la recherche d'une jouissance bien méritée. Marc ne quitte pas des yeux sa femme qui subit un doigtage féroce du cul de la part de son gendre. Lucette agite sa croupe, pousse des gémissements rauques, très longs. Lionel retire ses doigts et, en s'agenouillant derrière sa belle-mère, lui écarte les fesses et plaque sa bouche sur l'orifice que ses doigts viennent de sonder. Il lèche un instant, puis aspire fortement l'anneau qui, comme par enchantement, sort de son logement. Lucette se cambre en grognant :
-Oh putain Lionel, mon chéri, continue, continue, c'est divin !
Le coquin suce l'anus, enfonce sa langue le plus qu'il peut dans le conduit et le fouille en arrachant à sa belle-mère des grognements de bête. Marc, excité comme jamais, s'accroche aux hanches de sa fille et donne des coups de reins terribles, comme pour lui traverser le corps avec sa queue. Son regard est rivé sur le couple que forment sa femme et son gendre.
Cloé comme une machine, s'agite sans faire une pause et atteint enfin son objectif. Une violente jouissance la fait hurler. Elle s'agrippe haletante à son papa qui ne cesse de la défoncer. Les grognements du papa prouvent qu'il prend beaucoup de plaisir à déglinguer sa fille. Il se cabre fortement, se bloque et remplit abondamment de son sperme la chatte de sa fille.
Enfin, Lionel cesse de dévorer la chatte de sa belle-mère, il se redresse, lui saisit les hanches et lui enfonce brutalement sa verge dans la chatte, qui déborde de cyprine. La levrette est violente, Lucette gémit, à chaque coup de reins que lui inflige son gendre amant. Soudainement, Lionel retire sa queue de la fournaise et la plante brutalement dans l'anus de Lucette qui pousse un long râle approbateur. La sodomie est dévastatrice, son amant la défonce comme un forcené, en lui arrachant des grognements de bêtes agonisantes. À chaque coup de reins, sa queue s'enfonce jusqu'aux couilles dans le rectum de Lucette qui gémit de plaisir. Elle agite sa croupe en marmonnant :
-Oui, oui, mon chéri, bourre-moi le cul, c'est trop bon, défonce-moi, défonce-moi, oh putain, je vais jouir !
Dans un hurlement terrible, Lucette explose, sa jouissance est pharaonique, c'est si violent qu'elle s'écroule sur le sol en entrainant son amant dans sa chute, comme prise d'hystérie, elle ne cesse de dire :
-Mon Dieu, mon Dieu, comme c'est bon de jouir, je veux encore jouir du cul, je veux de la queue, beaucoup de queue, défoncez la salope que je suis devenue !
C'est à ce moment-là que Lionel lui remplit l'intestin de sperme. Marc, un peu surpris par les propos de sa femme, sourit et dit :
-Ma chérie, Lionel et moi allons exaucer tes souhaits. Oui, tu es une grosse salope, et je suis heureux qu'enfin tu montres ton vrai visage de salope. J'ajouterai même d'une grosse pute. Viens sur ma queue, ma salope d'amour, tu as bien mérité une double pénétration !
Lionel aide belle-maman à s'embrocher sur la queue de son mari, il se place derrière et lui enfonce sa queue dans le rectum qu'il vient de remplir de liquide visqueux. Prise pour la première fois en double, Lucette croit rêver, c'est le summum du bonheur. Les deux hommes lui travaillent les entrailles comme des soudards, ils la défoncent comme des brutes. Les queues, bien synchronisées, voyagent dans le corps de Lucette en prenant de la vitesse. La paroi qui sépare les deux orifices est si fine qu'elle a l'impression qu'elles sont dans le même trou. Cela lui procure un nouveau plaisir, qu'elle n'est pas près d'oublier.
Les mandrins coulissent dans son corps comme deux pistons dans leurs cylindres. Les gémissements que pousse la soumise sont terribles. Une jouissance, encore inconnue d'elle, jusqu'à présent, la fait hurler. Son corps est pris de tremblements incontrôlables, elle halète en subissant les assauts répétés de ses amants. Les deux hommes déversent en même temps un flot de semence dans les entrailles de Lucette qui ne cesse de gémir. Après un moment de récupération, c'est au tour de Cloé de subir les assauts des deux hommes. Ils l'explosent jusqu'à ce qu'elle demande grâce. Depuis ce jour, les quatre complices se rencontrent souvent pour des défonces mémorables
Lucette reste sans voix, elle n'a pas ma force de repousser la main audacieuse qui lui branle la boule des plaisirs. Rapidement contre sa volonté, elle jouit. Maintenant elle s'attaque à son papa, qui ne réalise pas encore. Elle saisit sa verge au travers son boxer et l'agite. Rapidement une érection se produit, Marc ne résiste pas longtemps, il éjacule dans son boxer, en grognant comme une bête.
Cloé retrousse sa nuisette, prend la main de sa maman et la pose sur son bas ventre. Elle fait glisser les doigts de sa maman sur sa fente qui rapidement se met à suinter. Machinalement, Lucette caresse la fente. Cloé lui lâche la main et laisse sa maman continuer. Elle reproduit sur sa fille le même attouchement.
Cloé saisit la main de son papa et la pose sur celle de sa maman qui s'active sur le clitoris. Les deux mains ensembles s'activent sur la chatte à la toison soyeuse. Une jouissance fait pousser à Cloé un gémissement qui fait sursauter ses parents. Depuis cette nuit, Cloé sollicite très souvent ses parents.
Très surpris, Lucette et Marc, acceptent cette situation immorale. Les étreintes furtives et maladroites du début deviennent rapidement fougueuses et très jouissives, jamais Cloé n'a joui aussi fort. Très fréquemment, elle se donne à eux pour obtenir des jouissances fabuleuses. Même son petit copain, Lionel, ne la fait pas jouir aussi intensément. Marc sodomise même sa femme qui lui refusait jusqu'à présent son anus.
Au fil des étreintes, Lucette, à chaque fois, subit la sodomie, la coquine maintenant en est friande, et en redemande.
A présent qu'elle est mariée, un soir, lorsqu'ils sont au lit, nus, Cloé avoue à son mari que ses parents ont été ses amants. Lionel sursaute, regarde sa femme en fronçant les sourcils et lui demande :
-Tu couches encore avec eux depuis que nous sommes mariés ?
En se raclant la gorge bruyamment, Cloé répond :
-Hum, cela m'arrive de temps en temps, j'adore la chatte de maman et la bite de mon papa dans mon ventre me fait planer !
Lionel ravale sa salive, mais il ne prend pas le mors aux dents, au contraire, curieux, il pose beaucoup de questions, veut des détails, particulièrement sur belle-maman. Cloé en souriant lui dit :
-Mais ma parole, tu fantasmes sur maman ?
En se pinçant les lèvres, Lionel répond :
-Pour être franc, il faut dire que ta maman est bandante malgré son âge, mais comme on dit, c'est dans les vieux pots que l'on fait la meilleure soupe !
Cloé éclate de rire, et ajoute :
-C'est vrai, maman est vraiment une bonne amante, je le confirme, elle a fait ses premières armes de lesbienne avec moi, et j'en suis fière !
Elle monte sur son mari, se vautre sur lui, en ondulant comme un reptile. La queue de Lionel se dresse. Vicieusement, Cloé frotte son bas-ventre contre le sexe tendu.
Sa chatte est en ébullition. Elle saisit la verge dure et s'empale jusqu'à la garde. Elle s'agite, en grognant, son souffle est rapide, ses gémissements sont rauques. Mais Lionel lui pose toujours des questions indiscrètes :
-Elle jouit fort ta maman, elle hurle lorsque que ton papa lui pilonne la chatte ou l'encule ?
En pleine excitation, Cloé répond avec des trémolos dans la voix :
-Oui, oui, maman hurle, ouh putain, Lionel, je vais jouir ouiiiiiiiiiiiiiii !
Cloé explose, elle se plaque contre le torse de son mari en haletant, qui lui donne des coups de reins avec de plus en plus de rage, il demande :
-Elle gueule comme toi ta maman, dis-le moi , dis-le moi ?
Cloé se redresse et en regardant son mari dans les yeux lui dit :
-Oui, elle hurle beaucoup plus que moi !
Lionel envoie dans le ventre de sa femme sa semence épaisse. Sans se rendre compte, il dit :
-Putain elle doit être vachement bonne, ta maman !
Cloé en fronçant les sourcils demande :
-Mais mon salaud, tu m'as baisé en pensant à maman, avoue ?
Entre souffles, Lionel répond :
-Oui, j'avoue, depuis que tu m'as dit que tu couches avec tes parents, je ne pense qu'à ta maman, oh putain, comme je la baiserai !
Cloé embrasse son mari fougueusement, le baiser est très long et très humide, les salives s'échangent dans des grognements de bêtes. Un jour que Cloé fait l'amour avec ses parents, elle dit en ravalant sa salive :
-J'ai tout avoué à Lionel, eh bien, vous savez, cela l'a excité. Maman, il désire te défroncer et il n'en démord pas, il n'en dort plus la nuit tellement que cela le travail !
Lucette, flattée, reste sans voix un instant, puis en regardant son mari dit :
-Tu te recomptes mon chéri, même à mon âge je suis encore désirable, c'est fou ça non !
En haussant les épaules, Marc répond :
-Tu parles avec le cul que tu as ma chéri, tu ferais bander un mort !
Les deux femmes éclatent de rire et reprennent leurs activités sexuelles, devant Marc qui n'attend que son tour pour défoncer sa fille. Pendant une bonne partie de la journée, c'est l'orgie. Marc est très vigoureux et honore les deux femmes comme il se doit.
C'est samedi, comme un rituel, Marc et Cloé sont invités au restaurant par ses beaux-parents. Depuis qu'il sait que sa belle-maman couche avec sa fille, il la regarde d'un autre œil. À table, il lui lance des regards et des sourires ravageurs, qui en disent long. Marc sourit intérieurement, en épiant du coin des yeux son gendre dont il sait ce qu'il souhaite. Il l'imagine même de voir sa femme prise sauvagement par lui.
Lucette aussi épie son gendre, depuis qu'elle sait qu'il veut, comme dit sa fille, la défoncer, cela ne la laisse pas de marbre. Depuis que Lucette s'est dévergondée avec sa fille, elle est prête à tout, pour prendre du plaisir. Elle, si prude, a bien changé, souvent son mari lui dit qu'elle a le feu au cul.
La soirée se passe parfaitement bien, il est tard, il faut rentrer. Lucette dit :
-Pour finir en beauté, prenons un dernier verre à la maison mes chéris !
Une fois rentré, Marc ouvre une bonne bouteille et remplit les verres. Il prend place dans un fauteuil, immédiatement, sa fille s'assied sur ses genoux. Elle le prend par le cou et lui donne une multitude de baisers sur le visage. Lionel regarde, son cœur bat la chamade, il se dit que si ils font l'amour devant lui, il a une chance de sauter sa belle-mère, l'idée le fait saliver. Soudain, Cloé embrasse goulument son papa. Le bougre la tient par la taille, son souffle est court. Il est un peu gêné de la présence de son gendre, mais remplit la bouche de sa fille de salive. Une fois les lèvres séparées, il dit :
-Tu aimes ça, ma chérie !
Cloé répond :
-Oh oui papa, mais j'aime mieux avaler ton sperme, il est si bon; mais tu bandes mon cochon!
Marc caresse la croupe de sa fille et lui dit :
- Eh oui c'est ta faute, d'ailleurs, je suis à ta disposition, ma chérie, fais-toi plaisir !
Lionel serre les poings, il regarde sa belle-maman qui semble excitée par ce qu'elle voit et entend. Puis, il prend son courage à deux mains et s'approche d'elle. Il lui relève le menton avec deux doigts et dépose un baiser bruyant sur ses lèvres. Les yeux de Lucette se mettent à pétiller. Elle se lève, le regarde droit dans les yeux et lui demande :
-Alors, mon gendre, j'ai appris que l'on veut défoncer sa belle-mère, je suis là, qu'est-ce que vous attendez ?
Lionel ne s'attendait pas à ça, timidement, il l'enlace et pose ses lèvres sur les siennes, Lucette accepte le baiser, et lui rend avec plus de fougue. Sur le fauteuil, Cloé s'agite, la verge de son papa et fortement gonflée, elle dit en souriant :
-Je fais de l'effet au papa cochon qui veut baiser sa fille, hein !
Avec des trémolos dans la voix, il répond :
-Oh oui ma chérie, ta chatte et ton petit cul de salope me manquent, je n'en peux plus, soit à moi, tu sais comme je t'aime, touche ma bite, sent comme elle te veut !
Au travers du pantalon, Cloé tâte la queue de son papa, qui est dure comme du bois. Elle la presse plusieurs fois, puis se décide à l'extraire du carcan de tissu ou elle est emprisonnée. Elle jaillit brusquement en oscillant sur le ventre que vient de dénuder Cloé. Elle la saisit d'une main en regardant vers son mari, et l'agite férocement en marmonnant :
-Donne tout papa, je veux boire ton sperme !
En serrant les dents, elle branle la bite avec rage. Marc geint, agite son bassin, puis il se cabre et hurle :
-Je vais jouir, Cloé, Cloé, je vais jouir !
Immédiatement, Cloé décalotte le gland, le gobe, ensuite reprend le branlage. Une puissante giclée lui remplit la gorge. Elle repousse son papa, et en se pinçant les lèvres regarde son mari. Elle avale par petites gorgées la liqueur onctueuse. Puis, elle ouvre la bouche toute grande pour faire voir à son mari qu'elle a tout avalé. Lucette souriante dégrafe le pantalon de son gendre et lui sort la bite qui est en érection. Elle l'agite, ensuite comme sa fille décalotte le gland et le gobe, les succions sont bruyantes, Lucette se fait un plaisir de sucer la bite de Lionel.
Sa bouche affamée descend sur la hampe fortement veinée, puis aspire un à un les testicules gorgés de semence. Elle les suce en faisant gémir son gendre soumit. Elle donne des coups de langue bien ajustés sur le gland épais, qui laisse échapper quelques perles visqueuses. Les gémissements rauques qu'il pousse, attirent l'attention de Cloé et de son papa. Ils regardent Lucette dévorer avec rage la queue de Lionel. Son ardeur porte ses fruits, un jet de sperme lui remplit la gorge et comme sa fille, l'avale avec gourmandise.
Lucette, avec des gestes lents, s'effeuille comme une stripteaseuse, un à un ses vêtements tombent sur le sol. Une fois nue, elle se déhanche comme une danseuse orientale, en provoquant son gendre. Lui, émerveillé, regarde les seins généreux aux mamelons épais, plantés au centre de grosses aréoles brunes. Elle se tourne et agite sa croupe, se penche en avant, toujours en s'agitant doucement. Puis, comme une provocation, elle écarte délicatement ses lobes fessiers. Lionel ravale sa salive bruyamment lorsqu'il aperçoit l'anneau ridé, affreusement boursouflé.
Marc ne reconnait plus sa femme, il lui dit :
-Mais qu'est-ce qui te prend d'exhiber ton anus comme ça, tu deviens folle !
En souriant, Lucette répond :
-Je veux que mon gendre regarde ma fleur, et s'il la désire, je lui l'offre volontiers, je veux être sa pute, comme je suis la vôtre, mes chéris !
Marc secoue la tête négativement et, en se pinçant les lèvres, dit faiblement !
-Ma chérie, tu as raison, fais de ton gendre une machine à baiser, depuis que tu sais qu'il veut te sauter, tu es intenable !
Lionel bande comme un cerf, il ne quitte pas des yeux la croupe aux larges hanches. Rapidement, sans demander son reste, il retire ses vêtements, s'avance et commence à caresser la croupe généreuse de belle-maman, qui soupire profondément.
Marc et sa fille semblent intéressés par la suite des évènements, ils font une pause. Lionel palpe la croupe généreuse de Lucette. Jamais, il n'aurait imaginé devenir l'amant de sa belle-mère, bien que l'idée de l'être lui soit déjà passée dans la tête. Là, il va concrétiser. Sa verge est secouée de soubresauts incontrôlables. Ses doigts glissent dans le large sillon, taquinent n'anus déformé par les innombrables pénétrations. Son majeur tourne sur le muscle rectal, appuie plusieurs fois dessus avant qu'il ne cède. Lentement, Lionel enfonce son doigt dans le fondement de Lucette qui soupire de bonheur. Comme aspiré, l'intrus disparait entièrement dans le rectum. Un très lent va-et-vient fait geindre belle-maman. Mais habituée à plus gros, elle dit faiblement :
-Enfonce deux doigts, mon chéri, et fouille-moi bien le cul, c'est si bon !
Un deuxième visiteur se joint au premier, et ensemble fouillent l'anus, Lucette geint de bonheur. Marc, en regardant sa fille, dit :
-Ta maman est insatiable autant que toi, ma chérie, retire tes frusques que je te défonce !
Cloé qui n'attendait que cela, rapidement, se retrouve nue. Elle se place à califourchon sur les genoux de son papa et, en lui saisissant habilement la verge, la dirige vers son temple en ébullition. Elle s'empale dessus et, en s'accrochant au cou de son papa, s'agite comme une forcenée, à la recherche d'une jouissance bien méritée. Marc ne quitte pas des yeux sa femme qui subit un doigtage féroce du cul de la part de son gendre. Lucette agite sa croupe, pousse des gémissements rauques, très longs. Lionel retire ses doigts et, en s'agenouillant derrière sa belle-mère, lui écarte les fesses et plaque sa bouche sur l'orifice que ses doigts viennent de sonder. Il lèche un instant, puis aspire fortement l'anneau qui, comme par enchantement, sort de son logement. Lucette se cambre en grognant :
-Oh putain Lionel, mon chéri, continue, continue, c'est divin !
Le coquin suce l'anus, enfonce sa langue le plus qu'il peut dans le conduit et le fouille en arrachant à sa belle-mère des grognements de bête. Marc, excité comme jamais, s'accroche aux hanches de sa fille et donne des coups de reins terribles, comme pour lui traverser le corps avec sa queue. Son regard est rivé sur le couple que forment sa femme et son gendre.
Cloé comme une machine, s'agite sans faire une pause et atteint enfin son objectif. Une violente jouissance la fait hurler. Elle s'agrippe haletante à son papa qui ne cesse de la défoncer. Les grognements du papa prouvent qu'il prend beaucoup de plaisir à déglinguer sa fille. Il se cabre fortement, se bloque et remplit abondamment de son sperme la chatte de sa fille.
Enfin, Lionel cesse de dévorer la chatte de sa belle-mère, il se redresse, lui saisit les hanches et lui enfonce brutalement sa verge dans la chatte, qui déborde de cyprine. La levrette est violente, Lucette gémit, à chaque coup de reins que lui inflige son gendre amant. Soudainement, Lionel retire sa queue de la fournaise et la plante brutalement dans l'anus de Lucette qui pousse un long râle approbateur. La sodomie est dévastatrice, son amant la défonce comme un forcené, en lui arrachant des grognements de bêtes agonisantes. À chaque coup de reins, sa queue s'enfonce jusqu'aux couilles dans le rectum de Lucette qui gémit de plaisir. Elle agite sa croupe en marmonnant :
-Oui, oui, mon chéri, bourre-moi le cul, c'est trop bon, défonce-moi, défonce-moi, oh putain, je vais jouir !
Dans un hurlement terrible, Lucette explose, sa jouissance est pharaonique, c'est si violent qu'elle s'écroule sur le sol en entrainant son amant dans sa chute, comme prise d'hystérie, elle ne cesse de dire :
-Mon Dieu, mon Dieu, comme c'est bon de jouir, je veux encore jouir du cul, je veux de la queue, beaucoup de queue, défoncez la salope que je suis devenue !
C'est à ce moment-là que Lionel lui remplit l'intestin de sperme. Marc, un peu surpris par les propos de sa femme, sourit et dit :
-Ma chérie, Lionel et moi allons exaucer tes souhaits. Oui, tu es une grosse salope, et je suis heureux qu'enfin tu montres ton vrai visage de salope. J'ajouterai même d'une grosse pute. Viens sur ma queue, ma salope d'amour, tu as bien mérité une double pénétration !
Lionel aide belle-maman à s'embrocher sur la queue de son mari, il se place derrière et lui enfonce sa queue dans le rectum qu'il vient de remplir de liquide visqueux. Prise pour la première fois en double, Lucette croit rêver, c'est le summum du bonheur. Les deux hommes lui travaillent les entrailles comme des soudards, ils la défoncent comme des brutes. Les queues, bien synchronisées, voyagent dans le corps de Lucette en prenant de la vitesse. La paroi qui sépare les deux orifices est si fine qu'elle a l'impression qu'elles sont dans le même trou. Cela lui procure un nouveau plaisir, qu'elle n'est pas près d'oublier.
Les mandrins coulissent dans son corps comme deux pistons dans leurs cylindres. Les gémissements que pousse la soumise sont terribles. Une jouissance, encore inconnue d'elle, jusqu'à présent, la fait hurler. Son corps est pris de tremblements incontrôlables, elle halète en subissant les assauts répétés de ses amants. Les deux hommes déversent en même temps un flot de semence dans les entrailles de Lucette qui ne cesse de gémir. Après un moment de récupération, c'est au tour de Cloé de subir les assauts des deux hommes. Ils l'explosent jusqu'à ce qu'elle demande grâce. Depuis ce jour, les quatre complices se rencontrent souvent pour des défonces mémorables
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