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Belle-mère d'amour 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/12/2023

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George, a élevé seul son fils, depuis que sa femme l'a quitté, il y a plusieurs années.
C'est le quatorze juillet, une piste de danse, est improvisée sur la place du village, le monde afflue. George, invite une femme pour danser. Cette femme, il l'a croisé plusieurs fois dans le village, ils se sont juste salués et souris. Plusieurs fois, George, à voulut entamer une discution avec elle, mais cette femme très réservée trop timide , rougissait et ne répondait que par oui ou par non à ses questions qui embrassaient bien la femme.

Mais aujourd'hui, il n'en revient pas, il la serre dans ses bras. Il la sent mal à l'aise, les deux évoluent sur la piste avec des pas maladroits. George fait tout se qu'il peut pour ne pas la brusquer. Il l'invite plusieurs fois à danser en tout bien tout honneur, puis lui demande venir prendre une verre à sa table. La femme semble être plus détendue, elle accepte l'invitation, et prend place à la table de George. les langues se délient, peu à peu les deux se dévoilent et se confient l'un à l'autre. La femme au prénom de Laureen était en couple avec une homme qui a malheureusement disparut dans un accident, il y à déjà longtemps. Depuis, elle c'est renfermée sur elle même, évitait les contacts, vivait comme une ermite. Elle ne sortait que pour travailler et faire ses courses. Jamais un homme ne l'a touché depuis le drame. Les deux sympathisent, et se serrent plus étroitement en dansant. les joues sont l'une contre l'autre, Laureen, sent sur son cou le souffle chaud de George, qui lui murmure à l'oreilles des mots qui la font sourire. Du bout des doigts, il lui caresse le dos que la robe ne couvre pas.


Laureen frissonne, les doigts délicats de George qui pianotent sur ses vertèbres, la font soupirer. Cette femme qui à maintenant plus de la cinquantaine, se sent revivre. Les corps se frottent, ondulent au son de la douce musique. Les deux à table se dévisagent, se sourient en trinquant souvent. Soudain un jeune homme s'avance, il regarde Laureen et dit à George :

-Papa tu ne me présentes pas à cette belle femme !


Laureen rougit, George sourit et dit :

-Laureen, je te présente mon fils Renaud, Renaud je te présente Laureen !


Le jeune homme de vingt-cinq ans prend place et trinque avec le couple. Il invite Laureen à danser, qui accepte. Les bassins se frottent, l'étreinte est étroite, Laureen défaille, lorsqu'elle sent contre son bas-ventre le membre qui lentement prend du volume. Elle tente vainement de reculer son bassin mais Renaud la maintient fermement. Le bougre plus audacieux que son papa, lui mordille le lobe de l'oreille, glisse sa langue dans le pavillon de l'oreille et de la pointe de la langue agace l'entrée du conduit auditif. Laureen, se met à trembler. Elle est rouge comme une pivoine. Renaud en la fixant droit dans les yeux, effleure avec sa langue, les lèvres de Laureen. George reconnaît que son fils a de l'audace. Enfin la danse cesse, rapidement Laureen rejoint sa place, elle est très troublée, George lui prend la main et l'embrasse, il dit en pressant la main de Laureen :


-Il faut lui pardonner, c'est un jeune plein de fougue qui ne sait pas se tenir !


Renaud les rejoints, Laureen regarde la grosse bosse qui déforme son pantalon. Le dragueur en s'excusant, quitte la table. Laureen, frémit lorsque George se met à lui sucer un à un ses doigts, heureusement que les tables sont très mal éclairées. Laureen meurt de honte, ses yeux font le tour de la piste. Mais il semble que personne ne prête attention à eux. Renaud lui à rapidement invité une autre femme, qui semble moins récalcitrante que Laureen. George ne veut pas faire tapisserie. Il invite Laureen et les deux s'enlacent, et mécaniquement, se frottent l'un contre l'autre. Renaud fait sa vie de dragueur de son coté. George séduit Laureen, qui semble radieuse en sa conpagnie.


Les mois passent, Laureen et George se fréquentent régulièrement, ils s'adorent et décident de se marier. Le mariage à eu lieu. Le couple s'entend magnifiquement, Laureen n'est pas compliquée à vivre, george n'en plus. Renaud un peu dragueur flatte sa belle-mére, il ne cesse de la complimenter, tout ça sous les yeux amusés de son papa. Quant à Laureen elle est mal à l'aise, sa timidité prend à chaque fois le dessus. Le trio s'entend comme jamais, jusqu'au jour ou, Renaud croise sa belle-mère qui sort de la salle de bain nue, elle se croyait seule dans la maison et cherchait à rejoindre sa chambre. Elle reste sans voix devant son beau-fils, qui la regarde en déglutissant bruyamment. Ses yeux ne quittent pas les formes de cette femme mûre, qui est la femme de son papa depuis plusieurs mois. Laureen est rouge de honte, elle semble tétanisée devant son beau-fils, qui en profite pour l'enlacer et la plaquer contre lui, il pose ses mains sur ses hanches et se met a les lui caresser doucement. Les mains baladeuses, s'approchent dangeureusement des lobes fessiers, pour les saisir brusquement. Laureen sursaute elle frémit, puis pavient dire faiblement :


-Renaud soit raisonnable, ne commets pas l'irréparable, lâche-moi, je t'en prie !


Renaud desserre l'étau de ses mains, sa belle-mère enprofite pour s'échapper lestement. Renaud suit du regarde Laureen qui accélére le pas. Le déhanché de félin que fait Laureen pour fuir, laisse Renaud rêveur. Elle rejoint sa chambre et prend place devant sa coiffeuse, elle se regarde un long dans le grand miroir, moment avant de commencer à se coiffer. La porte de sa chambre s'ouvre doucement, elle sursaute, elle voit dans le miroir son beau-fils qui s'avance lentement vers elle. Il pose ses mains sur ses épaules, et commence un doux massage en disant :


-Excuse-moi Laureen pour tout à l'heure, j'ai perdu les pédales, tu es si belle que je n'ai pu me retenir !


Elle ne répond pas mais ne le quitte pas des yeux dans le miroir, ses doigts pressent doucement les muscles des épaules qui sont tendus à l'extrêmes. Ses mains montent sur son cou, redescendent sur les épaules pour reprendre le massage soigneux. Les mains passent devant, et glissent lentement sur le torse en s'approchant de la poitrine généreuse de Laureen. Elle pousse un gros soupir en se cabrant, lorsque les intruses se posent sur ses seins. Elle ne comprend pas pourquoi, qu'elle ne réagit pas à cette agression, elle tremble. Les mains enserrent les demi-sphéres, les palpent un long moment sans que Laureen réagisse. Les doigts se plantent profondement dans la chair souple de seins et les malaxent en profondeur. Laureen jette sa tête en arriére et ferme les yeux, ses soupirs sont très profonds, les doigts agiles de son beau-fils cessent de presser les lobes, et saisissent délicatement les mamelons. Il les roule entre ses doigts de longues minutes, en cherchant à les faire doubler, voir tripler de volume. Le résultat ne ce fait pas attendre, les bouts deviennent énormes, le bougre prend un malin plaisir à les étirer et les écraser. Laureen gémit en serrant les dents, son abricot laisse échapper un filet de cyprine. Elle serre les cuisses pour limiter l'écoulement incontrôlable qui glisse le long des cuisses. Soudain, elle réalise avec horreur, qu'elle s'excite sous les doigts de Renaud. Elle le repousse, se lève d'un bond et en béguant fortement dit :


-Renaud, sors de ma chambre, immédiatement mais qu'est-ce qui te prend, tu deviens fou, je suis la femme de ton papa aller sors ne m'obliges pas à parler de ton comportement à ton papa !


Renaud recule, sa verge et tendue dans son pantalon, Laureen ne quitte as des yeux la bosse énorme qui pointe sur le bas-ventre de son beau-fils. Soudain Renaud baisse on pantalon et exhibe sa verge raide, et dit :

-C'est pour toi qu'elle est tendue, je n'y peux rien, c'est la nature !


Laureen regarde médusée le manche dressé, dans sa vie, elle n'en à pas vue beaucoup. Renaud remonte son pantalon et disparaît. Laissant sa belle-mère rêveuse, elle se laisse tomber sur son lit, et allez savoir pour quelle raison, elle commence à se caresser le fruit qui ne cesse de rejeter son jus. Rapidement, le coquine jouit. Elle reste un long moment la main sur sa vulve avant se se relever, pour reprendre place devant sa coiffeuse. Elle lisse ses cheveux en soupirant de nombreuses fois. La journée se passe normalement ou presque, sauf pour Laureen qui pose congé pour la journée, elle est fébrile, elle s'assied sur le canapé en se remémorant ce qui vient de se passer. Renaud et son mari sont au travail. Laureen n'est pas bien, elle transpire, s'agite sur son canapé. Elle retrouse sa jupe, tire violemment sur sa culotte qui très humide, qui se déchire sous la brutalité de l'action.

Elle saisit son clito et le branle sauvagement, elle grimace, elle se triture à la limite de la douleur. Elle jouit à vitesse grand V. Elle n'est pas appaisée, elle s'enfonce jusqu'à quatre doigts dans le vagin et le ramone énergiquement. Elle jouit plusieurs fois avant de rabaisser sa jupe. Elle reste étendue sur le canapé un long moment avant de prendre une douche et de préparer le diner. Enfin George rentre de son boulot, il embrasse sa femme, qui se blottit contre lui en le serrant très fort dans ses bras. Enfin elle le libére, il se dirige vers le salon et là, il trouve sur le sol la culotte déchirée. Il la prend en main et la renifle fortement, il fait un hum en voyant sa femme entrer dans les salon à son tour. Il la reagrde en souriant et dit :


-Il sent l'amour ma chérie qu'est-ce qui c'est passé !


Laureen rougit et en baissant les yeux répond :

-Hum eh bien, j'ai eu un besoin subite de me masturber, je ne sais comment t'expliquer ça mon chéri !


George sourit et réplique en l'enlassant :

-Mais ma chérie tu viens tout de m'expliquer, il n'y a pas en faire un roman !


Il passe une main sous sa jupe et la plaque contre la vulve et dit en riant :

-Je remarque que tu n'as pas remis de culotte, c'est un appel au sexe ou non !


Pour toute réponse Laureen l'embrasse fougueusement, c'est juste à l'instant ou Renaud entre. Il sourit et salue les amoureux. Son papa a laissé tombé la culotte déchirée sur le sol, trop occupé d'embrasser sa femme. Renaud la ramasse, lui aussi le hume fortement. Pendant le baiser, Laureen ne quittait pas des yeux son beau-fils. Elle le voit respirer la cyprine qui imprégne le tissu. Les regards se croisent, il est temps de passer à table. Une fois les mains lavées, les deux hommes prennent place autour de la table. Renaud est en face de sa belle-mère, souvent Renaud reluque sa belle-mère en lui souriant, elle baisse la tête honteuse sans repondre aux sourires ravageurs du jeune homme. De temps en temps pendant le repas, sous la table le coquin lui fait du pied.


Laureen ne relève pas la tête de son assiette. Discrétement, il ote sa chaussure et avec souplesse fait monter son pied le long des jambes de Laureen. Elle n'ose rien dire pour ne pas créer un scandale. Le pied, arrive aux genoux, avec insistance, il force le passage, et glisse entre les cuisses de la belle-mère qui ne sait quoi faire. Lentement les orteils viennent en contacte de la vulve, Laureen sursaute, elle n'arrive pas à resserrer les cuisses car le pied est bien ancré entre. Le bougre joue des orteils, la fente laisse échapper son jus, Renaud joue de longues minutes avec la fente très humides de sa belle-mère. Soudain elle porte la main à sa bouche et jouit en gémissant fortement, elle se mord le poignet jusqu'au sang.


George la regarde et lui dit :

Qu'est-ce que tu as Laureen ?


Elle réussit à dire :

-Oh je me suis mordue la langue, c'est pas grave !


Les yeux de Laureen jettent des éclairs en direction de Renaud. Le coquin fait tomber sa fourchette, il se baisse et constate qu'il y à une petite flaque de liquide sur le sol en dessous de Laureen. Il se redresse et fait discrétement un clin d'oeil à sa belle-mère. Qui est rouge comme une pivoine. Enfin le repas se termine George fatiqué, va prendre sa douche et en embrassant tout le monde, rejoint sa chambre. Laureen regarde son beau fils et lui dit:

-Tu es un monstre, tu te rencomptes si ton papa apprennait tes agissements derrière son dos !


Renaud, l'enlace et lui dit en la narguant :

-Tu te plains, pourtant tu as jouis lorsque mes orteils t'ont trituraient la chatte hein !


Elle le regarde méchamment et dit :

-Je te hais, tu profites de ma faiblesse, tu n'es qu'un salaud !


Renaud lui dit :

- tu aimes que je sois salaud avoue !


Laureen hausse les épaules et réplique !

- Mon Dieu ce que tu peux être bête mon pauvre petit bonhomme !


Renaud ne baisse pas les bras, il serre très fort sa belle-mère dans ses bras. Qui le repousse violement en se cabrant:

-Cesse voyou, tu devrais avoir honte de toi !












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Histoire de valeriane

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