Belle-mère, d'amour 2

Renaud, desserre son étau, il relève le menton de sa belle-mère avec deux doigts et lui donne un baiser bruyant sur les lèvres. Laureen secoue la tête négativement en se pinçant les lèvres. Elle lui dit en grinçant les dents en se laissant tomber sur le canapé :

-Va prendre une douche pour calmer ton ardeur, mal apprit !




Renaud en haussant les épaules se dirige vers la salle de bain, et prend une douche. Mais le bougre ne lâche pas prise. Il ressort de la salle de bain, avec une serviette nouée sur ses hanches. Il va d'assoir près de Laureen qui regarde la télé tranquillement, elle le regarde d'un sale œil, elle craint le pire avec lui. Lentement, il passe sa main par l'ouverture de la serviette et commence à se triturer la verge. Au début, Laureen n'avait rien remarqué, elle tourne la tête vers son beau-fils, car il souffle comme un bœuf. Elle écarquille les yeux en voyant sa main s'agiter sous la serviette. Elle lui dit :

-Mais tu es fou Renaud, qu'est-ce qui te prend !





Pour toute réponse, il ouvre la serviette et se met à agiter son membre, en regardant sa belle-mère. Elle reste sans voix en regardant la queue tendue, que son beau-fils branle énergiquement. À chaque descente de son poignet, il décalotte le gland. Laureen semble hypnotisée, par ce qu'elle voit, elle à la bouche entrouverte, ses yeux pétillent. Renaud cesse de se branler, et lâche son engin, qui est pris de soubresauts contents. Laureen déglutie sans cesser de regarder le membre raide. Renaud doucement lui saisit la main et la presse doucement, avant de la poser sur sa queue. Laureen sursaute, a un geste de recul, mais Renaud maintient la main de sa belle-mère sur son membre dressé. Pendant des secondes qui paraissent interminables, Renaud attend un instant avant de lâcher la main de sa belle-mère. Laureen garde en main l'engin plein de vie, sans réagir, elle sent battre le sang dans la hampe gonflée. Mécaniquement, elle la presse plusieurs fois, puis réalise ce qu'elle fait, il se lève brusquement, Renaud tente de la retenir, mais un geste maladroit fait chuter Laureen qui se retrouve à genoux, le visage près du manche gorgé de sang. Elle reste figée, en regardant la verge si près de son visage. Renaud saisit sa verge et là frotte plusieurs fois sur les lèvres de sa belle-mère, qui avant de réagir, reste un instant sans bouger. Lorsque Renaud lui saisit la tête et appuie, Laureen veut dire quelque chose, mais la verge tendue, pénètre sa bouche. Elle recrache le gland et se relève d'un coup. En vociférant :


-Renaud, tu es un monstre, oh comme je te hais !

Elle éclate en sanglot, et monte rapidement dans sa chambre retrouver son mari, qui dort comme un loir. Elle retire tous ses vêtements, enfile sa nuisette, en reniflant. Elle se faufile dans le lit et se plaque contre son mari, elle se blottit contre lui, en le serrant très fort. Puis, elle se met sur le dos, s'essuie d'un revers de la main ses larmes qui mouillent ses joues. Ses mains tremblent, elle passe une main sur sa cuisse, la caresse doucement avant de la glisser sous sa nuisette. Sa chatte est trempée, elle passe ses doigts plusieurs fois sur sa fente qui rejette le surplus de cyprine. Lentement, elle entreprend une masturbation qui devient de plus en plus sauvage. Elle a plusieurs orgasmes, des spasmes violents, qui la font geindre fortement. Le lendemain, c'est samedi, George va à la pêche, il adore cela. Renaud est déjà levé, il a préparé le petit déjeuner. Laureen se lève, elle descend l'escalier, en s'étirant comme un félin. Ses yeux sont cernés, elle a les traits tirés. Renaud regarde le déhanchement de danseuse orientale de sa belle-mère, il voit au travers de la nuisette transparente le corps nu que le voile de tissu ne masque que légèrement.


Il embrasse sa belle-mère, qui le salue à peine en le toisant de haut. Il s'assied en face d'elle à table et verse le café. Ses yeux luisent en voyant les mamelons appuyer sur le fin tissu comme pour le forer. Renaud dit :


-Comme tu es belle Laureen et si désirable !


Elle lui répond :

-Cesse de me torturer, je deviens folle avec toi, mais qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu pour mériter ça !



Renaud ne comprend pas bien ce que veut dire sa belle-mère. Des larmes coulent sur les joues de Laureen, qu'elle essuie en reniflant. Renaud se lève, et s'approche de Laureen, il se place derrière elle est l'enlace en lui donnant pleins de petits baisers sur la nuque et dans le cou, et lui dit :

-Je sais que je te fais du mal, mais je te désire tellement, sois à moi au moins une fois !


Laureen réplique :

-Tu deviens de plus en plus fou Renaud, je suis mariée, je ne peux pas faire ça, cesse de me tourmenter !


Elle se lève pour aller dans la salle de bain, il l'attrape par les bras, elle tournoie sur elle-même, il l'enlace, et poses ses lèvres sur les siennes. Surprise, elle appuie ses mains sur le torse de son beau-fils, donne quelques tapes puis sans chercher plus loin, elle passe ses bras autour de son cou et là, les deux échangent un baiser d'enfer. Puis, elle le repousse brusquement en éclatant en sanglots, elle bègue :

-Non, non, je ne peux pas faire ça à George !


Elle court se réfugier dans le salon et s'affale sur le canapé. Renaud la rejoint, la nuisette de sa belle-mère et remontée sur le haut de ses cuisses, il peut voir la toison soyeuse qui semble humide. Il se laisse tomber à genoux en face d'elle, il pose ses mains sur ses genoux et lui écarte les jambes. Il avance sa tête entre les cuisses et plaque sa bouche sur le fruit trop mûr qui laisse échapper son jus. Il aspire, suce, le bon jus et gobe la boule, sensible et la tète comme un affamé. Laureen appuie sur la tête de son beau-fils en grommelant :


-Non, non, sois sage, Renaud, non, non, mon chéri, cesse, je t'en prie !

Mais les aspirations renouvelées sur son clito la font gémir, elle s'aggripe aux cheveux de Renaud, en grognant. Soudain, elle se cabre en poussant un long râle, la langue de son amant vient de s'engouffrer dans son vagin débordant de cyprine. Elle gémit, s'agite, elle veut résister, mais en vain, elle pousse de gémissements de bête. Puis explose en tirant fortement sur les cheveux de son beau-fils, qui grimace de douleur. Elle lui remplit la bouche de son jus au gout suave, en geignant fortement. Enfin, elle le repousse et s'enfuit vers sa chambre. Elle se jette sur son lit en pleurant.


Renaud à du mal à comprendre sa belle-mère, mais il se fait une raison. Sa queue est tendue dans son pantalon, elle devient douloureuse. Il la sort et se branle comme un sauvage en ruminant. Il éjacule, en poussant le prénom de sa belle-mère. Elle reste un long moment dans sa chambre avant de redescendre, pour préparer le déjeuner, mais avant, elle prend une douche. Elle remonte dans sa chambre pour se vêtir d'une jupe et d'un corsage qui la rendent encore plus désirable. Pendant qu'elle prépare le déjeuner, elle n'ose croiser le regarde de son beau-fils, qui la déshabille du regard. Il ne peut s'empêcher de la complimenter sur sa tenue. Enfin, George revient de sa pêche, fier, il exhibe ses prises. Il embrasse sa femme et son fils puis, va se changer. La journée ne se passe pas trop mal, sauf pour Laureen qui et remplit de remord. À beaucoup de mal à cacher son stresse.


Le repas se passe plus ou moins bien, Laureen jette des regards dévastateurs à son beau-fils, qui lui répond en souriant. Soudain le téléphone sonne, c'est un responsable d'où travaille George, il ont besoin de toute urgence de ses services. George n'a pas d'autre possibilité, il doit y aller. Laureen reste, avec en face d'elle, son beau-fils qui l'a fait jouir il y à peu de temps. Audacieusement, il lui prend les mains et les embrasse. Laureen tremble en béguant :

-Non, non Renaud, cesse de me tourmenter, tu me rends folle, c'est odieux ce que nous avions fait tout à l'heure !








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