Belle rencontre de Geoffroy sur le net.

Suite à un commentaire élogieux sur une histoire qu'Isabelle a écrite sur un site érotique. Elle decide de pousser plus loin le dialogue avec l'homme qui lui semble être très posé. Cela fait maintenant quelques mois qu'ils échangent sur le web, il se prenome Geoffroy, les deux s'apprécient de plus en plus, échangent des photos. Quelques fois, ils parlent de leurs délires sexuels. Les dialogues entre eux, deviennent plus chauds.
Valériane, la compagne d'Isabelle, propose à son amour de rencontrer le mystérieux surfeur du web, qui par sous-entendue la drague.

Lui, policier, est marié, il a des enfants, il est bassiste dans un orchestre amateur. Il avoue que la routine s'installe dans son couple. Isabelle se demande si c'est raisonnable de le rencontrer, elle, très sensée, ne veut pas créer un conflit dans le ménage de Geoffroy. Mais l'insistance de Valériane, fait plier Isabelle. Elle profite du passage de l'orchestre dans une ville voisine, pour rencontrer ce séducteur mystérieux.

Les deux femmes, après le spectacle, prennent un verre avec lui, il est beau garçon, plus beau que sur les photos selon Valériane, qui ne cesse de le charrier. Il faut dire que la jeune amante d'Isabelle est d'un culot et d'un sans-gêne monstre. Elle parle plus qu'Isabelle, lui pose des questions très indiscrètes, qui quelques fois font déglutir bruyamment Geoffroy. Mais l'homme rebondit avec humour, à chacun des assauts de la jeune survoltée. Mais lui ne cesse de dévisager la femme de plus de cinquante ans qu'est Isabelle, elle semble lui plaire, lui aussi ne la laisse pas indifférente. Cela fait plus de deux heures que le trio bavarde. Il faut prendre le taureau par les cornes. Avec son sourire ravageur, Isabelle invite Geoffroy à diner. Il accepte, pour lui, c'est inespéré. Après un court voyage en voiture, ils arrivent chez Isabelle. La maison campagnarde vaut le coup d'œil, pendant qu'isabelle la cuisinière s'affaire aux fourneaux. Valériane propose au blondinet de faire le tour du propriétaire. Non loin de la maison s'étend sur plusieurs dizaines de mètres un bel étang, une petite promenade sur l'eau serai là bien venue. Geoffroy se sent une âme de marin, avec de puissants coups de rames, ils abordent le petit ilot qui se trouve au centre de l'étang. Les deux papotent comme de vieux amis avant de rejoindre Isabelle qui a deja dressée la table. Une petite toilette des mains s'impose, et le diner commence.


Mais avec Valériane, rapidement le dialogue qui avait bien commencé, dérape sur le sexe, cela fait sourire Geoffroy qui domine bien le sujet. Le diner se passe bien, le dessert se passe au salon, comme Isabelle apprécie le champagne, mais ne supporte pas l'alcool, une bouteille est ouverte. Verres, après verres, les esprits s'échauffent, le troisième bouchon vient de sauter. Geoffroy prend place près d'Isabelle, qui un peu grisée ne cesse de rire aux blagues osées de L'homme qui pose une main sur sa cuisse, Isabelle sursaute. Comme toujours, Valériane, avec des paroles de charretier, dit en souriant :


-Hum cela sent la baise, ça va jouir dans tous les coins !



Elle se lève et s'assied à côté d'Isabelle, lui retrousse la jupe et dit en passant sa main entre les cuisses d'Isabelle :

-Elle a de belles cuisses ma chérie hein, vas-y caresse les je te l'autorise !

Geoffroy est surpris du comportement de Valériane, mais caresse la cuisse bien galbée de la maitresse de maison, qui serre les poings. Valériane prend la tête de son amour entre ses mains et lui donne un baiser fougueux pour faire comprendre qu'Isabelle lui appartient. Une fois le baiser terminé, elle regarde Geoffroy et lui dit en le toisant de haut :

-Elle te plait ma chérie, elle est belle hein !


Geoffroy ne peut nier les faits, il est vrai qu'Isabelle est une belle femme mûre, et qu'il la désire. Isabelle semble sur un nuage, l'alcool la rend euphorique. Geoffroy s'en hardi, il enlace Isabelle et l'embrasse, étrangement Isabelle répond au baiser langoureux. Les langues se nouent, les salives s'échangent. Une fois les lèvres séparées, c'est Valériane qui prend la relève, elle prend les lèvres de l'homme avec une certaine rage, les langues se nouent comme le font deux reptiles pour s'accoupler. Geoffroy n'ose y croire, deux femmes consentantes pour lui seul, et de surcroit de belles plantes. Le baiser s'éternise, une bosse énorme déforme son pantalon. Valériane se place face à son amour et avec délicatesse lui dégrafe le corsage, ouvre les deux pans, un soutien-gorge à balconnet emprisonne les petits seins. D'un geste habile, Valériane fait sauter l'agrafe et libère les deux prisonniers. Les yeux de Geoffroy s'écarquillent, les bouts larges et épais l'hypnotisent. Valériane sourit, et s'écarte. Geoffroy, ose, il bascule Isabelle sur le canapé et commence à caresser les petits lobes, il roule entre ses longs doigts de guitariste les bouts qui ne tardent pas à réagir, ils prennent du volume.


Le bougre d'homme ne peut s'empêcher de prendre en bouche les mats de chair et de les sucer comme des bonbons. Isabelle souffle comme un dragon, la bouche avide de Geoffroy qui dévore ses mamelons, la fait geindre. Valériane regarde son amour gémir, ses yeux brillent. Valériane a un sursaut, elle repousse Geoffroy. Passe ses mains sous la jupe d'isabelle et avec habileté, lui retire la culotte qui est d'ailleurs trempée. Elle la passe sous le nez de l'homme qui hume avec force la bonne odeur de cyprine. Isabelle semble ne rien comprendre à ce qui se passe, sa vulve laisse échapper son jus, pourquoi, Geoffroy ne la prend pas maintenant. Valériane l'encourage :

-Branle-toi ma chérie, fais-le baver d'envie !

Machinalement, isabelle retrousse sa jupe et ouvre les jambes, l'alcool aidant, elle commence à se masturber devant Geoffroy, qui regarde la vulve aux lèvres bien dessinées, dépourvue de poils. Il peut voir le clito gonflé qu'Isabelle agite en serrant les dents. La bosse de son pantalon et phénoménale. Valériane regarde Geoffroy et lui dit :


-Elle te fait bander hein mon cochon, baisse ton froc et sort ta queue, montre de quoi tu es capable de faire, avec !

Geoffroy ne se fait pas prier, il baisse son pantalon et son slip, sa verge se dresse d'un coup en oscillant sur son bas-ventre. Valériane siffle d'admiration :

-Ouah, tu es bien monté mon salaud !


Elle lui saisit le membre, le presse pour en tester la texture et la raideur, elle se met à branler l'engin sans se poser de question, elle decalotte le gland et dit en regardant son amour :


-Je crois qu'il peut nous satisfaire tous les deux mon amour, il à une bonne bite, regarde quel gland il à !


Isabelle redresse la tête sans cesser de se masturber, puis se laisse retomber sur le canapé. Valériane dit :

-Oh là, elle est à point, je vais te sucer, avant que tu la baise !


Valériane malgré son jeune âge a deja une certaine expérience, elle decalotte le gland, donne des coups de langue sur le cèpe, en fait plusieurs fois le tour, taquine le frein et lape les perles de rosée qui s'échappent du méat ouvert. Elle gobe l'engin qui lui déforme la bouche et le suce comme une vorace. Geoffroy geint de bonheur, il donne des petits coups de reins pour enfoncer sa verge encore plus profondément dans la bouche de la suceuse. Valériane sent que le bougre est au bord de l'explosion, elle recrache le gland et dit :

-C'est le moment baises-là !


Geoffroy se place entre les cuisses ouvertes d'Isabelle, elle regarde le membre s'approcher de son intimité, elle retire sa main et serre les dents. Le coquin frotte son gland contre les grandes lèvres et pousse. Les lèvres s'ouvrent et le gland s'engage dans la gaine brulante d'Isabelle, qui pousse un long râle pendant la lente pénétration. Isabelle cherche du regard Valériane, lui saisit la main et la presse fortement. Geoffroy commence un va-et vient efficase, dont il y a le secret. Les gémissements que pousse Isabelle l'encourage, il accélére en donnant des coups de reins de plus en plus violents. Valériane regarde la verge puissante voyager dans le ventre de son amour, elle serre les dents, la jalousie commence à rosir ses joues. Elle ne prête son amour qu'à des amis réguliers. Pour elle, Geoffroy n'est qu'une entorse aux principes, elle le tolere difficilement, malgré les encouragements qu'elle lui donnaient précédemment. Geoffroy, défonce, Isabelle comme un beau diable. La soumise quoi que consentante semble avoir des regrets, elle ne cesse de regarder Valériane, ses yeux se remplissent de larmes, elle ne lache pas la main de sa jeune amante, au contraire, elle la serre encore plus. Geoffroy s'accroche à Isabelle comme un rapace sur sa proie.





Soudain, il sursaute, la main de Valériane vient de se poser sur ses fesses et ses doigts agiles se mettent à glisser dans le large sillon. Elle appuie un doigt sur l'œillet brun, le titille avant de pousser plus fort. Comme par miracle le doigt disparait comme aspirer par l'anus, Geoffroy se cabre, en grogant. Sans se soucier du résultat, Valériane ramone la gaine anale avec de plus en plus de rapidité, Geoffroy pousse un rugissement, un deuxième intrus vient de lui pénétrer l'anus. Valériane fore le cul de l'homme qui grince des dents. L'effet est si fabuleux que le bougre se bloque et remplit de son sperme le ventre d'isabelle qui jouit à son tour, en gémissement comme une bête blessée.
Valériane continue de pilonner encore un instant le rectum de Geoffroy qui geint de bonheur. Elle retire ses doigts, lui se désaccouple d'Isabelle. Rapidement, il plaque sa bouche sur la vulve qui rejette le surplus de semence, sa bouche en faisant un bruit d'aspiration avale tout le jus disponible. Il gobe le clito, le suce, le tète, comme un affamé, il enfonce sa langue dans le vagin pour le fouiller profondément. C'est terrible l'effet produit, Isabelle se cabre en poussant un long râle, elle jouit dans la bouche de son amant en agitant son bassin. Repu, il se redresse, il regarde Valériane qui entre-temps c'est mise nue. Il reste bouche bée devant la poitrine généreuse et les fesses rebondies de la jeune femme qu'il devra honorer à son tour. Mais la coquine à deja preparée sur la petite table un gode ceinture qui va etre bien utile pendant l'ebat sulfureux à venir.