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Une bourgeoise enfin à la page 4

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 23/08/2023

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Charles, le mari de Charlene, rentre de son voyage d'affaires, avec sa fille. Il ne reconnait plus sa femme, il la trouve radieuse, plus ouverte au dialogue, en un mot moins con. Le matin tôt, Charles part à son bureau, car il doit préparer une réunion très importante pour cet après-midi. Jacques qui attendait ce moment, profite que sa femme dort encore pour se glisser dans la chambre de sa belle-mère.


Il la secoue pour la réveiller, elle regarde avec de l'angoisse dans le regard, elle lui dit :


-Jacques, vous êtes fou, ma fille qui est votre femme, pourrait nous surprendre !



Il la regarde avec arrogance et lui dit avec beaucoup d'ironie :

-Il faut vivre dangereusement vieille salope, mais avec ce que je te prépare pour cet après-midi, tu vas être ma bonne pute, répètes !


-Oui jacques, je vais être votre pute, mais sortez de ma chambre, je vous en prie !


Il replique en la toisant de haut :


-Oh, mais avant, je veux une récompense, donc, tu vas sucer ma bite salope !



Il baisse son pyjama et offre aux lèvres de sa belle-mère sa bite encore endormit. Elle la regarde en déglutissant bruyamment, elle saisit l'engin dont elle ne peut plus se passer et commence à le branler. Le beau-fils sourit et dit :


-Tu apprends vachement vite Charlene, tu es une bonne salope, cet après-midi, je te promets que tu vas être gavée !


Charlene ne quitte pas des yeux la bite de son gendre, elle l'agite de plus en plus vite en soupirant profondément. Le résultat escompté ne se fait pas attendre, la bite de Jacques devient dure. Charlene la décalotte et lèche le gland avec une voracité inouïe. Sa langue tourne sur le béret basque, agace le frein, lape les perles qui s'échappent du méat. Jacques se tend comme un arc, il sursaute lorsque sa belle-mère lui gobe le cèpe royal et le suce comme un noyau de pêche que l'on garde en bouche. Jacques est stupéfait des succions merveilleuses, que donne Charlene sur son gland. Il est vrai, quand peu de temps, elle est devenue une experte. Jacques s'accroche aux cheveux de sa belle-mère et lui envoie une bonne rasade de sperme que la suceuse ne doit pas gâcher, Charlene avale le nectar jusqu'à la dernière goutte. Elle prend soin de nettoyer la bite avec sa langue avant de relâcher l'engin. Jacques la félicite :


-Tu es trop bonne, mes amis vont se régaler avec toi, tu feras tout ce qu'ils te demanderont de faire hein vieille salope !


-Oui, oui Jacques, je ferai tous, c'est promis, mais sortez de ma chambre maintenant !

Il replique en la regardant :

-Pendant le déjeuner, tu ne porteras pas de culotte et tu te branleras jusqu'à la jouissance, compris, belle-doche !


Charlene, peur d'être surprise par sa fille, répond :

-Oui, oui, Jacques, tout ce que vous voudrez !



Jacques lui donne une tape sur les fesses et quitte la pièce en souriant, il rejoint sa femme Élodie, qui, en chien de fusil, dort toujours. Il se palque contre ses fesses, passe ses mains sous la nuisette et lui caresse les hanches puis le ventre. Une de ses mains s'égare sur la vulve que seule sa culotte protège, Élodie frémit pendant son sommeil. Jacques, au travers du fin tissu, caresse les grandes lèvres qui se mettent à suinter, la culotte s'humidifie rapidement. Il se dit en souriant, si seulement elle etait aussi chaude que sa mère, putain quel pied que je prendrai. Mais hélas, sa femme est une molasse au lit.
Mais le bougre à de grands projets pour elle et dès cet après-midi. Il faut qu'Élodie devienne une salope comme sa mère.
À force de lui tripoter le clito, Élodie jouit. Sans savoir pourquoi, au réveil, elle à la culotte trempée au niveau du sexe, elle fronce les sourcils, mais n'en trouve pas la raison.


Charles, téléphone à sa femme :


-Ma chérie, je ne rentrerai pas pour déjeuner, car j'ai beaucoup d'imprévus, profite de ta journée ma chérie, à ce soir !


Charlene est rassurée que son mari ne rentre que le soir, parce que sa journée, à elle, semble bien chargée. Elle dejeune avec sa fille et son gendre, Jacques lui sourit à chaque fois qu'il croise son regard. Élodie parait heureuse de retrouver sa famille. Charlene regarde son gendre, elle ravale sa salive. Discrètement, il lui fait un signe de la tête. Charlene sait que c'est un signal. Elle passe une main sous la table et retrousse sa jupe, elle ouvre les cuisses et commence à se branler timidement. Ses yeux s'embrument de plus en plus rapidement, ses doigts agacent son clitoris, elle serre les dents pour ne pas gémir. Jacques vicieusement fait tomber sa serviette, et se penche, il sourit en voyant les doigts de sa belle-mère branler sa boule de chair. Il regarde avec insistance la vulve lâcher son jus. Il se redrese et en regardant sa belle-mère lui fait un clin d'œil. Soudain Charlene se mord le poignet de sa main libre, elle vient de jouir le plus discrètement possible. Mais le souffle qu'elle a poussé fait sursauter sa fille qui lui demande :


-Maman cela ne va pas !



Entre deux respirations, sa mère lui répond en béguant !

-Ça, ça va ma chérie, juste un peu de fatigue !


Jacques sait maintenant que sa belle-mère et son jouet, et il compte en abuser dès cet après-midi. Tout le début de l'après-midi, Charlene la passe dans la salle de bain. Très inquiète, elle prend sans s'en rendre compte plusieurs douches. L'heure choisie arrive enfin
, Les invités de Jacques sont deja au salon. Charlene enfile sur son corps nu, un peignoir de bain et prend son courage à deux mains et se dirige vers le salon. Élodie, elle, comme chaque jour, s'enferme dans sa chambre de longues heures, pour parfaire les langues étrangères qu'elle affectionne. Charlene entre, elle reste un moment sur le pas de la porte en regardant les deux hommes qu'elle ne connait nullement. Jacques lui présente Koubba, un homme de couleur battit comme un déménageur. L'autre, Roger, beaucoup plus petit, est large comme une armoire landaise.


Jacques fait tomber le peignoir des épaules de sa belle-mère qui instinctivement place ses mains sur ses parties intimes. Koubba, lui prend la main et la fait tourner sur elle-même, en sifflant d'admiration, il dit avec un accent africain :


-Avec un cul pareil, on ne peut prendre que du plaisir, mon pote et moi nous allons te faire découvrir d'autres cieux, Jacques nous a dit qui tu seras notre pute, tu le confirmes !


Charlene croise ses doigts et les serre très fort en regardant Jacques, elle repond avec de l'anxiété dans la voix :

-Oui, oui, je confirme que je vais être votre pute, je l'ai promis à mon gendre Jacques !



Roger réplique en souriant :

-Parfait, on n'en attend pas moins de toi, chaudasse, tu dois être vachement bonne toi !


Les deux se mettent nus, Charlene défaille, en regardant avec une certaine angoisse le mamba encore endormit qui arrive à mi-cuisse de Koubba. Par contre, celle de Roger et plus courte, mais extra large. Jacques en souriant dit :


-Ils sont à toi belle-mère, fait les bander !


Elle saisit les deux bites et commence à les branler, simultanément, il ne faut pas attendre longtemps pour qu'elles soient opérationnelles. De temps en temps, sous les conseils de son gendre, Charlene donne quelques coups de langue sur les glands imposants. Les coups de langues font onduler les bassins des deux hommes. Les queues sont tendues, Roger s'allonge sur le sol et invite Charlene à s'empaler sur sa queue dressée comme un mât de cocagne. Elle enjambe Roger et descend son corps doucement jusqu'à ce que le gland touche les grandes lèvres de son vagin.

L'engin écrase les grandes lèvres qui, sous la pression, s'ouvrent, et laisse le passage à l'intrus qui s'engage dans la gaine en la distendant fortement. Charlene grimace, elle ne cesse de regarder son gendre. Lui l'encourage :

C'est bien belle-mère, tu vas l'avoir entièrement dans ton ventre, je vais t'aider !


Il appuie de toutes ses forces sur les épaules de Charlene qui pousse un cri en grimaçant. Le monstre de chair s'enfonce jusqu'aux couilles dans le ventre de la soumise. Charlene à la bouche grande ouverte, mais aucun son n'en sort. Elle se laisse tomber sur le torse de Roger. En se mettant à geindre. Koubba s'approche, il salive abondamment l'anus de Charlene, le doigte longuement pour bien le dilater. Les doigts tournent dans le rectum en le ramonant de plus en plus rapidement. Charlene agite sa croupe en grognant doucement, mais lorsque Koubba place son engin cotre son anus et pousse, elle se cabre, le muscle rectal cède et avale lentement le monstre noir. Charlene a les yeux exorbités, un filet de bave s'échappe à la commissure de ses lèvres.


Charlene croit mourir tellement elle souffre. Distendue comme jamais, la gaine forcée, avale la bite jusqu'aux couilles. Les deux hommes ne font plus aucun mouvement, il faut que Charlene s'habitue au calibre monstrueux des engins. Elle semble clouée sur les mandrins énormes qui lui sont plantés dans les entrailles. Il faut un long moment pour que peu à peu la douleur s'amenuise. Jacques lui caresse doucement le clito, en félicitant sa belle-mère de l'exploit qu'elle est entrain, d'accomplir. Enfin, les deux hommes se mettent progressivement en action, Charlene commence à geindre sous les coups de reins qui prennent de la puissance et de la vitesse. Elle s'accroche tant bien que mal à Roger en gémissant, ses orifices enserrent les deux verges, qui lui labourent les muqueuses, à chaque frotement elle gemit. Petit à petit, elle y prend du plaisir, elle agite difficilement son bassin en grognant de bonheur, elle dit être deux gémissements :


-Jacques mon gendre, c'est merveilleux, oh deux membres en même temps en soi, c'est divin, je vais jouir Jacques, jacques, oh mon Dieu !

Charlene se cambre comme un pont en pleine tempête et explose de jouissance, Jacques ne reste pas sans agir, il donne aux lèvres charnues de sa belle-mère sa bite à sucer, la bougresse se régale, maintenant elle affection de faire des fellations, car elle adore sentir couler dans sa gorge le sperme couler. Les trois hommes à tour de rôle lui remploissent les orifices insatiables. Koubba er Toger changent de place. Pendant que Jacques disparait. Il reveint accompagné de sa femme.

Dès qu'il ouvre la porte, Elodie manque de tomber à la renverse, elle reste un moment bloquée, puis arrive à dire :


-Maman, maman, ce que tu fais, est ignoble, tu trompes papa comme une gourgandine avec la complicité de mon mari , j'ai honte pour toi, mon dieu ces gredins te prennent comme une bête, mon dieu, tu dois perdre la tête maman, reagit !

Elle s'enfondre en sanglot, en rageant contre tout ce joli monde. Charlene sous le pilonnage intense des deux hommes ne peut que gemir, Elodie voit les queues entrer et resortir du corps de sa maman qui semble y prendre un plaisir certain. Elodie ne quitte pas des yeux les bites puissantes qui defoncent sa maman. Elle cesse de faire des remontrances et s'approche du trio. Elle ecarquille les yeux, regarde son mari, elel se jette dans ses bras, il l'enlace, la serre fortement contre lui, en lui donnant une multitude de baisers sur tout le visage, il lape les perles salées qui coulent sur ses joues.


































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Commentaires du récit : Une bourgeoise enfin à la page 4

Le 26/01/2024 - 11:35 par Bigben0308
Mmmmh au tour de la fille de devenir une bonne petite pute soumise
Le 24/08/2023 - 12:56 par michelle2
j'adore
Le 24/08/2023 - 10:31 par OlgaT
Voilà une sacrée transformation! De bourge coincée à salope intégrale!

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