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Bénévoles Touristiques Partie 3

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Lue : 668 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/08/2020

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Le groupe m’attendait au point de rendez-vous quand je suis arrivée. Il y avait des jeunes, des vieux, des couples, des célibataires, enfants, adolescents… Un panel varié, qui me fixait… J’ai eu un moment de panique, et j’ai du lâcher ou ou deux gouttes de pipi dans ma culotte, puis je me suis dit que je n’avais aucune raison objective de paniquer. Je connaissais mon sujet à fond. Alors j’ai inspiré un grand coup avant de me lancer.
—Bonjour, je m’appelle Daphné, c’est moi qui vais vous guider pendant l’heure que durera la visite. Je vous présenterai tout ce qui fait le charme de notre belle ville, en vous donnant le maximum de détails. N’hésitez pas à me poser toutes les questions que vous souhaitez, j’y répondrai avec plaisir. Nous allons commencer ici, et ce n’est pas un hasard. Cette petite place permet de voir les éléments clefs de notre ville. D’abord, d’ici, si vous regardez sur votre gauche, vous remarquerez qu’on a un superbe panorama, qui permet de voir tout le département. C’est que la ville a été construite exprès sur un promontoire, pour permettre au Moyen-Age de surveiller les invasions barbares et de s’en prémunir, au moins en partie. Aujourd’hui, on peut apercevoir ce qui fait le charme de notre département. Je vais vous indiquer rapidement quelques points clef…
Et j’ai continué comme cela pendant une heure, les promenant à travers la ville. J’ai eu droit à des questions, mais celles-ci étaient de simple curiosité, et n’avaient rien d’hostile.
Je finissais la visite, au bas de la cathédrale, et j’allais leur distribuer les sacs qui contenaient quelques souvenirs, rassemblés dans une besace sur mon épaule, un plan de la ville, un porte-clefs, un fascicule sur l’histoire des lieux, un annuaire des commerçants, quand j’ai senti une présence derrière moi. Plus précisément un regard collé à moi, mais aussi aux autres personnes. Je me suis retournée, et j’ai eu la surprise de voir qu’en retrait, sur la droite, Myriam nous observait. Elle m’a fait un sourire qui se voulait un sourire d’encouragement. Je me suis retournée. J’avais heureusement fini de parler. Un instant perturbée, je me suis ressaisie pour distribuer les sacs. J’avais oublié à quel point elle était magnifique, Grande, élancée, mise en valeur par une robe d’été toute simple, vert bouteille, qui coulait sur elle.

Les touristes se sont éparpillés, et elle s’est approchée. Elle avait un nouveau parfum qui lui allait bien.
Mon corps frémissait. Si j’avais lâché deux gouttes de pipi en arrivant, là c’était de mouille que se remplissait ma petite culotte. J’ai été un rien surprise de ce que j’ai pu éprouver à ce moment, inquiète par la suite qu’elle ait pu lire en moi, dans mon regard. L’intensité de mon désir, si violent, qui m’avait emporté, peut-être parce que je ne l’avais pas vue pendant quatre mois, mais aussi le jaillissement de fantasmes tous plus crus les plus que les autres, dans lesquels je la dénudais et je lui prodiguais des caresses intimes. Je n’avais jamais eu auparavant cette sorte de hargne conquérante dans mon désir pour une femme… Ou même un homme.
—Je ne vous surveillais pas, rassurez-vous. Je voulais simplement voir comment se passait ce rendez-vous avec les touristes, puisque vous êtes la première à démarrer. Apparemment très bien. Je vous félicite. Je sais qu’on pourra compter sur vous.
J’ai eu envie de lui dire que je méritais une récompense. Elle. Mais j’ai choisi de me taire.
—A bientôt.
J’aurais souhaité qu’il y ait plus. Mais j’ai simplement répondu
—Je vous remercie, madame.
et je l’ai regardée s’éloigner.
C’est dans l’après-midi que le sexe a fait irruption dans mes parcours… Pour ne plus jamais en partir.
J’en étais à ma quatrième visite, et elles s’étaient vraiment bien passées, avec à chaque fois des personnes différentes, des situations différentes…Je n’étais pas encore tombée sur un chieur qui m’aurait pourri la vie…
J’ai remarqué le petit couple dès le début…Ils devaient avoir 25 ans tous les deux. Ils étaient sympathiques l’un comme l’autre, et on sentait bien qu’il y avait entre eux quelque chose de très fort, peut-être simplement parce que leur relation était neuve. La main de l’un était sur le corps de l’autre, pour esquisser un effleurement, une caresse. J’avais toujours aimé l’impudeur des couples amoureux, qui s’affranchissent facilement des regards des autres.
Je variais la visite à chaque fois, pour ne pas me lasser, même si mon point de départ et d’arrivée étaient identiques.
On était en fin de visite, devant la cathédrale, quand j’ai réalisé que le couple avait disparu.
J’ai eu un moment de panique. Je ne pouvais pas me permettre de perdre des touristes en route. Ou étaient-ils passés? Bien sûr, ils avaient le droit de quitter le groupe quand ils voulaient, mais ils auraient pu me le signaler. Si Mylène avait été la, elle ne m’aurait pas félicité sur ce coup.
J’ai distribué les sacs à tout le monde. Deux d’entre eux n’avaient pas de preneur. Ils se sont éparpillés.
Je me suis dit que je devais absolument les retrouver. Une question d’honneur à tout le moins. J’ai laissé mon regard remonter le long de la grande avenue que nous avions parcourue avant de nous arrêter près de la cathédrale. J’avais la certitude que, lorsque nous nous y étions engagés, ils étaient encore avec nous.
Le cerveau enregistre souvent des images de manière machinale, en les stockant, et on peut revenir dessus, et les voir vraiment si on fait un effort.
J’ai vu le jeune couple s’écarter du groupe pour partir sur la gauche, à mi-chemin. main dans la main avec un sourire complice.
J’ai avancé d’un pas vif, mes courts talons claquant sur l’asphalte.
La rue sur la gauche conduisait à un ensemble de jardins partagés, accessibles à tous, et permettait au-delà d’avoir, sous un angle différent, un panorama impeccable sur la ville.
C’est là que je les ai trouvés. Entre deux jardins, un petit chemin goudronné conduisait à une murette à partir de laquelle on pouvait avoir une vue magnifique sur la vallée.
Mais ils n’étaient pas venus là que pour la vue même si elle faisait sans aucun doute partie de leur plaisir. La jolie brune avait roulé la robe collante qu’elle portait à sa taille, et descendu sa culotte fuchsia qui était roulée en boule en haut de sa botte gauche. Elle donnait à voir sa croupe charnue, et ses jambes pleines. Elle était appuyée sur le rebord, la cul tendu vers son amant qui avait planté sa bite en elle. et qui la faisait aller et venir. Il avait une bonne queue d’une taille tout à fait honorable. En tout cas, elle semblait donner satisfaction à la fille qui laissait échapper régulièrement de petits gémissements dont on pouvait penser qu’ils étaient de satisfaction.
Je suis restée un moment entre plusieurs attitudes. Hésitant entre mon envie de les laisser continuer, de m’éclipser sans demander mon reste, de les interpeller pour leur demander si ça ne les gênait pas de s’éclipser comme ça, et que ce n’était pas le genre de chose à faire, même quand on avait une envie ou un fantasme à satisfaire, et le désir de les rejoindre pour participer.
Deux éléments ont pesé dans la balance. Le premier, c’était que la brune était vraiment attirante. J’aimais une multitude de détails en elle, ses cheveux, ses formes, son attitude… Le deuxième, c’était ma frustration. Je n’avais plus de petit copain depuis deux mois, Mylène T. ne risquait pas de me tomber dans les bras, et les moments de sexe que je pouvais avoir, comme avec les deux formatrices n’étaient pas suffisamment répétitifs pour me satisfaire. Sans trop bien le savoir, ‘j’étais comme une grenade dégoupillée, prête à exploser. S’il n’y avait pas eu cette occasion, rien ne se serait sans doute passé. D’autant uq’il me restait vingt minutes avant la visite suivante.
J’ai été très rapide, et ils n’ont pas eu le temps de réagir. Je me suis avancée, franchissant en quelques pas la distance qui nous séparait, et j’ai dit:
—Je vais vous donner un coup de main pour jouir, c’est toujours bon à prendre.
Je me suis accroupie, et j’ai sorti la queue de la vulve de la blonde, pour venir la prendre dans ma bouche. Gainée de latex quasiment jusqu’à la base, elle était bien dure, bien gorgée de sang. Elle avait un double goût, celui du parfum vanille qui recouvrait le préservatif, et des sécrétions de la jeune femme qui avait copieusement arrosé le plastique de ses liquides intimes. J’avais faim de sexe, et j’ai plongé sur le membre en allant aussi loin que je le pouvais. Je crois bien que j’aurais aussi avalé ses couilles si j’avais pu. Je l’ai gardé un moment comme ça, son gland venant appuyer contre ma luette, heureuse d’avoir une queue dans la bouche. Je l’ai finalement relâché, revenant jusqu’à son gland, et j’ai fait aller et venir ma bouche sur lui. Je n’étais pas spécialement experte, mais ça a du lui plaire, parce qu’il s’est mis à gémir.
Je l’ai laissé un instant pour venir examiner le sexe de sa copine. Le membre l’avait fouillée suffisamment longtemps pour que son sexe soit très ouvert, suffisamment dilaté en tout cas pour qu’on puisse bien voir les parois internes de son sexe, aussi roses que son utérus, au fond. Ses lèvres, gonflées de sang, étaient largement sorties d’elle, s’étalant dans leurs plissements.
Elle a gémi quand j’ai posé mes doigts à l’entrée de son sexe et que je me suis mis à tourner sur le pourtour de ses lèvres, les massant rapidement, en appuyant. Je suis venu chercher son clitoris, en haut de son sexe, je l’ai décalotté, et je l’ai frotté avec le même geste vif. Elle a crié. Mais ça n’était pas mon but. Au milieu du liquide qui dévalait de ses entrailles, j’ai glissé ces deux mêmes doigts réunis avant de me rendre compte que je pouvais largement en mettre un troisième. J’ai enfoncé mes doigts aussi loin que je le pouvais, venant taper contre son utérus. Elle a poussé un petit cri. Je suis restée ainsi un moment, pour apprécier la sensation de ses muqueuses autour de moi, chaudes et liquides, avant de me mettre à la fouiller.
Ca s’est partagé comme cela un moment, ma bouche allant et venant sur le membre du garçon, que je sentais vibrer dans ma cavité buccale, et encore se dilater, et ma main droite bougeant en elle, caressant ses parois intimes, avec la volonté de travailler ses chairs, en espérant lui procurer plus de plaisir, ou en tout cas un plaisir différent que la queue de son copain ne la faisait. J’avais l’impression d’être une sorte de deus ex machina, qui contrôlait tout, mais surtout avoir cette queue dans la bouche, et cette chatte au bout de mes doigts était une source de plaisir. J’avais l’impression de revivre. Il aurait fallu qu’il y ait encore quelqu’un d’autre pour venir sur moi. J’étais accroupie, cuisses ouvertes, J’aurais voulu qu’un garçon ou une fille glisse sa main le long de mes cuisses pour venir écarter le tissu de mon slip, et s’attaquer à mon sexe, que ma position ouvrait forcément, et glisser un doigt après l’autre dans mes chairs intimes, que je savais trempées et ouvertes, pour venir me caresser et me donner du plaisir. Je rêvais d’une main intrusive, totalement plantée en moi, qui me fouillerait longtemps, et me ferait jouir.
Ca a fait un bruit visqueux quand j’ai arraché ma main de la vulve de la fille, en même temps que je détachais ma bouche de la queue dilatée. J’ai amené le gland contre les lèvres, et j’ai donné une impulsion. Il a fait rentrer son sexe en elle jusqu’à la garde. La fille s’est tendue.
Ils ont retrouvé leur état initial. Il a fait bouger lentement son membre dans le sexe, allant jusqu’au fond puis revenant en arrière. La différence, c’était que j’étais là juste en dessous, et que je faisais tourner ma langue sur eux. Sur la queue qui rentrait et sortait, sur les lèvres gonflées.
J’ai pourtant fini par me redresser. On aurait pu aller jusqu’au bout ainsi, dans une jouissance partagée qui m’aurait convenu. Mais j’avais envie d’autre chose. De plus simple.
Je suis venue me positionner sur le rebord, mon corps à quelques centimètres de celui de la jolie brune. J’ai roulé ma jupe à ma taille et j’ai descendu mon slip à mi-cuisses et je me suis tendue vers le garçon, lui offrant mon intimité, avec l’espoir qu’il vienne me fouiller comme il fouillait sa copine.
C ‘était prendre un risque. Autant je les avais sentis prêts l’un comme l’autre à subir mes caresses, manuelles comme buccales, autant on basculait sur autre chose, qui brisait ce qui s’était établi entre eux et allait bien au-delà. Accepterait-elle, et accepterait-il qu’il plonge sa queue dans une autre vulve que celle de sa copine? Je me posais sans doute trop de questions, car, à peine ai-je été en position que j’ai senti le gland congestionné venir appuyer contre mes lèvres. Il m’a frottée un peu, me faisant gémir, avant de glisser lentement en moi.
Il ne restait qu’une dizaine de minutes avant la présentation suivante, mais je ne serais partie pour rien au monde. Ce moment était délicieux, dans tout ce qu’il avait de spécial. Je trouvais ça bon, un moment comme je n’en avais pas vécu auparavant que nous soyons la belle brune et moi, côte à côte, nos culs offerts et qu’il fasse aller sa queue gonflée de l’un à l’autre. Nos jus se mélangeaient sur la capote, et, alors que nous nous ne nous connaissions pas, et que nous ne nous reverrions pas, nous étions plus intimes que bien des personnes qui se connaissaient depuis des années, deux soeurs de jouissance, qui se partageaient une queue et une montée vers l’orgasme.
Deux mois qu’une verge d’homme ne m’avait pas pénétrée. Comment j’avais pu vivre sans ça? Sans cette joie immense de me sentir remplie, sans ce frottement d’une bite bien dure contre ses muqueuses?
C’est quand, une fois de plus, la tête de son sexe a tapé contre mon utérus que j’ai joui, d’un orgasme comme je n’en avais pas eu depuis pas mal de temps, qui a explosé en moi, et est restée, comme une traine, alors que la brune laissait échapper un long gémissement pouvant faire penser que c’était aussi son cas.
Preuve sans doute de cette complicité momentanée que je ressentais, elle m’a soufflé:
—Viens, on va s’accroupir pour prendre sa bite dans nos bouches et le faire jouir. Il adore ça…Tu vas voir, il jute des litres de sperme!
J’aurais bien pris de sentir encore sa queue en moi, qu’il me fouille encore, et me fasse encore avoir d’autres orgasmes. Mais, de toute façon, on n’avait plus le temps. Je préférais ne pas regarder l’heure. Si ça se trouvait, j’étais déjà en retard. Mais je voulais aller jusqu’au bout.
La belle brune a fait glisser le préservatif le long de la queue. Elle était à son état extrême de dilatation, et il était clair que la jouissance était au bout des chairs dilatées à l’extrême, gorgées de sang.
Ca n’a pas été avec nos bouches, mais nos langues que nous l’avons fait exploser. Nous avons parcouru la tige de chair, le faisant gémir, jusqu’à ce que le premier jet de semence sorte et vienne gifler son visage, laissant une longue trace en travers de sa joue gauche, jusqu’à son nez. Il s’est vidé comme s’il n’avait pas éjaculé depuis plusieurs mois, une éjaculation copieuse, des traits de sperme bien épais et bien gras, par lesquels nous nous sommes laissées souiller.
Pendant qu’il reprenait ses esprits, sa queue diminuant de taille, nous nous sommes nettoyées mutuellement, lapant le sperme qui avait souillé le visage de l’autre.
J’ai jeté un coup d’oeil à mon téléphone. Il me restait une minute. J’avais encore envie de plein de caresses, fouiller à nouveau ce sexe que l’excitation, et la position de la brune accroupie, rendait béant, sucer encore cette queue qui ne débandait pas vraiment. Mais je n’avais plus le temps, et puis la magie du moment disparaissait très rapidement. J’ai balbutié un au revoir qui n’était pas vraiment une sortie de scène très glorieuse, et je me suis éclipsée. J’ai rejoint la grande artère. J’ai vérifié mon visage et mes vêtements dans une vitrine, mais je n’avais pas de traces de sperme sur moi. La seule chose qui aurait pu me trahir, c’était cet air radieux que j’avais sur le visage, et qui m’a sans doute accompagnée toute la soirée.
Je suis arrivée avec deux minutes de retard, mais personne ne m’a rien dit, et j’ai enchaîné sur la présentation suivante.
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Histoire de JamesB

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