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Sexe autour d'un lavoir partie 2

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Lue : 629 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/10/2020

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Il me fallait faire un trajet de trois heures pour arriver à V… J’avais repéré un train qui partait à cinq heures du matin, et arrivait à huit. J’aurais du temps devant moi, le temps de me retourner. J’ai fourré des affaires dans un sac et je me suis couché tôt. Ma mère m’a réveillé tôt, et je suis parti pour la gare à pied. Dix minutes de trajet pour y arriver. Je me suis trouvé seul dans mon compartiment. J’ai lu, puis je me suis endormi brièvement. Pour finalement débarquer, à trois heures de chez moi, au milieu de la beauté des paysages du Sud-Est. Il faisait jour, et j’ai autant été séduit par la nature que j’ai pu apercevoir que par la ville, dont les formes et les couleurs fascinaient l’oeil.
Près des gares, il y a toujours un hôtel-restaurant. Je me suis attablé, seul dans la salle, pris en charge par un quinqua chaleureux, à la calvitie avancée…Les croissants qu’il m’a mis sous le nez étaient délicieux. Sans doute qu’ils avaient le goût d’un changement radical dans ma vie, d’une évolution vers un autre monde. Sylviane avait eu raison. Ca m’aurait fait du bien de changer d’univers, au final.
Je suis parti à pied jusqu’à la MJC en utilisant Google Maps. C’était un gros bloc pas vraiment esthétique, à la sortie de la ville.
Ce qui l’était esthétique, par contre, c’était Linda Raymond. Quand je l’ai vu j’ai eu tout de suite une érection et je me suis senti soulagé que mon blouson descende un peu bas. C’était curieux, parce que si on y regardait bien, elle n’était pas vraiment jolie, mais il émanait d’elle une sensualité à tomber par terre. Elle était grande, plus grande que moi certainement, autour d’un mètre quatre-vingt-cinq, avec des formes aussi féminines que pleines. Elle portait, à cette mi-juillet, un T-shirt sous un blouson et un caleçon. Comme tout bon caleçon qui se respecte, celui-ci collait vraiment bien à l’anatomie de la personne qui le portait. Des cuisses pleines, et bien dessinées, des hanches marquées. Evidemment, pour l’homme que j’étais, le point central c’était son sexe, et le caleçon ne laissait pas grand chose à l’imagination. C’était sans doute même mieux que si elle avait été nu, parce que le tissu, ultra-moulant faisait ressortir, dans l’extrême et jusqu’à l’obscénité le dessin de son sexe, la pente de son pubis, le double bourrelet de sa vulve et la fente profonde qui coupait son sexe en deux, le marquant en s’enfonçant profondément dedans. Je me suis vu l’espace d’un instant faisant des centaines de choses. J’ai toujours eu beaucoup d’imagination et beaucoup d’idées. Je me voyais bien, déjà venir sur elle de la pointe de mes doigts, et la caresser doucement. Est-ce qu’il y avait, sous le caleçon, l’obstacle d’un slip? On n’en voyait aucune marque, mais aujourd’hui les sous-vêtements étaient faits, dans leur grande majorité, pour ne pas laisser de marques. Même s’il y avait l’obstacle supplémentaire d’une culotte, j’imaginais bien le contact de son sexe au bout de mes doigts, le volume et la fermeté de ses chairs, la fente, d’abord sèche puis devenant humide, mouillant les tissus, et puis aussi sentir son sexe se dilater et s’ouvrir, donnant accès à son intérieur, mes doigts appuyant plus et faisant rentrer les tissus en elle, contre ses muqueuses, une caresse limitée mais qui pouvait être aussi bonne…Ou bien une autre variante, que j’avais déjà expérimentée avec Sylviane, baisser le caleçon et la culotte, et venir enfoncer mon sexe dans le sien…La position n’était pas forcément confortable, et il était difficile de rentrer entièrement dans un vagin de fille ainsi, mais c’était ce qui lui donnait tout son charme. Quelques centimètres de queue seulement allant et venant en elle. Un de mes souvenirs les plus forts avec Sylviane, c’était sans doute le soir où il y avait l’assemblée générale. Deux cent personnes dans la salle. On s’était regardés. On avait envie tous les deux, et sans doute que c’était le contexte qui nous donnait autant envie. J’étais monté dans l’une des salles libres. Elle m’avait rejoint deux minutes après, et je l’avais prise comme cela, debout. On était surexcités, et on avait joui tous les deux, intensément, et sans doute trop vite. En même temps, c’était bien de ne pas être absent trop longtemps.
Ce qui faisait la féminité de Linda Raymond était nettement marqué. Son T-shirt, sous le blouson entrouvert était déformé par une poitrine volumineuse, deux seins bien ronds. C’est quand les autres ont commencé à arriver et qu’elle s’est penchée pour récupérer des éléments dans un sac que j’ai pu admirer son postérieur. Chaque femme est unique, mais j’avais déjà remarqué qu’il y avait peu de filles dont on pouvait dire qu’elles avaient de jolies fesses. Il y avait même eu quelques années plus tôt un concours des plus jolies fesses du monde…Les siennes auraient pu concourir, rondes et charnues, mais qu’on devinait, même sans mettre la main dessus, bien fermes, et surtout bénéficiant de sa cambrure, qui les rehaussait, et semblait les tendre vers vous, les offrir.
J’ai compris que le séjour allait être difficile, avec elle sous les yeux.
Elle avait un beau visage, même s’il y avait un rien de masculinité dans ses traits, avec de superbes yeux bleus et une bouche charnue.
On sentait bien,en l’observant, qu’elle souhaitait avant tout garder ses distances, et qu’elle manifestait une certaine dureté, qui n’était pas forcément la sienne. Elle m’a quand même souri, et tendu la main.
—Djamel…Enchantée de te connaître…Tu es le premier. Les autres ne vont pas tarder.
C’est petit à petit, à mesure que tout le monde arrivait que j’ai compris quel avait été le critère pour nous recruter. Nous étions tous des bras cassés…Il y avait une fille blonde en surpoids, un jeune qui avait une jambe artificielle, un gars qui semblait atteint d’une paranoïa aigue, regardant autour de lui avec un air méfiant, une fille qui était apparemment anorexique…Moi, j’avais sans doute été sélectionné parce que j’étais issu des quartiers…
Et puis, il y avait Plumpy.
Il devait faire deux mètres, plutôt épais, et il ne parlait pas. Il avait le regard dans le vague. Il était accompagné par une jeune femme brune aux traits fins.
—Je suis heureux de vous accueillir tous. Je vous explique comment votre séjour va se passer. Là, juste en face de cette MJC, il y a une auberge qui existe depuis très longtemps. On y mange bien, vous y mangerez midi et soir, et vous y dormirez aussi. Ca c’est pour le matériel. Je vais vous y conduire pour que vous déposiez vos affaires. Ensuite je vous emmène sur le lavoir. On ne va pas attendre,je peux vous dire qu’il y a beaucoup à faire.
On a traversé la rue. J’ai fait un sourire à la blonde en surpoids.
—Salut, moi c’est Djamel. Et toi?
—Sophie.
Elle m’a fait un sourire radieux, qui a totalement gommé son surpoids.
—C’est la première fois que tu fais ce type de chantier, je lui ai demandé?
—La quatrième.
Je l’ai regardée avec surprise.
—Une école, une cathédrale, une mairie…J’aime bien avoir des vacances occupées. Le Nord, l’Est, et le Sud…
Juste devant moi j’avais la silhouette de Linda. Elle avait un mouvement naturel des hanches qui mettait en valeur ses fesses. Je me suis vu l’espace d’un instant porter les mains sur ses fesses. Elle n’aurait sans doute pas vraiment accepté. J’ai senti le regard de Sophie sur moi. Je l’ai regardée. Elle avait lu dans mes pensées. J’ai rougi.
—Tu sais, ce ne sont pas forcément les filles qui sont le mieux roulées qui sont les meilleurs coups.
Je l’ai regardée avec surprise. Je n’aurais pas imaginé qu’elle puisse dire cela. J’avais imaginé une fille totalement coupée de tout ce qui pouvait être sexuel, au vu de ses vingt kilos en trop, vivant dans d’autres univers pour oublier que le sexe, ce n’était pas forcément pour elle. Je me suis dit que les apparences étaient souvent trompeuses.
On a tous pris possession de nos chambres. J’ai remarqué que Plumpy, je ne savais pas encore son nom, je l’ai découvert par la suite, partageait la même chambre que la fille brune qui était avec lui. On était tous logés sur le même étage. Les chambres étaient fonctionnelles mais agréables. La mienne donnait sur l’arrière, une rivière, des vergers, et, je l’ai su plus tard, on apercevait le lavoir au loin sur la gauche. Pour le moment, même de près, il n’était pas visible.
Il a fallu une bonne vingtaine de minutes pour que tout le monde se retrouve en bas. Linda nous guidant toujours, nous avons remonté l’avenue principale de ce petit village. Elle nous avait conseillés de nous équiper en tenue de travail et de prendre des gants, chacun avait donc pris ce qu’il fallait. J’avais passé un survêtement et pris des gants épais.
J’avançais quand la petite brune est montée à ma hauteur pour me parler.
—Je peux vous dire un mot?
Je l’ai regardé, un rien surpris.
—Comme vous voulez. Mais à quel sujet? On ne se connait pas.
—J’ai bien vu le regard que vous nous jetiez. Dans le couloir. Vous croyez que je ne sais pas lire dans les pensées des gens? Vous vous demandez ce que je fais avec lui, et comment je peux coucher dans la même chambre que Plumpy.
—Il s’appelle vraiment Plumpy?
—Non, mais il veut qu’on l’appelle comme ça.
—Parce qu’il parle?
—Plumpy est autiste asperger. Il a un plus gros QI que vous n’en aurez jamais. Il a fait un doctorat de physique qu’il a présenté à l’âge de 17 ans. Simplement, il ne communique pas.
—Mais alors comment vous savez qu’il veut qu’on l’appelle Plumpy?
—Je m’occupe de lui depuis qu’il a dix ans. Il me parle quand il en a envie, qu’il a un message important à me donner. De toute façon, je le comprends sans qu’il parle. Je suis très proche de lui.
—Et vous vouliez me dire quoi?
—Qu’il n’est pas aussi méprisable que vous le pensez, et je suis très heureuse de m’occuper de lui.
—J’en suis très heureux.
Elle a été surprise que je ne réponde pas grand chose, du coup, elle a reculé pour revenir près de Plumpy.
On a traversé tout le village, un centre commercial, et des ruelles d’habitation, avant d’arriver devant un petit sentier. On s’y est engagés. Deux cent mètres avant de déboucher sur un vaste espace qui jouxtait la rivière.
Je n’avais pas pensé que le lavoir, en fait ce qu’il en restait, pouvait être dans cet état. On ne voyait pas grand chose de ce qu’avait pu être le bâtiment, parce qu’il était littéralement mangé par la végétation, avec en plus un mur en piteux état.
—Il était temps d’intervenir. Aujourd’hui et demain, on va le nettoyer. Il y a non seulement la végétation, mais de plus, c’est devenu un véritable dépotoir, jonché de bouteilles de bière et d’emballages de Mc Do. Ensuite, on envisagera les travaux de réfection. Bon, mettons-nous au travail sans attendre. J’ai des pelles, des sécateurs…J’ai tout déposé là ce matin…
Mieux valait ne pas se laisser décourager par l’immensité de la tâche à accomplir, même si on était 8. Je me suis avancé jusqu’à la bâche, et j’y ai attrapé un sécateur. Il allait falloir commencer par couper a ras, puis sans doute ensuite déraciner les arbres qui avaient pris possession des lieux.
Ca a été très curieux de voir des profils aussi particuliers tous s’animer pour se mettre au travail. Personne n’a empiété sur le travail des autres, mais en plus, il y a eu une entraide spontanée. Une sorte de magie, qui ne passait pas forcément par des mots.
Quand on a fait une pause sur le coup de midi, le lavoir avait déjà changé d’aspect. Mais il restait tellement à faire…
On est revenus à l’auberge manger. On a été agréablement surpris. A plus d’un titre.
Une auberge, ce n’est pas comme un restaurant, on ne choisit pas. La cuisine était simple, mais excellente, et on a bien mangé tout le temps qu’on a été là.
Et puis il y avait les jumelles.
On avait fait connaissance le matin du couple qui avait repris l’auberge. La cinquantaine. Lui était très maigre, elle c’était une belle femme dans toute la maturité de sa cinquantaine, une belle brune à la silhouette et au visage fins. A midi, leurs filles servaient, le portrait craché de leur mère, mais en plus jeune, deux petites brunettes qui aimaient les vêtements moulants et qui n’étaient pas vraiment farouches.
C’est en fin de repas, au moment d’une tarte aux pommes maisons avec un café que ça a commencé à basculer.
Avec Plumpy tout d’abord. Il ne parlait absolument pas, mais mon regard sur lui a commencé à changer. En fait, je me suis rendu compte que, quand ses yeux rentraient en contact avec ceux des personnes qu’il cotoyait, il y avait une sorte de contact télépathique, comme s’il avait été capable de lire dans l’esprit des gens.
Il s’est levé, et la brune est partie à sa suite. Mon regard s’est posé sur sa croupe charnue, à laquelle collait un pantalon de velours noir. Vu l’hostilité qui existait entre nous, je ne risquais pas de lui enlever, ce pantalon de velours noir.
La salle de restauration était immense, très profonde, avec un couloir qui s’amorçait sur la gauche, lequel conduisait vers les toilettes, ainsi qu’indiqué sur un panneau fléché.
Des liens commençaient à se nouer. Le type à la jambe artificielle ne semblait absolument pas gêné par son handicap, et il avait entrepris les deux soeurs.
Sophie, installée un peu plus loin, me jetait un regard amoureux. C’était curieux, parce que j’avais d’abord été frappé par son surpoids, sans d’ailleurs penser qu’elle était laide, et puis, petit à petit, je la regardais autrement, et je voyais que, même si elle avait des kilos en trop, elle avait aussi beaucoup de charme. De très beaux yeux bleus, un visage vraiment bien dessiné, une bouche qui l’était tout autant, une poitrine pleine et bien ronde…En la regardant, j’ai senti le désir monter en moi. Qu’importait si elle avait de la graisse en trop autour de la taille? Il y avait en elle beaucoup de sensualité. C’était sans doute le plus important.
Tout s’est enchainé à peu près au même moment.
Sophie qui était assise au milieu de la tablée est venue se poser près de moi. Tout le monde discutait par petits groupes. Elle m’a souri.
—Ca te dirait que je te rejoigne cette nuit?
A ma grande surprise, je me suis rendu compte que oui, j’en avais très envie. Linda posée au bout de la table, discutait avec la fille anorexique. Elle me plaisait énormément, mais ce n’était pas avec elle que je risquais de passer la nuit.
—Je suis grosse, mais j’aime énormément le sexe, et j’ai déjà couché avec beaucoup de garçons, et beaucoup de filles. Ca m’a fait beaucoup d’expérience. Au début, ils venaient vers moi parce qu’ils sentaient que j’aimais le sexe, aujourd’hui c’est parce que ils sentent que j’ai des idées, beaucoup d’idées à la fois parce que j’aime le sexe mais aussi parce que j’ai bien vécu, et parce que je peux leur donner du plaisir dans des situations qu’ils n’imaginent même pas.
Elle s’est dit qu’au cas où ses arguments n’auraient pas été suffisants, elle en avait d’autres à m’offrir. Elle a tiré le pantalon de survêtement qu’elle avait passé pour travailler, dévoilant un slip noir qu’elle a écarté, me donnant la première vision de son sexe. Elle avait gardé ses poils de blonde, et ça lui allait bien. Elle avait une fente longue, une ouverture dans sa chair qu’elle a accentuée en venant ficher deux doigts en elle et les écartant au maximum pour me présenter son intimité. Un intérieur tout rose dont j’ai eu une vision partielle.
—Tu pourras y mettre ta langue, tes doigts, et ta queue, ce soir, mais aussi d’autres soirs, et à d’autres moments.
Elle a ramené son slip et son pantalon en place. A mon grand regret. J’aurais aimé regarder encore ce sexe offert, comme peu de femmes me l’avaient offert.
Parce que j’avais la vessie pleine, je suis parti en direction des toilettes, sans m’attendre au spectacle que j’ai trouvé.
Le couloir remontait assez loin, passant devant plusieurs pièces. Il y avait une réserve, avec, sur des étagères métalliques, des dizaines de boites, sacs, une autre réservée pour un bureau, avec un ordinateur, une table encombrée et des étagères pleines…Une autre totalement vide.
C’est dans ce local que s’étaient installés Plumpy et son accompagnatrice.
J’ai pu les regarder pendant plusieurs minutes sans qu’ils ne se rendent compte de rien. Le couloir était plongé dans une semi-obscurité, et eux trop absorbés par ce qu’ils faisaient. Elle avait baissé le caleçon moulant qui avait remplacé son jean et un slip blanc, et elle se laissait caresser par Plumpy qui posait un regard fasciné sur son sexe, en même temps qu’il promenait ses doigts sur son sexe.
—Tu peux les rentrer si tu veux.
Le bruit visqueux qu’on a entendu m’a fait clairement comprendre que c’était bien le cas. Ils étaient de profil, ce qui faisait que je ne pouvais pas les doigts plongés en elle, et je le regrettais. J’aurais aussi voulu voir son sexe, mais je ne pouvais qu’imaginer.
Etait-il habile pour caresser? En tout cas, elle se pâma et gémit. Il semblait très concentré, comme si ce qu’il faisait était la chose la plus importante pour lui et ça l’était certainement.
Pendant qu’il agissait, la jeune femme a tendu les mains pour défaire son pantalon et mettre sa queue à nu.
J’ai été impressionné, je l’avoue, par les dimensions de son membre. Il avait une verge, qui, même semi-bandée était de belles dimensions, longue et charnue. Elle l’a caressé doucement en écho aux caresses que lui lui prodiguait, lentes et appliquées. Ils se sont données mutuellement du plaisir. Plumpy devait bien caresser, à force il connaissait certainement son corps par coeur, il avait tout mémorisé, car elle s’est cambrée, dans un mouvement gracieux, en poussant un long gémissement, deux secondes avant qu’il n’éjacule copieusement. J’ai été impressionné par les réserves de sperme qu’il pouvait avoir dans le corps…C’est sorti en jets copieux, dont certains sont venus maculer la tenue de la jeune femme. Mais on s’était suffisamment salis le matin pour que ça passe inaperçu…
Je me suis éclipsé et j’ai été me vider la vessie. Quand je suis repassé, la pièce était vide. Par contre la réserve était occupée…Fred, le garçon à la jambe artificielle était avec les deux filles…Accroupies devant lui, elles parcouraient sa queue de coups de langue avides. Il avait une belle queue, et semblait éprouver une réelle félicité. Je me suis éloigné, pour ne pas déranger.
L’après-midi a été aussi animé que la matinée. Mine de rien, c’était un travail de titan qui nous attendait, et on avançait difficilement. Quand on a terminé, sur le coup de 18 heures, on était sur les rotules.
—Je vous raccompagne à l’auberge, et je vous laisse jusqu’à demain. Vous avez quartier libre ce soir, mais ne vous couchez pas trop tard, demain je vous attends ici à six heures. On commencera tôt.
Fourbus, on est repartis pour l’auberge. Le soir, il n’y avait traditionnellement pas de repas servi, mais ils avaient fait une exception pour nous, et avaient préparé un buffet. On pouvait venir manger quand on voudrait avant 21 heures.
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Histoire de JamesB

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