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Bénévoles Touristiques Partie 4

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Lue : 540 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/08/2020

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Chaque soir, je finissais sur les rotules, mais j’étais heureuse de me donner à fond, et d’apparemment satisfaire mon public.
Ce dont j’ai été heureuse aussi, ça a été que le sexe prenne une place aussi incontournable que surprenante dans ces journées.
Ca n’était pas, pourtant, au final, si incompréhensible, si inexplicable que cela. La plupart des personnes qui faisaient la visite étaient en congé, et qui plus est, c’était l’été. Deux bonnes raisons pour se lâcher. L’été et les congés, c’était justement souvent l’occasion de redécouvrir le sexe, ce qui n’était pas évident dans l’année et le stress.
Très vite, la question que je me posais le matin, ça n’a plus été de savoir s’il y aurait du sexe, mais plutôt comment ça se passerait.
Avec l’habitude, je suis arrivée à repérer quand les personnes présentes manifestaient de l’intérêt pour la chose. Ca prenait diverses formes.
Pendant trois mois, ça a été autant de moments uniques. J’ai même décidé de tenir un cahier, un moment, pour noter les grandes lignes de ces situations. Quelques lignes griffonnées le soir. Cet hiver, je me caresserais en relisant tout et en me rappelant.
Il y avait bien sûr les couples, qui, déjà ensemble, avaient soudainement envie, même si la visite les intéressait. Généralement, comme le couple du premier jour, ils avaient la politesse d’attendre que la présentation soit finie, ou quasi finie.
J’ai un très fort souvenir de ce couple homosexuel, un blond, un brun, très beaux tous les deux.Ils se sont éclipsés à la fin de la séance, et je les ai suivis. Je savais. Quelques jours plus tôt, je n’aurais pas su, mais là je savais.
Je les ai retrouvés un peu plus loin, sous un porche, dans l’obscurité. Personne ne les aurait d’ailleurs remarqués. Ils avaient sortis leurs queues, et ils se masturbaient mutuellement, pris sans doute d’une envie soudaine que je pouvais comprendre.
—Ca vous dit une main de fille pour vous faire jouir?
Ils n’ont même pas parus surpris, et je me suis demandée s’ils n’avaient pas provoqué cette rencontre. Ils étaient peut-être bi, et rêvaient qu’on fasse quelque chose ensemble. Au fur et à mesure que les jours passaient, je me rendue compte qu’il y avait, sans nul doute, un jeu de séduction entre les touristes et moi. Qu’être ainsi guide, présenter la ville, c’était forcément se mettre en avant et exercer une sorte de séduction, et que celle-ci tenait aussi à pas mal de détails, à une manière d’être, de se tenir, de parler, de s’habiller, qui faisait sans doute que certains étaient fascinés par ma personne et avaient envie d’aller plus loin.
Quand une fille tenait une queue dans sa main, c’était toujours intense pour elle. Il y avait la joie, très simple, d’avoir un membre dans sa paume, de sentir sa chaleur, sa douceur, son épaisseur, comme un cadeau, comme un jouet. Mais aussi le fait d’exercer une sorte d’ascendant. Que la jouissance du garçon dépende de sa main.
Je les ai caressés. Deux queues différentes. Celle du blond, à ma gauche, très longue, et qui s’allongeait encore, celle du brun beaucoup plus épaisse…
De tels moments me condamnaient à quelque chose de forcément très bref, alors que j’aurais pu rêver de quelque chose de plus intense, de bien plus fort. Mais ça me plaisait comme ça. C’était bien d’avoir peu et de rêver qu’on aurait pu avoir beaucoup. Le non acquis peut être aussi fort que ce qui s’est réellement produit.
Je les ai masturbés avec tout mon savoir-faire, celui que j’avais acquis au fil du temps, depuis ce premier jour où j’avais cédé à un plus ou moins petit copain qui voulait quelque chose, et, où, sans doute autant parce que j’en avais envie que lui en avait envie, je l’avais masturbé. Ca en faisait des queues branlées, depuis, et j’avais souvent été surprise de constater que bien des hommes, si on leur donnait le choix entre pénétrer une femme et se faire masturber, préféraient le second choix.
Leurs queues ont été vite à l’extrême de leur dilatation, chairs rouges, méats suintants…Possédée par le démon, j’ai fait se rapprocher celui qui était sur ma droite de celui qui était sur ma gauche, de telle sorte que leurs queues puissent se toucher. Qu’ils soient gays ou non, j’étais convaincue que rien ne plaisait plus aux hommes que de frotter leur queue contre celle de l’autre. J’ai pris celle de gauche bien en main, et je l’ai promenée sur le cylindre de chair de son copain. Ils ont gémi tous les deux, et il en a été de même quand j’ai inversé, faisant frotter la queue de son copain contre la sienne. Ils se retenaient de jouir. Mais ils n’ont pas tenu très longtemps quand j’ai pris une queue dans chaque main, figeant un instant mon geste pour mémoriser ce moment, ces deux membres bien épais et bien chauds, avant de venir faire frotter leurs deux glands devenus énormes l’un contre l’autre. Leurs spermes sont sortis quasiment en même temps, peut-être un rien de décalage, et ils ont inondé mutuellement leurs queues et ma main de jets crémeux, à n’en plus finir. Quand ils se sont éclipsés, je léchais encore mes mains pour avaler tout leur sperme, qui m’avait couvert les mains en nappes crémeuses.
Il a fallu que je dépasse la première semaine pour que les choses se passent différemment.
C’était un groupe du mardi matin. 15 personnes, dont trois filles qui restaient ensemble. D’après ma fiche, parce que les personnes qui s’inscrivaient renseignaient, si elles le voulaient, outre leur nom, leur prénom, une adresse mail et un numéro de téléphone, leur origine, elles venaient toutes les trois du centre de la France. Comme pas mal d’autres, elles se payaient une virée dans le Sud, et elles s’éclataient, se sentant le droit d’aller au-delà des limites pendant leurs congés. Se tenant un rien à part, elles ont très rapidement dérapé, laissant certains participants indifférents, mais choquant d’autres. Chaque lieu, chaque place, chaque monument était l’occasion de faire une photo sur laquelle elles s’exhibaient.
Je me suis sentie obligée d’intervenir. Je ne voulais pas qu’on me le reproche. Mais leur attitude avait tendance à me plaire. J’aimais la provocation et l’irrévérence, et puis voir leurs corps dénudés me troublait. Chacune dans son style, elles étaient désirables, et je me voyais sans mal jouer avec elles.
Il y avait une petite brune, métissée, pas très grande, avec de longs cheveux très soyeux, et des formes très marquées, une blonde elle plutôt fine, mais aussi appétissante, cheveux très courts, et une autre blonde, avec des cheveux très longs et très soyeux et une frange, et qui semblait elle la plus audacieuse des trois.
Je me suis approchée d’elles, sous le regard des autres. On avait déjà vu à peu près tout de leur anatomie.
—Je vais vous demander de vous tenir correctement, j’ai dit, à partir de maintenant, sans quoi vous quitterez le groupe.
Je m’attendais à une réaction irritée, mais elles n’ont absolument rien dit, sinon un ‘Excusez-nous’ murmuré, et elles se sont effectivement tenues tranquilles jusqu’à la fin du parcours.
J’allais m’éloigner, lorsque la petite brune m’a rattrapée.
—Ecoutez, on voulait s’excuser. On ne pensait pas mal….Vous êtes vraiment sympa…Ca vous dit qu’on mange ensemble ce soir, quand vous aurez fini. On pourrait s’amuser un peu…Après…
Quelques images sont repassées devant mes yeux, J’ai revu sa poitrine, ronde et ferme, dévoilée pour une photo, avec de larges aréoles roses et des tétons que l’air avait fait se dresser en quelques secondes, et puis la blonde à frange se pliant en deux pour offrir sa croupe pleine au téléphone portable, appuyée à une table d’orientation. J’avais eu le temps de distinguer le dessin de sa vulve, nichée au creux de ses cuisses, le double renflement de sa chatte et le morceau de lèvre qui en sortait et qui gonflait d’excitation. J’ai senti mon sexe se dilater, et de la mouille couler de moi pour atterrir dans le tissu de ma culotte. Sans doute a-t-elle lu mon trouble dans mon regard, mais je ne cherchais pas forcément à le cacher, quand je lui ai répondu:
—Mais j’en serais enchantée.
—On a pris une chambre pour trois aux TROIS SEIGNEURS en centre ville. Vous voyez où c’est? Vous pourrez nous rejoindre dans la chambre quand vous aurez fini. On vous attendra.
Elle a été retrouver ses copines. Elles lui ont demandé: ‘Alors?’ La réponse a paru les satisfaire. La blonde à cheveux courts m’a fait un petit signe de la main qui pouvait avoir plein de sens, mais dans ce contexte devait simplement signifier ‘A ce soir.’
J’avais pris l’habitude, entre midi et deux, de manger à un snack que venait d’ouvrir une amie à moi, Marie, et qui proposait une carte entièrement bio. Je suis arrivée, j’ai posé mon sac:
—Ca se passe bien?
—On a toujours des personnes sympa en face de nous.
Et je suis partie aux toilettes. J’avais la vessie pleine, mais aussi des fourmis dans la chatte. Ces trois filles avaient fait naître en moi plein d’envies. Elles me plaisaient autant l’une que l’autre, et je me voyais bien prodiguant des caresses aux trois. J’ai commencé par uriner, avant, une fois vidée, de venir me masturber, appuyant sur mon clitoris de la pointe de mes doigts. Quand j’étais très excitée, et c’était le cas, il ne me fallait pas longtemps pour jouir.
Je suis arrivée sur le coup de 18 heures aux TROIS SEIGNEURS. C’était un établissement à l’ancienne, cossu et rustique. J’ai fait les deux étages à pied.
La porte de la chambre était entrouverte, les deux blondes ensemble en pleine action. Je me suis demandée s’il s’agissait d’un spectacle préparé pour ma venue ou si elles étaient au naturel, comme si je n’avais pas été là. Ma gorge s’est asséchée, alors que mon sexe, lui s’humidifiait. Elles avaient l’une comme l’autre perdu leurs vêtements, offrant leurs anatomies. La blonde a cheveux courts avait des seins en poire, délicats, une taille fine, et une croupe charnue, alors que celle qui avait des cheveux longs et une frange était beaucoup plus ronde, avec des seins lourds. La blonde à cheveux courts était partie à l’assaut de sa copine, gobant ses seins avec avidité, en même temps qu’elle poussait entre les lèvres de son sexe un vibromasseur violet en marche dont le ronronnement était sans doute gage de plaisir. La blonde à frange gémissait sous ce double assaut.
La petite brune, qui se prénommait Anita (‘Au fait, je te l’ai pas dit, mon prénom c’est Anita;’) s’est précipitée vers moi. Si les deux blondes avaient envie l’une de l’autre, elle avait vraiment envie de moi, et elle s’est jetée vers moi, se plaquant à moi pour me faire sentir ses formes généreuses, et m’offrir sa bouche que j’ai prise, souple et chaude. Nos langues se sont très vite rejointes pour s’accrocher l’une à l’autre. Sans grande retenue, elle a glissé ses mains sous ma jupe et dans mon slip pour venir empoigner mes fesses à pleines mains et les caresser. J’en ai fait de même, malaxant ses fesses charnues.
—Viens, j’ai envie de toi depuis ce matin, elle m’a dit avec franchise.
Elle m’a entrainée vers le grand lit où les deux blondes venaient de changer de position. Un gode rose avait fait son apparition dans la main de la blonde charnue, et elles s’étaient placées dans un cercle gracieux, tête-bêche, pour caresser le sexe de l’autre de la langue et du gode, qui allait et venait au coeur des chairs humides et gonflées de sang.
Anita et moi nous avons progressé très vite l’une vers l’autre. Elle était vraiment magnifique, et si ce n’était pas forcément elle que je convoitais, l’avoir dans mes bras, toucher sa peau chaude et douce, me ravissait. J’ai fait glisser son débardeur, pour mettre à nu ses seins et venir les caresser de la main et de la bouche. Elle a gémi alors que je la caressais ainsi.
—Mes seins sont très sensibles, tu ne peux pas savoir le plaisir que tu me donnes.
Dans le désir de m’en donner de manière réciproque, elle est remontée le long de mes jambes, sous ma jupe en jean. J’ai ouvert mes cuisses, pour lui donner accès à mon sexe. Elle a tiré mon slip dans mon aine, et elle est venue passer ses doigts sur mes lèvres. J’ai senti que je les lubrifiais, ma mouille sortant de moi avec abondance. Elle a finalement fourré un doigt en moi, puis encore un autre, et elle s’est mise en devoir d’explorer l’intérieur de mon sexe, pendant que je continuais de parcourir sa poitrine.
Je l’ai délaissée pour attraper son slip et le tirer le long de ses jambes. Elle s’est cambrée pour m’en donner la possibilité, le morceau de tissu finissant accroché à sa cheville.
J’ai été un rien surprise par ce que j’ai découvert.
Elle était pour ainsi dire…garnie.
Elle a eu un petit rire devant ma surprise.
—J’aime bien garder des jouets en moi. Ca me donne du plaisir d’une manière secrète. Personne ne soupçonne rien et moi, je suis caressée par les objets que je me suis introduit. Sors-les doucement, pour que je jouisse. On va s’en servir ensemble.
Je me demandais ce qu’était l’énorme bosse rose qui remplissait sa chatte. J’ai posé délicatement les doigts dessus. Un trait de sécrétion a coulé en travers, venant poisser mes doigts. Elle a gémi alors que je faisais doucement sortir l’objet, qui semblait vraiment volumineux. Ca n’a été que quand il a été aux trois quarts à l’extérieur que j’ai compris qu’il s’agissait d’un double-gode, très long, qu’elle était parvenue à rentrer en elle. Je me suis dit que, décidément, le vagin d’une fille pouvait être vraiment élastique.
Le gode était presque dehors quand il m’a échappé, et il a jailli d’elle, un peu comme si elle en avait accouché, en se dépliant. C’était une double tige, vraiment longue, d’un plastique fluorescent rose du plus mauvais goût,mais ce mauvais goût, on devait l’oublier quand on avait la queue de plastique dans son sexe.
J’avais déjà vu, dans des pornos, des filles se donner du plaisir avec un double gode, selon une multitude de scénario différents, car pas mal de possibilités étaient envisageables, mais je n’avais jamais encore eu l’occasion d’en utiliser avec une partenaire. Le moment était venu.
Les plissements de son anus, eux, étaient masqués par une rondelle métallique, celle d’un anal plug. Je l’ai fait glisser hors d’elle. C’était la première fois aussi que je voyais un anal plut en dehors d’un porno. Je ne savais pas combien de temps elle l’avait porté, mais il laissait son anus bien ouvert, son orifice dilaté des dimensions de ce qui l’avait rempli, et on voyait bien sa muqueuse anale, rose et brillante.
—Tu devrais essayer, ça frotte contre les muqueuses quand tu bouges, c’est très excitant. Même si ça ne vaut pas des boules de geisha. Pour le cul, c’est parfait.
Elle s’est redressée, et elle a attrapé le double gode en son milieu en l’enserrant bien, avec l’intention évidente de ne s’en servir que de la moitié. Elle l’a amené sur moi, et elle s’est mise à frotter mes lèvres avec. Mon sexe, déjà bien ouvert, s’est dilaté encore plus, et j’ai eu des spasmes, comme si j’avais voulu happer au plus vite ce membre en plastique, et m’en remplir.
Près de moi, les deux blondes, totalement dans leur bulle, se donnaient du plaisir en travaillant le sexe de l’autre. Leurs soupirs et leurs gémissements n’étaient pas feints. Un stade que nous atteindrions sans doute d’ici quelques minutes, ma camarade de jeux venant de faire rentrer la tête du double gode de quelques centimètres dans ma vulve. Avec patience et détermination, elle l’a poussé en moi jusqu’à ce que ça ne rentre plus.
J’ai fermé les yeux. C’est bon de se sentir remplie, que ce soit par une queue ou par un gode, surtout quand celui-ci est manipulé par une fille aussi désirable.
Elle me surplombait, avec une expression dans laquelle se mêlaient plaisir et fascination, son sexe à elle dilaté par la présence du gode, à quelques centimètres de mes yeux, vision troublante à l’extrême, laissant sourdre des filaments de sécrétions qui venaient se perdre sur le drap. Elle m’a travaillée un moment avant de ramener l’autre partie du gode près de ses lèvres. Elle s’est avancée encore plus près de moi, et elle a fait rentrer l’autre partie de la queue de plastique dans sa vulve, avec d’autant plus de facilité qu’elle était déjà bien dilatée. Elle l’a posée sur ses lèvres, elle a donné un coup de reins, et hop, le membre de plastique était fiché en elle. Nos sexes étaient à quelques centimètres l’un de l’autre, le mien glabre, le sien pourvu d’une toison brune à laquelle elle n’avait rien touché, et le trait d’union entre nos sexes, c’était ce morceau de plastique de quelques centimètres qui restait seul visible, et sur lequel coulaient nos jus, dont la vision était excitante, non seulement parce qu’elle sous-entendait que les deux parties qui n’étaient pas visibles étaient en nous, mais aussi parce que cela constituait un lien entre nous.
—Tu n’en as jamais utilisé, non?, m’a-t-elle demandé. Laisse-moi faire, je vais te montrer comment ça fonctionne. Enfin comment ça peut fonctionner pour un maximum de plaisir, mais après, il y a dix mille utilisations possibles.
Je me suis laissée guider. Elle connaissait mieux cet outil que moi, qui n’étais vraiment pas coutumière de l’utilisation de jouets en tous genres.J’ai remarqué qu’elle comprimait ses muscles vaginaux pour s’assurer une prise sur la partie du double gode emmanchée en elle, et, par de simples mouvements de bassin, elle a fait bouger la queue de plastique en moi. C’était comme s’il lui était poussé une queue, ou si elle avait eu un gode ceinture accroché à la taille. Elle a fait bouger le sexe en moi, rapide, puis plus lente, caressant mes muqueuses du plastique lubrifié par mes jus intimes. Sans honte, je me suis laissée aller à la jouissance qui montait en moi, enchainant plusieurs orgasmes en criant.
Elle s’est laissée tomber sur le dos. Elle avait gardé la queue de plastique en elle, ses muscles vaginaux crispés autour. La queue est sortie de moi, dans un bruit visqueux. Je suis venue la récupérer, et je me suis emmanchée, dans un nouveau rôle cette fois. J’ai crispé les muscles de mon sexe autour du plastique, craignant de ne pas avoir son habileté.
En quelques secondes, je me suis emparée de mon nouveau rôle, en même temps que le gode de plastique prenait une nouvelle dimension pour moi. Je l’ai vu comme un instrument de plaisir, fiché en moi, mais se prolongeant en elle. En quelque sorte un objet simple mais magique, et ultra efficace.
Je me suis mise à bouger, lentement, en m’émerveillant de l’impact que ça pouvait avoir sur elle, mais aussi sur moi. Le moindre mouvement lui provoquait du plaisir. Le plastique était conducteur, et je sentais son corps frémir, trembler. En même temps, chaque mouvement en elle avait un impact sur moi. C’était un effet miroir qui était…Diabolique…On s’est mises à gémir toutes les deux, gémir de plaisir. Nos gémissements se joignant à ceux des deux blondes qui avaient des orgasmes et maculaient les draps comme nous de leurs sécrétions intimes.
Parce que je maîtrisais de mieux en mieux, nous avons pu rentrer dans une troisième phase. Allongées l’une face à l’autre, une de mes jambes accrochée à la sienne, nous avons alterné, faisant bouger la queue de plastique l’une après l’autre, jusqu’à amener l’autre au bord de l’orgasme, avant que ce ne ce soit elle qui prenne la suite. Puis nous avons basculé sur d’autres positions. Elle s’est mise à quatre pattes et je suis venue la prendre en levrette, éblouie par la vision de cette croupe, très charnue, mais ferme, ouverte sans limites sur un anus dont les plissements étaient creusés dans sa chair et un sexe béant, dégoulinant de mouille.
—Baise-moi comme un homme baise une femme!
Je me suis prise au jeu, allant et venant en elle tantôt rapidement, tantôt beaucoup plus calmement. Elle n’était plus qu’un sexe frémissant, constamment au bord d’un orgasme, jusqu’à le laisser exploser en elle, avant d’en laisser monter un autre, et ainsi de suite. Lorsqu’elle n’en a plus pu de force pour jouir, elle m’a proposé de me donner du plaisir selon ma convenance. Les deux blondes étaient parties sous la douche, mais nous on avait encore soif de plaisir. Elle s’est posée en tailleur, avec le double gode dépassant pour cinquante pour cent d’elle et je suis venue au dessus d’elle, descendant doucement. J’ai poussé un petit gémissement quand la tête de plastique a touché mon sexe, ultra-sensible. Je l’ai guidé en moi, le sentant couler entre les parois de mon sexe avec infiniment de plaisir, jusqu’à ce que la tête de plastique vienne frapper mon utérus. Elle m’a attrapé par les hanches, et elle m’a faite monter et descendre sur elle, la bite de plastique coulissant entre mes chairs, et me donnant l’illusion qu’à chaque aller et retour elle creusait plus encore mes chairs, les perforant jusqu’à remonter quasiment à ma gorge. Ca a été ainsi que j’ai joui, au-delà d’un certain seuil. J’ai totalement perdu le contrôle, enchainement les orgasmes jusqu’à m’écrouler sur elle, le gode toujours dans mon ventre, sans forces.
Ca a été ainsi que je suis arrivée au début septembre. Les dernières visites étaient calées pour le 13 septembre. Je devais démarrer en licence quinze jours plus tard.
Ca a été une période fabuleuse de ma vie, et ce pour plusieurs raisons. C’était la première fois de ma vie que je n’étais ni élève, ni étudiante, en responsabilité, et cela se passait formidablement bien. J’étais heureuse de démarrer ma vie professionnelle comme cela.
Et, si elle était gratifiante, l’expérience était également passionnante. J’avais vraiment pris du plaisir à présenter les charmes de la ville, mais, tout autant, à me sentir progresser.
Et puis il y avait eu tous ces moments de sexe, si différents les uns des autres, dont j’avais gardé la trace dans un cahier. Ils avaient été tellement nombreux qu’il était bien que j’en aie consigné les éléments dominants, sans quoi j’aurais oublié pas mal de choses. Ils étaient comme un tremplin à mes moments de masturbation. Tout autant que le désir, qui restait très prégnant en moi de Mylène T. une femme inaccessible, que je n’avais plus jamais revue depuis sa visite surprise sur le circuit, mais que je désirais toujours autant, mes séances masturbatoires nombreuses, en pensant à elle partagées entre les quelques images que j’avais d’elle, et ce que j’imaginais de possible entre nous. Je la désirais d’autant plus que je la savais totalement inaccessible.
J’ai repris les cours fin septembre, en me disant que, si jamais l’expérience était renouvelée l’année qui venait, alors je m’inscrirais. Puis j’ai pensé à mes nouvelles études.
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Histoire de JamesB

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