Ça a commencé au ciné 7

Quand nous arrivons à l'entrée du chemin, nous sommes étonnées de voir Nic, Luc n'a pas osé nous le dire, mais le programme est changé, ils nous emmènent chez quelqu'un, je ne suis qu'a moitié étonnée, nos échanges au téléphone, m'avaient déjà mis la puce à l'oreille.

Nic a eu l'occasion de rencontrer cette personne lors de sorties coquines, ou le hasard les ont fait discuter et "sympathiser", je mets le mot entre parenthèse car sa connaissance habite une maison de maître à l'intérieur cossus, alors que Nic ne nous a jamais fait rentrer chez lui, de ce qu'on voit de l'extérieur suffit pour en comprendre la raison, il nous dira plus tard, qu'il avait plus vite fait de rendre la caravane impeccable que chez lui.

Sa connaissance, petit bonhomme de la bonne soixantaine nous reçoit, comme prévu, il est avec deux autres amis à lui du même âge, il devait y en avoir un quatrième, mais il était malade et n'était pas en état de venir, il nous dit, "Nic m'avait parlé de très belles femmes, je ne l'ai cru qu'à moitié", se tournant vers lui, il lui dit, "je ne sais que dire, elles sont magnifiques, tu confirmes que .........", je confirme dit Nic.

S'adressant à nous, "bien, restez cote à cote, je contrôle", passant derrière nous, il passe ses mains en dessous de nos jupes, effet garantie, on pousse un haaa, de surprise et aussi d'excitation, le premier reflexe a été de serrer les cuisses en se retournant, mais nous nous sommes remise droite en le laissant faire.

Dans un autre endroit, celui de la vie de tous les jours, pour les mêmes gestes, nous lui crevions les yeux avec nos talons. Comme quoi ce n'est pas le geste qui compte, mais ce qu'il représente, ici nous sommes venues pour être humiliées, utilisées, l'inverse de l'image que l'on donne à notre entourage, celle de la femme BCPG qu'on respecte.

Voila comme ça dit-il, écartez vos jambes, oui comme ça, hummmm, elles sont très dociles en plus, la soirée s'annonce très excitante, elles mouillent bien les salopes, allez venez, passons dans la salle, regardez les amis ce que l'on nous apporte, deux femelles en rut, qui n'attendent que de nous donner tout ce qu'on leur demande, n'est ce pas. Comme nous ne répondons qu'avec un sourire, il dit, "ha oui, elles ne connaissent pas notre maison, mais ce n'est pas grave au contraire".

Nous voulions nous mettre sur le coté pour ne pas tourner le dos, mais il nous fait comprendre de rester face à ses amis sur un canapé. Luc et Nic restent en retrait, il (l'hôte) redit, n'est ce pas que vous allez tout faire pour notre plaisir, nous disons un petit oui et nous recevons chacune un bon coup de cravache, "oui monsieur qu'on dit" dit-il.

Je me dis que Nic a bien compris ce qu'on appréciait, il (l'hôte) met la cravache sur l'épaule de la copine en disant, mets toi derrière elle, et présente à mes amis la marchandise, elle s'exécute et retire ma jupe sur ses conseils, faisant ralentir l'effeuillage avec sa cravache.

Apres la jupe, le chemisier, puis l'arrêtant pour le soutif, il dit, "laisse, je m'en charge, toi Nic, occupe toi de l'autre salope", ce disant, il pousse la copine en face de son autre ami sur le canapé, je sens ses mains sur l'attache de mon soutif, il fait jaillir mes seins devant son ami, quelle honte, mais quelle excitation.

Les deux hommes sur le canapé, après s'être toucher le sexe à travers leur pantalon, ils sortent leur sexe, l'un dit, "putain, y'a du monde au balcon", l'hôte passe ses mains par devant et me les pétrit tout en se frottant le sexe sur mes fesses, la copine se retrouve dans la même tenue que moi, en nous rapprochant du canapé, l'hôte dit, "aller mettez la main à la pâte, retirez leur les bas", mettez un pied sur leur genou nous dit-il.

Luc est spectateur, il se masturbe en nous matant, Nic lui, il clone l'hôte, faisant les mêmes gestes sur ma copine, copine qui ne regrette pas d'être venue, depuis le temps qu'on se connait, je la connais par cœur, elle n'est plus dans le monde, l'excitation a prit le dessus sur sa volonté, elle n'appartient plus qu'a ces hommes, de mon coté, je suis plus longue à l'abandon, mais je n'ai aucune envie de résister.

Le regard de ces inconnus sur nous, les mains de ceux derrières nous, l'expression sur nos visages renseigne nos voyeurs qui retirent nos bas, tout en nous caressant les jambes, nos peloteurs de derrière nous approchent encore un peu plus du canapé, l'hôte dit, "le string maintenant, elles n'attendent que ça, n'est-ce pas", oui monsieur disons nous en cœur.

Ils nous l'enlèvent et en le reniflant, l'un fait, "hummm, ça sent bon la femelle qui a envie qu'on s'occupe de sa chatte, c'est tout trempée", c'est vrai ça dit l'hôte, nous répondons oui et aïe pour moi, oui monsieur, il m'a pincé fortement les tétons, la copine y a droit ensuite.

Pendant ce temps, les voyeurs deviennent peloteurs, ils nous masturbent le clito, nous mettent leur doigts, nous écartons nos cuisses, "oui comme ça, c'est bien petite pute" dit celui sur le canapé, toutes les deux, nous commençons à gémir, branlées par ceux devant, les seins tripotés par ceux derrières tout en étant traitées de salopes et de putes.

Nous sommes questionnées, pour savoir si nous aimons et nous devons dire "oui monsieur", à un moment donné, à propos de celui qui s'occupe de moi, je me dis, quel novice, il arrête au moment ou il faudrait qu'il continu, en fait, il attendait un signe de l'hôte, celui ci dit, "c'est le moment, allez y".

ils sortent tous les deux, des œufs vibrants reliés par un fil dont ils ont la commande, ils nous les enfilent sans soucis, tellement nous sommes humide, le frisson a été quand on les a vu, on savait ce qu'ils allaient en faire. Nous sommes totalement en confiance, moi qui suis toujours à prévoir le pire, à me méfier de tout, Luc n'est pas un gringalet et Nic est imposant.

Les autres ici sont plus petits, plus âgés, à aucun moment je n'ai craint quoi que se soit, la copine me suis, je me donne complètement, notre plaisir est leur but, assis sur le canapé, les œufs vibrent à fond, on se trémousse de plaisir pendant qu'ils nous frottent la chatte et triturent les seins, l'hôte les harangue en nous traitant.

Avec la copine, on se regarde, on sait ce que ça veut dire, le grand frisson arrive, il va nous emporter, tenue par derrière, nous ne pouvons pas nous masturber pour atténuer notre excitation, nous ne pouvons que supplier oralement nos virtuoses de l'œuf, qui se font un plaisir de faire ce qu'on leur demande, "le clito, frottez le clito, oui comme ca, plus vite, encore, oui plus fort, regarde, regarde, je vais jouir regarde".

Je ne sais qui de nous a joui la première, mais entendre l'autre partir, n'a fait que précipité l'orgasme, nous gueulons comme des truies, ce qu'indique l'hôte d'ailleurs. Le pic de l'orgasme passé, ils continuent encore de nous masturber, derrière moi, Luc remplace l'hôte, je ne l'ai pas vu faire mais il a placé deux longues tables basses en V avec dessus d'épaisses couvertures.

Par ici dit-il, ses amis arrêtent et nous retire les œufs, on reprend notre souffle et ils nous dirigent vers ces tables, ils s'allongent dessus, sur le dos, ils se capotent et nous comprenons qu'on doit venir s'enfiler dessus, nous ne nous faisons pas prier, par reflex, comme nous étions chacune en face du peloteur de l'autre, nous avons voulue se remettre comme devant le canapé.

Ils nous disent non, on va changer, vous êtes autant bandante l'une que l'autre, excitées comme nous sommes, seul le phallus nous intéresse, une fois positionnées et calées, pendant que nous profitons de la pénétration, Luc et Nic approchent derrière et l'hôte, se mettant devant nos visages, nous tire les cheveux et dit, "enculez les".

Sitôt dit, sitôt fait, les sexes dans nos vagins sont de tailles très moyennes, mais ceux qui nous déchirent derrières, sont de bonnes tailles, surtout Nic, je sens qu'il a mit une capote aussi, il a même mis du gel, ça rentre sans problème, nous lâchons un "houuu", attendez que ça se détendent un peu dit l'hôte, nous ne sommes pas fistées, ce qui fait que ça nous coupe la respiration.

Nous habituant à ces corps étranger en nous, les chaires s'étant distendues, l'excitation s'amplifiant, nous commençons à bouger, attendez encore un peu dit l'hôte, ce sont elles qui vont faire le boulot, l'hôte nous tire les cheveux pour que nous ne le perdions pas du regard.

Pendant que nous nous habituons aux sexes en nous, il s'était préservé aussi, sexe un peu plus long que ses amis, bien sur, pas aussi dur qu'il y a vingt ans, mais acceptable, il nous le met devant nos visages, comme nous sommes en V, voir un sexe ne nous a jamais excitées à froid, par contre, à chaud, cela accentue ce qu'on ressent.

La copine va pour lui attraper, mais il dit non, allez bourrez moi ces salopes dit-il, nous sommes bourrées avec vue sur son sexe, plus le plaisir arrive et plus on a envie de le prendre en bouche. Même pendant ces moments là, je juge, Nic a bien donné les consignes, l'hygiène absolue, son sexe ne sent pas l'urine ni la sueur de plusieurs heures, sans sentir encore le savon, le sexe a baigné dans l'eau il y a peu de temps.

Ultra pénétrées, la petite douleur fait place à l'envie qui arrive, l'hôte n'est pas un novice, sur nos visages, il lit ce qu'on ressent, ce qui va arriver, il le commente aux autres, à ceux qui besognent, ça vous plait mes salopes, je dis oui et la copine dit oui monsieur, je suis punie, c'est elle qui a droit à sucer, et moi juste de regarder.

Dans ces moment là, il n'y a plus de solidarité féminine, pendant qu'elle se régale, l'hôte me tire les cheveux, m'obligeant à le fixer, honte suprême, mais au combien excitante aussi, la copine commence à gémir de façon étouffée.

Tu l'entends me dit-il, elle va faire le grand saut, se tournant de mon coté, il me dit, allez, maintenant je vais voir si tu suces aussi bien qu'elle, il ne me le dit pas deux fois, fourrée comme une dinde à noël, entendant la copine qui s'envole en gueulant, je la suis à quelques secondes, pendant que le plaisir m'envahie, je délaisse son sexe, continue à me sucer salope dit-il.

Je reprends mon service pendant que les deux autres continus de me bourrer, son ami bourrant la copine dit, "ho putain je décroche", Luc dit, "oui, et bien, on va être deux, on est pas trop de deux pour .....", il ne fini pas sa phrase, je les vois accélérer pour remplir leurs ballons.

De mon coté, ça ne chôme pas non plus, je sens très bien le sexe de l'ami en moi, non pas qu'il est plus conséquent, mais celui de Nic prend pas mal de place, j'entends l'ami qui change, sa respiration accélère, il souffle comme un buffle, il accélère la cadence, Nic suis le rythme, mais décroche à son tour, je prends des bon coup de butoir dans le fondement.

Même si mon orgasme est passé, il en reste encore, le feu n'est pas éteint, je bat la mesure, Nic jouit, il grogne, celui sous moi se vide aussi par saccade, il souffle comme s'il avait fait un marathon, je continu de sucer pendant peut être trente secondes et je sens l'hôte qui à son tour reçoit une visite, oui comme ça morue, suce, suce, humm tu es bonne, tu as du métier.

Il se tait et me tirant plus fort les cheveux, me baise la bouche, jusqu'au moment ou il arrête et se déverse, respirant fortement, pendant ce temps, je sentais le ramollissement de mes partenaires qui penauds, se retiraient, libérant mes intimités.

Les hommes purgés, nous même, ayant eu deux orgasmes, nous suivons l'hôte qui nous emmène à la douche, très belle salle de bain, très spacieuse avec tout ce qu'il faut, serviettes, peignoirs, grande baignoire qui n'est pas collé contre un mur ou on tient toutes les deux face à face, étant déjà nues, on fait couler l'eau.

On discute en attendant, je sens bien qu'il n'a pas envie de partir, et après ce qu'on vient de faire, qu'il soit là ne nous dérange pas, une fois la baignoire remplie à moitié, nous y rentrons, justifiant sa présence, il nous verse du savon, ce qui mousse, l'hôte avait remis son pantalon pour nous accompagner, on profite du bain, et comme c'était cousue d'avance, "attendez, permettez, je vais vous aider" dit-il.

A genou derrière moi, il me frotte les seins, frotte, pelote, peu importe, ce n'est pas désagréable, je le laisse faire, bien, vous êtes vraiment charmante dit-il en se levant, il appelle ses amis qui arrivent et leur dit, "messieurs, vous avez salie ces charmantes personnes, il faut les nettoyer maintenant".

Très obéissant, l'un va derrière la copine et l'autre au milieu, ils défont leur chemise qu'ils avaient remises, l'hôte se remet à sa place, et chacun nous tripote les seins, celui au milieu s'occupe de nos jambes, contrairement à la situation d'avant, de salopes, nous sommes devenues princesse, ils sont très attentionné.

Les seins caressés, on profite du moment, mettant nos têtes en arrière sur leur poitrine, cela dure jusqu'au moment ou il nous dit, levez-vous qu'on frotte le reste, ils nous ont tripotés mais sans nous pénétrer de leur doigts, après nous avoir passe le peignoir, nous avons été discuté dans le salon, nous remerciant, remerciant Nic pour nous avoir emmené, demandant si nous avons apprécié l'expérience.

Connaissant nos habitudes, Luc dit, nous allons les laisser partir, elles ont de la route, l'hôte s'excuse en disant, "bien sur, nous allons même les aider à se vêtir". ils nous ont habillés tout les trois en se faisant plaisir en bien tripotant, nous sommes parti, avec Luc ou on l'a laissé chez lui a coté du cinéma, Nic est resté avec eux, il ramènera la voiture de Luc le lendemain.

Dans la voiture, nous discutons toujours de ce qu'on vient de vivre, nous avons apprécié notre soirée, ma copine, avec elle, tout le monde est beau et gentil, elle ne voit le mal nulle part, mois par contre j'analyse, Nic a de l'expérience, il sait qu'on ne recherche pas de la routine, il essai de diversifier les plaisirs.

Je lui dis, que penses tu de ce qui s'est passé, elle me dit, on a eu du plaisir, je dis oui, mais on étaient quoi la bas, comme je sais qu'elle ne devinera pas, je lui dis, Nic a surement eu un arrangement avec l'hôte, ce n'est pas un ami, c'est presque un client, il a joint l'utile à l'agréable, Nic habite une maison vétuste, presque un taudis du peu que j'ai vu, sa connaissance est un notable, genre notaire, et ses amis seraient plus des petits chefs d'entreprises, l'avenir nous le dira peut être si on y retourne.

Nous sommes retournés peut être quatre fois dans la caravane, j'y est même amené une autre copine, très belle, tous les deux étaient enchantés, après le moment sexe, nous discutions un peu, Nic parlait qu'il aimerait se rapprocher de la grande ville, pas trop près mais pas aussi éloigné, en posant des questions, j'ai pu savoir quels étaient ses moyens, ses possibilités.

Avec tous les éléments, ainsi que mes possibilités, j'eu une idée, et entre deux rendez-vous, j'ai cherché et trouvé quelque chose qui était dans ce qu'il avait indiqué, beaucoup plus prés de la grande ville et surtout plus prés de chez moi, à une distance raisonnable autant que discrète, je jauge les travaux à faire, j'ai les copains artisans pour.

La fois suivante, après le moment sexe, je propose à Nic le déménagement, j'ai monté un dossier sur ce qu'il peut tirer de la vente de sa maison et des terres, le prix qu'on peut négocier de ce que j'ai trouvé, le montant des frais de remise en état etc. Une maison de 80 m², avec attenant une pièce ou je lui dit que je souhaite la transformer en garçonnière pour quand on vient et ou je paierais les travaux et le mobilier, je passe les détails sur la négociation la dessus.

Je dis a Luc, que pour lui ça sera plus contraignant mais que pour nous, on gagne une heure de route, il réponds que pour nous, faire les kilomètres ne le dérange pas, Nic lui dit qu'il pourra venir l'après midi et repartir le lendemain. je donne tous les éléments écrit à Nic en disant qu'il se fait tard et que je l'appellerais la semaine prochaine, qu'il réfléchisse posément, la chose est entendue, la promesse de vente est faite, et le 6 mars 2020, les copains artisans ont finis leur boulot, plus qu'a peindre et ça, ils savent faire en bricoleur.

Pour l'instant, l'histoire est en stand-by, confinement oblige. Ils sont confinés ensembles, un voisin s'occupe de l'appartement de Luc.