Bibliothèque en folie

Il était 17h30, et Marie et Moi, nous finissions nos recherches dans la Bibliothèque. Les rayons étaient presque désert, la Bibliothèque allait fermer dans une petite heure.

Marie et Moi, nous étions amies depuis longtemps. Il nous était déjà arrivé de dormir ou prendre des bains ensemble, mais nous n'avions jamais eu de rapports sexuels.

Par manque de place, je m'étais assis sur elle. Je sentais une sensation inconnue monter en moi, un désir grandissant. Tandis que j'étais parti chercher un livre, elle me caressa délicatement les fesses à travers le jeans. Il faisait drôlement chaud, et mon regard ne pouvait pas s'empêcher de se tourner vers ses beaux seins ronds qui tendaient le t-shirt. Jetant un coup d'oeil furtif pour m'assurer que personne ne traînait dans les rayons, je lui attrapa un sein et le pressa entre mes mains.
Un picotement traversa ma petite chatte.

D'un commun accord, nous avions pris l'ascenseur et nous nous regardions à présent d'un regard de braise. Collées l'une contre l'autres, on s'est emballés et caressé à travers les vêtements. Mon excitation était à son comble.

L'ascenseur était maintenant juste en face des toilettes. Je pris Marie par la main et je l'ai entraînée dans la cabine handicapée. Je lui ai retiré son t-shirt et j'ai dégrafé son soutien-gorge. Ses mains se baladaient sur mon corps. Je lui pris un sein, lui lécha et lui suça. Après s'être frottées l'une contre l'autre, elle me banda les yeux et me fit asseoir sur les toilettes.

Je senti mon jean glisser sur mes cuisses. Après m'avoir caressée doucement la chatte à travers le tissus fin, elle me retira mon shorty. Je sentais que je mouillais légèrement. Elle me caressa le clitoris et les lèvres tout doucement, j'adore ça. Puis, elle plongea sa langue dans ma chatte et tourna à l'intérieur. J'étais à l'apogée, je jouissait, les yeux toujours bandés.

Elle appuyait si profond avec sa langue que je voulais crier de plaisir. Je sentais mon liquide couler sur mes cuisses. J'étais en sueur, essoufflée. Tout d'un coup, j'ai retiré mon bandeau et j'ai plaqué Marie contre le mur, je lui ai baissé son jean et j'ai pénétré ma langue dans sa chatte. Elle jouissait profondément. Tout en la massant, je l'emballais, chatte contre chatte.

FIN