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Boules de Geisha

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Lue : 71435 fois - Commentaire(s) : 8 - Histoire postée le 14/06/2010

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Mon pseudo est Elie, je mesure 1.75 m je suis brune aux cheveux très long, yeux noirs, d'origine espagnole, je pèse 60 kg et suis très sportive, ancienne majorette, j’ai des seins superbes et sensibles aux caresses, je fais du 100 c, un avantage que dame nature ma offert ; mes longues jambes font plus d’un mètre, mon ventre est très plat et mes fesses sont rebondies, j'ai un petit tatouage juste au dessus des fesses bien en dessous des reins caché par mon string (quand j'en porte ) c'est le symbole chinois du sexe, je suis très nature, souvent nue sous mes vêtements ; peu maquillée, sauf pour des occasions particulières, j'ai 30 ans, active sexuellement depuis quelques années, je suis libertine, joueuse, j'aime tout dans le sexe, sauf la douleur forte, mais je suis fan des fessées, du tirage de cheveux, des accessoires, seule ou à plusieurs, je n’ai pas de limite, j'aime mater et être mater, j'aime dominer et être dominée, je peux être tendre et douce mais aussi bestiale et directe. Je suis cérébrale aussi et j’adore lire des histoires de fesses. Rien de tel pour moi pour m’exciter avant de faire l’amour avec l’auteur s’il a su faire monter mon désir et humidifier ma chatte..

Histoire écrire avec la complicité de Pierre le Grand mon ami sur le Site qui nous est cher.

Voilà mon portrait très fidèle que j’ai fait circuler sur le Net. Tout est vrai, mon physique, mon âge, et surtout mon énorme envie de jouir en faisant l’amour avec un homme qui me convient, oui tout est vrai sauf que depuis bientôt six mois je suis en manque de complice masculin ; mon travail, l’éloignement de mon dernier amant. Evidemment j’use d’expédients pour jouir en solitaire, les objets pour jouir ne manquent pas et j’avoue que chaque soir, sous ma couette ou devant un miroir j’arrive, puissance de l’imagination, à jouir avec des godes, un plug calé entre mes fesses. Après avoir bien joui je suis épuisée et je m’endors comme une masse.

Imprudemment j’ai donné mon adresse email que j’ai du changer depuis. Inutile de vous dire que j’ai été inondée de propositions, d’invitations à se rencontrer. Au début j’étais heureuse de mon succès mais quand j’ai pu parler à tous ces admirateurs j’ai été surprise, allant de la déception au désespoir. Après avoir effacé deux ou trois gros lourds qui ne cherchaient qu’a satisfaire leur lubricité de voyeur, je fis la rencontre d’un homme de mon âge qui fut le premier a ne pas me demander au bout de deux phrases si je pratiquais la sodomie ou si je voulais bien lui faire un show sur le net via ma Cam et MSN !!! Il devait être resté sur une de mes premières annonces beaucoup plus sages.

Non lui, Pierre se présenta comme un homme de mon âge, brun aux yeux bleus comme les hommes de sa Provence natale disait-il ingénument. Un mètre quatre-vingt cinq, soixante quinze kilos, sportif ; il finissait son doctorat et il s’ennuyait ferme à Paris, sans amis et me demandait s’il serait possible d’aller ensemble voir des rencontres sportives.

Il fut le premier à s’intéresser vraiment à moi !! Et me dévoiler au téléphone, sans tabou son métier, ses passions, sa famille, enfin tout ces petits détails que l’on s’échange quand on se rencontre en réel. Nous nous sommes quittés tard dans la soirée après avoir longuement parlé de nous sans avoir une seul fois parlé de sexe ou de possibilité de couple ou autres sujets du même acabits !!

Qu’il était mignon, j’étais toute attendrie. Cette bouffée d’air pur, cette sincérité dans ce monde de faux semblants qu’est le net !! Je partis me coucher des rêves plein la tête. Etait-ce possible que ce genre de jeune homme existe encore ?

Le lendemain après une journée de boulot bien fatigante je me surpris à avoir hâte d’ouvrir mon ordinateur et de me connecter pour voir s’il y était !! Son message était là, il me remerciait d’avoir accepté de lui parler, qu’il avait passé une bonne soirée et qu’il aimerait beaucoup me rencontrer, quand je voudrais bien sûr, que rien ne pressait.

Le voir ! J’en mourrais d’envie, je sentais mon cœur battre très fort dans ma poitrine tandis qu’un frisson me saisissait dans ma colonne vertébrale. Mes mains tremblent et s’agitent sur le clavier, j’écris « Avec plaisir » sans le vouloir poussée par une force irrésistible et sans réfléchir j’envoie. C’est fait j’attends, je guette l’écran, j’ai peur.

Le message arrive « je vous attends dans une heure au resto voilà l’adresse. Excitée comme une pucelle je filais sous ma douche, shampooing, épilation, tout y passa comme pour un premier rendez vous amoureux.

Le cœur battant je suivis les instructions à la lettre de mon GPS jusqu’à me garer devant un restaurant de fruits de mer. Il était devant, l’air angoissé, qu’il était beau, il ne m’avait pas menti, grand, brun aux yeux bleus. Avec mon plus beau sourire je me plantais devant lui.

« Elie …….C’est vous ? »me dit-il simplement. « Oui Pierre c’est moi..mais on se tutoie ! » Dans ses yeux je vis qu’il me trouvait à son goût. Il me sourit, que ces dents étaient belles ! Sa bouche appétissante ! Il ne m’avait pas menti sur sa personne, je me sentis fondre. Il se pencha vers moi pour un baiser sur la joue à la limite de mes lèvres.

« On peut manger ici ou si tu préfères je peux te cuisiner un petit plat chez moi….. » et après un petit silence amusé « tu n’as rien à craindre, je ne fermerais pas la porte à clef, si tu veux partir, tu pourras…. »

Craindre quoi ? Qu’il soit trop timide ! Dans un éclat de rire j’accepte son invitation et bras dessus bras dessous je le suis chez lui, c’était à deux pas. Je fus surprise de l’ordre qui régnait dans son appartement, impeccablement rangé, où il ne vivait pas ici ou il était maniaque comme moi.

Il cuisina un plat tout à fait délicieux, des pieds paquets, spécialité de Provence, qu’il servit avec une bouteille de Gigondas, au dessert nous en étions aux confidences. Est-ce l’ambiance ? Est ce le vin ? Est-ce la musique qu’il avait mit en sourdine. Nous étions proches pour regarder des photos, nos bras nus se frôlaient, je ne fus pas offusquée du tout quand sa main s’égara sur mon genou, je sentis sa chaleur jusqu’en haut de mes cuisses entre-ouvertes.

L’alcool, le blues ; je me retrouvais dans ses bras pour une danse lascive. Il était plus grand que moi, j’avais mes deux bras autour de son cou, ma tête sur son épaule. J’étais bien, de plus en plus serrée contre lui, nos ventres soudés, je ne touchais presque plus terre, je sentis ses lèvres dans mon cou, je le regardais droit dans les yeux, ma bouche près de la sienne. Cela ne s’explique pas, il avait envie de moi, mon regard l’encourageait, nos bouches se joignirent en s’ouvrant pour un baiser d’une infini tendresse.

Nous nous serrions de plus en plus fort bercés par la musique, je sentis le désir monter en moi, ce genre de désir qui vous prend quand on est en osmose avec un homme qui vous attire, il sentit le frissonnement de tout mon corps et il me serra encore plus tendrement. Je remarquais son émoi sans équivoque pressé sur mon ventre. Il m’observait guettant ma réaction.

Je ne suis pas farouche, j’adore faire l’amour quand mon amant me plaît. La raison me disait de ne pas céder trop vite pour que notre rencontre puisse aller plus loin qu’un seul soir mais mon besoin viscéral de jouir prit le dessus et toutes mes bonnes résolutions s’évanouirent, mon instinct me submergea, je lui fis un signe en ondulant légèrement des hanches sur son sexe. Sorte de message subliminal.

Il comprit mon accord tacite, son visage s’éclaira et il m’embrassa avec une telle passion que je perdis le sens de la réalité. Toujours dans ses bras il m’entraîna comme dans un rêve dans une autre pièce. Nous savions tous les deux que tout allait être permis pour se faire jouir.

Ces mains prenaient possession de mon corps je sentais mes vêtements glisser sur moi avant d’être rejetés au loin sans précaution dans la fièvre de la découverte, Au fur et à mesure qu’il me dénudait ses caresses se faisaient plus précises, je fus nue le temps de le dire, avec ses mains qui me caressaient de la tête aux pieds ; mon cou, mes épaules, mes seins, mon dos, mes hanches, mon ventre, mes fesses, mes cuisses. Il semblait affamé de moi et sa bouche se joignait à ses doigts. Il affolait mes sens. Il était temps que la bête qui ne dort que d’un œil en moi se réveille, car moi aussi je voulais profiter de lui et j’entrepris de le dévêtir à mon tour.

Ce fut vite fait car il m’aida, il fut bientôt à l’étroit dans son boxer pro éminence. Avec une infinie tendresse je dégageais sa belle verge de ce fourreau inadapté, elle se dressait tendue vers moi et je ne pus m’empêcher de la caresser lentement du bout des doigts en cherchant à lire le plaisir dans les yeux de mon amant, je la pris à pleine main et j’y posais un baiser tendre et humide ; un léger gémissement me fit comprendre qu’il était très désireux de cette attention et je poursuivis en suivant du bout de ma langue le contour de son gland et en la laissant courir en l’enroulant sur sa hampe .

Je fis plusieurs fois ce chemin en l’enduisant de ma salive nacrée. Sa verge devenait énorme comme je les aime, énorme et douce, dressée, tendue vers moi, elle était toute luisante et son goût me plaisait. J’ouvris mes lèvres et la fit prisonnière de ma bouche. Après plusieurs vas et viens, je sentis monter son plaisir car tout son corps se tendait vers moi, il prit mon visage dans ses mains pour me force à le regarder et là dans son doux regard, je lus mille promesses qui me firent m’inonder.

Il se dégageât doucement pour me relever et me prendre dans ses bras. Collés l’un sur l’autre nos bouches se joignirent tendrement. Mes seins étaient tout durs plaqués sur sa poitrine bombée ; Il me caressa le dos, puis mes fesses plaquant mon ventre sur le sien. D’un coup je me sentis soulevée, renversée et allongée en travers d’une couche sur le dos, les jambes pendantes, cuisses ouvertes, offerte. Il se mit sur moi avec une délicatesse infinie et je sentis son membre sur mon intimité, mais sans pénétration, sa verge entre mes grosses lèvres humides me frôlait, me titillait comme pour se faire désirer.

Le désir, fulgurant il était monté en moi et me tenaillait à m’en faire hurler. Je voulais lui crier qu’il cesse ses petites agaceries pour me prendre enfin. Il me tenait à sa merci avec son doux sourire, quêtant dans mes yeux l’instant à ne pas manquer. Je sentais son gland entre mes deux orifices qui le réclamaient. Sans m’en rendre compte je le suppliais de me prendre enfin, je n’en pouvais plus et d’un coup des étoiles plein les yeux je le sentis en moi, tout au fond de moi et je jouis à ce seul mouvement si intense.

Je commençais à trembler, à frémir, à me tortiller sous lui. Je voyais son visage comme dans un halot, penché sur le mien, il avait l’air heureux, fier de lui, fier de moi, dans un autre monde, grâce à lui, à son savoir faire, à son sexe énorme qui me remplissait. Il attendit quelques instants avant de reprendre un mouvement lent et régulier qui maintenait ma jouissance au zénith. Il le savait, il le voyait, tout mon corps lui criait mon plaisir. Je sentais son gland énorme sortir et rentrer se frayant un passage dans ma vulve dilatée, derrière lui, sa hampe me remplissait et chaque parcelle de mon vagin ressentait le doux frottement de sa verge si douce.

Mon souffle me revint quand il ralentit le rythme et la profondeur des pénétrations. Il se retira, et me retourna sur le ventre toujours en travers du lit. Il me guida pour qu’à genoux, le buste penché je lui tourne le dos, mes fesses bien en évidence sous ses yeux. Il me caressa, sa main dans mes longs cheveux, puis ses deux mains passèrent sous moi captant mes seins et leurs pointes érectées. Il les manipulait rudement comme j’aime, longuement, c’était bon, en attendant la suite que je devinais, que j’attendais.

Puis il s’occupa de mes fesses rebondies et ouvertes, il devait les trouver à son goût car il les tortura un long moment. Je sais qu’elles plaisent, rondes et fermes qu’elles sont. Pierre ne s’en privât pas et son sexe vertical se joignit à la fête encastré vertical serré entre mes deux rotondités. Je fus surprise à la première claque sur l’une d’elle, assez vive pour me surprendre. J’adore être fessée quand cela ne tourne pas à la torture, ce qui fut le cas. Je compris alors que mon Pierre avait bien lu mon attrait pour ces petits sévices, il connaissait donc mes autres pulsions et j’en fus fort aise, plus de simagrées entre nous désormais, nous allons pouvoir nous en donner à cœur joie.

J’étais bien cambrée en position de levrette, mes fesses épanouies, ma taille creusée, mes seins pantelants, prête à le recevoir. Mais quand je sentis son membre dans ma vulve, je me déchaînais, je redevenais chienne, j’amplifiais chacun de ses mouvements, mes gémissements devenaient des cris, je lui criais de me fesser en me baisant, ce qu’il fit pour mon plus grand plaisir, chaque petite tape sur une de mes fesses me faisait réagir par réflex ce qui permettait à sa verge d’aller plus profond en moi.

J’aurais pu craindre de le décevoir par mon déchaînement hystérique, le vexer ou même le surprendre. Pas du tout , Pierre avait l’air d’obtenir au contraire ce qu’il désirait de moi et dans de magnifiques coups de reins il m’arracha un orgasme comme jamais avant lui.

Epuisée par tant de plaisir si longtemps attendu, à demi inconsciente, je sentis qu’il fouraillait entre mes fesses, je sentis son gland se centrer à peine plus haut et sans un mot mais avec une douceur extrême il me prit par ce petit passage qui n’avait jusqu’alors été visité que par un seul homme, et qui depuis ce jour lointain n’avait, à par mes plugs et mes godes, reçu de visite. Cela m’avait beaucoup plu mais depuis aucun homme avant ce soir m’avait donnée suffisamment confiance pour retenter cette délicate pénétration.

Il entra en moi sans difficultés et ce fut lui qui se déchaîna, comme si pour lui c’était la première fois, comme s’il réalisait avec moi son fantasme le plus secret, le plus tenace. Le rythme des pénétrations devint endiablé presque bestial. En me sodomisant ainsi il me caressait tout mon corps ses deux mains passées sous moi, mes seins pétris, mes hanches caressées, mes fesses ouvertes. Il me prenait par la taille pour me faire aller et venir profondément en lui. A un moment une main entre mes cuisses il empaumât ma vulve, pétrissant mes lèvres et avec plusieurs doigts s’enlisa dans mon sexe tandis que d’autre tiraient sur mon clitoris bandé à l’extrême. Je ne pus résister à tous ses assauts si bien conduits et je fus foudroyée par un autre orgasme ; A ma grande satisfaction je sentis qu’il venait lui aussi , qu’il me rejoignait et au fond de moi je sentis qu’il se répandait en jets puissants qui remontèrent sous pression pour inonder mes fesses et nos ventres.

Nous nous écroulèrent encastrés l’un dans l’autre et je l’entendis dire comme s’il parlait à lui-même en aparté « Ce n’est pas possible, j’ai rêvé…..Elie !....ma chérie…..c’est bien toi ?....c’était irréel »

« Tu ne rêves pas mon Pierre…viens dans mes bras…..viens mon chéri….on a bien baisé…..çà fait du bien….J’étais bien avec toi…..tu as bien su me faire jouir…. »

Après de longues minutes à se cajoler, il finit par s’endormir. Je me levais, je pris mes affaires et mes vêtements et je partis en douce non sans avoir laissé sur la tablette de nuit ma carte de visite et déposé mon string sur son visage pour qu’il sente mes effluves intimes.

Sur le chemin qui me ramenait chez moi, je jubilais intérieurement. Mon corps comblé de caresses, pénétré longuement de toutes parts était satisfait, je ressentais un bien être oublié depuis plus de six mois. Aurais je trouvé l’amant idéal que j’avais cherché vainement jusqu’à cette nuit.

Je retrouvais mon appartement épuisée, comblée, rêveuse. J’aurai aimé garder sur moi l’odeur de Pierre dont j’étais imprégnée et qui me rappelait toutes ses étreintes. Mais je devais aller travailler, je suis agent immobilier, spécialisée dans les biens professionnels à l’international. Je fis une toilette complète, changeais de vêtement, m’équipais. Il était l’heure de partir.

Assise derrière mon bureau, je faisais mine de classer les affaires en cours, mais ma tête était ailleurs, j’étais avec Pierre et une étrange humidité inondait mon entre jambes lentement mais sûrement, je devais croiser mes cuisses pour presser et calmer ma chatte. Entre mes fesses je sentais le Plug qui me remplissait et dont je ne pouvais plus me passer, bien enfoncé, mon anus refermé sur lui.

Avec Pierre je sentais qu’il serait possible d’étancher les fantasmes qui torturaient mon esprit et mon corps insatisfait. Comment avait il pu deviner le feu qui me rongeait et si bien me faire jouir mêlant douceur et déchaînement, ma véritable et complexe nature d’ange et de démon. Allait- il deviner ? Oserai-je lui demander ce que j’attendais d’un amant parfait et lui avouer toutes les bizarreries dont je ne pouvais me passer pour jouir pleinement.

A midi j’avais fini ma journée et ma semaine et n’eut qu’une hâte, celle de rentrer chez moi pour dormir. Heureusement c’était à deux pas. En rentrant dans la salle de bain une odeur subtile imprégnée dans mes vêtements de la nuit me plongea dans une envie de douceur quasi incontrôlable. La salle de bain est ma pièce préférée, équipé d’un grand miroir, j’aime me regarder entièrement nue en train de m’exciter en me caressant avec des accessoires dont j’ai fait une belle collection.

Dans mon lit, je commençais à me caresser les seins, puis mon ventre, une chaleur montait déjà en moi, j’étais entre ouverte et je fis glisser mes doigts dans ma fente demandeuse et humide, de plus en plus vite, à un rythme fou. La jouissance fut rapide à venir, un orgasme violent, tout mon corps était tendu et quand le plaisir s’estompa je plongeais dans un sommeil doux et profond et quand j’ouvrais les yeux, c’était le matin. Je flemmardais un peu au lit quand on sonna à la porte.

D’un coup je pensais à Pierre et je me précipitais oubliant que j’étais en tenue légère à peine vêtue d’un string et d’une nuisette transparente. J’ouvris ma porte en grand……personne !..... Seul un petit carton recouvert d’un iris bleu posé sur le paillasson.

Une surprise ! Un cadeau ! C’était lui ! Un large sourire éclaircit mon visage tel un enfant. Je pris la petite boîte et fermais la porte d’un coup de pied tant j’avais hâte de découvrir le contenu. Assise sur le canapé j’ouvris…. un mot écrit d’une écriture soignée et très masculine, mes yeux n’allaient pas assez vite pour le lire :

« Douce beauté

Tu es partie tôt ce matin, laissant ta chaleur et ton parfum près de moi. Notre nuit a été douceur et violence. A tour de rôle nous nous sommes laissés aller pour contenter nos pulsions. Je ne pensais pas qu’une femme pouvait avoir comme moi le désir de réaliser ses fantasmes. Ta fougue, ta douceur, ton envie de jouir, ton expérience m’ont ouvert l’appétit et si tu es partante ma chérie, nous pouvons aller très loin dans les orgies du sexe.

Tu trouveras dans cette boîte un objet que j’ai choisi pour toi qui, si je ne me trompe pas sur toi, devrait te plaire. Si mon cadeau te touche tu sais où me trouver, je t’attends. Place le et viens je saurais l’utiliser et te donner plus que cette nuit Pierre

Sous l’emballage que j’arrachais je découvris trois boules de Geisha noires marbrées de bonne marque, bien rondes, lourdes et lisses, reliées entre elles et munies d’un cordon pour les retirer. Elles étaient un peu plus grosses que mon plug. Je n’en revenais pas de son audace, comment avait il deviné mon attrait pour ces choses là.

Mon excitation était au paroxysme, elle se propageait dans toute ma colonne vertébrale et irradiait ma tête et ma vulve. Il fallait que j’essaie cet accessoire dont je connaissais les effets par oui dire. Je filais dans ma chambre pour me changer avant de rejoindre Pierre. J’enlevais ma culotte et je m’accroupis devant l’armoire à glace. Une idée folle me saisit car au lieu d’installer les boules dans mon vagin comme il est d’usage, je les présentais à mon anus. Il était déjà ouvert habitué qu’il était à recevoir mon plug. Le contact froid de la première boule me fit frissonner de bonheur, elle entra sans difficulté, mon anus se refermant sur elle, la seconde aussi ; j’eus un peu de mal avec la troisième qui eut du mal à trouver sa place mais qui finit par entrer. La porte se referma sur elle, seul l’anneau en cordelette dépassait entre mes fesses.

Je m’habillais avec soin, string, jarretelles, soutien gorge assorti, robe moulante bleu nuit et c’est en me déplaçant, en bougeant, je sentis les premiers effets bénéfiques des boules. Elles se choquaient dans mon intimité et les billes qu’elles contenaient en roulant dans les sphères creuses les faisaient vibrer au moindre mouvement. J’aurais pu les expulser en poussant mais je m’efforçais au contraire de garder en moi cette sensation nouvelle et jouissive qui irradiait le plaisir jusque dans mes seins devenus durs.

Je détachais mes cheveux et sortis de chez moi. Le mouvement des boules dans mon fondement au rythme de ma démarche, leurs frottements entres elles et les parois de mon anus créait un plaisir permanent et j’étais au bord de l’orgasme en arrivant chez lui. Devant sa porte je refoulais pour plus tard mon énorme envie de jouir, il devait être aussi excité que moi car la porte s’ouvrit avant même que je sonne. Il était habillé d’un pantalon à pinces noires, d’une chemise de soie de la même couleur, il était si beau, si désirable !

Il me prit dans ses bras en me caressant le dos, glissa sa main sur la courbe de mes reins. La robe légère n’empêcha pas ses doigts de s’insérer entre mes fesses et d’appuyer sur mon anus, ce qui me fit frissonner. Il sentit la présence de son cadeau, il sourit et m’embrassa tendrement. Il m’invita à entrer, je le suivis dans son salon aménagé avec un goût extrême, il m’installa avec délicatesse sur le canapé et me servit une tequila sun rize. Assis côte à côte nous bavardèrent avant d’entrée dans le vif du sujet, sur le désir qui nous tenaillait tous les deux.

C’est Pierre qui en prit l’initiative en me parlant à voix basse au creux de mon oreille tout en me caressant et ponctuant ses phrases de baisers, de caresses dans mon cou, en frôlant mes seins tendus à l’extrême. Ainsi cajolée j’étais réceptive et par des serrements de mes cuisses je faisais jouer les boules dans mon ventre.

« Je suis heureux que tu sois là ma chérie, J’ai senti que tu avais utilisé mon cadeau, le fait que tu l’ai mis par l’arrière m’excite au plus haut point, cela me confirme que tu es comme moi libre d’esprit et amoureuse du sexe, sans tabous et je t’adore »

« Moi aussi chéri, je suis toute à toi aujourd’hui, fais de moi ce que tu veux, je sais que nous allons jouir, mais après c’est toi qui devra te plier à mes fantasmes ….tu verras… je pense que tu ne le regretteras pas »

«Tu es belle, tu m’inspires, j’aime tout de toi mais tes fesses particulièrement, ton choix me prouve l’importance qu’elles ont sur tes désirs, tu vas voir comme je vais les choyer pour ton plaisir…….et le mien »

« Mon Pierre ! Comment fais tu pour me cerner si intimement, oui j’aime jouir par là, tu as pu voir comme j’étais ouverte….j’aime me masturber l’anus avec des godes et souvent je laisse un plug qui me remplit d’aise une journée durant…alors si cela te plais ne te retiens plus»

« Tiens prends ce petit boîtier…..oui……appui sur la touche……. »

« Ahhhhhhh, c’est trop bon…….ah ouiiiiiiii…..Ce n’est pas possible… »

« Si c’est possible…..viens…..tu es mon esclave…. »

Je sentais la vibration des boules en moi , elles s’entrechoquaient, les billes à l’intérieur s’affolaient , c’était comme un crépitement qui se répercutait dans tout mon ventre et d’un coup je m’inondais. Sensation encore inconnue pour moi je la laissais m’envahir.

En souriant, heureux du plaisir qu’il me donnait il m’entraîna dans sa chambre où nos avions tant joui quelques heures auparavant. Il me plaça debout dos au grand miroir de l’armoire et avec un foulard il me noua les poignets en arrière, il me releva ma robe la coinçant à la taille à la limite de mon entre jambes dévoilant mes cuisses, mon string , mes jarretelles ; tout cela avec la plus grande délicatesse. Au travers de ma robe on pouvait voir mes mamelons tendus à l’extrême tant mes seins étaient gros et durs.

Il arrêta pour un temps la vibration des boules, il se recula pour mieux me regarder, il semblait fasciné. Il me fit avancer, il pu ainsi voir dans le miroir, mon dos, mes fesses écartées par la bande de tissu de mon string. Il commença ses caresses du bout des doigts, sur ma cambrure, sur le dessin de mes fesses, il me prit les seins, caressa mon ventre. J’ondulais pour suivre ses mains.

Il passa derrière moi et s’avança, son bassin en appui sur mes fesses faisant bouger les boules ce qui m’arracha un cri. Tandis qu’il ondulait il saisi mes seins à pleine mains et me les pétrit lentement mais fermement. Il les relevait en les serrant dans ses mains et les laissait retomber lourdement avant de les reprendre et de recommencer. Je pouvais jouir par les seins, comment le savait- il ce diable de Pierre. Quand il me pinça mes tétons je ne pus cacher mon plaisir et mes gémissements l’encouragèrent à poursuivre.

Mes mains prisonnières dans mon dos auraient pu lui pétrir son membre que je sentais puissant au travers de son pantalon, mais je jouais le jeu attendant qu’il me demande de m’occuper de lui. Une de ses mains délaissant ma poitrine descendit s’attardant sur mon nombril, sur mon ventre, avant que, paume en l’air elle s’insère entre mes cuisses faisant aller et venir ses doigts sur mon string à hauteur de ma fente et de mon clitoris.

J’étais inondée, il le sentait en faisant jouer mes grosses lèvres l’une sur l’autre en d’onctueux glissements, comme fou il m’arracha mon string , je n’en pouvais plus et je sentis plus nettement son membre chaud gonflé dans son pantalon qui se vautrait entre mes fesses nues appuyant sur mon anus rempli.

Sa main me pétrissait le sexe, j’avais écarté mes cuisses pour lui ouvrir le passage, ne sachant si je devais avancer le bassin pour qu’il me pénètre ou m’appuyer plus encore en tortillant des fesses sur son membre. Je m’abandonnais à son vouloir, j’étais sa chose, c’était convenu entre nous.

Son bras sur mon ventre je me sentis soulevée et me retrouvais à genoux sur le lit, les fesses contre lui toujours soudé à moi face au miroir légèrement de biais. Je me voyais nue jusqu’à la taille, les jarretelles zébrant mes fesses écartelées et mon Pierre souriant se régalant de moi. Je me trouvais excitante et le tableau m’excita davantage encore. D’autant que mon amant ouvrant mon corsage dévoila mes seins qui dodelinaient sous les assauts de son ventre.

Je sentis qu’il se reculait en s’agenouillant derrière moi. Dans le miroir je le vis s’avancer, se pencher sur moi, ses mains écartant mes fesses et je sentis sa langue tourner autour de mon petit cratère. Surprise et prise de spasmes je me penchais en avant posant ma tête sur le lit lui offrant ma raie bien dégagée.

Alors la danse infernale commença ; il me lécha et me mangea l’anus en tirant sur la boucle. Il faisait mine de sortir la première boule en l’amenant vers la sortie, je pouvais voir mon anus se retrousser en s’entrouvrant. Mais Pierre relâchait la tension sur la cordelette et la boule replongeait dans mon fondement, mes muscles annulaires se refermant avant qu’à chaque tension ils se dilatent à nouveau.

Pierre s’était assis à côté de moi et tout en me titillant l’ anus il avait passé sa main gauche par-dessous entre mes cuisses et pris ma vulve qu’il malaxait de concert. Quand il remit les vibrations en route ce fut cataclysmique, j’ hurlais car avec sa langue il faisait le tour de mon petit volcan très sensible. Il m’inondait de sa salive et je sentais la boule aller et venir onctueusement en moi. D’une poussée j’aurai pu éjecter la boule jouissive mais je laissais faire mon amant si inventif.

J’avais une envie folle qu’il me prenne maintenant, dans ma vulve ou entre mes fesses quand il fit sortir la première boule, je ne pus m’empêcher de crier mon plaisir quand sa langue entière me fourra l’anus grand ouvert. Jamais je n’avais eu cette sensation de plénitude d’autant que dans le même temps mon sexe était investi par ses doigts. Je me sentais pleine.

Je le vis se dévêtir lentement devant moi, il s’était mis à genoux sur le lit devant moi et j’en profitais pour le caresser en le regardant amoureusement, son torse bombé ses cuisses fermes et cela me donnait faim de lui. Il s’avança vers moi, mon visage à hauteur de son boxer. Comme moi il était excité et il se caressait la verge sous mon nez. Ses doigts courraient le long de son membre dur, tendu, énorme sous son slip, j’en salivais à l’avance et quand il le quitta faisant jaillir son membre je fus hypnotisée et ravie de la revoir.

Il posa son gland sur mes lèvres et bien sur j’ouvris ma bouche entourant de mes lèvres sa verge décalottée et l’enduisit de salive translucide. D’une poussée il entra en moi lentement jusqu’à ce qu’elle butte au fond de ma gorge. Pierre me prit par les cheveux et me fit aller et venir sur son membre allant de plus en plus loin, de plus en plus vite. Sa verge était si bonne, si douce, si ferme, si grosse ; son goût, son odeur si appétissante que je fis gorge profonde sans problème car je la voulais si fort. Je le fis gémir, je voulais le faire jouir dans ma bouche mais il se retira et murmura

« Je vais te prendre maintenant comme jamais…. »

Ces mots, cette promesse me firent trembler de désir, il sortit du lit, se plaça debout derrière moi, j’étais en position de levrette, les fesses en l’air, cuisses ouvertes, prête, que dis je impatiente de l’accueillir. Il délia mes poignets , me prit aux épaules et se présenta fermement contre mes lèvres intimes et empala sur moi sa verge gonflée au possible. Ce fut comme une traînée de feu car j’étais serrée, j’étais pleine, les boules bien calées dans mon rectum, c’était bon, je montrais mon plaisir en gémissant à la cadence de ses allers et venues en moi.

Quand mes plaintes, mes gémissements devenaient des cris il ralentissait la cadence pour faire durer notre plaisir. Dans le miroir j’étais fascinée par le mouvement de ses fesses, les plus belles qu’il m’eut été données de voir en action, je voyais ma croupe se tortiller sous lui et mes seins sauter à chaque coup de boutoir. De temps à autre il sortait son membre et je pouvais voir la source de mon plaisir, luisant de ma mouille, le gland énorme qui replongeait en moi bien à fond en me soulevant, ses mains sous mes cuisses.

Tout en continuant notre jeu je compris qu’il s’occupait aussi de mon anus, Il retira la deuxième boule comme la première en la sortant à moitié, ses yeux fixés sur mon cloaque s’ouvrant et se fermant spasmodiquement, mais quand il l’arracha de mon fondement retroussé j’hurlai comme une bête tant grande était la sensation. Je sentais mon anus grand ouvert avant qu’il ne se referme. Sa verge entretenait mon plaisir en s’agitant en moi et il recommença avec la troisième boule, celle qui vibrait comme une folle et là je crus perdre connaissance de bonheur, une grande chaleur envahit tout mon être, je tremblais, je suffoquais, pourtant j’étais au paradis avec un démon.

Mais je n’étais pas au bout du plaisir Pierre se retira de ma vulve et avant que le me referme il pénétra le trou béant laissé par la sortie des boules de geisha. Je ne pensais pas à cet instant que je pourrais encore jouir tellement j’étais aux anges. Pierre commença à s’agiter entre mes fesses à un rythme infernal, je criais, me tortillais, me cambrais pour ressentir un maximum de plaisir. Je devins folle quand tout en continuant de me sodomiser, je sentis qu’il fouraillais dans ma vulve et qu’il entrait dans mon vagin la troisième boule ses vibrations à fond. Alors là l’orgasme me submergea et je m’agitais en tous sens, j’eu la fierté de le sentir jouir au fond de moi tout au fond, il criait son plaisir lui aussi le visage crispé par la jouissance et je sentis sa semence couler le long de mes cuisses. J’étais aux anges, détendue après le plaisir, il restait en moi et il m’embrassa avec beaucoup de tendresse comme j’aime. Je me lovais contre lui et comme la veille nous nous endormirent ensemble.

Je me réveillais quelques heures plus tard, Pierre était profondément endormi je remis de l’ordre dans ma tenue et je vis un mot sur la table de nuit

« Ma belle, tel un rêve tu ne seras plus là à mon réveil, mais avant de partir note moi tes désirs sur ce papier et je les réaliserai demain soir pour toi

Merci pour ce moment divin,

Pierre, »

Je lui griffonnai mon fantasme et parti sans faire de bruit mais heureuse

J’imaginais sa stupéfaction quand au matin il lirait ce que j’avais eu l’audace de lui écrire. Oui j’avais osé lui demander ce qui me hantait depuis toujours. Si je ne l’avouais pas à mon Pierre à qui le ferais-je ? Il existait une telle connivence entre nous deux que tout me semblait possible.

J’attendais son appel téléphonique avec une certaine appréhension toutefois, mais quand j’ai entendu sa voix j’ai senti immédiatement qu’il allait tout faire pour satisfaire mes hallucinantes envies.

Comme convenu il se présenta chez moi à la nuit tombée. J’habite une magnifique villa de plein pied dans un lotissement huppé, avec patio, piscine, bar. Il faisait chaud et je lui proposais de prendre un bain rafraîchissant dans l’eau tiède du bassin.

Nous étions nus tous les deux dans l’eau claire dans la piscine installée dans le patio. Dans la lumière diffuse Pierre était magnifique et j’attendais le moment il me prendrait dans ses bras. Je savais que nous n’étions pas seuls car si la végétation qui isole le patio du voisinage est dense, je savais que le voisin avait aménagé quelques trouées discrètes qui lui permettait de me mater en douce et c’était un de mes fantasmes de faire baver d’envie ce vicieux qui en vain me faisait des avances.

Après quelques longueurs de bassin j’attirais Pierre debout dans un angle. Nos corps en apesanteur glissaient l’un contre l’autre. Je relevais mes cuisses et les serrais autours de sa taille. Position idéale pour me faire pénétrer. Je sentis son gland qui se centrait sur moi, il eut un peu de mal à entrer mais dés qu’il trouva mon humidité qui inondait mon intimité tout alla pour le mieux et ses mains furent libres pour caresser mes seins et mes fesses.

Pierre debout ne bougeait pas mais ses mains passées sous mes fesses me faisaient aller et venir sur sa verge qui me remplissait. Vive Archimède, j’étais légère, les vas et viens onctueux dans ma vulve, j’aurais pu jouir en silence mais pour exciter le voisin dont je devinais l’ombre derrière la haie je poussais des gémissements assez forts pour qu’il m’entende. Il en fut autrement quand l’amplitude des pénétrations fit que la verge de Pierre sortit de ma vulve béante, l’eau l’envahissait et une sensation nouvelle me fit hurler à chaque pénétration, un jet puissant d’eau expulsée me ramonait le vagin me faisant jouir d’une façon intense, inconnue et là mes cris n’étaient pas feints pour le plus grand plaisir de Pierre. Le voisin devait se masturber de jalousie.

Après nous être séchés je servis des consommations à base de fruits et toujours nue je m’asseyais sur ma balançoire. Au lieu d’être une planche le siège était une large bande de cuir souple et mince beaucoup plus confortable qui épousait bien la rondeur de mes fesses, on y était bien assise. Pierre face à moi me regardais amusé une lueur dans les yeux. Je crus comprendre ses intentions et j’écartais mes cuisses. Je ne m’étais pas trompée car il s’avança entre mes jambes.

Alors commença un ballet étrange et jouissif, me prenant par la taille il m’attira vers lui, vers son ventre, vers son sexe dressé énorme horizontal ; il était à bonne hauteur. Comme dans la piscine nous étions débarrassés de la pesanteur, mon corps libre loin de toutes assises encombrantes, il flottait prêt aux assauts que j’avais suggérés dans mon pensum ce matin.

Je sentis le bout de la verge entre mes lèvres intimes et son avancée pour me pénétrer, la balançoire recula en s’inclinant. Pierre poussait toujours, la pression devenait plus forte sur ma vulve, j’attendais et cela arriva je m’ouvris d’un coup et attirée irrésistiblement je m’empalais sur le membre vigoureux bien à fond. Je sentis le choc au fond de moi, j’étais pleine de lui et je m’inondais.

Alors ce fut fantastique, mon plaisir allant au delà de mes espérances. Pierre super inventif se recula légèrement sortant son membre, la balançoire commença à osciller avec une faible amplitude, suffisante toutefois pour faire aller et venir sa hampe en moi sans sortir de mon conduit.

Que c’était bon, je me penchais en arrière en écartant largement mes cuisses pour bien le recevoir. Il ne me fallut pas longtemps de ce régime pour jouir en râlant mais quand mon Pierre pressant son ventre sur le mien augmenta l’amplitude des oscillations ce fut autre chose car cette fois sa verge sortait et quand je redescendais vers lui c’était comme un choc qui m’écartelait. Le gland devait trouver son chemin et cet instant n’était pas le moins jouissif.

Pierre m’avait saisi par les jambes et c’est lui qui était à la manœuvre maintenant, m’attirant et me repoussant avec de plus en plus de violence, son ventre frappait le mien et ses testicules fouettaient la raie de mes fesses ; il me défonçait littéralement comme j’aime et l’orgasme me saisit et je plongeais inconsciente dans le plaisir suprême où plus rien ne compte ni le temps, ni le respect humain. Pierre scrutait mon visage torturé par la jouissance et il s’activa tout le temps jusqu’au moment où je retrouvais mes esprits.

Alors éberluée, encore abasourdie de plaisir, je l’entendis me dire de me retourner, je n’osais comprendre mais je le fis, allongée maintenant sur le ventre sur le cuir souple. Je me sentis reprise par les cuisses ouvertes, attirée irrésistiblement et la ronde recommença pas moins jouissive mais cette fois sa grosse verge s’empalait sur mon fondement, sur mon petit trou si sensible.

Pierre penché sur moi, les mains sur mes hanches, sur mon dos, sur mes seins me repoussait et m’attirait vers lui, il fixait mes fesses ; il les malaxait en les écartelant et le gland trouvait son chemin dans mon anus largement ouvert. Alors commença une fessée comme je les aime, légers claquements sur mes fesses, qui me faisaient me resserrer sur sa verge comme pour la broyer .

Je compris que lui aussi était au bord de la rupture, qu’il allait me rejoindre, qu’il allait jouir sans retenue m’ayant donné tout le plaisir que j’attendais. Je sentis une chaleur, une douceur m’envahir et gicler et inonder mes fesses. Quand il se retira je crus qu’il allait tomber, il était tout pâle et semblait épuisé.

Je le fis s’assoir le couvrant de baisers, cela le réconforta et son joli sourire refis surface, il me rendit mes baisers en me caressant. Que j’étais bien tombé avec lui, je crois que j’étais amoureuse.

Comme il avait retrouvé tout son tonus je lui demandais s’il avait trouvé un partenaire inexpérimenté qui se joindrait à nous comme je lui avais demandé ce matin dans mon petit mot.

Pierre me répondit que oui qu’il connaissait un bon camarade de la fac très gentil qui vivait seul et qui n’avait pas dit non à cette invitation un peu spéciale, il n’était pas puceau mais avait avoué avoir très peu d’expérience. Comme je trouvais cela parfait, Pierre passa un coup de fil : il sera là dans une demie heure, Je fais çà pour toi ma chérie ; mais je sentis qu’il aurait mieux aimé me garder pour lui tout seul.

Nous eurent le temps de nous habiller et je mis le paquet, dessous affriolants, porte jarretelles, culotte bouffante, je me maquillais et me recoiffais. Je voulais être à mon avantage pour vivre un de mes fantasmes les plus tenaces, me faire baiser par deux hommes, mon amant et un inconnu, inexpérimenté de préférence.

Le fameux copain Yvan n’était pas trop mal, il était tout intimidé, surpris de la situation. Pierre l’installa à ma droite sur la banquette du patio, Je lui pris la main et je l’insérais sous mon corsage, Yvan était comme paralysé ne sachant que faire. Je fis glisser la fermeture éclair de sa braguette, impatiente de voir son sexe, je n’eus aucun mal à le sortir tant il était ratatiné par l’anxiété, mais quand à genoux devant lui je le pris dans ma bouche comme j’aime le faire petit à petit je le vis se dresser, grossir, avec une de mes main je fis en sorte de décalotter son gland et avec l’autre je pris ses parties par-dessous.

Yvan commençait à se dégourdir, il gémissait les yeux dans le vague et se fut pire quand Pierre me demanda de lui lécher les roubignoles tout en le branlant, je me penchais sur Yvan lui écartant ses cuisses et ouvrant ma bouche grande je gobais ses testicules une après l’autre en aspirant. A cet instant je pensais au voisin qui devait se pâmer.

J’aurai pu faire jouir mon amant d’un soir mais je le voulais en moi pour voir, je me levais, retirais son pantalon et son slip et je l’enfourchais assise sur lui, face à lui. Pierre du nous aider car j’avais toujours ma culotte. Il passa derrière nous, je sentis qu’il prenait le membre d’Yvan, il écarta la bande de tissu qui masquait mon sexe et je n’eus plus qu’à m’asseoir en descendant doucement.

Pierre nous observait il voyait mon plaisir et celui d’Yvan qui s’agitait sur moi. Il me retira mon corsage, fit éclater mes seins en ôtant mon soutien gorge, il les prit par-dessous et en les resserrant. Yvan compris qu’il pouvait me peloter en me suçant les pointes et il ne s’en priva pas. J’étais excitée, le plaisir irradiait tout mon ventre, j’allais jouir quand Je vis Pierre nu derrière nous, il me pencha en avant, j’étais couchée sur Yvan qui avait du s’allonger, je sentis une fraîcheur sur mes fesses écartelées mon froc baissé.

Alors ce dont j’avais toujours rêvé arriva je sentis avec délice la verge de mon amant pénétrer mon fondement et d’un coup je fus pleine par devant et par derrière et j’avoue que la sensation était violente d’autant que Pierre me prenait à la hussarde on aurait dit qu’il voulait me faire mal. S’il avait su le bien que cela me faisait il m’aurait sodomisée plus fort encore.

Nous jouirent tous les trois ensemble en inondant tout. Nous restèrent longuement les uns dans les autres jusqu’au retour du calme. Alors il se passa une chose extraordinaire que je n’oublierais jamais. Pierre ordonna à Yvan de me mettre nue, ce qu’il fit avec délicatesse et sortant de je ne sais d’où ce que je reconnu comme un sexe culotte à l’usage des femmes et il pria son copain de me l’affubler.

Pierre l’aida, je sentis un sexe dans ma vulve et puis on me culotta en me laçant dans le dos avec deux bandes de plastique passées dans ma raie des fesses, j’étais harnachée, interdite, stupéfaite, ma vulve pleine avec dressée sur mon ventre une verge énorme très réaliste, un gland monstrueux décalotté. Pierre ordonna à Yvan de me sucer, il en avait plein la bouche le pauvre mais il avait l’air d’aimer cela. Inutile de dire que mise à part mon excitation je ne ressentais rien.

Il en fut autrement quand Pierre m’écarta les fesses et me pénétra l’anus avec ses doigts. Mais la fête ne faisait que commencer. On me fit passer derrière Yvan installé en levrette sur le canapé et là je compris le rôle que j’allais jouer, le rêve de possession de toute femme, je m’avançais et précautionneusement je me présentais à l’entrée. Pierre avait du prévenir Yvan car au lieu de se révolter avec ses mains il ouvrait ses fesses.

Pierre enduisit ma verge postiche et son derrière d’une sorte de lubrifiant et prenant l’engin à pleine main j’entrais sans mal en lui. Alors là j’eus une sensation car à chacune de mes pénétrations le sexe qui était en moi s’enfonçait pour mon plus grand plaisir. J’étais bien dans cette situation hors norme mais quand Pierre derrière moi me releva une jambe et me posa mon pied sur la couche, ouverte, offerte je senti son membre énorme forcer les muscles annulaires de mon anus, ce fut de la folie.

Pour contenter Yvan j’avais passé une main par devant et je lui fis une branlette en règle. Nous jouirent encore une fois ensemble mais épuisés nous nous écroulèrent les uns sur les autres.

Nous entendirent alors un grand cri et au travers de la haie, en ombres chinoises nous virent s’enfuir le voisin, nu lui aussi, excité qu’il était de ne rien avoir perdu du spectacle il devait rejoindre sa femme pour la baiser. Il me tarde de croiser son regard à notre prochaine rencontre.

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Histoire de elie

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Commentaires du récit : Boules de Geisha

Le 09/06/2011 - 14:22 par Alex_83
Ayant peu d'expérience, ton histoire a reussi a me laisser quelques traces dans mon caleçon..
Le 04/08/2010 - 11:35 par elie
Mon cher Matth, oui je travail sur une nouvelle histoire, merci pour ton commentaire, et tes mails, tu la trouvera tkt tendrement
Le 04/08/2010 - 11:33 par elie
mysterjuju!! merci pour ton commentaire, c'est tous mimi, ca me touche bcp, et je suis ravie de t'avoir charmée!
Le 04/08/2010 - 08:26 par Matth
je reve secretement d'etre ce Pierre qui te fait tan vibré, etre celui qui partage tes fantsmes et tes jeux les plus sensuelle, ou est mon Elie? tu as d'autre histoire? ........
Le 03/08/2010 - 15:17 par mysterjuju
j'avou de toutes les histoires du site celle ci est ma favorite!!!! je suis sous le charme !!! fait nous encor rêver, ma belle !!!!!
Le 06/07/2010 - 09:13 par elie
Mille merci Pierre, ravie que ca est tan plus !!! Faite moi par de vos impressions Merci
Le 23/06/2010 - 16:15 par Pierre le Grand
Quelle belle histoire ! L’intérêt ne faiblit pas du début à la fin en apothéose où tu réalises enfin ton fantasme suprême, être prise par deux hommes : ton amant et cet Yvan inexpérimenté que tu vas posséder sous les yeux exorbités de ton vicieux voyeur de voisin caché sous la futaie de ton patio. Ne parlons pas des boules de Geisha si jouissives……

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