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Elle se fait jouir toute seule

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Lue : 73106 fois - Commentaire(s) : 6 - Histoire postée le 02/11/2010

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Elle se fait Jouir toute seule
Elle me regarde distraitement, elle est à genoux sur le satin bleu de son grand lit ; c’est une jeune femme blonde, élancée, aux yeux gris bleus elle est charmante, elle est très légèrement vêtue, un top rose soutenu par de fines et longues bretelles, une jupette en satin, noire, plissée, extra courte. Elle se caresse la poitrine sur son top une main sur chaque sein, elle les prend par-dessous pour les remonter, les presser. Elle fait glisser une bretelle pour dénuder son sein gauche, joli, bien rond, ferme, le téton bien formé, un doux sourire orne son visage.

Elle s’allonge, buste relevé, la tête calée sur ses oreillers, la jupette retroussée ne cache plus rien de ses jambes et je devine la raie de ses fesses. En écartant ses cuisses, les pieds joints elle relève franchement sa mini jupe découvrant le devant de son string. De sa main gauche elle écarte la mince bande de tissu fantaisie, découvrant sa chatte ; elle entre-ouvre ses grosses lèvres qu’elle fouille avec les doigts de sa main droite, elle se caresse le capuchon du clitoris. Les doigts de sa main gauche participent aussi à ses caresses. Elle me regarde un sourire indéfinissable aux lèvres.

Elle parfait sa position jouissive, les mains se séparent pour mieux se retrouver dans son intimité, sa main droite est passée par-dessous sa cuisse relevée s’insère entre ses fesses par l’arrière, le bout de deux de ses doigts à l’entrée de sa vulve s’agitent insidieusement tandis qu’un doigt de sa main gauche va et viens dans la raie de sa chatte en grattant son clito au passage. Le string écarté, calé dans le sillon qui sépare la grosse lèvre et la cuisse laisse le champ libre à ses caresses intimes.

Elle ferme ses yeux, elle est bien, cela se voit, sa tête en arrière dodeline et un sourire nait sur ses lèvres. Ecartelée elle est complètement offerte à ses deux mains, à ces doigts qui la frôlent, qui la fouillent longuement, délicatement. Son bassin ondule, elle soulève ses fesses, son corps se cambre pour mieux s’offrir, son regard fixe ses mains entre ses cuisses. Elle s’agite de plus en plus, le plaisir est là, il monte, les doigts dans sa chatte s’affolent s’enfoncent un peu plus et masturbent l’entrée de son sexe. Par devant, entre le pouce et l’index le clitoris gaillard, bandé, est pincé, tiraillé, torturé sans ménagement.

Et cela dure ; tout son corps, ondule, frémit, se tend, elle me regarde mais son regard est ailleurs, son visage se crispe et d’un coup dans un souffle, c’est la première contraction, le premier serrement nerveux de ses cuisses, une brusque avancée de son ventre, le premier cri rauque de plaisir, ses fesses se soulèvent. C’est fulgurant presque inquiétant. Seule dans son monde elle entretient sa jouissance par ses caresses intimes, jouissance continue ponctuée de plus en plus rapidement par ces sursauts de jouissance extrême qui tétanisent tout son corps avant entre chaque orgasme de le laisser pantelant. Elle jouit ainsi cinq ou six fois je n’ai pas compté tant je suis fasciné par l’araignée de ses doigts sur sa chatte et par son corps offert.

Détendue après la tempête de ses sens elle se redresse, se met à genoux en se retournant, elle me sourit en faisant glisser sa jupe sur ses hanches, sur ses cuisses. Je vois ses fesses ouvertes, la ficelle de son string dans sa raie entre ses deux merveilleuses rotondités. Juste le temps d’admirer sa croupe admirable car elle s’assoit de nouveau face à moi, la jupette disparaît jetée dans la travée du lit. Elle dénude ses seins en faisant glisser sa bretelle droite, le top en chiffon autour de sa taille. J’admire sa poitrine, ses seins bien ronds, fermes et lisses, bien écartés, les bouts auréolés avec de petits tétons bien formés.

Elle reprend ses caresses en regardant ses mains sur sa chatte imberbe, elle fouille sa raie rose entre ses grosses lèvres mais elle semble décidée à mieux s’installer. Elle prend son string à deux mains par la ceinture, elle le glisse sur ses cuisses en soulevant ses fesses, le fait glisser sur ses jambes jointes, relevées, le quitte et le jette. Spectacle délicieux pour moi que ses cuisses jointes, levées, ses fesses serrées sur la grosse mangue fendue de sa chatte.

Assise sur le lit, nue mis à part son top rose qui ceinture sa taille, elle se masse, une main sur chaque sein nu, elle les prend par-dessous, les soulève, les rapproche, les étire; elle pince ses tétons ; cela semble agréable car, tête relevée, elle ferme les yeux en continuant de se peloter durement, elle malmène ses seins en les tirant, en les allongeant en les rapprochant serrés l’un contre l’autre ; elle les serre, les agite, les remonte, elle commence à gémir .

Elle s’allonge, seule sa main droite reste à pétrir son sein, la main gauche par devant rejoint sa chatte. Elle est ouverte à nouveau, ses mains s’activent mais ce ne sont plus des caresses car elle maltraite à plaisir sa poitrine et son sexe. Sa main gauche grande ouverte s’affole sur les lèvres de sa vulve les doigts sur son capuchon elle va chercher son petit sexe qui pointe, elle va et viens rudement dans sa raie en la brutalisant, de plus en plus fort, de plus en plus vite au fur et à mesure de la montée du plaisir. Tout son corps est animé de soubresauts, elle se cambre en remontant ses fesses, elle ouvre et referme ses cuisses spasmodiquement, elle me regarde mais son regard est fuyant, dans le monde du plaisir avec des flashs fulgurants, rapprochés, son corps se tord comme saisi par des décharges électriques qui la font hurler, elle serre ses cuisses sur cette main qui fouille son intimité, elle allonge la pointe de son sein en pinçant son téton. Au bout d’un moment de plaisir intense et interminable elle s’écroule, haletante, le souffle court, son visage redevient calme, détendu, elle me voit et me sourit, heureuse.

Je la sens déterminée, je sens que cela ne fait que commencer, elle semble connaître le chemin, le scénario bien rodé qui la mènera au bout de son plaisir. Elle s’est rassise sur le lit et d’un geste quitte son top, le dernier rempart de son corps. Elle est nue, sans entrave, elle est belle, longiligne, racée ; je vois son ventre pour la première fois, son nombril orné d’un diamant.

Je vois dans sa main un tube, elle le presse et une sorte de crème blanche, onctueuse tombe en grosses gouttes sur ses seins, elle en met une bonne quantité avant de reposer le tube après l’avoir rebouché soigneusement. Elle prend son temps, elle a le temps, contrairement à moi elle connaît son chemin. A deux mains, symétriquement elle étale la crème sur ses seins en les caressant, ses mains glissent onctueusement sur son buste, elle prend du plaisir. Durant un long moment elle ne s’occupe que de ses seins en caresses enveloppantes, elle gémit en fermant les yeux, ses seins sont souples sous ses mains, sous ses doigts qui pincent les pointes, les étirent les remontent. Son souffle est court elle fait partie de celles qui ont une poitrine sensible et qui peuvent jouir par les seins. Tout son corps ondule, ses cuisses s’ouvrent et se ferment nerveusement.

Avec sa main droite elle oint tout son corps, son ventre, l’intérieur de ses cuisses ouvertes, sa chatte enfin où elle laisse folâtrer ses doigts. Tout est réuni pour jouir comme un instant plus tôt sauf qu’avec la crème les caresses sont plus douces, plus intimes, plus jouissives et cela ne manque pas d’arriver, la tête en arrière elle jouit en gémissant sa main droite reste sur son sein mais la gauche va et viens sur son corps descend sur son ventre les doigts qui bougent, bien à plat, sur sa vulve mais remonte aussi sur sa poitrine pour avec l’autre main pétrir longuement et vigoureusement ses adorables volumes. Le plaisir est là entre ses seins pétris mais aussi entre les lèvres de sa chatte par instants délaissée. Ses fesses s’agitent, son bassin ondule, ses cuisses s’écartent et je vois bailler sa vulve découvrant son clitoris bandé. L’orgasme se déclenche à nouveau puissant ravageur tout son corps se tends plusieurs fois, ses gémissements deviennent des cris.

Le calme revient mais le plaisir est toujours là, moins fort mais dans tout son corps, les caresses de ses deux mains par devant continuent pour maintenir ce simple plaisir, sur ses seins sur son ventre, sur l’intérieur de ses cuisses ouvertes. Elles se séparent la gauche reste en place, le bout de ses doigts entre ses lèvres, la droite retrouve sa meilleure place la plus pratique pour se caresser ; elle passe à nouveau sous sa cuisse relevée et prend à revers la raie de ses fesses remonte son cours de l’anus vers sa chatte où elle enlise le majeur et l’index. Alors tout est de nouveau en place pour la montée de la jouissance, c’est la main gauche qui fait le gros du travail, tous les doigts participent en s’agitant, en écartelant les grosses lèvres en les déformant par d’énergiques circonvolutions, en grattant le bourgeon de son clito imposant gorgé de sang.

Elle se recouche sur le dos, tout son corps ondule et se cambre, yeux fermés, bouche ouverte et cela arrive elle est comme électrocutée ses cuisses s’ouvrent et se ferment sur ses mains, en appui sur ses deux pied ses fesses se relèvent quand elle se fourre la chatte les deux doigts enfoncés jusqu’à la garde. La main gauche devient folle allant de la chatte sur ses seins sur son ventre avant de revenir au centre de son orgasme, sur son clito sorti de son antre.

La cadence monte les vas et viens s’accélèrent les grosses lèvres s’ouvrent le clitoris bande, le corps s’agite en tout sens. Je suis maintenant habitué et troublé par ses fulgurances qui la transportent l’espace d’un instant dans son monde où plus rien ne compte mis à part son plaisir. Elle seule sans doute peut se faire jouir ainsi, si souvent, si fort entre des accalmies où tout son corps irradié attend, réclame de nouveaux voyages vers le plaisir suprême des orgasmes.

C’est le cas maintenant, elle me regarde dans les yeux, sans honte, elle semble heureuse de m’avoir pour témoin passif. Je l’admire sans mot dire, elle est belle, désirable, me demandant si je pourrais la faire jouir autant. Mais elle fouille sous son oreiller, elle est assise et sort un gode de bonne dimension, cylindrique, légèrement arqué, violet, très long, un gland bien formé mais pas plus gros que la hampe, il n’est pas lisse mais comme veiné, sa texture est douce, ferme mais malléable, à sa base la molette qui permet de le faire vibrer. Un léger sourire à mon attention quand sa main gauche le porte à sa bouche et que sa langue tourne autour du gland comme autour d’un vrai pénis.

Il est temps de vous expliquer pourquoi je suis là. Je l’ai rencontrée dans un de ces magasins chics, à la mode où l’on ne se cache pas d’offrir à une clientèle huppée les objets les plus variés, les plus osés, les plus curieux, pour pigmenter les débats amoureux. Et justement elle avait en main ce gode violacé. Comme je la regardais, nullement gênée, d’un air de défi en plantant son regard dans le mien elle me dit son plaisir d’utiliser seule ces sexes infatigables qui sous ses mains devenaient ses esclaves stylés pour son plus grand plaisir. Elle accepta de prendre un verre et au cours de la conversation me proposa de voir ce qu’elle en faisait sous la condition express de rester absolument passif……..

Nous y étions, la bouche en cul de poule elle engame l’extrémité du gode et là elle me regarde, scrute mon émotion, un sourire aux lèvres, un sourire d’ange. Sa langue rose continue d’affoler le gland comme on aime tant, elle l’enduit de sa salive nacrée elle le tient par la hampe et le descend maintenant entre ses seins, le gland lubrifié sur sa peau puis sur son ventre avant de le positionner, inséré entre les lèvres de sa chatte qu’elle lime, le long cylindre encastré dans sa raie ouverte. Les vas et viens semblent jouissifs, elle connaît semble t’il le pouvoir de cette bite factice mais oh combien docile à ses fantasmes, elle redresse la verge, la centre maintenant sur son vagin et sans tergiverser l’enfonce d’un coup dans sa vulve. D’un geste elle met en route la vibration et dans le silence de la pièce on entend le titillement de l’ogive.

Par commodité, par habitude aussi sans doute sa main droite est passée de nouveau par dessous sa cuisse relevée, saisit à revers l’engin planté en elle. Elle est ouverte cuisses écartées, le branlage commence et cela lui fait de l’effet car son souffle devient court, elle commence à gémir et à s’agiter, la chatte arrondie sur la hampe les grosses lèvres déformées ouvertes, le bourgeon du clitoris érecté. La cadence augmente, la profondeur des pénétrations aussi, le plaisir monte des profondeurs de son ventre, sa main gauche caresse son clito et ses seins pour compléter la sensation jouissive, son corps commence à bouger, à se tendre, le bassin ondule, les fesses se décollent du satin de sa couche. De temps en temps le gode change de main pour mieux se branler par devant, l’orgasme éclate et d’un coup la submerge, elle crie son plaisir, les cuisses se relèvent se serrent sur l’engin en furie qui à chaque pulsion s’enfonce de toute sa longueur dans le vagin en d’énormes amplitudes.

Retour au calme en continuant un branlage plus raisonnable plus lent, moins profond mais délicieux malgré tout. Alors tout en gardant le gode dans sa chatte elle se redresse se tourne, à genoux me présentant son dos et ses fesses, son tatouage aussi, ses seins pantelants je vois sa main gauche passée sous son ventre entre ses fesses écartelées sur l’extrémité du gode emmanché, elle se penche la tête sur l’oreiller la tête tournée vers moi ; son regard me transperce et la danse hallucinante commence je ne perd rien des pénétrations profondes qui arrondissent sa chatte, la jouissance est là à nouveau plus intense, plus durable et quand la cadence augmente elle n’est plus qu’un jouet, un pantin désarticulé tant le plaisir est puissant, le gland au fond de son vagin la fait hurler bouche ouverte, les yeux fous, elle se redresse, elle s’écroule, ses seins durcis dodelinent en cadence, ses fesses ouvertes s’agitent, son bassin ondule et d’un coup dans un cri, bouche grande ouverte, cherchant son souffle, elle enfonce l’énorme sexe bien à fond.

Elle se retourne et s’assoit accompagnée du gode toujours planté en elle allongée face à moi cuisses ouvertes complètement relevées elle continue de se masturber, sa main gauche maintenant par dessous sous sa cuisse, l’engin planté en elle écartèle ses grosses lèvres découvrant son bourgeon. Dans cette position je peux voir son autre orifice bien fermé. Elle alterne les pénétrations avec des caresses en faisant aller et venir l’ogive vibrante dans sa raie en s’attardant sur son clitoris mais ce sont les pénétrations qui prévalent, rapides, profondes et c’est sa main droite, ses doigts qui maintiennent son clito sous tension alors de nouveau l’orgasme explose le plus fort depuis le début de la séance elle me sourit d’un air crispé et semble me dire excuse moi mais je repars mais son regard me lâche, son visage se contracte en un rictus incontrôlé car elle plonge dans le néant là où je ne peux plus la suivre. A nouveau elle se contorsionne son ventre allant au devant de cette bitte qui la fait tant jouir en remplissant sa vulve.

Insatiable elle se tourne sur le côté en chien de fusil je la vois de profil cuisses ouvertes en ciseau, la gauche sur le lit, je vois ses fesses serrées, la rondeur de ses hanches, ses seins dressés, elle me regarde, sa main droite passée par derrière entre ses fesses sur sa chatte où elle puise son miel et parcoure la raie de son cul, les doigts s’attardant sur sa rondelle, la gauche tient le gode et le présente entre ses cuisses, le gode change de main, je tremble car elle présente le gland à l‘entrée de l’anus préparé par ses doigts, comme avec un plantoir elle cherche la position elle presse son petit cul et sa rondelle cède le gland est en elle la hampe suit et s’enfonce profondément dans son cul et commence son va et viens dans son derrière tandis que sa main gauche désormais libre entre ses cuisses serrées caresse la raie de sa chatte bien en vue entre ses fesses serrées à deux doigts du gode emmanché.

Elle cherche une meilleure position, en fait sa position favorite pour bien se faire jouir, elle se remet sur le dos cuisses écartées, elle représente le gode qui était sorti et de sa main droite passé sous sa cuisse elle est plus à l’aise pour le positionner sa main gauche est toujours sur sa chatte, elle me sourit car elle a du mal à introduire le gode dans son cul mais il rentre et tout est en place pour jouir elle se pistonne l’anus et elle défaille, elle s’allonge la tête renversée sur les oreillers les doigts dans sa fente masse son clito et d’un coup elle se cambre sa tête dodeline en tout sens bouche grande ouverte elle grimace elle se soulève en serrant ses cuisses spasmodiquement le gode bien enfoncé elle hurle son plaisir qui parait plus profond plus intense avec toujours ses doigts dans la raie de sa chatte qui triture ses grosses lèvres écartelées et son bourgeon gonflé par le plaisir.

Dans cette position elle se fait jouir plusieurs fois en enfonçant le gode de plus en plus profond dans son cul, il n’est plus simplement pris entre ses doigts mais saisi à pleine main et poignarde ses fesses. Je peux mesurer la profondeur des pénétrations, je vois son fondement qui se retrousse avant de s’enfoncer avec l’engin qui la perfore. La jouissance a changé de catégorie, elle jouit comme jamais par le cul, son corps arqué n’est qu’un spasme, secoué par des séismes de plaisir, un rictus déforme sa bouche, elle halète bouche ouverte, elle grimace comme si elle souffrait le martyr, ces gémissement sont des plaintes qui ponctuent sa masturbation et dans un grand cri elle s’affaisse pantelante, la conscience semble lui revenir, elle me regarde. Elle est calme allongée le gode inerte dans son puits seule sa main gauche caresse sa chatte comme pour maintenir le plaisir qui ne la lâche pas mais qui s’éloigne comme les éclairs à la fin d’un orage.

Elle peut me regarder, elle a gardé à moitié enfoncé dans son derrière le gode violet, elle se penche et sur la chaise voisine et dans sa main un nouveau gode beaucoup plus sophistiqué, vert celui là, vert et double car il est fourchu et un petit membre nait sur la hampe principale à une bonne distance du gland, il est plus petit, moins long et comporte à son bout une espèce de filament très souple et double comme des petites oreilles. Sous la peau translucide, à la racine du petit sexe je vois des rangées de petites billes d’acier rangées en anneaux les unes contre les autres

Elle me regarde fixement en prenant le membre principal dans sa bouche ; elle le lèche, aspire son gland et il me vient des envies que je réprime. La main qui le tient descend sur son ventre et quand d’un coup elle l’enfile dans sa chatte je comprends l’utilité de cet appendice car tandis qu’elle se branle la chatte celui-ci lime en se vautrant entre ses grosses lèvres et les petites oreilles de lapin frôle, caresse, entoure son clitoris qui pointe maintenant. En appuyant sur plusieurs boutons chaque membre se met à vibrer, les petites oreilles aussi et j’entends leurs chuintements discrets mais oh combien jouissifs en cet endroit si sensible. Sur leurs anneaux les billes s’ébranlent en tournant dans tous les sens et j’imagine les sensations à l’entrée du vagin serré sur elles.

Il serait trop long de vous décrire les orgasmes qui suivirent. Stimulée de toute part, dans son anus, dans sa chatte et sur son bourgeon je la vis se tendre cuisses écartées face à moi, une main sur chaque gode elle se pistonnait la chatte et le cul tandis que les petites oreilles vibratiles titillaient son clito à la fête, gorgé de sang, sorti de son capuchon bandé à l’extrême. J’avais sous les yeux un spectacle hallucinant et je remarquais les rangées de billes qui jouaient leur office à l’entrée de son vagin. Décidément on n’arrête pas le progrès ! Comment rivaliser avec ce sexe infatigable et si indiscret.

Toujours équipée elle se mit en levrette, cuisses écartées, fesses relevées magnifiquement rondes et lisses. Un bras sur le côté pour servir son cul tandis que l’autre passé sous son ventre entre ses cuisses manœuvrait le sexe double, vert et là se fut insoutenable tant elle su se faire jouir, le buste penchée je voyais les deux engins faire leur œuvre entre ses fesses écartelées, je vis nettement comment le petit sexe dans la raie de sa chatte jouait son rôle sur son clito. J’étais fasciné par ces mains qui se pistonnaient ensemble ou séparément la chatte et le cul, de plus en plus fort, de plus en plus vite, ce corps qui durant l’orgasme n’en finissait pas de se tordre en tout sens, ses seins pantelants agités en tous sens, les bruits discrets des ogives et des billes. Parfois quand la jouissance était trop forte elle se redressait tout son corps tétanisé, les jambes tremblantes pour mieux s’écrouler fesses levées ouvertes, embrochées.

Et puis elle voulut se voir en se remettant sur le dos buste relevé, elle avait retrouvé son contrôle et souriait en continuant sa double pénétration. Dans cette position j’étais bien placé pour voir le rôle majeur du petit sexe vibrant dans la raie de sa chatte et celui des petites oreilles vibratiles qui insérées dans son petit capuchon titillaient en s’écartant son clitoris. En me narguant gentiment elle utilisa un troisième gode, on en était plus à un près, moins gros, moins long, vibrant assez fort lui aussi et après l’avoir sucé elle le plaça enfoncé complètement dans sa chatte avec le gode vert. Cela avait l’air agréable pour elle sans plus, cela la maintenait dans le plaisir, elle se branlait doucement en me disant des phrases que je ne comprenais pas. Elle me souriait jusqu’au moment où les godes jouant sous ses mains leur rôle la replongèrent dans le plaisir ou plus rien ne compte, la cadence monta d’un cran son visage se contracta, lèvres ouvertes montrant ses dents elle fixait les objets qui la faisait tant jouir, ses fesses s’animèrent à nouveau en se soulevant, son ventre quêtant les pénétrations. A chaque orgasme les contractions de ses cuisses, de son bassin, de ses fesses, les grimaces de son visage, ses cris, les mouvements désordonnée de sa tête marquaient l’immensité de son plaisir. Immensité inconnue pour moi à ce niveau de force.

Elle retira le petit sexe et là elle se fit jouir trois ou quatre fois encore en se masturbant simplement le gode vert entre les grosses lèvres de sa chatte et le gode violet dans son cul. Entre chaque orgasme un bref moment de calme avant de se replonger dans un plaisir intense et dévastateur. Elle se finit si je peux dire ainsi en retirant le gode vert de sa vulve et pris son plaisir uniquement en se branlant le cul et en se massant les grosses lèvres ouvertes les doigts massant énergiquement son clito.

Incroyablement ce n’était pas fini et mes poils se hérissèrent quand elle sortit un double dong comme il se dit, couleur lilas, long cylindre de près de cinquante centimètres de longueur, très souple avec un gland bien formé à chaque extrémité avec à bonne distance du gland un renflement annulaire mimant la corole d’un préservatif. Elle était face à moi, cuisses largement écartées et dans ce vé royal je voyais entre ses fesses sa chatte ainsi que son anus entre ouvert par les assauts précédents.

Plus avant dans le vé royal de ses cuisses, son ventre, ses seins bandés et son visage, son regard qui fixait sa main droite présentant le gode rose entre les grosses lèvres de son sexe. Elle commença par se branler la chatte les deux mains par devant entre ses cuisses ouvertes puis en passant la droite par derrière entre ses fesses. En chien de fusil une cuisse en l’air elle l’enfonça au maximum de ses possibilités à grande cadence jusqu’à la jouissance. Sa main gauche allant de sa vulve à ses seins qu’elle empaumait fermement et en les remontant, la tête penchée elle pouvait sucer leurs pointes érectées. En pleine orgasme elle saisit le gode serré dans sa main par le milieu et se poignarda la chatte vigoureusement.

Et puis ce fut son anus qui eut la visite de l’énorme phallus, l’introspection fut plus délicate mais c’est avec un sourire amusé qu’elle y parvint en se couchant sur le côté fesses en l’air et c’est son cul qu’elle violenta pour se faire jouir intensément tout son corps …….. Alors là elle s’appliqua à utiliser le gode pour ce pour quoi il est fait, elle eut beaucoup de mal après avoir arqué le long cylindre souple à introduire les deux glands l’un dans sa chatte l’autre dans son anus mais quand elle y parvint à l’aide des doigts de ses deux mains et qu’elle se masturba ainsi de nouveau elle prit son pied en hurlant et en gesticulant.

D’un coup elle s’écroula ivre de fatigue, pantelante sur son lit, elle n’eut que la volonté de me dire dans un souffle
« Laisse moi maintenant, je suis morte de fatigue, j’ai besoin de dormir…..A bientôt ….peut être »

Tout ce fantastique spectacle d’une demie heure, le temps que vous avez mis à me lire et essayer d’imaginer, si c’est possible, comment une jeune et belle femme a pu seule se faire jouir si fort et si souvent. En l’abandonnant je m’aperçus que j’étais tout trempé dans mon boxer, moi aussi j’étais très fatigué mais heureux.
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Elle se fait jouir toute seule

Le 21/08/2021 - 14:33 par sizaxe
Très belle description, bien qu'un peu longue à mon goût. Mais on aimerait pouvoir assister à de telles exhibs !
Le 27/04/2014 - 10:43 par perdu127
C'est une description vraiment bonne et intense ;)
Le 04/01/2011 - 22:14 par Cloelia
Oua j’en suis essoufflée, ton récit m’a ébahi. Vraiment tu as réussi à faire ressortir toute l’intensité sexuelle de cette femme. Merci. Continue comme ça je suis fan et excité maintenant...
Le 17/12/2010 - 18:08 par rovaniemi
je suis toute mouilée,moi aussi et je vais aller me faire jouir avec mon petit vibro merci
Le 04/11/2010 - 00:28 par Paradise Kiss
Superbe histoire, carrément jouissive et très bien écrite, comme d'habitude ...

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