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Bouteille

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Lue : 54511 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/05/2008

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Ma femme Julie, mon petit garçon et moi sommes allés passer un long week-end chez la sœur de ma femme, Laure. Elle aussi est mariée et a également un petit garçon. Laure et Julie ont 3 ans de différence. Laure est la plus jeune, je m’entends bien avec elle, elle adore plaisanter.

Le premier soir, les enfants couchés, ainsi que le mari de Laure qui, travaillant à l’extérieur toute la journée, le soir s’effondre comme un bébé, Julie, fatiguée par le voyage, nous laisse, Laure et moi, ranger la cuisine et faire la vaisselle.

Ses plaisanteries, sa voix, sa petite queue de cheval qui remue alors qu’elle s’affaire, me troublent, je sens des petits picotements qui me courent le long de la colonne vertébrale. La cuisine rangée, je traîne un peu sur le canapé, Laure va se changer. Du canapé, on voit le couloir au bout duquel se trouve la salle de bain. Laure laisse la porte entrebâillée et je vois dans le reflet du miroir une sympathique poitrine avec des tétons tout roses. Une fois changée, Laure revient me souhaiter bonne nuit. Je lui fais remarquer d’un air espiègle qu’une porte ça se ferme. Alors, sans que je m’y attende, elle pose sa main sur mon membre, qui est dur depuis un moment, et me répond que je n’ai pas à faire de remarque puisque ce que j’ai vu m’a plu, puis elle tourne les talons et part se coucher. Je rejoignis alors Julie, qui dormait comme un bébé. Je repensai à la scène qui venait de se passer et fantasmai sur Laure.

Après une mauvaise nuit et une bonne journée, la soirée s’annonce comme la précédente. Laure et moi nous nous retrouvions seuls dans la cuisine, les autres étant partis dormir. Un peu fébrile, excité et indécis, je ne fais aucune allusion à hier. Puis comme la veille, Laure me prévient qu’elle part se changer. Ce coup-ci la porte de la salle de bain reste grande ouverte, je vois ses vêtements voler, puis sa silhouette furtive file sous la douche. J’entends l’eau couler, mais comme je ne vois plus rien de ma place, je me lève et m’approche. Laure me tourne le dos. Quel corps superbe ! Mais je n’ose rien entreprendre et je retourne sur le canapé. Je me plonge dans la lecture d’un magazine, mais je bande à mort.

Laure revient, vêtue d’une chemise de nuit ultra-courte, me souhaite une bonne nuit avec deux bisous et part se coucher. Je regarde ses longues jambes qui ont l’air si douces et la chemise de nuit se balancer en me laissant deviner le galbe de ses fesses sexy. Je me résouds à aller me coucher à mon tour, mais impossible de fermer l’œil.

Au bout d’une demi-heure, je décide de me relever, et d’aller boire un verre de scotch pour faire venir le sommeil. Sans faire de bruit je retourne au salon, et je cherche alors dans le bar une boisson qui pourrait m’assommer.

Soudain j’entends la voix de Laure, juste derrière moi. « ah, c’est toi, j’ai eu peur que ça soit un cambrioleur ! » Je me retourne et à la voir si près de moi dans sa chemisette ultra-courte et à moitié transparente, je ne peux contenir une érection violente.

Laure ne semble pas s’émouvoir et me demande ce que je fabrique à une heure pareille. Pendant qu’elle me parle, une bretelle glisse sur son épaule, sans toutefois dévoiler son sein. Elle s’approche de moi et me demande « es-tu sûr que c’est un scotch que tu désires ? »

Elle s’agenouille pour fouiller sur l’étagère basse du bar, puis tourne sa tête vers moi. Son visage est à 20 cm de la bosse de mon pantalon. Elle attrape ma bosse, je ne dis rien, alors elle me regarde avec un grand sourire, puis dégage mon membre de mon pantalon et entame une pipe infernale. Sa queue de cheval dansant en cadence, c’était divin, j’ai caressé sa tête. Puis elle s’est relevée et m’a entraîné sur le canapé. Je me suis allongé sur le dos, elle s’est mise en 69, et a englouti ma bite en feu. Ses fesses, cachées par un minuscule slip, dodelinaient devant moi. D’une main, je fis glisser l’élastique, découvrant sa chatte et ses fesses. Je commençai alors à sucer ses lèvres. Elle avait un goût sucré et acide à la fois. Elle commença à gémir, mes doigts ont complété mes caresses buccales en s’introduisant dans sa chatte trempée. Laure dirigeait les opérations. Après un orgasme elle se retourna et s’empala sur moi, comme Andromaque. Pendant sa chevauchée, je jouais avec ses bretelles pour libérer ses jolis seins qui n’attendaient que cela. Je les gobai, qu’est-ce qu’elle est belle ! Puis Laure se dégagea et de mit en position de levrette et m’invita à passer derrière. Elle me chuchota « bourre-moi le cul » et en empoignant ma bite elle la dirigea vers son petit trou qui l’avala tout doucement. C’était la première fois que je pratiquais la sodomie. Laure me répéta « occupe-toi de mon cul », tandis qu’elle masturbait son clitoris. Le divin va-et-vient débuta. La situation, son fourreau étroit, je ne résistai pas longtemps; j’éjaculai. Le plaisir était tel qu’il me sembla que l’éjaculation durait plusieurs minutes.

Laure était satisfaite, elle attrapa des mouchoirs en papier, s’essuya et me nettoya. Elle me fit un bisou sur la bouche et me souhaita une bonne nuit. Je me retrouvai seul, et la culpabilité commença à venir. Comment ai-je pu tromper Julie ?

Après une mauvaise nuit, j’étais mal à l’aise au réveil. Dès que j’eus l’occasion de me retrouver seul avec Laure, je lui exprimai mes regrets. Elle me reprocha alors de ne pas savoir ce que je voulais, alors qu’elle, elle savait ce qu’elle désirait. Toute la journée, à la moindre occasion, elle effleura mon membre discrètement, comme par maladresse, et elle frotta sa poitrine contre mon corps. Quelle cruel dilemme. Comment résister à une allumeuse pareille ?

La journée est passée et nous voilà seuls dans la cuisine comme les autres soirs. Je ne dis rien, mais je trouve qu’elle expédie le rangement. Je n’ose pas remettre sur le tapis la culpabilité qui me perturbe. Tout est enfin rangé. Laure se retourne vers moi et directement me lance : - "J’ai bien aimé comment tu t’es occupé de mon cul hier, il faut que je t’exprime ma reconnaissance…"

Elle glisse ma jambe droite entre les siennes, sa jupe se retrousse. Je proteste, je dis que je ne veux plus, mais elle me répond que je ne sais pas ce que je veux, elle attrape mon dard qui a déjà atteint de bonnes proportions.

D’un geste brusque, elle défait mon pantalon, puis elle commence une fellation. Sa bouche est si douce. Sa langue fait de rapides rotations et joue avec l’extrémité de mon gland. Sans lâcher sa prise, elle m’invite à m’allonger sur le banc de la cuisine, et elle m’enlève pantalon et slip. Les jambes écartées je savoure ses qualité de pompeuse. Ses doigts caressent mes testicules, cela augmente mon plaisir. D’une main elle attrape mes bourses, elle les emprisonne, j’ai un peu peur d’avoir mal, mais elle fait attention, elle observe mes réactions. Sa main libre décrit des petits cercles sous mes bourses, j’adore ce qu’elle fait, elle le voit. Les petits cercles s’allongent, ses doigts se dirigent vers mon cul. Mais c’est bon ... je me laisse faire. Ses doigts courent de mes bourses à mon trou, je soulève un peu mes jambes pour lui faciliter ses gestes. Ses doigts jouent avec mon trou et j’adore cela, c’est la première fois qu’on me fait cela. Sans interrompre la fellation, elle prend une bouteille de bière vide, qu’elle avait soigneusement lavée préalablement et posée sur la table. Elle remplace ses doigts par la bouteille. Le contact froid du verre me surprend. Le goulot glisse sur ma peau et s’encastre dans mon orifice. Je relève mes jambes, la bouteille me pénètre, je réalise que Laure est en train de m’enculer et j’explose dans sa bouche. Laure m’avale consciencieusement jusqu’à la dernière goutte. Après un rapide bisou sur la bouche, elle me lance « toi aussi tu aimes bien être enculé » et m’abandonne. Je me retrouve seul et perplexe.

Le lendemain nous sommes rentrés chez nous. J’ai quand même embarqué la bouteille de bière, pour jouer tout seul avec, ou bien avec l’intention de l’essayer sur Julie. Je ne sais pas encore.

Enfin, toute cette histoire m’a fortement perturbé.
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Histoire de luis

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