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C'est un autre qui en a profité

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 28/11/2022

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La vie est faite de projets, d’ambitions, de mariage, de fidélité. Avec ma copine, on s’était jurés tous ça, toujours projetés dans ce sens, jusqu’au jour, ou tout à basculé. Ce jour là, j’ai vécu la journée la plus affreuse de ma vie.
Sandrine et moi étions au mariage d’une de nos amies. Lorsque nous nous préparions, je ne me lassais jamais de voir son corps nue. Elle évoluait devant moi, ondulant de ses hanches aux galbe parfait, les seins fièrement dressés, avant qu je ne la jette sur le lit, l’enlace, caresse les parties les plus intime de son corps, jusqu’à, si l’on était pas trop en retard, la baiser en levrette, sa position préférée.
Pour la circonstance, ma copine était d’une beauté à couper le souffle, et savait qu’elle ferait des jalouses ce soir. Je savais qu’elle ne portait rien sous sa robe rouge, et n’attendais qu’une chose, que j’ôte ce dernier rempart.
Les mariés s’étant dit oui, nous nous sommes rendus au vin d’honneur dans une ferme magnifiquement décorée. Le mariage était réussi et l’ambiance plutôt sympa. Des serveurs zélés s’assuraient que nos coupes de champagne ne soient jamais vides, et les têtes se sont rapidement mises à tourner.
Sandrine était d’humeur coquine. Elle savait combien elle était belle et désirable dans sa robe, et combien j’avais envie d’elle. Elle ne ratait aucune occasion pour venir m’embrasser du bout des lèvres et me taquiner discrètement avec sa langue sensuelle. Mais elle avait décidé de s’amuser ce soir, aussi se faisait-elle draguer, au cours de slow langoureux. Joueuse, elle ne faisait rien pour repousser les partenaires un peu trop entreprenant. Elle s’amusait avec eux, les excitait.
Au repas, nous nous sommes retrouvés à une table avec des inconnus, et du coup, l’ambiance est un peu retombée pour nous. Nous n’accrochions pas trop avec les discussions des autres convives. Contrairement au voisin de Sandrine, qui n’arrêtait pas de lui murmurer à l’oreille. Je ne connaissais pas la teneur de ses mots, mais en tous cas, ils faisaient sourire ma copine. Je me sentais un peu délaissé, et me laissais aller sur les vins. Il était excellent et encore une fois, les serveurs étaient au rendez-vous.
Je décidais de sortir Sandrine du mauvais pas d’avec son voisin de table, et l’inviter à danser. Je la pris par la taille, tandis qu’elle passait se bras autour de mon cou. Nos lèvres s’unirent pour un sulfureux baiser.
- Que te racontais ton charmant voisin, pour te faire sourire.
- Lucas...Il me disais que j’étais belle, et qu’il aimerait bien me baiser.
- S’il savait que tu étais nue sous ta robe.
- Si je n’avais repoussé sa main qui se faufilait sous ma robe...
- A bon...et pourquoi çà ? Vas-y, continue
- Elle était si près de ma chatte, qu’il s’en serait aperçu.
- Le salaud…mais c’est vrai...t’es tellement belle.
- En tous cas, je le trouve très séduisant, j’aime bien mes mecs au crâne rasé.
Le slow suivant, c’est ce fameux voisin, Lucas, qui l’invitait à danser. Jusqu’à la piste, il tenait Sandrine par la taille. D’entrée, je m’aperçus que, contrairement à moi, il était assez bon danseur. Je le vis la serrer dans ses bras. Il lui susurrait à l’oreille, certainement les mêmes mots qu’a table, tandis que ma copine marquait un mouvement de recul..
La danse terminée, il la ramena galamment à table
A la demande des mariés, nous regagnions nos places.
Tout en sirotant son verre, Sandrine laissait négligemment traîner sa main sur ma cuisse sous la table, et je rêvais qu’elle la remonte pour toucher mon érection naissante, et qui devenait douloureuse.
Ce n’est qu’au moment du dessert, lorsque tout le monde s’est levé pour aller se servir sauf moi, qu’elle a compris ce qu’il m’arrivait. Toute souriante, elle s’est rassise près de moi. Elle a regardé autour d’elle si personne ne la voyait puis elle a posé sa main sur ma braguette. Ses doigts ont commencé à me masser doucement. Elle a approché son visage du mien.
- Je prendrais bien un peu de ce dessert-là…
-  Hum… Je suis certain qu’il te plairait.
-  J’ai envie de le lécher avant de le faire fondre dans ma bouche…
Je me suis raidi d’un coup. Ses paroles m’excitaient trop. Je n’avais plus qu’une seule envie, qu’elle me suce. Sandrine m’a donné un petit coup de langue sur les lèvres puis m’a fait une proposition.
- J’ai envie qu’on trouve un endroit tranquille… et que tu me baises.
- Oh oui. Je remonterai ta robe, te pencherais en avant, et je m’enfoncerai en toi.
- Hum…j’en mouille déjà...
Le soupir de Sandrine en disait long sur son état. Elle jetais un regard rapide autour d’elle, cherchant un endroit. Je me rappelais avoir vu près du vestiaire, un escalier qui donnait l’étage, et ce devait être plus calme.
- Il y a un escalier là-bas. Tu pourrais monter et m’attendre dans la première pièce que tu trouveras. Je t’y rejoins dans deux minutes.
Sandrine m’embrassa fougueusement, me souhaitant d’être bien raide, que sa chatte et sa bouche y tenaient beaucoup. Ma tête tournait encore plus vite.
Elle se leva et fila en direction du vestiaire. J’attendis sagement deux minutes. Plus pour laisser le temps à mon érection de se calmer que pour respecter l’horaire prévu.
Je traversais les tables et la piste de danse qui me séparaient du vestiaire, mais je me fis embarquer par d’autres collègues, dont mon supérieur. Ils m’entraînèrent pour aller saluer la mariée. Je me retrouvais coincé et forcé de discuter avec Laure, la jeune épouse qui, il faut bien l’admettre, était magnifiquement belle. Ce fut d’ailleurs une forte déception pour tout le bureau d’apprendre, d’abord ses fiançailles, et dans la foulée, l’annonce de son mariage.
J’essayais de ne pas trop lorgner dans son décolleté, mais c’était très difficile, vu l’état dans lequel j’étais, de ne pas profiter de la vue merveilleuse que m’offrait la jeune femme. Je crois d’ailleurs qu’au bout d’un moment, la belle s’en est rendu compte.
- Toujours aussi coquin, sourit-elle en me présentant à ses demoiselles d’honneurs.
- Comment ne pas l’être devant toutes ces beautés, dis-je
Je me suis retrouvé à embrasser ses superbes créatures, au corps tout aussi généreux, et ravissant que celui de la mariée. J’avoue que choisir m’aurai été difficile.
Je commençai à discuter avec elles, oubliant un instant Sandrine, tant une petite brune, à la peau mate, au regard de braise, qui me draguait était ravissante. Du même gabarit que ma copine, elle était vraiment charmante. C’est elle qui m’invitait à danser. En fait, je fis tout le slow, les yeux vissés sur sa poitrine en essayant de déterminer laquelle était la mieux roulée.
Je me dis que j’aimerais vraiment que ma Sandrine ait une paire de seins comme cette fille, mais les siens me suffisaient amplement. Je suis fier de les voir se dresser sous mes caresses, ses bouts durcir quand je les fait rouler entre mes doigts, quand je les suçais. Elle adorait ça. En plus, j’ai toujours été content des jolis seins de ma copine.
Je parvins finalement à m’éclipser et rejoignis le vestiaire. Je rebandais déjà alors que je posais mon pied sur la première marche de l’escalier. Je les gravis quatre à quatre, et me retrouvais en haut. Le couloir était sombre et tout devint soudainement plus calme, les bruits de la soirée et la musique semblaient avoir du mal à monter jusqu’ici.
Je me plaçais doucement devant la première porte sur ma droite et la poussais sans bruit, lentement. Je passai la tête dans la pièce non éclairée et plissais les yeux. Je percevais des meubles un peu désordonnés et mon attention fut rapidement attirée sur ma gauche. Je percevais également des sons étouffés et il me fallut quelques secondes pour reconnaître la silhouette d’un homme en costume de cérémonie.
Il n’était pas seul, il était agenouillé entre les jambes écartées d’une femme, et son bras bougeait lentement.
- Ça vous arrive souvent, de ne pas porter de culotte ?
- Oui...j’aime bien promener le chatte à l’air…
Cela me paraissait bizarre, mais je ne relevais pas les propos tenu par cet homme.
J’étais plus attiré par le terrible orgasme de la jeune femme auquel j’assistais, malgré moi.
- Oh oui...allez-y, branlez-moi...bien profond...oui, grattez mon clito aussi...oui...je jouis.
- T’aimes ça, hein Salope? Te faire gratter le bouton. Vas-y...joui...crie…
L’homme était tout simplement en train de branler la jeune femme, et seul moi pouvait entendre ses cris, ce qui expliquait la source des bruits dans le couloir.
Comme quoi, nous n’étions pas seul avec Sandrine, à avoir eu l’idée de nous retirer à l’étage. Ma copine allait bien rire quand je lui apprendrais que d’autres avaient eu la même idée que nous.
Je quittais prestement la pièce et refermais la porte le plus discrètement possible. Je continuais mon investigation et ouvris tour à tour les porte de l’étage. Malheureusement, je ne tombais que sur des pièces vides ou des placards à balais. J’étais sur le point de redescendre lorsque l’envie de repasser la tête dans la première pièce me prit. Je ne sais pas pourquoi. Un mélange d’excitation, de voyeurisme et un je-ne-sais-quoi de curiosité. Je repoussais la porte lentement et discrètement. Je passai la tête. Le couple était toujours en pleine action.
De là où j’étais, je ne voyais que le gars. C’était un mec assez baraqué, le crâne rasé. Il bougeait sur sa partenaire, concentré sur ce qu’il faisait. Moi aussi, j’aurais bien aimé baiser la petite chatte de ma Sandrine à la sauvette. Mais où était elle?
Je me mis sur la pointe des pieds pour apercevoir la partenaire du gars.
Elle était peut-être bonne. Je ne parvins pas à la voir, elle était cachée par des habits. C’étaient des vestes entassées çà et là dans la pièce.
Je me résignais à refermer la porte lorsque, suite à un coup de reins plus appuyé, la fille remonta ses jambes pour les nouer autour de son amant. Elle avait de jolies jambes, mais ses escarpins attiraient mon attention. Ils étaient rouges et il me semblait les reconnaître. Je rentrais carrément dans la pièce et m’approchais, attiré comme un aimant. Je m’arrêtais tout près du couple. J’étais dans le dos du gars, il ne pouvait pas me voir et ne se doutait pas de ma présence. Il était complètement allongé sur sa partenaire qui était, elle, sur le dos, les jambes ouvertes. Le type bougeait lentement son bassin en de lents va et vient. Il avait dû simplement ouvrir sa braguette et s’allonger sur la femme pour la prendre, car son pantalon n’était pas baissé. J’entendais nettement leurs respirations saccadées et les petits gémissements plus aigus de sa partenaire.
Je fis encore un pas sur le côté et me penchais pour tenter de la voir. Le mec était vraiment large d’épaules, il la couvrait complètement. Coincée entre la tête rasée et le dossier du canapé, j’aperçus enfin de longs cheveux blonds et bouclés. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Il n’y avait pas de doute, c’était bien Sandrine qu’il était en train de baiser. Je vis le visage de ma petite amie tourné sur le côté. Elle avait les yeux fermés et ses lèvres rouges étaient entrouvertes. Je restais sans réaction. Que faisait-elle là, avec ce type ? Comment était-ce possible ?
Comme si elle avait senti ma présence, Sandrine redressa la tête et son regard rencontra le mien. Elle ne dit rien. Ses joues étaient rouges et ses yeux bleus profond brillaient dans la pénombre. Beaucoup de choses passèrent dans cet échange et je ne fus pas capable de les comprendre toutes sur le moment. Aussi je restais planté là bêtement à la regarder.
Puis, n’y tenant plus, je quittais la pièce, trouvais des toilettes à l’étage, me mis à vomir. Cette soirée, qui s’annonçait festive se transformait en cauchemar. Après un moment de réflexion, je revint dans la pièce. La situation avait évolué.
Soudain, son partenaire se rendit compte à son tour de ma présence. Il tourna la tête et me scruta posément de haut en bas puis de bas en haut. Je fus frappé par la dureté de son regard. Après m’avoir jaugé, il reporta son attention devant lui et reprit ses mouvements de bassin comme si de rien n’était. Ma présence n’avait pas l’air de le perturber.
Le mec se redressa et prit appui sur ses mains, surplombant de cette manière sa partenaire. En se décollant d’elle, il me permit par la même occasion de mieux la voir. Je découvris sa jolie robe rouge retroussée. Une bretelle était descendue et un sein pointait totalement dénudé. Mon cœur se déchira. C’était bien ma Sandrine qui était là. Allongée sous un autre, se laissant prendre par un inconnu. Elle tourna son visage vers le dossier du canapé et laissa son partenaire profiter d’elle.
J’étais sidéré. Je sortis, arpentais le couloir, la tête entre les mains, les yeux gorgés de larmes. Mais pourquoi a-t-elle fais ça. Je poussais la porte, dans l’espoir que tous ça soit finit, que ce n’était qu’un cauchemar.
Bien au contraire, leur rapport étaient montés d’un cran.
Le mec était nu maintenant, je le trouvais de taille normale. Il fit mettre ma copine, entièrement nue elle aussi, à quatre patte, se plaça à genoux derrière elle, se mit à lui fouiller la chatte avec deux doigts. Il s’avança lentement, et je m’aperçus que s’il était de taille normale, il n’en était pas de même pour sa queue, que je trouvais colossale. Il s’avança, tandis que Sandrine écartait ses fesses pour se faire prendre en levrette, sa position favorite. Mais qu’arrivait-il à ma copine pour s’offrir ainsi.
- Oh oui…gémit Sandrine...elle est bonne vôtre queue.
- Ben tu vois...t’en a jamais eu des comme ça…
- Aussi grosse...non..
Je prenais un coup sur la tête, même si j’étais dans la normale. Mais ces mots venus de ma copine, me faisaient mal. D’autant qu’elle prenait du plaisir à sentir cette bite en elle, et dans cette position.
Mes réflexions furent coupées par un violent orgasme, qui vint secouer mes tympans. Jamais elle n’avait hurler comme ça avec moi. Soudain, je l’entendis se plaindre.
- Non...pas ça...je n’ai jamais fais ça…puis vous êtes trop gros...
- Calmez-vous, c’est juste un mauvais moment à passer...après, vous allait adorer.
L’enfoiré, il voulait la sodomiser, lui prendre la partie inviolé de son corps, celle que je n’avais jamais osé prendre.
Sandrine tourna la tête et son regard croisa le mien. Elle ne dit rien, mais je comprenais qu’elle acceptait tous les caprices de cet inconnu. Aussi je restais planté là bêtement à la regarder se faire enculer par un inconnu, et elle savourait cet instant présent.
- Elle est bonne ta copine...putain qu’elle est bonne.
- Entends comme elle gémit...sur qu’elle aime ma bite.
- Oh oui...faites-moi jouir….j’ai tellement envie...
Comme pour me prouver cet état de fait, et subvenir à la demande de Sandrine, le type s’enhardit, se vautra sur la croupe de sa partenaire pour mieux la saillir.
En se retirant d’elle, j’eus l’occasion de voir son calibre ouvrir son petit trou. Sandrine, à genoux, la tête enfouie dans les vêtements, se faisait prendre pour la seconde fois, par un inconnu. Elle gémissait de plus en plus fort, laissant son partenaire à son envie de la sodomiser.
Le type accéléra la cadence. Je calculais dans ma tête qu’il devait la prendre depuis un bon moment déjà. Le temps que je visite toutes les pièces, il s’était déjà occupé d’elle, à la baiser comme j’aurais aimé le faire, comme j’aurais dû le faire…
Les informations se bousculaient dans mon cerveau. Je voyais les belles jambes de ma chéri’e bouger au rythme des coups de reins de plus en plus puissants de cet inconnu, rencontré à la table d’un mariage, et qui avait su trouver les mots pour baiser ma copine. Les gémissements de Sandrine s’accentuèrent, tandis qu’elle n’en finissait pas de jouir. Je comptais pas moins de trois puissants orgasme, soutenus par de plus petits, tels des satellites.
Le gars se mit à grogner, et retira soudainement son sexe d’entre les cuisses de ma petite amie et, le tenant fermement dans une main, le dirigea vers sa bouche. Son membre était vraiment large et imposant, et un long jet de sperme pâteux, suivi d’autres aussi puissant, disparurent dans la bouche de Sandrine, qui aussitôt referma ses lèvres, pour garder cette queue qui lui avait apporté tant de plaisir. Elle prit tout son temps pour avaler l’abondante semence de cet enfoiré, qui venait de prendre ce que j’avais de plus cher au monde.
L’homme souffla fort, tandis que sa semence terminait de se répandre sur la langue de ma copine. Puis la langue s’enroula autour de gland. D’un geste viril, il secoua sa queue pour en faire tomber la dernière goutte.
Dignement, il se rhabilla tout en admirant Sandrine écartelée sur les vêtements, souillée de son sperme qui s’échappait de ses orifices.
Il se tourna vers moi et posa une main sur mon épaule.
- Ce fut un réel plaisir... la place est encore chaude. Profites-en…
Il passa la porte et disparut dans le couloir. Sandrine avait resserré ses jambes et elle avait les mains plaquées sur sa bouche. Je m’assis près d’elle, alors qu’elle se mettait à sangloter.
Je me suis allongé à côté d’elle, la prit dans mes bras pour la rassurer. Elle s’est tout de suite calmée. L’odeur forte de sperme envahissait la pièce.
-  J’étais ici et je t’attendais… Et puis… Il est entré, je croyais que ce serait toi et…il me disais les même doux qu’a table...et il m’a prise…Je n’ai pas pu résister à ses avances.
-  Arrêtes ma chérie, tais-toi, ne me blesse pas d’avantage.
Je me sentais aussi fautif qu’elle. En plus, j’avais assisté à une bonne partie de la scène sans réagir. Je lui retirais les mains de sa bouche et l’embrassai tendrement.
Elle me fixa droit dans les yeux. Je trouvai son regard fiévreux.
- Dis-moi tout, lui dis-je, je veux tout savoir.
- Je m’étais allonger sur les vêtements, quand j’ai senti une présence. Pensant que c’était toi, je me suis offerte. J’ai compris mon erreur, quand il murmurait à mon oreille, les mêmes mots qu’il me disais à table.
- Et ça explique que tu tu te sois offerte comme ça ?
- J’étais envoûtée par son charme...il en profité pour me posséder.
- Vas-y...continue…
- Il m’a fait jouir trois fois… Je t’assure. La première fois lorsqu’il a branlé ma chatte avec ses doigts...comme il me faisait mouiller ce salaud, la seconde quand il s’est enfoncé en moi, et a défoncé ma chatte avec sa grosse queue. La troisième, en déflorant mon petit trou, quand qu’il m’a sodomisé…J’ai pris énormément de plaisir tu sais…
Cette dernière tirade me donnais envie de vomir. Et dire que j’étais prêt à pardonner.
Sans un mot, je quittais la pièce et regagnais la salle de mariage.
Les convives me lançaient des regards étranges. Je compris pourquoi, quand j’aperçus ce fameux Lucas discutait avec d’autres invités, qui souriaient. A tous les coups, ce salaud devait se vanter de ses exploits. Avoir baisé une femme à la place de son copain, et de ce fait, la corrompre, et faire de moi un cocu.
C’est avec tristesse que je quittais la salle de mariage, pleurant mon amour perdu.
Il était trois heures du matin.
Les mariée avaient prévu de passer leur nuit de noces sur place.
C’est par l’intermédiaire de Laure que j’appris que Sandrine aussi avait coucher sur place, seule, après avoir repoussé fermement les avances de Lucas, et avait pleuré toute la nuit, en me réclamant. Mais il était trop tard.



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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : C'est un autre qui en a profité

Le 06/02/2023 - 20:03 par Balista
L'autre semblait plus balaize, il avait peur que ses petits petons ne soient suffisants pour faire mal, même en le surprenant en plein coït
Le 14/12/2022 - 13:58 par D3sm09067
S'il laisse faire sans intervenir c'est que quelque part il consent à se qu'elle se fasse defoncer par un autre, il a qu'à assumer !
Le 28/11/2022 - 22:39 par OlgaT
Il ne fallait pas faire attendre Sandrine!

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