Un chaud sauna

"Enfin ! Je vais pouvoir m'occuper un peu de moi!".

C'est ce que je me disais en allant vers l'espace détente de la résidence. En effet, jusqu'à présent ces vacances au ski n'avaient été qu'une longue suite de tâches ménagères, de courses et de supervision des enfants. A cause d'une entorse à la cheville peu avant le début du séjour, j'étais confiné au rôle de support logistique pour mes filles, ma sœur et ses enfants.

Aujourd'hui, après avoir débarrassé la table du déjeuner, fait la vaisselle, aidé à l'habillage de tout ce petit monde et transporté tout le matériel nécessaire au départ des pistes, j'avais enfin un moment de libre.

Heureusement, la résidence louée par ma sœur et son mari était plutôt luxueuse et offrait un accès gratuit à volonté à un espace détente composée d'une piscine et d'un bain à remous, ainsi que d'un espace sauna/hammam au sous-sol.

En ce milieu d'après-midi, l'endroit était désert et, après m'être mis en maillot de bain, je descendis au niveau inférieur. Je n'apprécie pas trop le hammam, mais, depuis plusieurs séjours en Scandinavie chez un copain d'école, j'ai pris goût au sauna. Je rentrai donc dans la cabine, versai quelques cuillerées d'eau sur les pierres brûlantes et m'allongeai sur le banc supérieur. Dans les pays nordiques, le sauna se pratique entièrement nu. Étant seul, je décidai de me mettre à l'aise et de retirer mon maillot de bain. De toute façon, j'entendrais bien si quelqu'un devait arriver. Je m'installai sur le ventre, la tête entre les bras.

J'ai dû m'assoupir car je n'ai eu que le temps de tourner la tête vers la porte quand celle-ci s'ouvrit. Dans l'encadrement, à travers la brume, je pouvais distinguer une jeune femme asiatique, dans la trentaine. Elle portait un bikini vert foncé, qui mettait en valeur son corps svelte, avec de jolis petits seins. Son sourire spontané laissait apparaître des dents d'une blancheur éclatante. Pour une asiatique, elle avait de grands yeux brillants et une chevelure noire de jais. Sa peau immaculée avait un aspect velouté qui invitait aux baisers. Nous échangeâmes un regard qui sembla durer une éternité, ni elle ni moi ne baissant les yeux. Je lui souris, elle avait un charme fou.

Gênée elle rougit et détacha son regard qui dériva sur mon torse, mes fesses et mes jambes, sculptées par des années de pratique du cyclisme. Elle laissa alors échapper "天啊，这双大长腿也太美了吧!"
Ayant habité plusieurs années en Chine, je compris parfaitement ce qu'elle venait de dire mais ne laissai rien paraître. Je la saluai alors en français "Bonjour mademoiselle, si me voir dans le plus simple appareil ne vous gêne pas, vous pouvez entrer..."
Je lu dans son regard qu'elle avait parfaitement compris mon invitation mais elle me répondit "听不懂".

Le rouge ne quittait pas ses joues, ni elle la cabine du sauna. Je me redressai alors face à elle et tendis la main pour l'attirer. A ma grande surprise, elle se colla contre mon corps nu et m'embrassa intensément. Nos langues s'enroulaient l'une contre l'autre dans une frénésie de désir animal, tandis que ma main droite se frayait un chemin vers ses seins. Ses tétons gorgés de désir étaient déjà durs, dressés vers le ciel. Sa peau était d'une telle douceur et son étreinte d'une telle intensité que je bandais déjà très fort, mon sexe bouillonnant d'impatience après plusieurs mois d'abstinence...
Je lâchai ses lèvres un instant et croisai son regard gourmand. Ma bouche descendit le long de son cou, sur sa clavicule, pour atteindre ses tétons durcis par l'envie. Je les mordillai délicatement l'un après l'autre, après les avoir dégagés du bikini qui les retenait prisonniers. Ces petits seins blancs, doux, surmontés d'une aréole brune couronnée de ce téton dressé, étaient les plus beaux que je n'avais jamais vu!

Elle me fit assoir sur le banc inférieur, écarta ses jambes magnifiques pour venir s'asseoir sur moi. Sa main avait saisi mon chibre et commençait de délicieux va-et-vients.
Je saisissai alors ses petites fesses et commençai à les pétrir généreusement. Le mouvement régulier de sa main sur ma bite augmentait encore mon désir et je glissai alors la mienne dans son maillot, à la recherche de l'entrée sans de sa chatte...

Elle était déjà trempée, et ce n'était pas de la transpiration mais bel et bien de la bonne mouille. Mon majeur allait et venait dans cette chatte chaude et humide, quémandant ma queue que la demoiselle était en train de branler avec dextérité.

Elle eu un mouvement pour la faire rentrer dans son intimité. Je la fis alors s'allonger sur le banc et la libérai complètement de son maillot. Elle était désormais complètement nue. Dans un réflexe pudique un peu incongru dans de telles circonstances, elle tenta maladroitement de cacher sa poitrine et son sexe. D'une main je saisis les siennes, tandis que l'autre retrouva le chemin de sa chatte, inondée de cyprine. Avec mes doigts, je titillais son clito tout tremblant, ce qui éveilla son désir à tel point qu'elle fut prise de convulsions. Tout son corps criait "Prends moi!"

N'y tenant plus, j'insérai alors doucement ma bite dans sa chatte. Elle gémir "Oh oui..." dès que je commençai à la pénétrer. Elle était si étroite que mon sexe éprouvait des sensations inconnues. Tout en mordillant ses tétons particulièrement sensibles, je la pénétrai plus profondément. Son corps se souleva sous les spasmes d'une série d'orgasmes incontrôlables. Elle devait avoir un désir inassouvi depuis pas mal de temps pour jouir avec une telle violence ! C'était fantastique et très excitant à observer, cette femme magnifique, offerte, noyée dans son désir...

Je la pilonnais de plus en plus rapidement, de plus en plus profondément. Ses hanches accompagnaient mes mouvements, dans ce ballet de luxure. Elle gémissait de plus en plus fort sous l'effet de mes coups de boutoir. Je l'embrassai alors à pleine bouche, afin que ses cris n'attirent pas d'autres vacanciers au sous-sol.
Sa chatte serra alors si fort ma bite que je dû me retirer pour ne pas éjaculer tout de suite. C'était si bon, je voulais encore en profiter...

J'enroulai ma jambe autour de la sienne et la pénétrai de nouveau. Je repris mon rythme, allant et venant dans son minou, me retirant loin pour revenir plus profond et plus fort à chaque fois. J'allais et venais de plus en plus vite, la rencontre de nos deux pubis humides produisant un claquement sonore qui résonnait dans la cabine.

J'étais au bord de l'explosion, je contemplais cette femme, les yeux agrandis par le plaisir, les joues rouges de jouissance, le corps à l'abandon... Mes boules me faisaient mal, tout mon corps était submergé par ce désir sexuel intense. Je continuais mes aller-retours avec fougue, jusqu'à l'extrême limite!

Soudain, n'y tenant plus, je me déchargeai en elle en longues et puissantes giclées d'un sperme chaud et collant...
Je m'effondrai alors sur elle, en étouffant un râle, la serrant de toute mes forces, pour que nous ne fassions plus qu'un...
Je n'avais jamais ressenti un tel sentiment de plénitude. Je croisai alors son regard apaisé, à la fois un peu honteux et reconnaissant.
Comme au sortir d'un rêve, nous realisâmes tout à coup où nous étions et nous rhabillâmes en hâte.

Avant que la belle ne quitte le sauna, je lui jetait un "Viens me rejoindre à la chambre 478", plein d'espoir. Elle sembla marquer une pause mais ne se retourna pas ni me regarda, et sortit.
Encore tout tourneboulé par ce qui venait de se passer, je sortis moi aussi quelques instants plus tard. En passant devant la porte close des douches pour femmes, j'entendis l'eau couler et imaginai les gouttes ruisseler sur ce corps à la peau veloutée, et ce, dans ses plus beaux recoins...

Cette pensée suffit à déclencher déjà une nouvelle érection et je me hâtai de rejoindre ma chambre. Une fois arrivé, je commençai à tourner en rond avec anxiété. Allait-elle venir? Mon ventre brûlait de désir, mon sexe était déjà prêt à retourner au combat, que faisait-elle?

Soudain, on sonna à la porte. Mon cœur fit un bond à sortir de la poitrine. Je me calmai un peu avant d'ouvrir et répétai mentalement la phrase en chinois que j'avais préparée pour l'accueillir. Sous le coup de l'émotion, ma maîtrise du mandarin pouvait me lâcher à tout moment!

Je pris une grande inspiration et ouvrit. "Hello stranger, 我就知道你会来，也知道你听得懂法文。所以我一直都在等你!"
Elle eu l'air surprise. Je l'attirai alors contre moi, afin de continuer ce que nous avions commencé au sauna...