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Cambriolage

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Lue : 2485 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/10/2013

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Je rêve de bizarreries. Je vois des étrangers chez moi. Ils fouillent partout. Je sais que je n’ai rien de grande valeur, mis à part les souvenirs de familles, des photos, de petits objets. Ce n’est plus un rêve : je sors de ma léthargie, j’entends bien un bruit au salon. Qui peut bien faire du pétard à 3 heures du mat ? Je ne prends même pas le temps d’enfiler des pantoufles, pieds nus, je fille vers le bruit : nu également : je ne porte rien en dormant.

Et là, penchée en avant l’ombre sinistre. Dans un élan fou, sans réfléchir je me précipite pour immobiliser le bandit. Je le tiens, il ne peut que se débattre un peu. Je le soulève facilement : ou c’est un jeune garçon ou une fille. Ca crie, ça rouspète, ça se débat.

C’est une fille, ça a des cheveux longs, très longs. J’arrive à la faire cesser ses mouvements : j’allume le plafonnier. Oui, c’est une fille du genre belle fille. Elle est presque nue, seul un maillot la couvre un peu. Elle est bien foutue. Ça m’est égal, mon instinct de propriétaire fait que je décroche le téléphone pour appeler police secours. Elle hurle un non bruyant, comme si je me proposais de la violer. Pour m’amadouer, je pense, elle prend ma queue dans sa main droite. Ce n’est pas une caresse, elle me fait mal. Je me venge en lui alignant une belle torgnole. Nos relations sont au beau fixe.

En la laissant tomber, j’espère qu’elle me fichera la paix. Et puis j’espère que nous signerons un armistice de longue durée. Elle se relève furieuse de mes façons d’agir. Elle veut me gifler : j’arrête sa main en lui tenant le bras. C’est ma prisonnière. Elle se débat surtout quand je lui tords le bras vers l’arrière en lui faisant mal.

J’attaque à ma façon ! Mes lèvres lui coupent le sifflet. Elle reste immobile puis ouvre sa bouche. J’ai gagné : nos langues explorent la bouche de l’autre. Elle est des plus agréables à embrasser. Et puis, qu’elle ne se plaigne pas : si ma langue est douce, mes mains sont dures sur elle. Elle se détend, une de ses mains tient ma nuque. Je descends ma main sur son dos : elle se plie soue le peu de pression. Je ne reste pas longtemps immobile, sans réagir. Ma bite se réveille. Je commence à bander.

J’allais me frotter à elle pour lui montrer qu’elle ne me laisse pas indifférent. C’est elle qui se colle à moi. Nous nous regardons, elle esquisse un sourire de vainqueur. Oui, elle a gagné la première manche. Je prends le bord du maillot. Elle se doute bien de la suite. Ou le maillot cède ou c’est elle. Le maillot tient bien. Je l’ai en entier dans mes bras. Mais le maillot est à ses pieds.

Réellement une belle fille, que foutait-elle chez moi en cambrioleuse.

Je ne pense plus qu’à elle, à la baiser, la niquer, tout ce qu’elle acceptera en bas de la taille. Je caresse les fesses dodues un peu trop longues; Ses rondeurs sont acceptables pour la main. Mais sa main à elle ou-est-elle ? Elle se promène entre mes fesses, mes cuisses, sur la bite, les couilles, entre les jambes à la recherche du trésor perdu. Elle me touche le cul. Ce n’est pas du jeu, c’est à moi, sans les règles internationales admises par toutes les fédérations, c’est l’homme qui commence à cet endroit-là. Hors-jeu, elle triche. Et ma bite, c’est du pipeau. Seule les adoratrices de Sappho peuvent se libérer de la règles et encore celle qui dirige.

J’ai des principes, je n’y dérogerai pour rien au monde. Et puis zut, elle riche en se mettant à genoux devant moi. Je sais que ma bite pointe vers elle, me prendre dans sa bouche serait normal. Je refuse de tricher : c’elle qui triche avec beaucoup d’à propos. Le gland est dans sa bouche, sa langue le lèche, elle le déshabille doucement. C’est bon, je lui donne ma queue. Elle la prend avec les couilles. Elle me caresse tout le service trois pièces. Ma bite est heureuse là où elle la mise. Et moi, je ne fis rien je dois me contenter de me servir de mes doigts. Ma langue devient un instrument dépassé. Mes doigts, les mains ne servent plus ! Seule ma queue aide à son plaisir.

Elle avale la moitié de la bite. Je suis tendu vers sa bouche. Je ne peux que regarder comment elle fait. Je la fait se relever. UN floc se fait entende quand elle lâche la pine qui rebondit vers le haut. Je la tiens bien contre loi. Je passe une main sous ses fesses. Je sens une certaine humidité. IL faut que je l’essuie sinon elle va rouiller. Comment essuyer une chatte sans linge ? J’en ai un de première classe. Une garantie depuis longtemps, qui a épongé déjà une bonne centaine de réputées situations insolubles. Je tire la langue, j’arrive sur les endroits litigieux. Je trouve vite les fuites. Les gouts sont différents selon les filles, ce qu’elles sont mangé ou bu. Moi, tous les goûts me conviennent. D’accord, c’est toujours un peu salé : j’aime le sel.

Je déguste son intimité, sa douceur, tous ces petits trucs qui dépassent. Je la fait gémir, dire des « encore, c’est bon, oui, beaucoup de oui ». Je lèche son outil de jouissance. Il est assez dur : je l’aspire pour le rejeter. Elle frémit à chaque fois. Elle pousse un grand oui, quand un doigt entre dans son charmant trou.

Enfin je suis sur elle. Je m’écrase sur ses seins, mes jambes écartent les siennes. Je suis en elle. Dans un geste naturel elle entoure mes jambes des siennes, me rendant prisonnier. Je coulisse longuement. Je passe mon doigt là où il était. Elle est prise des eux cotés. Qui sait, elle aime peut être les doubles ? Nous verrons ça plus tard ;

Je sens ses spasmes autour de ma queue. Je me retiens pour ne pas l’accompagner : elle reprend une nouvelle jouissance. Cette fois je l’accompagne.

C’est bon de jouir ensemble.

Deux mois plus tard nous baisons encore. Moins qu’au début. C’est souvent elle qui vient prendre ma queue pour aspirer mon jus.
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