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Carwash partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/05/2023

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CAR WASH
partie 2
Je m'étais rendu chez elle sans idée préconçue, et j'étais tombé sous le charme d'une jeune femme dans la trentaine, vraiment ravissante. Grande, fine, un visage avec des traits fins encadré par une crinière blonde, elle portait une robe noire de soirée, simple mais très moulante, fendue haut sur le côté, révélant le nylon de bas stay-up , on voyait bien en tout cas l'élastique de la jarretière, avec des talons aiguilles. Difficile de ne pas éprouver du désir pour une jeune femme aussi ravissante...Mais bon...Ce n'est pas parce qu'on éprouve du désir pour quelqu'un qu'il se passe quelque chose.
Les deux gamines étaient ses doubles en plus petit.
Elle m'avait expliqué sortir, car elle avait des responsabilités municipales, et elle devait se rendre à une soirée culturelle, une représentation théatrale. J'étais supposé garder ses filles pendant son absence.
Les deux gamines, déjà en pyjama, étaient dans le living, et elles s'amusaient avec un jeu de société. Elles m'avaient facilement intégré. J'avais un bon contact avec les enfants. On avait joué un moment, puis je les avais mises au lit. Je leur avais lu une histoire, avant, une fois qu'elles s'étaient endormies, de regagner le living et d'attendre leur patronne en bouquinant et en faisant des fiches.
Elle était rentrée relativement tôt, sur le coup de 21 heures 30. Le revoir avait fait remonter en moi le désir. Elle était vraiment très appétissante.
--Ca s'est bien passé ?
--Impeccable.
--Très bien. Je vais vous payer.
Elle avait attrapé un porte-monnaie dans son sac à main, et avait semblé hésiter, avant de dire :
--J'ai une proposition à vous faire. Je vous donne le double de ce que vous allez toucher pour avoir gardé mes enfants en plus si vous m'embrassez pendant un quart d'heure.
J'avais été vraiment surpris. Elle m'attirait tellement que j'aurais bien, en sens inverse, donné un peu d'argent pour pouvoir l'embrasser une fois, et même pas un quart d'heure. Et avoir cette double opportunité, à la fois d'embrasser une aussi jolie fille, et en plus d'être payé. Un de ces rares moments dans la vie où on se sent béni.
Voulant sans doute répondre à une question que je ne me posais même pas, elle avait cru bon de préciser :
--Je me suis séparée de mon mari il y a deux ans, depuis il n'y a plus d'homme dans ma vie. Peut-être que je ne cherche pas vraiment...Je n'en ai pas envie, et en même temps j'en ai très envie. En tout cas rien à l'horizon. Et j'ai désespérément besoin d'affection.
J'ai pensé que c'était trop rapide, trop hatif, pourtant, quand elle s'était posée face à moi, frémissante et pleine d'envie, c'était venu tout seul. Nos visages se sont rapprochés, et on s'est embrassés tout naturellement, ca a été bon, et on a continué. J'y ai pris d'autant plus de plaisir que les semaines précécentes j'avais été trop occupé pour avoir des rapports amoureux.
Je crois bien qu'on avait largement dépassé les quinze minutes quand elle m'avait dit :
--Ca ne me suffit pas...Je te propose la même somme, en plus, si tu me laisses caresser ta queue. Je n'ai pas vu une queue depuis deux ans et ça me manque...Je veux la voir, la toucher un peu...
--Ce n'est pas la peine de payer...J'éprouve du plaisir, c'est suffisant pour moi.
--Je peux payer. J'insiste.
--Alors...
Elle s'est penchée sur moi, et elle m'a défait, les mains tremblantes. L'envie, le manque. Ce quart d'heure de baisers, son corps tout près du mien m'avait donné une belle érection qui s'est dépliée à l'air libre.
--Hmm, une queue...Ca fait trop longtemps que je n'en ai pas vu une...
Et elle a plongé sur moi de la bouche, venant me caresser avec la langue. D'évidence, ce n'était pas sa première fellation, et le manque donnait sans doute plus d'ampleur, de force et d'énergie à sa caresse buccale. Elle a tourné sur moi, venant sur mon gland, sur mes couilles, et ca a été vraiment très bon...Oui, inutile de me payer pour une telle caresse...
--Si tu continues, je vais jouir, je lui ai dit au bout d'un moment.
Ma queue, sous l'effet de sa caresse, avait encore grossi d'un quart. J'avais rarement été aussi épais. Grâce à elle.
--Est-ce que tu te sens capable de jouir deux fois?, elle m'a demandé.
--Je n'avancerai rien.
--Je voudrais boire ton sperme. Mais j'ai aussi envie que tu restes bien dur pour venir dans ma chatte. J'ai des spasmes d'envie, tellement ça me manque de me faire remplir par une queue.
Je n'ai pas vraiment eu à répondre. Un premier trait de sperme est sorti, qui est parti en travers de son visage. Je ne m'y attendais pas du tout, La jouissance a commencé a glisser sur moi. Je ne maitrisais plus rien. Elle plus que moi, sans doute. Elle a ouvert la bouche, et calé ma queue à l'entrée de celle-ci...Ma semence a atterri dans son palais, le saturant, sa chair disparaissant sous le liquide crémeux. Il y avait aussi de la semence qui partait autour de sa bouche, l'éclaboussant mais aussi sur ses joues. Quand j'ai eu évacué mon sperme en jets copieux, elle est venue, la bouche à présent remplie de semence, donner des coups de langue sur mon gland pour laper les derniers écoulements. Puis, avec quelque chose d'un défi dans le regard, et un grand sourire, elle a fermé la bouche, a dégluti, puis a rouvert la bouche pour me montrer qu'elle avait tout avalé.
Elle est venu me caresser de la main, comme pour s'assurer que je n'avais pas débandé. Mais elle m'excitait tellement, et la situation m'excitait telement aussi que je n'avais même pas bougé. Rassénérée, elle s'est redressée, en me précisant :
--Pour ça aussi, je te donne de l'argent.
--Ca ne sera pas la peine.
--Je gagne très bien ma vie. Je peux te donner de l'argent sans problème. Je sais que tu en as besoin.
De son sac à main, elle a sorti une boite de préservatifs. Elle en a retiré un de la boite. Elle est revenue en souriant. Se laissant glisser sur moi, elle a déchiré l'emballage du préservatif, et elle a posé la rondelle de latex grasse de lubrifiant sur la tête de ma queue. Peut-être parce qu'elle voulait me montrer sa virtuosité, elle a plongé sur moi de la bouche, faisant ce qu'elle n'avait pas fait jusqu'à présent, m'enveloppant en descendant sur moi.J'ai compris que je glissais dans sa gorge. Ca a été très bref, et je n'ai même pas senti ce dont j'ai eu le résultat sous les yeux en me redressant : qu'elle avait fait descendre le latex le long de ma queue jusqu'à me couvrir entièrement.
Elle a amené ses doigts sur le zip qui, fermé, permett ait à la robe de tenir, longue bande métallique sur son côté, et elle l'a descendu. Il a toutefois fallu qu'elle attrape le tissu et le fasse descendre le long d'elle pour se dénuder, faisant apparaître sous mon regard aussi fasciné que troublé le dessin de son corps. Ce que ses vêtements promettaient, sa nudité le tenait.
Si un soutien-gorge enveloppait ses seins, son ventre était lui nu. L'occasion d'avoir un premier regard, et même un deuxième sur son intimité, dont la dilatation, tout autant que l'humidification, bien visible, autant parce que ses chairs étaient luisantes que parce qu'on voyait nettement ses liquides intimes couler, disaient son excitation.
--Souvent, je ne mets pas de culotte. J'aime les sensations, et puis aussi me laisser voir, sans d'ailleurs le faire consciemment. Ca me plait de troubler les regards, quand je suis assise dans le bus, quand je marche dans la rue et que ma jupe se soulève.
Elle s'est laissée glisser sur moi, son ventre à deux centimètres de ma queue...S'asseoir à fait bailler un sexe déjà bien entrouvert, me laissant voir son intérieur rose. Elle a attrapé ma queue, et la courbant, elle est venue frotter mon gland contre ses lèvres. Plus pour son plaisir que pour le mien, sans doute. Le latex s'est mis à briller, du liquide coulant de mon méat.
--Il est temps, elle a ajouté.
Une phrase qui aurait pu s'appliquer dans bien de domaines mais qui, dans ce contexte, concernait ce dont elle avait envie. Elle est venue se positionner au-dessus de moi, a guidé ma queue vers son ouverture et elle s'est laissée descendre dessus. Ca a collé du premier coup, et j'ai vu ma queue disparaître dans son vagin, ses lèvres venant reposer sur mon pubis. Elle a poussé un long soupir, une larme coulant au coin de son œil,
--Comment on peut vivre sans queue!, elle a soupiré.
Elle est restée immobile, se remplissant de la sensation de ma queue en elle.
J'aurais pu dire la même chose, dans un autre sens. Comment vivre sans sentir la délicatesse du gant de soie, ferme et délicat à la fois d'un sexe de femme autour de sa queue. Une sensation enivrante. Je me rendais compte maintenant que j'étais enveloppé par sa vulve que ça m'avait bien manqué.
Je l'ai attrapée par les fesses, j'avais posé mon regard dessus en arrivant, sans me douter qu'elles étaient nues sous le tissu.
Je l'ai faite bouger sur moi...Elle a complétement perdu la tête, yeux dans la vague, gémissant, bavant, caressée par ma queue qui bougeait en elle, Mais je n'avais pas de raison de me sentir supérieur à elle, qui semblait tellement en manque. Moi aussi, je l'étais en manque, même si je ne voulais pas l'admettre, et moi aussi je prenais du plaisir à sentir sa chatte frotter ma queue...On a basculé dans le plaisir, un plaisir intense, jusqu'à ce qu'on se mette à jouir. Contrairement à ce qu'elle redoutait, jouir déjà une fois ne m'a pas empêché d'éprouver de nouveau du plaisir. Elle était au bord de l'orgasme, mais c'est quand mon sperme a commencé à jaillir dans le préservatif, venant taper contre les parois internes de son sexe qu'elle a véritablement explosé, se tordant en jouissant, de courts orgasmes s'enchainant sur une ligne, poussant des cris. Elle s'est figée, hors d'elle. J'ai senti quelque chose de chaud couler sur moi. Je me suis rendu compte qu'elle avait perdu le contrôle et qu'elle se vidait sur moi. C'est plus tard que je me suis dit que ce n'était peut-être pas involontaire...
Dix minutes après elle me tendait deux paquets de billets. Celui pour avoir gardé les enfants était bien moins épais que celui pour avoir fait l'amour avec elle. J'ai eu honte, et je me lui ai rendu le paquet le plus épais.
--Tu as besoin d'argent, et je peux t'en donner sans problème. Prends-le. Tu ne t'en rends pas compte, mais tu m'as donné bien plus que je ne pourrais te donner.
Je l'ai mis dans ma poche, et à partir de ce moment, je n'ai plus eu aucun complexe,
Je lui rendais visite ce soir-même. Assez ironiquement, au fil du temps, notre relation avait évolué. C'était elle qui me convoquait, avec un manque de réserve qui confinait à l'impudeur, mais que j'appréciais, et elle faisait garder les enfants par quelqu'un dans un autre lieu pour qu'on puisse s'ébattre tranquillement chez elle.
A présent, quand elle m'écrivait, elle me demandait toujours 'Comment tu veux que je t'accueille ?' et elle se paraît en fonction de mes envies, qui demeuraient simples. Cet après-midi-là, je lui avais répondu : ' Un soutien-gorge, pas de slip, des bas stay-up, et des talons aiguille, ça me plairait bien.'
J'étais parti la rejoindre, en songeant que l'argent que mes trois clientes de baby-sitting avaient pu me donner m'avait bien aidé et m'aidait encore bien. C'est quand on n'a pas d'argent qu'on se rend compte à quel point il est important.
Cela faisait un an et demi qu'on se connaissait, mais non seulement je n'étais jamais arrivé à épuiser le plaisir qu'on pouvait avoir ensemble, des orgasmes très forts, pas plus que notre imagination, mais aussi le trouble qu'elle m'inspirait. Si l'indifférence devait être un jour au rendez-vous, ce n'était pas encore le cas.
J'ai sonné, et elle est venue ouvrir. Parée comme je l'avais fantasmée. Un soutien-gorge bleu ciel enveloppait ses seins lourds parfaitement ovales et fermes, elle avait le ventre nu, des bas, et des escarpins avec des talons aiguille fins et hauts. Le feu s'est mis à couler dans mes veines, et encore plus quand elle est venue plaquer sa chaleur contre moi, et chercher ma bouche pour un baiser interminable, sa langue caressant la mienne. Elle m'a attrapé la main, et elle l'a amenée contre son sexe. Je l'ai trouvé ouvert et humide, le relief de ses lèvres contre ma paume.
--Viens, je suis surexcitée. J'ai passé la journée à me tripoter en pensant à ce moment.
Elle m'a attiré vers le divan qui avait vu déjà pas mal de nos ébats et elle s'est basculée en arrière, s'offrant. J'ai caressé ses jambes, fasciné autant par leur dessin, elles étaient impeccables, que par le nylon qui les réhaussait, électrique au bout de mes doigts. Dans ma ligne de mire, son sexe dont l'état disait l'excitation, et sur lequel je suis venu. Au fil des jours et des semaines, j'avais compris qu'elle aimait le sexe, que le manque lui était pénible, mais aussi qu'elle pouvait jouir de bien des façons, et que l'une d'entre elles, qu'elle appréciait vraiment, c'était qu'on lui fasse un cunni. C'était vrai, et je l'avais appris depuis pas longtemps, son clitoris, ce n'était pas juste ce petit bout qui sortait en haut de son sexe, et se gonflait, ça c'était le gland clitoridien, mais il se cachait dans l'ensemble de la zone de son vagin, circulaire, et la caresser de la langue, c'était stimuler cette zone, plus que quand je faisais aller et venir ma queue dans son sexe, un autre plaisir. J'aimais en tout cas ces moments, et elle aussi, quand je venais sur elle, son sexe à deux centimètres de mon visage, que je pouvais le voir dans ses plus infimes détails, le caresser, le parcourir de la langue, que je sentais ses sécrétions vaginales couler dans ma bouche, me remplir d'une saveur amère, sucrée, ou les deux, et que je finissais par jouir, me caressant en même temps que je lui donnais du plaisir, ou me frottant contre le cuir du divan, ou les draps, crachant mon sperme dans les airs ou sur une matière, mais tellement excité que je pouvais encore après venir en elle et la fouiller.
Son goût a rempli ma bouche, alors que je parcourais ses lèvres, et que je tentais de darder ma langue en elle pour venir frôler la délicatesse et la sensibilité d'un intérieur tout rose. Elle s'est très vite abandonnée, son corps agité de frémissements, abandonnée contre le dossier du canapé, gémissant.
Il y avait pourtant quelque chose qui n'était pas comme d'habitude.
Juste en dessous de la béance de son sexe, je pouvais nettement voir, en lieu et place du dessin de sa muqueuse anale, un ovale metallique, une pastille couleur argent enchassée dans une autre pastille, plus large, rose elle, qui masquait en partie sa muqueuse. J'avais regardé suffisamment de porno pour savoir qu'il s'agissait certainement d'un anal plug, qu'elle s'était planté dans la muqueuse. Pour avoir du plaisir en se sentant remplie, et percevant l'objet frotter contre ses chairs quand elle bougeait. J'avais bien compris qu'elle était toujours en recherche de nouveaux plaisirs et elle m'avait déjà montré à plusieurs reprises des jouets qu'elle utilisait, voire m'avait laissé la découvrir avec un gode planté dans le sexe. Mais jamais par là.
Je suis remonté sur le triangle de poils qu'elle gardait sur son pubis, de dimension moyenne mais soigneusement taillé. J'aimais balader mes doigts et ma langue dans ces poils soyeux, avant de revenir sur son gland clitoridien qui s'était décalotté, et dardait, pas charnu, mai trè fin. Je l'ai caressé de la pointe de la langue.
--Je suis entrain de jouir, elle m'a dit.
La meilleure preuve, ca a été ce jaillissement de liquides intimes qui est venu m'arroser. Je suis descendu sur un sexe bien plus dilaté à présent, et j'ai adopté un principe simple celui qui était toujours le mien : quand je sentais qu'elle allait commencer à jouir, je n'optais jamais pour la même technique, cassant une routine qui de toute façon n'existait pas vraiment, car chaque rapprochement était forcément différent, question d'ambiance, d'atmosphère, de sensations..Cette fois, j'ai enfoncé ma langue aussi loin que je le pouvais en elle, venant appuyer sur ses muqueuses internes. Elle a crié, joui et éjaculé, deversant dans ma gorge ses liquides les plus intimes.
Ca a été quelques minutes après qu'elle m'a dit :
--Tu as vu que je ne suis pas comme d'habitude.
--Ce n'est donc pas une hallucination, je lui ai répondu, avec sans doute un rien d'ironie.
--J'avais envie que tu me prennes par le cul, et d'être suffisamment dilatée...
--Ca sera sans doute le cas.
--En tout cas, ça m'a donné du plaisir. Et si tu l'enlevais...Doucement...
C'était vrai que si j'avais déjà vu des anal plugs, je n'en avais jamais manipulé. J'ai eu tout bêtement peur de lui faire mal, mais ça n'est pas ce qui s'est passé. Venant poser la pulpe de mes doigts contre le metal, sentant aussi au bout de mes doigts la chaleur de sa chair, j'ai retiré l'anal plug tout doucement. Mais ironiquement, il ne s'est pas agi de douleur, mais bien de plaisir...Elle a gémi, et plusieurs jets de liquide intime, éjaculés avec force, sont venus me frapper de plein fouet.
Son anus m'est apparu sous un nouveau jour. Je ne savais pas depuis combien de temps l'anal plug était enfoncé en elle, en tout cas, il y avait un résultat. Sa muqueuse s'était dilatée, et je pouvais voir son intérieur, rose et luisant, aussi nettement que quelques centimètres plus haut, sa muqueuse vaginale m'était offerte dans sa béance.
C'était un basculement vers un nouveau plaisir, mais j'y étais tout à fait disposé.
Certains auraient sans doute trouvé ça dégoutant, mais j'avais envie de venir sur sa muqueuse anale comme j'étais venu sur son sexe. Je sentais bien aussi qu'elle en avait envie, même si elle ne le formulait pas clairement. L'amour n'est pas toujours propre mais l'envie est la plus forte. Avec une évidence qui est apparue quasiment tout de suite : si elle éprouvait du plaisir par la chatte, elle pouvait aussi en éprouver par le cul. Dès que ma langue est venue glisser sur les chairs délicates et ultra-sensibles, elle a été dans tous ses états...Ce qu'elle avait pu éprouver avant n'était rien comparé à ce qu'elle éprouvait maintenant, se tordant de plaisir sous cette langue qui la fouillait, sa mouille dégoulinant. Je me suis rendu compte que pour donner plus d'intensité à son plaisir, elle avait amené sa main sur son sexe et qu'elle se frottait, ses chairs à vif, congestionnées, et gonflant encore... Ses jus intimes, source apparemment inépuisable, coulaient sur ses chairs, sur mon visage et dans ma bouche...Elle s'est tendue, à joui, avant de me dire :
--J'ai envie que tu viennes maintenant.
J'ai attrapé un préservatif dans la boite posée sur le bras du canapé, et, me calant au fond de celui-ci, je l'ai prise par les hanches, l'entrainant dans une autre position. Elle est venue se positionner au-dessus de moi, attrapant ma queue comme la première fois, mais, au lieu de la guider vers sa vulve, elle l'a amenée un peu plus bas...Je ne me suis même pas rendu compte que je rentrais en elle, me trouvant soudain totalement enveloppé par ses chairs délicates. Une autre sensation que celle que j'avais pu connaître dans sa chatte.
Elle s'est faite bouger sur moi, imprimant un rythme, en même temps qu'elle continuait de frotter sa chatte. Sentir ses chairs anales autour de ma queue, c'était une expérience nouvelle, c'était du plaisir, auquel s'ajoutait celui de la voir bouger sur moi, belle, séduisante, et aussi de prendre ainsi du plaisir sans retenue, ce qui me troublait énormément. Trouble qui s'est accru quand elle a tendu la main pour attraper entre les coussins du canapé un tube de plastique bleu qu'elle a glissé entre ses lèvres, fouillant son sexe en même temps qu'elle continuait de se faire aller et venir sur ma queue. Il n'y avait pas de synchronicité entre les deux mouvements, mais c'était ça qui me plaisait. Quelque chose de mal contrôlé, mais de naturel, de vrai...Elle a joui plusieurs fois, prise dans un cycle sans fin, qui s'est interrompue quand, au bout de ses orgasmes, elle s'est soulevée pour sortir ma queue de son ventre, sentant que j'allais jouir. J'étais très gros, très dilaté, plus sans doute que quand je rentrais dans sa chatte. Elle a arraché le latex de sur ma queue, et plaqué ma verge contre son ventre. Le premier spasme m'a agité quelques secondes après, et, jouissant d'un orgasme fort, j'ai arrosé sa peau de ma semence, éclaboussant son ventre, ses seins, jusqu'à son visage.

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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Carwash partie 2

Le 05/05/2023 - 17:54 par OlgaT
Excellent!

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