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Carwash partie 3

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 09/05/2023

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CARWASH
PARTIE 3
Les flyers, j'en ai mis un peu partout. Sous des essuie-glace, sur des pare-brises, sur des panneaux d'affichage, de supermarché, et en en donnant dans des lieux publics...
Ma première cliente, pourtant, elle, n'a pas appelé le numéro que j'avais écrit sur le flyer, pas plus qu'elle n'a utilisé les réseaux sociaux.
Non, le contact s'est fait de la manière la plus simple qui soit. Je glissais les flyers sur les pare-brises sur le parking d'un petit supermarché à côté de chez moi. Il y avait une trentaine de voitures.
Assez ironiquement, j'étais tellement concentré sur ma tâche que je voyais le pare-brise et les essuie-glace...Sans forcement regarder l'intérieur du véhicule.
Et puis il y a eu un basculement. Parce que j'ai senti une présence dans le véhicule contre lequel j'étais, puis VU cette présence.
Et d'abord son intimité.
Ca a été comme un puzzle, dont les détails se sont précisés petit à petit.
Les premiers éléments, ça aura été des jambes parfaites, vraiment bien dessinées, et galbées, gainées par un collant, qui les prenait au sortir de bottines lacées. Elle portait une très jolie robe, blanche avec des fleurs multicolores dessus, mais celle-ci était remontée haut, sans doute autant quand elle s'était installée que quand elle avait bougé, et le résultat c'était qu'elle était tire-bouchonnée au niveau de son ventre, laissant voir la partie sous son nombril.
Chaque femme était différente. Certaines ne mettaient jamais de collant, d'autres jamais de culotte, d'autres encore des bas, elle, elle avait choisi de porter un collant sans slip dessous, ce qui était une option.
Il y avait des collants qui avaient une partie culotte sombre qui ne laissait rien voir, d'autres encore qui avaient une partie ronde ou ovale noire, opaque, censée masquer le sexe.
Ce n'était pas le cas de ce collant-là, qui se contentait d'une ligne de couture qui fendait la partie entrejambes en deux. Et donc, rien n'était masqué.
Des sexes de femme, nous les hommes on pouvait en voir des dizaines, mais on était toujours aussi troublé. Un pouvoir toujours intact. Et puis c'était vrai aussi que chaque sexe féminin était une découverte car il était différent des autres, dans son dessin, et dans son état, du repos total à l'excitation extrême.
J'ai vu une toison blonde, que sa propriétaire n'avait pas jugé nécessaire de raser, mais c'était bien comme ça. Remontant jusqu'à son visage, j'ai constaté que sa chevelure, qui s'épanouissait autour de sa tête, épaisse, souple et longue, était du même blond.
Son sexe, c'était une fente au repos, dont sortaient deux bouts de lèvre inégaux mais aussi très longs, qui s'étendaient hors d'elle.
Elle avait une cigarette dans la main gauche, qu'elle amenait régulièrement à sa bouche pour tirer dessus, et dans la droite, un livre qu'elle parcourait. Et un visage magnifique. Celui d'une femme dans une fin de quarantaine, mais au summum de sa beauté. Un visage triangulaire, d'une rare harmonie.
J'avais le flyer à la main, je ne l'avais pas encore déposé. Il y a eu un enchainement, mais très serré, une quasi simultanéité en fait. J'avais regardé son corps, sa chatte, avant de me pencher. Elle a senti mon regard sur elle, et nos yeux se sont rencontrés. Elle avait de magnifiques yeux bleus. Elle m'a souri, et est descendue de voiture. J'aurais aimé profiter encore quelques secondes de cette vision intime. Mais déjà, elle engageait le mouvement de descente, et sa robe glissait sur ses jambes.
On s'est retrouvés face à face. Elle était plus grande que moi, en partie, mais en partie seulement parce que ses bottines avaient des talons fins et hauts. Elle était irrésistible.
Je lui ai tendu le flyer que j'allais poser sur le pare-brise. Elle y a jeté un œil, avant de me considérer à nouveau.
--Ca vous dit de laver six voitures ?
C'est à ce moment que j'ai regardé son véhicule à elle, et que je me suis rendu compte que c'était une superbe Mercèdés-Benz.
--Je suis l'épouse d'un pédiatre. Mon mari gagne énormément d'argent. On a six véhicules. Et effectivement, personne ne les lave ni ne les nettoie jamais.
--Vous seriez ma première cliente.
--Je porte chance aux gens. Vous en aurez plein d'autres. Demain après-midi ?
Elle a récupéré un stylo dans son sac à mains, et a griffonné quelques lignes sur le dos du flyer avant de me le tendre. Nos doigts se sont effleurés.
J'ai pris le flyer pour regarder. Une adresse, un numéro de portable.
Au moment de remonter dans le véhicule, elle a soufflé, bref et bas, à un tel point que je me suis demandé si j'avais rêvé:
--Je ne mets jamais de slip.
Elle s'est réinstallée. Le mouvement obigatoire pour se caler dans le véhicule m'a donné une seconde occasion d'admirer son sexe, mais en bout de course, elle a refermé ses cuisses.
Avais-je été efficace? Il y a eu un moment de latence, avant que le soir, je ne commence à recevoir des demandes. Tout ne se passait pas si mal.
C'est le lendemain après-midi, à la sortie des cours, que je suis parti chez elle. C'était mon premier carwash, alors j'étais un peu tendu. Je l'étais aussi parce que je ne cessais de penser à sa beauté de quadra, au dessin de son sexe, à la sensualité naturelle qu'elle dégageait.
Elle habitait une grande maison sur la colline à la sortie nord-est de la ville où étaient rassemblées les plus belles maisons, celles construites par des gens aisés. La sienne était sur deux étages, carrée, avec des baies vitrées, et un grand terrain.
M'avait-elle entendu arriver ? Je n'ai même pas eu le temps d'approcher du portail et de sonner. Elle a surgi de l'arrière de la maison, vêtue d'un bikini bleu électrique. J'ai eu le temps de la détailler alors qu'elle approchait. Je bandais à moitié en arrivant, je suis devenu très raide en quelques instants. Je me demandais si je la trouverais aussi désirable que la veille en arrivant. J'avais la réponse sous les yeux.
Elle avait largement passé la quarantaine, mais, que ce soit biologique, du à l'exercice ou les deux, elle était vraiment irrésistible. Grande, avec un corps impeccablement dessiné, et des formes, elle pouvait s'exhiber sans complexes. C'était bien ce qu'elle faisait, d'ailleurs.
Le maillot était fait d'un de ces tissus d'aujourd'hui, qui étaient moulants à l'extrême et qui dessinaient le corps dans ses moindres détails, y compris ce qui pouvait charmer, troubler, et les deux. Le haut enveloppait ses seins, le tissu marquant bien leur lourdeur, mais dessinait aussi de manière nette ses aréoles et des tétons qui tendaient le tissu. Un peu plus bas, le slip du maillot de bain dessinait avec tout autant de précision son sexe, y compris pour ses lèvres qui ne restaient pas rentrées.
Le temps qu'elle arrive à moi des mini-scénarii érotiques se sont écrits dans ma tête. Je me suis vu posant ma main sur son ventre plat, et le caressant d'un mouvement circulaire, une caresse simple mais efficace, la faisant gémir de plaisir, en même temps que je venais chercher sa bouche et sa langue, ou encore passant la main dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge et mettre ses seins à nu, venant agacer ou pincer ces tétons qui semblaient perpetuellement érigés, ou encore descendant son slip, et faisant glisser mes doigts sur ses parties intimes...
Mais ca s'est passé autrement.
Il n'y avait pas de cloture, ni de portail, mais je ne me suis pas aventuré sur le terrain avant qu'elle ne soit venue me chercher à la lisière de celui-ci. Elle s'est arrêtée tout près de moi, me faisant percevoir l'épaisseur de son corps et la chaleur qui en émanait.
--Venez avec moi, je vais vous montrer ce qu'il y a à nettoyer.
On est passés le long de la maison. J'ai aperçu de grandes pièces, un lieu à vivre agréable. Sous mes yeux, sa croupe ondulait, pleine, et fendue en deux par un sillon profond dans lequel le tissu rentrait et rentrerait quoi qu'elle fasse.
On a débouché sur le terrain. Juste devant la maison, au-delà d'un espace pavé qui avait valeur de terrasse, une grande piscine. La serviette posée le long disait qu'elle en profitait au moment où j'étais arrivé...
Sur la droite, le long de la haie haute qui séparait de la maison du voisin et isolait, il y avait une partie couverte. Six véhicules rangés là.
-Il y a les véhicules de mon mari et de moi et ceux de nos enfants. Si vous pouvez faire l'extérieur et l'intérieur,ce serait bien. Je vous avoue que je suis très négligente sur ce plan-là, et mon mari est surbooké...
--Je m'y mets tout de suite...Je peux me brancher quelque part pour l'aspirateur ? J'ai des rallonges...
--On va vous branchere à l'intérieur...Venez...
Elle m'a entrainé vers la porte-fenêtre entrouverte la plus proche. Juste là, contre le mur, il y avait une prise. Elle s'est pliée en deux pour me la désigner, tendant ses fesses vers moi...
Pour venir je m'étais habillé léger. Je savais que j'allais me mouiller. Un short, un T-shirt, un blouson...
C'est quand elle s'est redressée et que son regard s'est posé sur moi que je me suis rendu compte que, même avec un caleçon en dessous, l'érection qu'elle m'inspirait avec pris de plus en plus de volume à son contact, et qu'il m'était impossible de la cacher, vu comme j'étais habillé.
--Je vous fais de l'effet à ce que je vois ?
--Je pourrais difficilement nier, j'ai répondu.
--J'adore les queues. Ca te dirait de me laisser voir la tienne ? Tu sais, je me débrouille plutôt bien question sexe. J'adore ça, et j'ai beaucoup d'expérience...
Elle a soupiré avant de rajouter :
--Et puis surtout je suis en manque...Mon mari est l'un des pédiatres les plus réputés de la ville, il n'est jamais à la maison, et quand il rentre, il est trop fatigué pour me baiser. Et moi j'ai toujours eu très envie de sexe.
--Vous vouliez que je vienne pour le sexe ou pour laver les voitures ?
--Si on pouvait marier les deux, ce serait bien, elle a répondu en même temps qu'elle agrippait le bord de mon short et le tirait fermement vers le bas, entrainant dans la descente mon caleçon.
Ma queue a jailli à l'air libre comme un Diable sort de sa boite. Bien droite, bien dure, collée contre mon ventre. Son regard s'est mis à briller.
--Tu as une belle queue. Exactement ce qu'il me fallait...Tu me laisses jouer avec ? J'en ai trop envie, là maintenant, mais on pourra aller plus loin cet aprem, et je pense qu'il faudra que tu reviennes pour faire tous les véhicules...Tu n'es pas réservé par quelqu'un d'autre demain après-midi ?
--Non, j'ai répondu, traversé par une décharge électrique quand sa main est venue encercler ma queue, puis envahi par la chaleur quand elle a commencé à me masturber doucement.
Elle a fermé les yeux, et poussé un soupir.
--Si je te disais depuis combien de temps je n'ai pas vu la queue de mon mari, tu ne me croirais même pas...
Ce qu'elle a fait dans les secondes qui ont suivi était très troublant. Un signe sans doute. Car tout ce qu'elle a aussi fait par la suite l'était aussi. Elle était sensuelle et imaginative, et avait des idées auxquelles d'autres filles n'auraient pas pensé. Elle s'est rapprochée de moi, de manière à ce que nos ventres se touchent presque. Puis, elle a guidé ma queue vers son slip de maillot de bain, appuyant mon gland juste en dessous de l'élastique. Les sensations m'ont pris aussitôt.
Sensations du tissu, frais et extrêmement doux, et au-delà, d'abord léger, puis de plus en plus marqué, la chaleur issue de son corps, montant dans ma queue, puis se répandant en moi.
J'ai pensé, et c'était sans doute le cas, qu'elle cherchait plus à se donner du plaisir qu'à m'en procurer. Même si au final, le résultat était le même. Elle a utilisé ma queue comme un gode, même si elle était plus qu'un gode, chaude, vivante, et capable de cracher du sperme. Mais j'étais quand même mal placé pour me plaindre. Tout le temps que je suis venu laver ses véhicules, j'ai pu profiter d'une femme comme je n'en avais encore jamais connue, belle et sensuelle en diable, aimant le sexe de manière extrême, ayant toujours envie, beaucoup d'imagination, capable de s'engager dans des rapprochements et des jeux que je n'aurais même pas imaginés.
Là elle me frottait contre elle, et je devais bien reconnaître que le barrage du slip rajoutait de l'excitation.
Elle m'a gardé un moment sur son pubis. Sous le tissu, je sentais le tapis de ses poils. Puis elle est descendue, et j'ai perçu, à travers le tissu, le poids de son gland clitoridien, déjà décalotté et gonflé, ainsi que, plus bas, son sexe, ouvert, et qui s'ouvrait nettement plus, alors qu'elle baladait mon gland contre. J'ai senti aussi du liquide couler, d'abord de manière discrète, puis beaucoup plus abondante. De même si elle gardait le contrôle au début, elle a vite perdu pied, son plaisir sans doute d'autant plus fort qu'elle était frustrée. Mais je n'étais pas forcément plus en contrôle qu'elle.
Elle avait esquissé un mouvement de haut en bas qu'elle gardait régulier, comme gage de plaisir.
L'un comme l'autre, nous saturions le tissu de nos liquides intimes qui s'y rejoignaient.
Le plaisir montait dans son corps...Elle s'est cambrée, a lâché un gémissement puis une longue plainte, au moment où le plaisir s'emparait d'elle, dont la manifestation la plus évidente ont été les jets de mouille qui sont venus frapper le tissu du slip de mailot de bain, trempant le tissu sur une zone bien plus large, chauds contre ma queue...Elle me tenait toujours fermement. Elle m'a fait glisser jusqu'au centre de sa fente, que je sentais ouverte contre moi, sans pouvoir y accéder puisque le tissu m'en empêchait. J'avais bien compris que ce n'était pas ce qu'elle voulait pour le moment, et que le plaisir, son plaisir mais aussi le mien tenaient au fait qu'on garde ce tissu entre nous. Elle m'a fait sentir sa chaleur et sa béance. J'étais au bout de mon excitation. Un premier jet de sperme est sorti de moi, qui est venu maculer le slip d'un trait blanc transversal. Elle a resserré sa main autour de ma queue, et j'ai éjaculé, trait après trait, au creux de sa main soigneusement fermée, entouré par sa chaleur, comme j'aurais pu jouir dans sa bouche ou dans son vagin. Elle a desserré son étreinte une fois que je me suis vidé de tout mon sperme. Ca avait bien rempli sa main, une mini-mare crémeuse. Elle s'est d'abord penchée sur ma queue, encore toute dure, venant balader sa langue dans un mouvement circulaire et habile sur mon gland comme pour le nettoyer, avant de se redresser, de porter sa main à sa bouche, et de laper, sous mes yeux, ma semence, jusqu'à ce que sa main soit propre. Je la matais, encore plein de désir. Le slip était sombre d'avoir recueilli les sécrétions.
Elle s'est penchée pour faire glisser le slip le long de ses hanches.
--Je vais mettre un slip sec.
J'ai eu une seconde vision de son sexe : Toujours cette toison blonde, et une fente cette fois bien dilatée, comme je l'avais senti contre mon gland, des lèvres gorgées de sang, son intérieur bien visible, Elle s'est basculée en arrière sur un bras du canapé, se cambrant dans une position de semi-équilibre qui mettait en valeur un corps superbe, sans failles, mais ce sont surtout ses doigts qui ont mis en valeur son sexe. Un index de chaque main, elle s'est ouverte autant qu'elle le pouvait, ma laissant voir autant les parois de son intérieur, toutes roses, que son utérus au fond, coupé en deux. Le plus excitant, c'était de voir son gland clitoridien, en plein érection, en haut de son sexe...Ou peut-être la manière dont elle continuait de mouiller, ses liquides intimes coulant toujours, comme un flux que rien n'aurait su arrêter, sortant d'elle et venant mouiller ses aines et ses cuisses.
--Regarde, tu y penseras en lavant les voitures. Mais aussi quand tu seras seul. Quand tu branleras ta queue. Tu jouiras en pensant à mon corps et à ma chatte. J'ai envie de sentir ta queue bien dure et bien chaude dedans. Et ton sperme jaillir. Je suis nymphomane. Et je n'en ai pas honte. Pour moi une vie sans sexe ne vaut pas la peine d'être vécue.
Elle s'est éclipsée vers l'étage. Sa croupe, pleine et charnue, coupée en deux par un sillon profond, a ondulé sous mes yeux. Quelques secondes plus tard, elle redescendait, partiellement masquée d'un maillot quasi identique, mais vert acidulé.
Le temps qu'elle monte et descende, j'avais porté son slip à mes narines, m'enivrant de l'odeur, forte, de ses sécrétions intimes.
Ce slip, je l'ai reniflé de temps à autres, il est resté humide longtemps, pendant les deux heures où j'ai commencé mon travail. Je suis parti sur un premier véhicule, commençant par l'intérieur. Comme tous les gens aisés, ils étaient plutôt négligents...Quand on peut tout avoir...J'ai soigneusement passé l'aspirateur, nettoyé les vitres, avant de basculer sur l'extérieur.
Une heure quinze jour faire la première voiture. Je n'aurais pas fini aujourd'hui.
Je l'observais du coin de l'oeil. Calée sous un parasol, elle lisait tranquillement. Elle a fini par se lever, et elle est partie dans la maison, sans me regarder. Il faut dire que j'étais plongé dans le corps de la deuxième voiture, et en plein effort. Elle est revenue avec une carafe et deux verres sur un plateau. Je pensais que c'était tout pour elle, mais elle est venue déposer le plateau près de moi.
--C'est de la limonade, elle a dit. Faite maison, qui plus est.
Elle s'est accroupie, et a versé deux verres. Elle s'est redressée avec l'un d'entre eux, mais au lieu de partir avec, elle l'a posé sur le capot. Elle a fait glisser ses mains dans son dos pour défaire son soutien-gorge. Elle a récupéré le tissu, dévoilant une magnifique paire de seins très ronds et très fermes, dont l'ovale, totalement artificiel, disait clairement qu'ils n'étaent pas naturels. J'imaginais sans mal une fille plutôt plate, qui décidait de se payer un jour une paire de seins, parce que, pourvu qu'on payat, on pouvait aller contre la nature. Son mari semblait la négliger. Avait-il éprouvé, à un moment, de la fascination pour ces énormes doudounes ? Qu'elles soient fausses importait peu, le résultat était là, et il était vraiment troublant, même si on n'était pas, comme moi, fasciné par les gros seins. Il est vrai que les choses ont pris une dimension différente quand elle a pris ses doudounes à pleines mains, une main sur chaque sein, et qu'elle s'est mise à les frotter doucement. C'était hyper-troublant, et ça n'a pas contribué à me calmer, au contraire. Elle souriait, sure de son sex-appeal, et heureuse de me troubler. J'avais l'impression qu'il y avait en elle le désir de m'allumer, ce qu'elle réalisait sans mal. N'importe quel homme à ma place aurait été profondément remué.
Et remué, je l'ai été encore plus quand elle a simultanément baissé son visage, et remonté un sein vers celui-ci. De manière, sinon logique, du moins inévitable, son sein et sa bouche se sont rencontrés, et elle est venue agacer son téton de la pointe de sa langue.
Le téton a pris du volume, de l'épaisseur, et de la longueur. Elle l'a bien trituré de la langue, en même temps qu'elle fourrait sans main dans son slip de bain et qu'elle se caressait. C'était sans doute plus excitant de la voir ainsi se caresser sans que son sexe soit dévoilé, de l'imaginer, alors qu'elle faisait tourner sa main dessus, mouillant à nouveau un slip de maillot. Elle a trempé le tissu, travaillant un sein jusqu'à laisser le téton long et dur, avant de passer au deuxième, dans un souci, d'équilibre, d'esthétique, ou peut-être simplement de se donner du plaisir.
Elle s'est interrompue, m'a dit :
--Quand tu auras lavé la deuxième carrosserie, tu pourras arrêter et venir me rejoindre.
J'ai bu une rasade de la limonade d'évidence faite maison, la regardant s'éloigner, sa croupe dansant sous le tissu, avant de me remettre au travail. Je l'observais du coin de l'oeil. Elle avait abandonné son livre, et la main fourrée dans son slip de bain, elle continuait de se caresser les tétons pour se donner du plaisir. Son soutien-gorge de maillot de bain était toujours sur la carrosserie. Je l'ai ramassé pour le mettre de côté, respirant le tissu marqué par l'odeur de son parfum. Il est resté dans mes narines tout le temps que j'ai savonné la carosserie, jusqu'au moment où je l'ai lustré à la peau de chamois. Je pouvais aller la rejoindre.
J'ai pris de plein fouet sa sensualité quand je suis arrivé près d'elle. Elle avait le regard chaviré d'une femme en plein plaisir. Ses tétons étaient figés dans la dureté et elle avait la main enfoncée dans la culotte, une culotte sombre sur toute sa partie face et l'entrejambes.
--Viens prendre mes tétons dans ta bouche et suce-les.
Comprenant qu'elle était la maitresse du jeu, et qu'elle allait me guider, qu'il fallait que j'en passe par là pour avoir du plaisir, mais qu'en même temps, elle m'emménerait sur des chemins que je ne connaissais même pas, j'ai obéi. J'ai pris un téton dans ma bouche, je l'ai senti dur et épais, il m'a rempli la bouche. J'ai frotté ma langue contre, comme elle me l'avait demandé, et elle s'est mise à gémir. Dans le même temps, elle a sorti sa main de son slip, poisseuse de ses jus intimes, elle a attrapé la mienne, de manière à ce que nos doigts soient mêlés. Puis, elle a emmené ma main sous le tissu. Une aventure, une découverte. Elle n 'a pas baissé son slip, et la bosse sous le tissu est devenue plus importante. Les sensations se sont précipitées, m'ont assailli, chamboulé. Sensations liquides, celle des jus intimes qui coulaient d'elle, sans discontinuer, qui ont trempé ma main, une main guidée par la sienne, qui m'a fait explorer ce qu'elle avait de plus intime. J'ai senti l'épaisseur de ses lèvres contre moi, que l'excitation, et ses caresses avaient dilaté, mais aussi sa béance, la chaleur qui montait de l'ouverture de son sexe, et, tout en haut de ses lèvres, son gland clitoridien qui dardait, épais, dur, et suffisamment long pour faire penser à un micro-pénis, aussi impressionnant que le reste de son anatomie, et que l'était son envie de sexe et de plaisir.
Je suis passé d'un sein à l'autre pendant qu'elle me faisait découvrir la sensation de son sexe, et se caressait en même temps avec ma main. Elle a fini par faire remonter nos deux mains mêlées, rompre le contact et accrocher ma queue, de cette même main qui, depuis pas mal de temps déjà, avait frotté son sexe à être imprégnée de ses sécrétions intimes, dont l'odeur forte est montée à mes narines. Elle a dégagé ma queue des tissus qui l'enveloppaient. J'étais très raide, gorgé de sang...Elle m'a caressé doucement, pendant que je continuais de balader ma bouche sur ses seins, dans une position ambigué, mi-allongé sur le siège, mi-debout, faisant vibrer ma queue au creux de sa main dans des caresses qui tenaient de l'effleurement. Mon liquide pré-sécrétif coulait comme de l'eau d'une fontaine...
--Je veux que tu enlèves mon slip et que tu viennes frotter ta queue contre mon gland clitoridien.
Je me suis dégagé de sa caresse et j'ai obéi. Je crois bien que je n'avais jamais été aussi excité quand j'étais avec une femme.Elle était la quintesscence de la sensualité et de l'expérience, et j'avais totalement conscience que ce moment était un moment très fort, exceptionnel, et que je devais absolument en profiter au maximum.
Elle s'est soulevée pour me permettre de lui ôter son slip. Une odeur forte, vraiment intense, une odeur de femme, m'est montée aux narines.
J'ai glissé sur elle. Entièrement nue, elle s'offrait totalement. Je suis venu appuyer mon gland dilaté contre le bout de chair imposant. J'avais déjà caressé un gland clitoridien avec la langue, mais jamais avec ma queue. Et je me suis mis à frotter. Le plaisir a été aussi fort que la sensation était excitante, avec la masse de ce morceau de chair, d'une certaine manière comme une bite contre moi, une bite de petites dimensions. Les yeux mi-clos, elle gémissait, et le sourire sur son visage disait combien ce moment était important pour elle. Le plaisir montait en moi et je devais vraiment m'accrocher pour ne pas jouir. Elle a fini par envelopper mon gland, comme une barrière enre nos parties intimes, pour freiner ce qui montait en moi.
--Maintenant je vais te mettre une capote, je veux que tu viennes dans mon sexe et que tu me caresses longtemps à l'intérieur. Ce que ne fait plus mon mari. C'est uin plaisir que rien ne remplace.
Elle a tendu la main. Je n'avais pas remarqué la boite de préservatifs posée près du livre. Elle a attrapé un emballage d'argent, l'a déchiré pour faire apparaître une rondelle de latex couverte de lubrifiant. Elle a fait preuve d'une réelle habileté, mais je n'en aurais pas douté un seul instant, pour prendre le préservatif entre ses doigts, et le faire glisser habilement, d'un seul mouvement, jusqu'à la racine de ma queue. La suite est venue très rapidement : je me suis ajusté sur elle, et j'ai glissé dans sa chatte. Les sensations ont tout de suite été très fortes, sa chaleur autour de moi, son humidité, mais aussi la merveilleuse sensation d'être enveloppé par quelque chose d'infiniment doux, qui me prenait totalement, comme un gant peut prendre une main. Une sensation délicieuse que j'avais envie de laisser d'épanouir autour de ma queue, comme ma présence en elle a semblé lui donner un plaisir intense, avant même que je ne commence à la caresser en bougeant en elle. Ce sourire, qui était apparu quelques minutes plus tôt était bien marqué sur son visage, je ne l'avais pas vu auparavant, et il s'est prolongé juqu'à l'orgasme.
Elle a gémi longuement alors que ma queue bougeait en elle. Sa chatte me semblait parfaite, souple, chaude, parfaitement ajustée à ma queue.
Etait-ce la volonté de me montrer son habileté, de prendre du plaisir, d'en donner ? Sans doute un peu des trois. Interrompant mon mouvement pour rester simplement en elle, savourer le plaisir de la sentir autour de moi, j'ai perçu quelque chose de particulier. Que quelque chose se resserrait autour de ma queue. Ce n'était pas un spasme, mais une caresse, comme on ne m'avait jamais fait, qu'elle a réitéré. Elle avait beaucoup d'expérience à partager, et de plaisir à donner.
Il est arrivé un moment où j'ai su que j'allais jouir. J'ai pris l'initiative, pour la première fois, mais ça n'a pas eu l'air de lui déplaire, de venir pincer son clitoris, qui avait encore grossi, dans des dimensions que je n'avais encore jamais connues. Assez ironiquement, ça a été sa réaction, alors que je la pinçais, qui m'a surpris, elle a poussé un cri et s'est mise à jouir, éjaculant des jets d'un liquide blanc qui ressemblait énormément à du sperme. Plusieurs orgasmes se sont enchainés, elle a crié plus fort encore quand mon sperme est venu taper contre les parois internes de son sexe, jet après jet, jusqu'à ce que je m'effondre sur elle, vidé de ma semence, et qu'elle n'ait fini de jouir, aussi épuisée que moi.
Je me suis redressé. Sans qu'elle me le dise, j'ai su qu'il était temps de partir. Les omvres s'allongeaient. Son mari allait bientôt rentrer. Elle repenserait sans doute, dans ces moments avec lui qui semblaient sinon ne plus rien lui apporter, au moins plus de plaisir sexuel, à ces moments ensemble, qui avaient été si forts pour moi...Pour elle...Il semblait que oui.
Je me suis redressé, la regardant intensément. Je voulais garder ce moment pour moi, l'enregistrer. Elle me plaisait énormément. J'aimais son corps, mais aussi sa personnalité.
--Demain, viens tôt dans l'après-midi pour laver les voitures...On aura plus de temps pour le plaisir.
Elle a attrapé le slip de son maillot de bain, près du livre, et me l'a jeté. Le tissu était encore sombre, trempé d'humidité et odorant. Je l'ai reniflé, avant d'aller récupérer mes affaires, où une autre culotte m'attendait. Je suis parti en songeant que je passerais sans doute la soirée à me branler, en regardant les deux culottes sous tous leurs angles, aussi en les reniflant, mais également que l'après-midi du lendemain serait aussi différent que bon.

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