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CASTING D’UNE BITE POUR MON CUL DE MÂLE

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 02/08/2022

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CASTING D’UNE BITE POUR MON CUL DE MÂLE

Je suis encore pris d’une irrépressible envie de bite. J’en peux plus. C’est quasiment permanant depuis des mois. Avant c’était par phases, des vagues de fantasmes. Mais cela s’amplifie depuis un moment, devient pressant. Mon cul palpite en pensant à de belles bites le dilatant et ma queue coule constamment. C’est comme si une petite salope en moi hurlait. Et elle est à très chaud cette petite salope. Elle en veut.


Je suis sexuellement très frustré depuis un moment. Et je n’ai pas eu beaucoup de relation avec des femmes ces dernières années. Cette frustration se reporte sur ma bite, et s’extrapole sur les verges de mâles en général. Je fantasme de m’en occuper. Et à travers les plaisirs que je leur procure, c’est à ma propre bite que je le procure. J’ai envie de m’occuper de ces belles bites tendues comme j’aimerais qu’une mignonne petite salope s’occupe de la mienne.


Cette envie me consume. Je ne mate plus que des pornos de transsexuelles et de travesties. Des corps féminisés emballés dans de la dentelle avec de belles queues. J’en salive, la bite a la main. Je me branle frénétiquement en pensant que je m’offre à ces membres. De temps en temps j’enfile un shorty ou un string pour jouer. La douceur de la dentelle caressant ma queue raide et mes couilles m’électrise. Sentir ce tissu fendre mes fesses me donne envie de les offrir. Je me doigte et me dilate l’anus. Des plus petits plugs aux vibros pour stimuler ma prostate, les jouets s’enchainent dans mon fion qui s’élargie et les aspire avec gourmandise. Lorsque je suis vraiment très excité, je sors un double gode très imposant. Il est long et bien épais. En matant ces bites à l’écran, je me mets à le lécher et à la pomper en imaginant que ce sont ces sexes. Le vibro dans mon cul me fait couiner et onduler les fesses. Je suis pris de chaleur et je prends ce gros gode plus avant dans ma bouche. Je suis mielleux et le pompe avidement. Ma queue est semi érigée mais coule abondement. J’en récolte tout le nectar d’un doigt et le suce, comme s’il s’écoulait du pieu que je tète. Je l’enfourne consciencieusement dans ma bouche et le suce avec application, excité à l’idée que ce manche majestueux prenne possession de mon cul. Je commence à saliver dessus d’excitation, c’est le moment de le caler entre mes fesses et de pousser dessus pour le prendre doucement au fond de moi. Centimètres après centimètres, mon petit trou l’aspire et se fait élargir jusqu’à ce qu’il soit complètement rempli. Je sens ma queue dégouliner de jus alors que mon anus palpite autour de ce membre imposant. Une nouvelle vague de chaleur m’envahi alors que mon cul se dilate pour accueillir comme il se faut cette grosse queue, et mes fesses ondulent pour mieux la sentir me fouiller. Je m’enfile dessus doucement en imaginant que je baise une vraie bite que je sens tressauter de plaisir dans mon cul. Très vite, un plaisir mêlé de frustration me submerge. J’ai envie d’une vraie bite. De la sentir aller et venir en moi en étant offert. Sentir sa chaleur bruler mes chairs en me possédant. Sentir son plaisir monter jusqu’à gonfler au fond de mon cul avant de sentir son gland exploser et me remplir de jets de foutre. Je me branle de frustration en me défonçant l’anus et gicle violement des jets très visqueux alors que mon trou se contracte par spasmes autour de cet énorme gode. Je suis vidé et honteux avec ma main souillé et cette tige au fond du cul. Mon anus la recrache rapidement. Il est dépité comme moi, et pas rassasié. Il veut une bite.


Je suis aux aboies, comme une chienne. Il faut que je concrétise ce fantasme. J’ai déjà tenté de faire des rencontres mais cela s’est toujours avéré infructueux et décevant. J’ai plusieurs fois fais des recherches sur mon site porno préféré. Mais il y a peu de monde affichant des désirs similaires. Je ne cherche pas un partenaire gay, mais un hétéro qui cherche à satisfaire la petite salope en lui. Quelqu’un qui puisse partager mon fantasme, mes envies, mais aussi mes inhibitions, mes craintes et mes atermoiements. Quelqu’un de patient et joueur, mais surtout quelqu’un qui me comprenne. Qui comprenne mon attirance pour un sexe mâle majestueusement dressé et ma répulsion du corps masculin si peu ragoutant. Idéalement, j’aimerais satisfaire ce fantasme avec une belle transsexuelle ou un travesti, mais la plupart des offres viennent de professionnelles. Au-delà du fait que je suis fauché, ce n’est pas non plus comme cela que j’aimerais assouvir cette envie. Le simple fait de « c’est là maintenant, il faut te jeter a l’eau et te faire mettre » serait trop de pression. Et je n’ai pas le courage de fréquenter les rares soirées spécialisées non plus. De toute façon, les personnes qui ne commercent pas leurs services n’ont que faire des nombreux petits hétéros libidineux qui fantasment de bites comme moi. Et je les comprends. Et puis la majorité est plutôt passive, alors que je cherche quelqu’un qui aimerait mélanger les rôles.


J’ai quelque fois posté des annonces sur des sites/forums spécialisés, mais le résultat a été tout autant décevant. Les rares réponses étaient vulgaires, bien trop poilus ou avec de vilaines bites. Mais surtout pas, ou peu, en adéquation avec ma recherche. Essentiellement des hétéros en chien, qui cherchent simplement à se vider les couilles sans se préoccuper des envies et du plaisir de l’autre. Un trou. Mais je veux être un trou qui se mérite. Avec sexting endiablé, camsexe, reins en feu et bites qui coulent. Je veux le voir jouir en me matant me dilater le cul, comme je veux le voir s’enfiler un gode en pensant à ma queue. Je veux être à point le jour J. Que l’excitation et la frustration prennent l’ascendant sur l’inhibition et l’appréhension. Que le scénario soit calé, les rôles de chacun connus et le terrain préparé. Que l’envie de m’agenouiller pour m’offrir puisse s’accomplir.


A court d’idées, je me résigne à envisager une appli de rencontre gay. Sait-on jamais ? Peut-être que des personnes comme moi cherchent elles aussi dessus ? Ou d’autres profiles, tant qu’il y a un échange intéressant et des envies communes. Je ne sais pas. Je ne sais plus. Je n’y crois pas vraiment mais e ne réfléchi plus trop, tellement je suis excité et frustré. J’enfile un petit string noir, me cale un plug dans le cul et m’oblige à le garder sans me branler jusqu’à ce que j’ai créé un profile et posté une annonce.


Comme je ne suis pas à l’aise pour poster mon visage (et les visages étant un élément absolument proscris dans mon fantasme), que les nudes sont interdits et que personne ne lit jamais l’annonce, j’opte pour créer une série de vignette décrivant ma recherche. Comme une story de mon fantasme. Le casting d’une bite pour mon cul. Trouver la perle rare qui remplira le maximum de critères pour que sa belle queue soit la première à faire de moi une petite salope.


Les photos se succèdent ainsi sur mon profile. Texte blanc sur fond noir, sobre.

PHOTO 1
Casting d’une bite pour mon cul de pucelle.
Lisez bien les consignes =>

PHOTO 2
Tu aimes enfiler ce genre de petites choses pour te caresser ?
(Accompagné de photos de lingeries)

PHOTO 3
Ca t’exciterait de porter ce masque en dentelle ?
(Accompagné d’une photo de cagoule en dentelle)

PHOTO 4
Tu apprécies aussi bien d’être actif ou passif ?
Tu es compréhensif, patient & respectueux.

PHOTO 5
Alors envoie-moi une photo de ta queue.
Dis-moi ce qui te fait envie dans mon annonce.

PHOTO 6
Si ton profile m’excite, je te répondrai et t’enverrai des photos.


Et dans la description de l’annonce, j’ai inscrit :
CASTING POUR MON DEPUCELAGE

H ch. H, travestie ou femme trans. A/P 30-45 ans.
Curieux, compréhensif, patient & respectueux. 1ère expérience bienvenue pour découverte mutuelle.

NO POILS, NO VISAGES, NO BDSM

Je suis excité et nerveux d’appuyer sur la touche « valider ». Je me tortille sur mon fauteuil alors que mon cul palpite autour du plug. Je suis surexcité comme une pucelle et l’envie de me soulager se fait des plus pressantes. Une main caresse ma queue dure sous cette fine dentelle, l’autre valide le profile. C’est fait. C’est en ligne. J’ai honte mais suis tellement excité. Je ne pense plus qu’à me faire jouir.


Je m’allonge en imaginant la suite. La perspective des messages vulgaires, libidineux mais surtout ne répondant pas à ma recherche refroidit un peu mon incandescence. Mentalement défile une galerie de photos d’ours bien trop masculins pour me transformer en salope. La pression du plug sur mes sphincters mêlée à ces images provoque une vague de honte qui m’embrase les entrailles. L’idée que ces personnes s’excitent sur mon fantasme et se vident les couilles en pensant à mon cul en string me répugne et m’enivre à la fois. De là je me mets à fantasmer les messages salutaires pour mes pulsions. Plus enlevés, détaillés, ils me font plaisir à lire et m’échauffent les sens. Ce sont des messages d’un peu tout les profiles mais résolument bienveillants envers ma démarche, compréhensifs et encourageants. Et quelques messages de personnes partageants globalement mes envies. Mais tous les critères ne sont pas remplis. Parfois de belles queues bien lisses et des corps dont je pourrais m’accommoder mais des personnes uniquement passives ou actives, et pas branchées lingerie. Ou l’inverse, des personnes aimant se féminiser mais dont les physiques et particulièrement le sexe, ne me font pas saliver.


Dans ma quête fantasmatique, je gravis quelques paliers sur l’échelle de l’excitation. Entre mes doigts, ma queue est dure et dégoulinante de plaisir. Je les lèche consciencieusement, alors que je reçois un nouveau message mental. Une personne dans la même situation que moi, ou ayant franchit le pas récemment, désireuse d’expérimenter ou de m’accompagner. Le ton du message est rassurant, apaisant, et très excitant. Il partage mon envie de lingerie, le visage masqué, allongé en regardant des compilations de trans. Jusqu’à ce que le courage et le désir poussent une main à changer de sexe. Hésitante dans ses caresses, mais confortée par la dentelle emballant ce membre tendu, elle se laisse envouter et se met à son service à pleine main.


Les photos jointent à son message sont captivantes. Des jambes fines, très peu velus, dans des socquettes noires au-dessus des genoux, le corps moulé dans un genre de nuisette/gaine en résille noire et un petit cul galbé dans un shorty rouge, il s’offre en prenant divers poses lascives. Sur certaines photos, des jouets vantent la qualité de l’accueil et la convivialité de mon hôte. Mais surtout, sa queue m’hypnotise. Son gland gonflé comme une cerise en été me fait l’effet du serpent dans Le Livre De La Jungle. Il surplombe une colonne massive, fière et majestueuse, qui impose le dévouement. C’est à genoux qu’on se prosterne devant un tel monceau de bite. On lui rend hommage, on s’incline.


C’est l’incendie dans ma tête et entre mes fesses. Ces photos défilent mentalement. Allongé sur mon lit, je l’imagine agenouillé à coté de moi, cuisse largement ouvertes. Il ne se caresse pas, mais sa main masse doucement ma queue. La sienne me nargue, dressée et alléchante. Débordant du minuscule shorty et totalement offerte. Ses couilles gonflées d’envie sont moulées par la dentelle. Ma main ne résiste pas et vient les englober. Elle les caresse avec convoitise, prenant la pleine mesure de la quantité de plaisir contenue par ces grosses couilles. La promesse de les sentir se vider m’enivre. Je lui fais signe de se rapprocher. Son bel engin s’érige désormais à quelques centimètres de mon visage. Ma main remonte de ses couilles vers sa hampe, et scanne toute la longueur de son manche. J’en dessine les contours et m’imprègne de son opulence. Ma paume se laisse irradier par sa chaleur et sa stature, alors que le bout de mon doigt caresse son frein tendu et la fente de son gland. Mon doigt glisse avec délice sur son envie qui commence à perler et sent sont colosse tressauter d’impatience. Je dirige ma main vers mon visage et la renifle. Ca sent fort la bite. Son odeur est un peu différente de la mienne mais l’effet produit est aussi entêtant. Je lèche le bout de mon doigt pour imprégner ma langue de son gout. Ma mutation en salope s’accélère. Ma main vient se reposer sur ses œufs pleins à craquer alors que je tends le coup vers son entre jambe. Tout en malaxant ses grosses couilles, je viens renifler son membre. Le mélange de forte odeur de mâle excité, de lessive fleuri et du parfum de pouf dont il s’est badigeonné me fait chavirer. Je perds mes inhibitions. Ma main empoigne ses belles couilles et je tends ma langue pour les lécher. Je sens leur poids à travers la dentelle. Je les embrasse. Mes lèvres remontent sur sa tige et finissent par se poser a même la peau. Sa chaleur irradie mes lèvres. J’embrasse sa bite sur toute sa longueur. Je sors ma langue pour la lécher méticuleusement. Je la sens se cabrer par spasmes. La main de mon partenaire se resserre autour de ma queue et me branle lentement. Ca me transporte et je le regarde faire dans un soupir de plaisir. Ma main fait instinctivement de même et commence à astiquer son gros manche. Je l’entends gémir. Les caresses de sa main sur ma queue trahissent son impatience. J’enroule mes doigts fermement autour de la base de sa queue, et dirige son manche trépident vers mes lèvres. J’embrasse et lèche son gland délicatement. Mes lèvres s’entrouvrent pour le prendre. Je le pompe avidement. Son gout imprègne ma bouche et me salope un peu plus. Il soupir de plaisir, et ma bite commence à enduire sa main de jus. Je l’aspire plus profondément dans ma bouche alors que ma langue câline sa cerise. Son plaisir commence à se mélanger à ma salive. Je l’avale goulument en le pompant. Ca m’enivre et je le suce à pleine bouche. Comme une chatte en chaleur, je m’affaire sur sa belle tige. Je le prends au plus profond de mes capacités en le branlant doucement. Mes lèvres glissent hermétiquement le long de sa bite. Mes mâchoires sifflent tant le diamètre de son pieux me déforme la bouche. Mais je suis possédé par sa queue et la suce avec dévouement. Chaque mouvement de ma main fait ressortir un peu plus de jus que j’avale avec délectation. Le piercing sur ma langue est au service de son gland alors que je le branle entre mes lèvres. Je ne maitrise plus ma bave qui coule le long de sa tige et de mes doigts. Je caresse ses couilles avec ce jus, et nettoie toute sa queue avec ma langue avant de l’aspirer encore entre mes lèvres. Je l’honore avec ma bouche sans aucune retenue.


Mon bassin roule un peu en changeant de position pour mieux l’enfourner. Sa main glisse alors de ma queue vers mes fesses. Elle les agrippe et me fait rouler encore un peu plus pour les offrir. Elle les caresses doucement et les empoignent par alternance. Je les tends instinctivement vers sa main, et dans un soupir aspire sa bite un peu plus profondément. Sa main me caresse entre les fesses. Je la sans agacer le plug a travers le tissu. Ca se répercute en mouvements au fond de mon cul qui m’électrisent. Je tends encore plus les fesses. Sa main me fait comprendre qu’il va en prendre possession alors qu’imperceptiblement son bassin ondule pour me baiser doucement la bouche. Je suce désormais cette bite pour la préparer à faire définitivement de moi une salope.


Je me tourne pour attraper une capote que je lui tends. Pendant que je le regarde avec gourmandise et appréhension le dérouler le long de ce manche impressionnant, je fais rouler le string a mes pieds et retire doucement le plug de mon cul. Je le sens me déformer au moment de sortir, et j’ai une décharge de plaisir en pensant au gland qui va faire le chemin inverse pour me remplir. Ca me fait sentir très chienne, et déterminée, je me place à quatre pattes les fesses offertes à sa queue. Je m’enduis copieusement la raie de gel et viens positionner sa colonne de chaire au creux de mon sillon. La puissance que dégage cette imposante bite entre mes fesses me conquiert totalement. Elle est massive, chaude, trépignante, et commence à glisser le long de ma fente. Toute sa longueur frotte sur mon petit trou attisé par la brulure du plug. Il palpite sous cette caresse. Quand le gland se pose dessus, je tournoie le bassin pour que mon anus se fasse masser par ce gros nœud. Dans l’excitation je force imperceptiblement et mon cul béant aspire son gland d’une traite. La surprise me foudroie. Je ne pensais pas que mon anus allait l’enfourner de la sorte tant son gland est large. J’ai la sensation d’être empalé, son gland m’a envahie. Mon anus est pris de spasmes comme s’il suffoquait. Je sens mes chairs forcées, possédées. J’en ai les jambes qui tremblent. J’ai la sensation d’une gène entre mes fesses mêlée d’excitation. Ma tête bourdonne, j’ai chaud. Je respire fort, et chaque expiration apaise la brulure qui m’irradie le fion. Elle se transforme en vagues de chaleurs. Tout mon corps se détend, et mon anus s’ouvre pour recevoir son hôte. Inconsciencement mon bassin ondule, faisant accroitre la sensation de cette queue en moi. Mon anus commence à l’avaler lentement. Il s’offre à cette imposante bite et se laisse fièrement dilater centimètre après centimètre. Mon partenaire reste bien immobile derrière moi. Il ne force aucun mouvement en moi, et laisse respectueusement son auguste bite à ma disposition. Je sens son plaisir de me voir me dépuceler sur son manche. Et je m’empale dessus avec application. Je pousse méthodiquement par respirations fortes et sens sa colonne m’envahir chaque fois plus profondément. Je l’avale lentement comme un constrictor ingurgite sa proie. Mon bassin ondule en décrivant des vas et viens qui enfonce chaque fois cette tige encore un peu plus en moi. Je couine et ma queue mi-molle coule de plaisir entre mes cuisses. Dans un dernier mouvement, je sens toute sa longueur me perforer. Une vague de chaleur m’inonde alors que je sens son bassin et ses grosses couilles contre mes fesses. La sensation de sa bite tressautant tout au fond de moi, me fait dresser la queue. Elle est tendue et baveuse. Je tends encore mon cul pour mieux la sentir. La puissance de sa bite m’irradie le fion. Je commence à l’agiter et à me baiser sur ce gros manche. Sa taille me défonce les chairs. L’excitation surpasse l’inconfort et je m’empale dessus sans aucune pudeur. Chaque pénétration me fait bouillir les sens. Ma queue bave un filet épais et visqueux de plaisir. Je sens la sienne se tendre au fond de moi. Je lui dis que j’ai envie de le vider dans mon cul pour qu’il fasse définitivement de moi une vraie salope. Je ne me baise plus, je le branle avec mon anus. Ma seule perspective immédiate de plaisir est de le sentir gicler entre mes fesses. Je célèbre sa majestueuse bite avec mon cul. Mes vas et viens commencent à avoir raison de lui. Alors que sa respiration s’accélère, sa queue s’affaire doucement en moi au rythme de mon bassin. Sa bite fouillant mes entrailles me fait chavirer alors que je la sens se cabrer. Je continue à me baiser docilement sur son pieu alors qu’il répand son jus par jets au fond de mon cul. Mon anus câline doucement sa bite, laissant mon partenaire se vider totalement et profiter de ses derniers spasmes. Dans un dernier mouvement, j’extirpe sa colonne de chair de mes entrailles. Je me sens vide et souillé. Mais tellement excité. Je me retourne et m’allonge a coté de mon partenaire. Il reprend ses esprits, toujours agenouillé. Il a retiré son préservatif et sa queue est luisante de jus. Moins vaillante, mais toujours dressée, elle me toise. Elle m’intime d’aller jusqu’au bout pour être totalement salope. Je ne me fais pas prier. Je dois la nettoyer et ne rien gâcher de son plaisir. C’est pour ca que je voulais qu’il porte un préservatif, pour pouvoir remercier sa queue avec ma bouche de m’avoir dépucelé. La fois d’après il aura le devoir de me souiller directement le cul pour que je connaisse la sensation d’avoir du foutre qui me coule entre les fesses. Mais pour l’instant, mon rôle est de lui témoigner ma reconnaissance en récoltant son jus et en nettoyant sa queue avec ma langue. Cette perspective m’excite énormément et m’intrigue tout autant. J’ai souvent déglutis mon propre plaisir. Le gout et la consistance ne m’ont jamais transporté, mais le caractère excitant de l’acte me fait frétiller. Je m’approche donc de son membre, empoigne ses couilles toutes sensibles d’avoir jouis et laisse ma langue s’affairer dessus. Elles sont couvertes de jus. J’en ai sur les lèvres et ma langue s’applique dans sa récolte. J’en avale et le goute. Ce n’est pas très bon, mais cela m’excite follement et je le déglutis par petites quantités. Je ne sais pas si je pourrais avaler toute une éjaculation d’une traite, mais en attendant de savoir, je m’exécute docilement et lape les restes de foutre tout le long de sa bite. Son nectar m’enivre plus qu’il ne me plait, et je prends son gland en bouche pour en aspirer les dernières gouttes. Il en restait un bon filet que j’avale consciencieusement. Je suis fière de la petite salope que j’interprète. Il le voie. Et comme il partage mes envies, il sait de quoi lui aurait envie à ma place. Je le regarde saisir le préservatif et je comprends instinctivement. Mes lèvres quittent son membre et s’entrouvrent en tendant la langue. Il laisse échapper un long fil visqueux que je récolte. Je le garde en bouche en reprenant sa queue entre mes lèvres. Je le suce en mélangeant son foutre à ma salive et avale par petites touches. C’est très excitant. Il continue mon éducation en vidant le reste de la capote dans ma bouche. Le bougre s’est fait plaisir dans mon cul, il a lâché une sacrée dose de foutre. Je suis flatté. Le gout et la texture dans ma bouche sont écœurants. J’en ai presque un haut le cœur tellement s’est fort. Je reprends le contrôle et enfourne sa bite entre mes lèvres. Sa main se pose paresseusement sur mes fesses et deux doigts massent mon anus endoloris avec les restants de gels. C’est bon et je profite pleinement de cette position pour déglutir son foutre par rasades alors que sa queue dégonfle doucement entre mes lèvres.


Allongé sur mon lit, mon anus se contracte sur le plug qui le maintient dilaté alors que je me répands par longs jets sur mon ventre et mes doigts. Satisfait et frustré.


J’espère que quelqu’un me fera écrire la suite…
pucelle.curieuse@outlook.fr
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Histoire de Kastor

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