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Chagrin d'amour consolé

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Lue : 4672 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/05/2012

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Oui au début j’ignorais ses sourires timides, j’évitais ses regards coquins. Je vérifiais sans cesse mon maquillage que je voulais irrésistible pour mon rendez-vous.

Quand elle est arrivée, comme tous les hommes de la terrasse, je fus hypnotisée par son charme. Sa tenue était celle de la mode actuelle mais elle faisait éclater la beauté de ses courbes. Des bottes à hauts talons remontaient ses fesses moulées par un collant transparent noir à peines cachées par le bas d’un débardeur blanc.

Je lui souris l’embrassai. Notre étreinte amoureuse fit tourner la totalité des regards.
Discrètement ma main infiltrait la jupe de mon amie qui elle, caressait langoureusement mes seins comme si nous étions seules.
Mon voisin en avala presque sa cravate.
Nous commandâmes mais ne burent rien.

Très vite l’euphorie sexuelle dans lequel j’étais plongée tourna au désastre. Elle m’annonçait sa rupture en un câlin public laissant mon cœur en larme mon sexe en feu.

Je me retrouvais seule face à deux cafés pleins et aussi à ce voisin qui lui avait renversé le sien mais qui faisait tout pour éviter un face à face visuel direct.

En pleine crise de désarroi je me levais et fit la chose la plus incroyable que je n’aurais jamais imaginée. Avant de partir je m’arrêtais devant ce jeune homme et lui dit non comme une demande mais presque comme un ordre : suis moi.

Arrivée devant mon immeuble je me retournai l’embrassai avec la fouge infernale du chagrin d’amour et les yeux pleins de larmes lui expliquai qu’il pouvait monter chez moi à condition de m’aimer en femme, de s’habiller en femme. Je lui montrais le bouton de la sonnette sur lequel il appuiera d’ici 2 heures quand il reviendrait avec des habits convenables et surtout sans avoir essuyé les restes de rouge à lèvre dont j’avais barbouillé ses lèvres ses joues et son cou.

Sur ce je le laissai sur le trottoir et allai m’écrouler sur mon lit. Je me caressai mais le cœur n’y était pas et m’endormis. Frustrée…

Bien sûr que je n’aurais pas dû, bien sûr que je n’en voulais pas, bien sûr…
N’empêche il est revenu avec un sac plein de promesses et des joues rougies de mes baisers que j’aurais dû partager avec elle.
Alors je l’ai gardé.
Gardé mais une fois transformée.

Je l’envoyais dans la salle de bain et alors qu’il se frottait sans le savoir avec une lotion dépilatoire j’inspectais sa nouvelle garde-robe.
Des collants noirs, un body blanc, une robe bleu clair, un corset rouge une perruque rousse, des bas résilles, plein de strings, shorty, soutien-gorge usagés. Il m’expliqua que tout était à sa sœur qu’il avait hébergé quelques mois avant qu’elle ne parte voyager en Amérique du Sud.

Il s’appelait Yvan et je lui dis que son nouveau prénom était Yvonne à moins qu’il ne préfère partir. Au lieu de cela il comprit que le savon douche n’en n’était pas un et retourna pour une deuxième application plus minutieuse. Il ressorti imberbe comme un nouveau-né.
Je lui dis de mettre collant, shorty et body afin que rien ne dépasse. Il obéit docilement.
Je lui mis du vernis à ongles, deux bagues plusieurs bracelets, un collier fantaisiste et d’énormes boucles d’oreilles.

Je le maquillais en prenant tout mon temps. Rouge à lèvres en surdosage, perruque bien brossée, mascara dessiné, et touche finale indispensable : beaucoup de sourcils épilés.
Yvonne ressemblait plus à une pétasse timide qu’à un travesti.
J’avais réussi sa féminisation improvisée.
J’étais moins triste et je mouillais comme une vraie salope.
Puis, en l’embrassant comme on se noie je broyais à mort ses attributs virils en lui disant que je ne voulais jamais ni les voir ni qu’il s’en serve - même en mon absence.

J’allais me recoucher je lui dis de venir me consoler tendrement de me masser me caresser et de me donner du plaisir.

Yvonne était douée.

Sa féminisation n’était pas que vestimentaire ou cosmétique elle était psychologique également. Yvonne était adoucie attentionnée, elle massait de ses mains mais aussi de sa bouche et de ses pieds si érotiquement gainés de soie.

Elle embrassait suavement, laissait planer ses mains autour de mes zones érogènes sans les torturer. C’étaient plutôt mes seins et ma chatte qui se soulevaient et cherchaient un contact à leurs approches. Sa langue était divinement fraîche et lorsque enfin sa frimousse rousse força l’ouverture de mes cuisses je me laissais aller à oublier mon chagrin et à me concentrer sur mon plaisir.
Yvonne su le prolonger et le surmultiplier.
Elle eut donc le droit pour notre première nuit à rester auprès de moi à me couvrir de doux baisers jusqu’à ce que le sommeil ne la terrasse à son tour.

Au réveil je me demandais bien ce que j’allais faire d’Yvonne.
La renvoyer chez elle ?
La garder pour ce long week-end ?

Quand je la vis arriver en mini-jupe corset bien serré et bonnets remplis m’apportant café chaud et croissants je me dis qu’elle en avait eu du cran d’aller ainsi chez le boulanger du coin. Ses efforts méritaient récompense et une place pour quelques jours dans mon appartement.
Elle s’était parfumée et la flagrance chavira mes sens. Je l’attirai à moi et l’embrassais fougueusement. Je caressais ses formes imposées par le corset, lui malaxais ses seins factices, me frottais contre sa chatte imaginaire. Elle gémissait. Moi aussi.

Je quittais ma nuisette et appuya sur sa tête pour que ses lèvres épousent ma poitrine. Yvonne avala sans retenue mes seins l’un après l’autre. Sa main droite caressait mon épaisse toison. Elle aventura un doigt à l’intérieur de mon sexe trempé mais je la retins.
Je m’allongeai sur le ventre et lui suggérais et me masser le dos et les fesses qui sont fort sensibles chez moi. Couvre les des baisers et fais-moi jouir lui soufflai-je.

Yvonne me massa tendrement il démultiplia ma demande de baisers et finalement écarta mes fesses. Sa langue lécha et pénétra mon orifice encore et encore.
C’était la première fois pour moi et par surprise j’eu un orgasme violent. Différent mais néanmoins intense. Cela me laissa sans force.
Je pris Yvonne dans les bras puis après un petit câlin lui demandait de me faire couler un bain.
Pendant ma détente elle trouverait dans le sèche-linge mes habits à repasser à plier et à ranger.
Ensuite après qu’Yvonne finisse de mettre un peu d’ordre dans l’appartement nous nous ferons une petite virée.
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Histoire de leon0509

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