ACCUEIL > Hétéro > Récit : Chaleurs en juillet 3

Chaleurs en juillet 3

+26

Lue : 1710 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/03/2014

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Chapitre 3.

Résumé des 2 premiers chapitres.
Liliane (Lili) renoue avec Charlène qui l’invite à une soirée cinéma entre filles. Moi, Laurent, mari de Lili, accusé par Charlène de tentative de viol autrefois et à tort, je ne fais pas confiance à la revenante. Je constate que le cinéma est remplacé par un repas suivi d’une partie de jambes en l’air dans un parc de la ville, avec deux jeunes hommes à la place des filles annoncées. Quand mon épouse s’apprête à renouveler sa sortie « entre filles », je décide de la quitter. Lili me rencontre et m’explique qu’elle a accepté ce deuxième rendez-vous sous la menace de Charlène, mais qu’après le repas elle a simulé l’arrivée de ses règles pour refuser de souiller de sang leurs deux compagnons. Elle me raconte alors ce qui s’est déroulé dans le parc au cours de ce deuxième soir entre Charlène, George et le puceau Alain. Elle veut me convaincre de revenir « chez elle »et « chez nous »

Elle dit vrai ou elle ment ?


Volontairement je marche à la gauche de Georges dont j’apprécie le comportement. Il a admis mon refus de copuler ce soir en raison de mes règles. Je me tiens à distance du chien fou qui attend son heure, le jeune Alain. Le cochon a poussé le culot jusqu’à me demander de lui montrer quel aspect ont mes parties intimes de manière à être instruit par la vue et par l’odeur : ainsi il pourrait éviter de se salir avec des filles moins scrupuleuses. Je me suis contentée de le regarder de travers, cela l’a calmé pour quelques minutes. Charlène au milieu des deux hommes les tient par le bras. Nous avançons vers le parc à pas lents. Curieusement Charlène ne s’arrête pas pour embrasser l’un ou l’autre : elle doit se casser la tête pour décider par lequel commencer sans froisser la susceptibilité de l’autre. J’imagine le dilemme, commencer par Alain parce que c’est son anniversaire risque de déplaire au généreux payeur qui jouit par ailleurs d’un droit d’antériorité. Débuter par Georges c’est décevoir l’impatient puceau le jour où il pense que tout lui est dû à l’occasion de son 18e anniversaire.

Moi dans la course et destinée par avance à Georges il n’y aurait pas de problème. Le report de ma disponibilité à plus tard remet Georges en selle près de la meneuse. Indécise, Charlène repousse le choix. Pourtant tôt ou tard elle devra cesser de temporiser. Nous approchons du lieu prévu, Charlène essaie de me refiler son embarras :

-Lili tu pourrais accorder des caresses ou des baisers, par qui veux-tu commencer ? Sois gentille.

Nous sommes arrêtés dans l’allée, à quelques pas du banc et du bosquet. On me regarde. Je choisirais et je deviendrais responsable de la suite. Charlène prendrait « le restant » sans vexer personne. Elle a l’art de refiler ses problèmes aux autres. Je me défends énergiquement :

-Je remercie vivement Georges d’avoir su vaincre sa déception. Si je pouvais choisir, je serais flattée de me mettre à son service. Tout le monde sait que lorsqu’une femme commence à embrasser sérieusement un homme et à le caresser, elle se lance dans un périple difficile à interrompre. Je ne souhaite pas être entraînée malgré moi à dépasser les bornes du savoir vivre. Les dommages seraient trop grands, vous seriez marqué au sang, cher ami. La seule aide que je puisse apporter ce soir, c’est de pimenter vos amours par la présence d’un témoin visuel. Mais Charlène, il est évident que ce jeune homme si ignorant de ce qu’est une femme aura besoin de conseils et d’exemples judicieux d’un homme plus expérimenté : George le guidera parfaitement et j’attends beaucoup de satisfaction de leur collaboration étroite pour te rendre heureuse. Mon rôle de voyeuse me suffira.

Le jeune homme se vexe, Georges se rengorge et Charlène les tire vers le banc. Elle fredonne « Déshabillez-moi. » Alain se précipite, déboutonne la blouse et arrache un bouton. Appuyée contre le fameux chêne, je ris d’entendre Charlène lui reprocher trop de hâte et lui indiquer que rien ne sert de courir en amour. La maîtresse femme le bloque en lui écrasant les parties à travers son pantalon de toile d’été. Il crie « Ouille ! Ça fait mal »

-Georges, Lili avait raison, montre à cet impatient comment on enlève les vêtements d’une dame. Mais juste ce qu’il est nécessaire de retirer, n’oublions pas où nous sommes. Des gens pourraient passer, le commissariat est à l’extrémité du parc, une patrouille pourrait nous surprendre. Alain regarde. Les gestes sont lents, mesurés et s’accompagnent de bisous, de gestes tendres. Oh ! Georges, oui, derrière l’oreille, j’adore.

Alain se penche. Georges lui cède la place :

- Cherche les attaches, retire ce magnifique soutien-gorge et pose tes lèvres sur la chair des seins au fur et à mesure qu’elle apparaît. Remets la blouse en place, ouverte. C’est bien, prends les en main, doucement, lèche les petites protubérances au milieu. Charlène a une magnifique poitrine de femme épanouie. Mouille ses aréoles et permets-toi de les prendre en bouche. Oui, comme ça et maintenant tète comme un bébé. Tu vois, cette succion est innée. Que font tes mains ? Ne les laisse pas pendre bêtement. Tout ce corps réclame leurs caresses. Laisse-moi te montrer.

Charlène est agacée :

-Oh ! Là ! Vous allez cesser de me traiter comme une poupée gonflable, morceau par morceau ? Mon petit Alain tu vas t’asseoir sur le banc et tu ouvriras tes yeux. Georges, au lieu de saucissonner l’acte, tu fais comme si nous n’étions que deux, tu me fais l’amour comme tu me le fais si bien. J’ai le droit de jouir, moi aussi, je veux ma part de bonheur ici et tout de suite, la dissection me laisse de bois, je veux vibrer. Après notre jeune ami nous montrera ce qu’il aura retenu de la démonstration et y ajoutera la fougue qui caractérise son âge. Viens m’embrasser mon petit chéri.

Le gamin est mince, mais n’a rien de petit. Il fait la double bise et s’assoit un peu boudeur. Il pivote pour observer les deux acteurs. Georges se cale dans le dos de Charlène, embrasse la nuque et y laissera des traces de suçons, ses mains massent les deux seins majestueux, la droite quitte le sien, glisse en douceur sur le ventre, attire la femme contre lui, croupe contre verge prisonnière du pantalon mais en état de service immédiat. Puis il plonge sous la jupe, la fait remonter et offre à Alain une vue de près sur le string de Charlène. De deux doigts il pousse sur le côté le fin morceau de tissu, expose le sexe de femme : Alain découvre la vulve épilée au milieu de laquelle les nymphes se taillent un passage important. Les petites lèvres encore au repos présentent une chiffonnade de chairs rose-violet assez surprenante. Moi-même je suis étonnée de ce développement particulier : en m’examinant dans ma psyché je n’ai jamais remarqué chez moi cet écartement de la vulve ouverte par le gonflement fripé des petites lèvres au repos, gonflées avant d’être touchées. Ce phénomène est-il la conséquence des nombreuses relations sexuelles de l’intéressée avec son mari et surtout avec des amants nombreux et variés ? Mon expérience de femme mariée fidèle ne me permet pas de tirer des conclusions

Gonflée ma Liliane ! Elle oublie complètement sa partie récente avec le dénommé Louis. Effectivement, si elle n’a pas eu d’autres amants, je devrais la croire. Mais sa facilité à oublier son déraillement le plus récent ne me rassure guère et d’autres écarts non connus de moi ne me paraissent pas impossibles. Si elle ne mettait pas son mouchoir sur d’autres rapports cachés, si elle avait les pensées et le cœur aussi purs et innocents qu’elle essaie de me le laisser penser, assisterait-elle avec indifférence et sérénité au spectacle des amours de Charlène ? Elle regarde froidement et décortique la scène, au lieu de fuir comme le ferait une femme normale. Je la sors de ses considérations :

-Toi, femme fidèle ? Veux-tu répéter ? Là tu éveilles ma curiosité. Tu me fais regretter d’avoir rabroué Charlène il y a deux jours lorsqu’elle s’est offerte à moi.

-Quoi, elle a osé recommencer ? Elle m’avait juré que tu ne l’intéressais absolument plus. Elle préfère les libertins du genre de Georges ou les jeunes adultes à initier. Revenons à Georges. Son index gratouille le haut de sa fente, y déniche son clitoris de bonne taille lui aussi comparé au mien.

-Là, tu dis vrai, j’ai souvent eu du mal à trouver le tien. Peut-être te faudrait-il un amant en permanence pour développer ton petit bouton, un amant suceur et gratteur à la fois ou un roulement continu d’amants…avec un turnover constant, Georges de préférence à ton Laurent suivi de nombreux autres… En te quittant je te rends un éminent service : tu vas développer tes récepteurs de plaisir. Je n’oublie pas que tu venais de promettre à Georges de te donner à lui après tes règles. As-tu déjà tenu ta promesse ? Et n’oublions pas Alain lui aussi à remercier de sa patience.

-Quand, l’aurais-je fait, je reviens de voyage.

-Alors, La Rochelle, c’est comment ? Tu as vu la tour St Nicolas, le vieux port, la grande horloge, les cracheurs de feu et les portraitistes. Un brave couillon t’a-t-il offert un repas du soir sur une terrasse bondée avant d’avoir appris que tu étais réglée et inconsommable ?

-Arrête, tu n’es pas drôle. Des promesses faites sous la menace de Charlène quand tu n’étais pas informé n’ont plus de valeur aujourd’hui et Georges le comprendra. Mais il t’appartient depuis longtemps de donner l’exercice à mon clitoris pour le faire grandir. Applique-toi plus souvent et plus longuement à me caresser et à suçoter mon sexe. En admettant que c’est l’exercice qui développe l’organe et lui donne du volume, tu es coupable de négligence ! Tu mériterais…

-Parle-moi de Georges et de ta chère amie. Tu fais la voyeuse, tu n’interviens pas ? Vraiment ?

-Ils n’ont pas besoin de moi. Georges est un artiste de talent, un amant doué ; il a vite fait de prendre la situation en main et il fait prendre des positions simples à une Charlène qui se plie volontiers à ses ordres. C’est du grand classique paraît-il. C’est en tout cas ce qu’il déclare au puceau tout ouïe. Et il commente :

-Tu la courbes, pieds à terre, jambes écartées, elle prend appui des mains sur la planche haute du dossier du banc et tu lui rentres dedans par derrière. Pour y arriver ru plies les genoux, tu cherches l’entrée du bout du gland, tu élargis le vestibule par petits cercles et peu à peu tu pousses vers le haut. Tu pénètres en plusieurs fois et après tu limes, tu limes, tu limes encore, tu varies l’allure, tu peux rester en bordure, tu peux t’enfoncer jusqu’au bout : tu es maître de tes mouvements et tes mains font cambrer son dos. Elle peut te demander d’accélérer ou de ralentir. Un bon amant sait obéir. Là je me sens bouillir, je me retire par prudence. Charlène redresse-toi et embrasse-moi.

-Heureusement que tu es sorti, je sentais monter l’orgasme. Attention, ce n’est pas le moment de m’envoyer la purée, je serais enceinte. On lui montre le coup du banc ?

Georges après une pose s’adresse à Alain :

-Comme tu es très grand, toi Alain, fais la pencher davantage, elle s’appuiera sur le siège et au lieu de te baisser pour remonter dans son sexe, ses fesses étant plus relevées, tu pourras plonger dans son vagin. Ensuite tu pourras limer et pomper à volonté. Le coup du banc ? Rappelle-moi…

-Oui, tu n’as pas oublié. Passe derrière le banc. Je monte, je m’assieds sur la planche du haut, je fais dépasser ma croupe. Toi, Alain, tu te lèves, tu sors ta quéquette et pendant que Georges me ramonera le tube, je te jouerai un air de flûte baveuse.

Le jeune se lève, a du mal à extraire un engin fin mais long et enflé de désir. Quelle tige ! Ce sagouin a fait exprès de déballer face à moi. Il se tourne vers Charlène, elle s’exclame :

-La belle épée que voilà, j’ai hâte d’en découdre avec toi, ça doit chatouiller jusqu’au fond de la gorge.

Ainsi disposée, Charlène est pliée en deux, talons sur le banc, dos à l’horizontale. Derrière elle Georges prend place et glisse sa zigounette dans le troutrou, devant Alain lui enfourne quelques centimètres dans la bouche. Je suis au spectacle, c’est nouveau pour moi et c’est émoustillant ! Un mâle à chaque bout, ça m’énerve, mais je résiste à la tentation de les rejoindre.

Une nouvelle fois Georges se retire pour ne pas éjaculer dans Charlène, il propose à Alain de venir occuper le vagin délaissé et va se présenter devant la bouche de Charlène. Ca pressait, il ne tarde pas à nourrir la cochonne qui avale en grognant de plaisir. Mais elle cesse tout à coup de se lécher les babines et crie vers l’arrière :
-Quoi ! Déjà, tu viens d’entrer et tu te mets aussitôt à cracher. Après quelques rapides coups de queue tu me remplis de ton foutre. N’as-tu pas compris que tu devais cracher dehors ? Il faudra te faire soigner, l’éjaculation n’est pas appréciée.

Le malheureux s’excuse, remballe et baisse la tête. Charlène s’en veut de la brutalité de sa réaction et trouve un remède facile :

-Va te faire branler par Lili, elle dosera l’effort. Quand tu retrouveras une érection convenable tu reviendras. Je me coucherai sur le banc, on pourra surveiller tes réactions et te freiner lorsque tu t’emballeras.

Le salopiot accourt, il n’attendait que cet ordre pour me sauter dessus. Mais je l’envoie paître ailleurs :

-Non, pas de ça aujourd’hui. Tu as deux mains, apprends à t’en servir si tu ne le sais pas. Recule, ne mouille pas mes vêtements, si, recule davantage. Va plutôt aider Georges.

Il regarde le banc. Georges est allongé, Charlène l’enfourche, guide le sexe épais et long avant de se laisser descendre sur la colonne. Alain demande :

-Que puis-je faire ?

Pour plaisanter, un peu cruellement je l’envoie au casse-pipe :

-Tu t’installes derrière Charlène, tu lui écartes les fesses et tu lui envoies ta belle épée dans l’anus.

-Oh ! Tu te moques de moi ? Ca se fait ?

-Si je te le dis. Charlène va adorer. Dépêche-toi, ils vont jouir et se séparer. C’est une occasion unique.
Alain franchit les quelques pas en se masturbant. Charlène ne le voit pas arriver, s’étonne de sentir qu’on lui sépare les fesses. Le jeune téméraire s’allonge, pointe et tire.

-Aïe ! Qu’est-ce que c’est ? Oh ! Ah ! Oui, vas-y.

Pour la première fois de ma vie j’assiste à une double pénétration. Charlène est ballotée entre es deux amants enfiévrés par la situation. Georges pousse vers le haut, Alain s’énerve et pousse vers le bas. Au bout d’un long moment il pousse un cri de lapin mâle en train de saillir sa femelle, Charlène connaît un orgasme de magnitude 6, Georges coincé sous l’amas de chair ne peut pas se retirer à temps.

Les corps se séparent, les hommes secouent leurs verges et font tomber les dernières gouttes.

-Non, Alain ne t’excuse pas, je ne risque rien de ce côté. Merci, c’était sublime. Georges, il faudra recommencer, formidable dirait Stromae. Comment as-tu pensé à ça jeune vicieux ? demande Charlène.

Faut-il en rire ou en pleurer. Le jeune vicieux craint des reproches, il se défausse, me montre du doigt :

-C’est elle qui m’a envoyé.

-Ah, Lili, tu es bien plus vicieuse que tu ne le parais. La prochaine fois, tu seras embrochée par devant et par derrière. On commencera par toi. D’accord les hommes.

Evidemment, ils sont d’accord et le laissent entendre bruyamment. Voilà, tu sais tout. Je ne t’ai pas trompé deux fois. Qu’en dis-tu ?
26 vote(s)


Histoire de Veilleur

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Chaleurs en juillet 3


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :