Charline et Justine (1ère partie)

Je suis épuisé quand je rentre de cette semaine de séminaire. Il est vingt-trois heures et Charline semble dormir paisiblement. Elle est allongée sur le lit, nue comme d’habitude, sur le dos avec les jambes légèrement écartées. C’est sa position fétiche, comme elle dit. C’est aussi celle dans laquelle j’aime l’observer car son corps me rend toujours aussi dingue.
Je suis fou de ses rondeurs. Autant elle se trouve trop grosse, autant je la trouve sexy et hyper désirable. J’aime son cul large et ses fesses charnues, sa chute de reins ensorcelante et sa cambrure à damner un ange, j’adore ses seins pleins et qui tombent légèrement. Je la rassure tout le temps en lui rappelant que c’est le corps d’une femme merveilleuse qui a mis trois enfants au monde et qui les a élevés jusqu’à en faire de bonnes personnes. Charline vient d’avoir ses quarante ans et elle ne les fait pas. Son corps est celui d’une trentenaire dans la force de l’âge.
Je file à la salle de bain et je prends une bonne douche rafraîchissante, puis je sors de la salle de bain nu et vais rejoindre ma femme dans notre lit.
Au moment où je passe devant la chambre d’amis, la porte s’ouvre et je vois une femme en sortir. Elle est autant surprise que moi, sauf qu’elle porte un tee-shirt qui couvre son corps et que moi, je suis à poils.
-Oh, pardon ! dis-je en tentant de cacher ma queue avec mes mains, mais sans bouger pour autant, car la situation est assez cocasse.
-Y’a pas de soucis, me répond la femme. C’est juste que je ne savais pas que vous rentriez ce soir, Charline ne m’avait pas prévenue.
-Elle ne m’avait pas dit non plus qu’il y avait quelqu’un chez nous !
-Oh, désolée, je m’appelle Justine. Je suis une collègue de Charline. J’ai quelques soucis chez moi et j’ai demandé à votre femme si elle pouvait m’héberger quelques jours.
-D’accord, y’a pas de problème, je tâcherai à l’avenir de ne pas me balader nu chez moi !
-Oh, ça ne me dérange pas ! C’est chez vous et vous êtes loin d’être désagréable à regarder !
-C’est gentil, mais c’est assez gênant ! Je file me coucher ! Bonne nuit, Justine !
-Bonne nuit, le mari de Charline !
Je laisse Justine dans le couloir et me dirige vers la chambre. Avant d’en ouvrir la porte, je jette un coup d’œil à l’hôte de ma femme et je peux constater qu’elle est en train de me mater sans vergogne. Je prends donc tout mon temps et me retourne, non sans lui laisser voir ma queue, et lui demande si elle a besoin de quelque chose.
-Non, c’est gentil, mais je vais me débrouiller, même si j’ai d’autres pensées en vous voyant !
Je souris alors et finis par entrer dans la chambre. Après avoir bien refermé la porte, je m’allonge à côté de ma très chère femme et je finis par m’endormir, la fatigue ayant raison de mon excitation.
Au petit matin, c’est la bouche de ma femme qui avale ma queue qui me réveille. Cette sensation est unique. Elle seule sait me donner ce frisson avec sa bouche. Elle me suce un long moment avant de venir s’empaler sur mon sexe véritablement turgescent. Nous faisons alors l’amour de façon complètement romantique, d’abord elle sur moi, puis l’inverse dans la position du missionnaire. Je fais de longs aller-retours dans son ventre jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme qui la fait mouiller abondamment. Avant que je ne jouisse à mon tour, elle me repousse et se positionne sur le ventre en serrant les jambes. Je sais qu’elle adore cette position. Je me mets au-dessus d’elle, mes jambes de chaque côté des siennes. Elle soulève alors un peu les fesses et je fais pénétrer ma queue dans sa chatte. Nous poursuivons notre coït ainsi encore plusieurs minutes et je finis par ressentir son plaisir remonter une fois de plus par les contractions de son vagin et les mouvements de plus en plus forts de son bassin qui monte et descend. Je me laisse alors aller et laisse mon orgasme monter. Je jouis alors avec un long soupir de satisfaction. Je lui envoie de longs jets de spermes dans le vagin qui lui donne un nouvel orgasme. Une fois que nous nous sommes calmés, je me redresse et Charline s’allonge sur le dos. Je lui fais écarter les jambes car je sais qu’elle est folle d’une petite gâterie après l’orgasme. Je me mets alors à lui lécher la chatte, comme pour lui nettoyer. Je récupère ainsi avec ma langue le mélange de cyprine et de sperme qui s’échappe de ses lèvres rougies et écartées. J’adore le goût de ce nectar qui est composé de nos deux fluides sexuels et ma chérie aussi, alors je partage avec elle en un long baiser qui nous unis dans notre amour autant charnel que psychique.
Sans même avoir échangé un mot avec ma Chérie, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.
Vers huit heures, je me réveille au moment où Charline pose sa tête sur ma poitrine, tournée vers moi, sa jambe droite posée sur la mienne.
-Salut ma Reine, comment vas-tu ?
-Super bien et très contente de te retrouver, mon amour !
-Dis, hier soir, après ma douche, j’ai croisé une dame dans le couloir, j’étais un peu à poils !
-Ah, Justine ne dormait pas ?
-Visiblement non ! Et elle a eu la chance de voir mon matos, du coup !
-Grand bien lui fasse ! C’est une collègue, elle a trouvé une femme dans son lit avec son mari et ça ne lui a pas plu apparemment ! Du coup, elle m’a demandé si je pouvais l’héberger quelques jours, et comme tu n’étais pas là, j’ai accepté. Elle est très sympa, tu verras.
-D’accord, et elle reste jusqu’à quand ?
-Aucune idée, mais je pense que maintenant que tu es rentré, elle ne va pas s’attarder. Mais parle-moi de ta semaine, mon salaud ! Tu as baisé deux femmes, et en même temps en plus !
-Et je me suis régalé, je te l’avoue !
Je raconte alors à ma femme les trois soirées chaudes passées loin d’elle et surtout la dernière, avec Martine et Jeanne. Et je finis par lui dire qu’elles veulent toutes les deux la rencontrer.
-Pourquoi elles veulent me rencontrer ?
-Parce qu’elles ont été choquées de savoir qu’on se disait tout, toi et moi. Bon, j’avoue aussi que je leur ai dit que tu es une déesse au lit et que tu adores baiser avec moi et une troisième personne en même temps.
-Oh, tu pensais à moi, même en baisant ces chaudasses ! Tu es un amour !
-C’est parce que je suis fou de toi ! Et parle-moi de ta collègue ! Vous avez fait des cochonneries toutes les deux ?
-Même pas ! On s’est rapprochées hier soir, avant d’aller se coucher, mais elle n’est pas prête.
-C’est-à-dire ?
-On était dans le canapé après avoir beaucoup parlé de sa situation et comme elle pleurait, je l’ai prise dans mes bras. On a fait un long câlin et on s’est embrassées, mais elle a fait machine arrière, sans doute par peur. Je ne sais pas en fait.
-Tu l’apprécies ?
-Oui, beaucoup. C’est une fille sympa, simple et qui se prend pas la tête. Mais j’aimerais qu’elle se détende, qu’elle s’amuse un peu. Je pense que son mec est un vrai salopard qui n’a jamais pris soin d’elle. Je voyais ses yeux briller quand je lui parlais de notre relation. Elle était aussi étonnée que tentée.
-Tu veux que je te laisse ce week-end ? Je peux aller chez Stéphane, il est parti trois semaines et il m’a laissé la clé de chez lui pour les plantes et l’alarme.
-C’est vrai ? Tu ferais ça ?
-Bien sûr, ma Chérie !
Ma femme me prend alors dans ses bras et nous faisons un vrai câlin de couple, avant de nous lever pour le petit-déjeuner. Avant de sortir de la chambre, je prends la peine de m’habiller un peu, pour ne pas effrayer une fois de plus la collègue de ma femme.
Nous allons donc dans la cuisine et Justine nous y rejoint quelques minutes plus tard.
-Bonjour vous deux !
-Salut ma belle! lance ma femme à sa collègue.
-Bonjour Justine ! Tu as bien dormi ?
-Très bien, merci Luc ! Charline, j’espère que tu ne m’en voudras pas, mais j’ai eu le plaisir de rencontrer ton mari hier soir et il était plutôt dénudé !
-Non, t’inquiète pas, il m’en a parlé. Tu l’as trouvé comment ?
-Oh ! Ben, il … c’était … Je ne m’y attendais pas !
-Ben, rassurez-vous, je n’avais rien prévu, car je ne savais même pas qu’il y avait quelqu’un à la maison ! Je suis désolé !
-Non, ne le soyez pas ! Ce n’était pas la première fois que je me retrouvais devant un mec à poil et je sais apprécier les bonnes choses !
-Dis-donc, coquine, mon mec est à ton goût on dirait !
-C’est ton homme, alors je ne me permettrais pas !
-Tu sais, Justine, si coucher avec mon mari peut te donner un peu de bonheur, et si lui est d’accord, alors je n’y vois aucun inconvénient !!
-Mais tu es folle ! Ça ne se fait pas !
-Pourquoi ? demandais-je alors.
-Parce que vous êtes ensemble ! Je ne veux pas m’immiscer dans votre couple !
-Attends ma belle ! Luc ne me trompera pas en couchant avec toi et tu ne deviendras pas sa maîtresse ! Je te propose de prendre du bon temps, point-trait !
-Non, arrête avec ça, je suis trop gênée !
-Ok, on n’en parle plus alors … pour le moment !
-C’est bon, les filles. Bon, je vais prendre ma douche, car je dois aller surveiller l’appartement de Stéphane. Il est parti depuis le début de la semaine et j’ai tout un tas de trucs à faire chez lui ! Comme tu es là, Justine, je sais que ma femme n’est pas seule, alors je reviendrai demain après-midi seulement. A part si vous avez besoin de quelque chose, alors je passerai !
Je file alors à la douche, non sans jeter un coup d’œil aux deux femmes. Le premier est plus un clin d’œil adressé à ma femme, le deuxième plutôt une observation de Justine. Je dois dire que c’est une belle femme. Elle doit avoir le même âge que ma femme, elle est un peu plus grande, je dirais environ 1,65m, plutôt mince, mais une forte poitrine, du genre 95C. Elle a de très longs cheveux blonds avec des reflets roux et des yeux marron. Après m’être habillé, je laisse les femmes entre elles, pensant passer un petit week-end de pure repos, entre télé et console, seul chez mon pote.
Arrivé chez Stéphane, je vérifie l’état des plantes, je fais le tour de l’appart’ pour être sûr que tout est bien fermé et je récupère un drap dans le placard de la salle de bain en préparation de ma nuit dans le canapé. Après ça, je m’installe devant la télé et je lance une série.