COLLECTION ESCORTE GIRL. Rencontre inattendue (3/6)

Incroyable, je suis en train de faire pénétrer le sexe d’un homme de l’âge de mon papa en moi.
Jusqu’à ce jour, j’étais loin d’être porté sur le sexe, privilégiant mes études aux joies de vivre la sexualité.
Une expérience sur mon canapé où je me caresse le vagin avec les poils entrant en moi, suivi du gode ceinture qui m’a dépucelé avant le départ de ma maîtresse.
Ange partait pour la Jamaïque dans le cadre de son métier d’avocate jusqu’à cet homme où elle m’apprend à lui faire une fellation.

• C’est bien, Gladys, laisse-le entrer en toi petit à petit, savoure ce moment.
Ma mère me racontait sa première fois, trop tard pour moi.
Mon dépucelage, je l’ai perdu pendant des vacances, j’ai du mal à m’en souvenir, j’étais bourrée.

C’est ainsi après un gode, que je me retrouve assise sur une bite.
Chris me prend les seins en mains et joue avec mes pointes, c’est drôle, qu’Ange me partage son amant, c’est rare les filles partageuses.
Chris doit se rendre compte que ma position est très inconfortable en sortant de moi et m’aidant à me relever.

• Ange conduit-nous à ta chambre, je vais vous prendre alternativement l’une l’autre comme...
• Chris, je sais que tu aimes baiser les femmes en levrette, Gladys met toi à côté de moi et laissons-nous faire, inutile d’aller dans ma chambre.

Pourquoi Ange a-t-elle coupé Chris, « comme qui », zone d’ombre, mais le sexe qu’il fait entrer balaye toutes mes interrogations ?
Alternativement, il passe de l’une à l’autre, les hommes sont vraiment bizarres, ils pourraient avoir une femme entièrement dévouée à leurs envies sexuelles et se compliquent la vie en voulant en satisfaire deux.
C’est à ce moment qu’il me met un doigt dans le cul, je trouve ça surprenant.

• Ange, ta protégée est-elle vierge du cul, tu t’es occupé de son pucelage, mais son anus, lui aussi ton gode l’a perforé ?
• Je peux répondre à une telle question, Chris mon cul est vierge.
Je sais que les hommes aiment s’occuper de l’anus des filles.
Je suis peut-être une oie blanche, mais c’est mon amie qui me dit ce que je dois faire, je lui ai promis.
• Chris, tu peux prendre la petite comme bon te semble, mais tu en connais les obligations.
• Oui, quand nous nous sommes donné rendez-vous au téléphone, j’ai prévu ce qu’il faut, aucun problème.

Une nouvelle fois, je suis larguée, ils semblent être en possession de certaines pièces du puzzle, mais j’ai plus urgent à penser, un gland a décidé d’entrer dans mon fondement.

• Doucement Chris, dans l’état ou j’étais, comment me souvenir de mon dépucelage.
Je me souviens très bien de ma première sodomie, quelques mois plus tard.
Chaque fois que la pensée de ce grand noir me revient, j’ai encore mal.

C’est fait, Ange a tenu le sexe pour qu’il entre lentement en moi, on dirait qu’elle me couve tout en faisant de moi une salope, mais j’aime bien.
Non pas que je sauterais de joie chaque fois que mon homme voudra me sodomiser, mais je l’accepterais.
Corinne, ma copine d’enfance a vécu une telle expérience, avec son premier mec.
Elle s’est refusée à cette façon de se faire baiser et il l’a quitté.
J’ai récupéré une serpillière tellement elle l’aimait, elle a mis presque six mois à s’en sortir, je pourrais éviter ce problème.

Il est en moi, j’ai un peu mal, mais globalement ça va.
Il me prend pendant un temps long, mais c’est supportable.
Cette soirée m’a épuisé, je sens le sperme couler en moi et Chris haleter de plaisir. Nous nous écroulons repus de fatigue.

• Salut, les filles, j’ai un rendez-vous de bonne heure demain avant de reprendre mon train pour Angers, dormez bien, Ange tu trouveras ce que tu sais dans ta cuisine.
• Salut Chris, appelle-moi quand tu seras de passage, on se fera une soirée.

J’ai entendu, sans voir le vieil homme qui m’a prise par l’anus, partir, tellement je dormais récupérant de ce moment fou.
Ce sont des notes de musique qui me réveillent.
Je suis seule dans le grand lit de celle qui aura bouleversé ma vie.
Je me lève, c’est dans la cuisine qu’Ange nue est devant sa table une tasse de café à la main embaumant l’air.

• Gladys, tu es là, veux-tu un café, tu as été d’enfer cette nuit, je suis fière de toi.

Devant elle, plusieurs paquets de billets, garde-t-elle de l’argent liquide ayant peur des banques et compte-t-elle ses avoirs ?
Elle se lève, chamboulant mes sens.
Je m’approche, nous nous embrassons tendrement, j’adore aussi sa bouche.
Il arrive quelquefois qu’entre deux personnes au niveau des mains, une décharge électrique se produise.
Pour nous c’est au contact de nos seins que le phénomène se produit, nous éclatons de rire.
Ma tasse servie, elle se rassoit.

• Assieds-toi ici, Gladys, je faisais les comptes de notre soirée !
• Tes comptes ?
• Non, j’ai bien dit nos comptes, tu vois devant nous l’argent que Chris notre client nous a laissé après les prestations que nous lui avons servies.
• Les prestations, de quoi parles-tu ?
• Je dois te dire qu’elle est ma vie depuis que je suis montée à Paris !
Mais il faut que tu saches que Chris est un vieux client, il aime faire l’amour avec deux femmes quand il vient sur la capitale.
Depuis que Jennifer m’a quitté pour se marier à Londres, je manquais de partenaire pour ces jeux à trois ou quatre.
Quand je t’ai vu sur la place dans ce café, j’ai eu un coup de foudre, pour ta beauté et surtout pour ce que je sentais que tu serais capable de m’apporter en tant que partenaire.
Quand Chris a pris rendez-vous pour hier, j’ai décidé de te faire franchir le pas, cette nuit, tu m’as entièrement satisfaite.
• Tu as fait de moi une pute.
• Non, tu as simplement accepté les demandes que notre client t’a faites, jusqu’à la sodomie qu’il a payée plus chère, regarde, très cher !
• Ça va trop vite, cet argent, qu’est-ce que c’est ?
• J’étais en train de faire le partage, voilà, 2 000 € pour la nuit pour chacune pour recevoir un client, c’est mon tarif de base, voilà pour toi.

Ange pousse devant moi un des paquets de billets.

• 1 000 autres pour la sodomie qu’il a voulu te faire et que tu as accepté.
Là aussi c’est le tarif et ils sont intégralement pour toi, tu vois, il reste 1 000 €, c’est un pourboire que Chris t’a laissé.
C’est toi qui as fait le principal du travail, je devrais te les laisser.
Mais j’ai eu des frais pour le recevoir, le repas chez un bon traiteur est assez onéreux, sans compter l’électricité, bref les faux frais.
Je coupe ces 1 000 € à part égale, 2 500 pour ma soirée et 3 500 pour toi.
• Tu es une maquerelle Ange.
• Voilà les grands mots, j’apporte à cette petite dinde 3 500 € pour avoir fait une fellation, s’être fait baiser et sodomiser et elle me traite de mère maquerelle.
Tu vois, la porte d’entrée, tu te rhabilles et tu la franchis définitivement.
Attends tranquillement qu’un mec se déclare amoureux, te baise et te passe la bague au doigt.
Il te fera des mouflets pour finir par te faire cocu, pire, il partira pour une jeune pucelle.
Toi, tu pleureras toutes les larmes de ton corps, mais ce sera trop tard.
Tes seins finiront par tomber, ton cul aura doublé à cause de tes trois grossesses et c’est toi qui te maudiras d’avoir loupé la chance de ta vie.
Ou tu prends cet argent en attendant que je te trouve un nouveau client et que tu remplisses ton compte en banque.
Viens t’assoir sur mes genoux et embrasse-moi, je te propose de te loger gratuitement dans la chambre qu’occupait Jennifer à côté de la mienne.
Il y a tout ce qu’il faut pour que tu fasses tes études.
Si tu me suis dans ma vie, il faudra que tu passes tes diplômes, comme moi je l’ai fait.
Jennifer avait mon âge et a rencontré un homme qui lui a apporté une vie rêvée à Londres, c’est pourquoi elle m’a quitté avec ma bénédiction.
J’ai mis assez d’argent de côté pour que lorsque moi-même je trouverais celui qui saura faire battre mon cœur, je me retirerais et je créerais mon bureau d’avocat.
• Je croyais que tu étais avocate et non pute !
• J’ai mes diplômes, je veux que tu aies les tiens.
Je vais t’expliquer comment tout a débuté pour moi, contrairement à toi, fille à papa payant ton loyer quand je suis venue à Paris.
J’avais une bourse, maman avait peu de moyens, mais elle m’aidait, en faisant attention à sa nourriture.
J’arrivais à vivre, jusqu’à ce que l’administration trouve un loup et arrête ma bourse.
J’espérais que cela durerait quelques jours or un mois plus tard la situation était bloquée, c’est là que mon amie Jennifer m’a proposé de rencontrer des hommes contre contribution.
J’avais perdu mon pucelage avec l’un de mes professeurs de droit dans les premiers jours où je suis arrivée, deux jours plus tard, je passais la nuit avec mon premier client.
• Ta situation s’est-elle améliorée !
• Regarde ou je vis, regarde mon train de vie !
Pour rencontrer des hommes, il me fallait des tenues sexy, mais j’ai surtout voulu rester avec mon amie, rapidement nous nous sommes mis dans nos meubles.
Nous avons acheté cet appartement et nous avons fait des travaux, une chambre pour chacune de nous, certains clients venant à deux voulaient leurs indépendances.
Nous avons pu faire une deuxième salle de bains dans un local de rangement, tu pourras avoir toutes tes aises sans que nous nous dérangions.

J’ai un choix à faire, Ange a mis sa main dans ma fourche et me caresse le bouton. Est-ce cela qui m’a fait prendre ma décision, mais le baiser que je lui donne, scelle notre accord.
Il faut que je sois franche, j’avais du sentiment pour Ange et la nuit que j’avais passée avec Chris m’a plu, sans compter l’argent qui se trouve devant moi.

• Ange, si tu m’envoies chez un client dans les jours prochains, après je prendrais ma décision définitive, es-tu d’accord ?
• C’est logique, je te laisse le choix, comme Jennifer l’a fait, ou que moi je te demanderais de le faire si je décide d’arrêter.
• Il me reste un problème à régler, si je choisis de faire le même choix que toi, papa !
Je me vois mal lui dire, « je vais aller vivre avec Ange mon amie rencontrée et qui me fait faire la pute, cela m’a rapporté 3 500 € dès la première fois !
• Tu feras comme-moi, avec ma maman avant le cancer qui l’a emporté.
Quelquefois, elle venait me voir ici, pendant huit jours.
J’espaçais mes rendez-vous ou je me servais de mon diplôme d’avocat lui parlant d’un procès qui durait très tard le soir, voir dans la nuit.
Avec Jennifer pendant ces périodes, nous allions dans les hôtels ou chez nos clients, sans en accepter le moindre ici, ça c'est toujours bien passé.
Je vais te donner une carte de mon cabinet fictif que j’ai créé, tu lui montreras et tu lui diras que je t’emploie en alternance pour tes études.
Pour faire bonne mesure, tu lui diras que mon cabinet t’a déjà promis une place définitive à l’obtention de ton diplôme.
• Ange attend, je prends mon portable, voilà, dit moi, l’homme que tu as pris en selfie avec toi, en Jamaïque, étais-ce un client ?
• Oui, j’ai passé le séjour dans un hôtel libertin, il me présentait comme sa femme, il m’a payé 30 000 € pour la durée du séjour, je t’explique mon petit coeur…