Charline et Justine (4ème partie)

Ma femme est en train de me parler dans l’oreille. Je réalise alors que je dormais et que je viens de faire un rêve érotique. Je me redresse et me rends compte que je bande … mais aussi que je viens d’éjaculer et de jouir de mon rêve.
-Oh putain ! Je rêvais !
Charline éclate de rire et j’en fais autant.
-Jamais ça ne m’était arrivé de ressentir ça ! Je croyais vraiment que je vivais un truc réel !
-C’était quoi ton rêve ?
-Tu étais venu me réveiller pour me dire que Justine voulait essayer avec moi et elle voulait voir si je pouvais la faire jouir autant que toi !
-Et c’était bon ?
-Carrément ! Tu as tout vu ?
-Non, quand je suis arrivé, tu étais en train d’éjaculer. Tu tenais ta bite dans la main et ton sperme coulait sur ton ventre. J’ai aimé te voir jouir ainsi. Je croyais que tu étais simplement en train de te masturber, mais c’était mieux que ça, en fait !
-Waouh, je n’en reviens pas de ce qui vient de m’arriver ! Tu ne dors pas avec elle, au fait ?
-Elle s’est endormie. On n’a rien fait ce soir et j’avais envie un peu de ta queue. On a discuté un moment, puis j’ai senti qu’il n’y aurait rien. Elle se pose beaucoup de questions. Elle a envie d’essayer de baiser avec toi, mais elle bloque sur le fait que tu sois mon mari. J’ai beau lui expliquer que je suis d’accord, mais il n’y a rien à faire. A mon avis, le seul truc qui peut la débloquer, c’est que tu sois entreprenant avec elle.
-Si tu n’es pas là, je ne suis pas sûr qu’elle se laisse aller.
-Tu crois ?
-Je pense qu’il faut qu’on s’organise vraiment !
-Je te propose un truc. On se baigne dans la piscine tous les trois, on chahute et tu la tripotes un peu. Tu vois comment elle réagit. Si elle résiste, tu me le dis et je m’absenterai. Tu essaieras encore et en fonction de sa réaction, on arrête tout ou tu passes à l’action. Tu en penses quoi ?
-D’accord, on peut essayer comme ça !
-En attendant, j’ai besoin de ta grosse bite dans ma bouche et dans mon cul !
Aussitôt, Charline se penche vers mon membre, l’attrape et le met illico dans sa bouche. Elle commence aussitôt ses mouvements pour me faire bander, ce qui ne tarde pas. Sa façon de me sucer me rend dingue à chaque fois. Sa bouche oscille entre le gland et la moitié de la hauteur de ma queue, pendant que sa langue s’amuse avec le frein. Je ne tarde pas à être dur comme du bois. Elle crache alors dans sa main et vient enduire son anus de sa salive. Elle introduit un, puis deux doigts dans son cul. Elle les ressort aussitôt et viens poser sa rondelle sur mon gland. Aussitôt, elle s’empale en me faisant face, sur ma queue, qui rentre tout doucement dans son anus. Elle s’arrête à mi-hauteur, fait ressortir ma verge, se relève et me tourne le dos. Elle s’empale alors de nouveau sur ma queue qui rentre entièrement dans son cul cette fois-ci.
Je me redresse et lui attrape les seins, tandis qu’elle commence à bouger, puis je la bascule en avant et la fais se mettre à quatre patte. Je ressors de son cul pour me positionner bien derrière elle et je l’encule de nouveau. Ma queue entre en elle sans difficulté, tellement elle a envie que je la possède ainsi, telle une chienne en chaleur qu’elle est à ce moment-là.
Je vois que pendant que je la besogne bestialement, elle se triture le clitoris. elle finit pas écraser sa tête sur l’oreiller en poussant un grand soupir et elle jouit comme elle le fait quand elle prend un grand pied, en éclatant d’un petit rire nerveux et contenu. Avec les contractions de son anus provoqués par son orgasme, je ne tarde pas à ressentir le mien arriver. Je sens alors la montée de sperme dans le canal de l’urètre qui accompagne mon orgasme et j’explose dans ses intestins que je remplis de plusieurs jets de sperme.
Faire l’amour ou baiser avec ma femme, c’est à chaque fois une source de satisfaction immense, tant physique qu’intellectuelle.
Nous nous allongeons sur le côté, ma queue toujours dans son cul, mais en train de se détendre petit à petit. Je la prends dans mes bras et le temps que nos corps soient de nouveau séparés, nous restons ainsi et c’est dans cette position que nous finissons par nous endormir, nus sur notre lit.
Au petit matin, Charline se réveille en premier, comme toujours et je la rejoins dans la salle de bain. Nous reparlons de notre nuit et éclatons de nouveau de rire à l’évocation de mon rêve érotique. Je lui redis que c’était très chaud et très réaliste.
-Si elle est et qu’elle baise comme je l’ai rêvé, ça va être formidable !
-Physiquement, elle est très jolie, je te confirme ! Belle poitrine, hanches parfaites, très joli cul, petite chatte complètement épilée avec des lèvres très symétriques, elle devrait te satisfaire. Par contre, elle est un peu timide au lit, même avec moi. Sa langue pourrait être améliorée avec quelques cours et beaucoup de pratique. Du moins, sur ma chatte ! Tu verras ce que ça donne sur ta grosse bite !
Nous finissons notre toilette en déconnant, comme tous les jours, puis nous allons prendre notre petit-déjeuner. Nous nous installons sur la terrasse, face à la piscine, théâtre en principe de nos prochains ébats avec Justine. J’espère vraiment que cela va se passer avec la présence de Charline, car je voudrais qu’on se mette tous les deux sur la belle Justine.
Justement, alors que je pense à elle, la belle blonde se présente à nous. Elle porte une chemise blanche, boutonnée juste en dessous de la poitrine, ce qui donne un magnifique aperçu de ses deux melons, libres de tout soutien-gorge. J’espère au fond de moi qu’elle ne porte pas non plus de culotte, mais je ne fais rien pour le vérifier. Elle embrasse Charline d’abord sur la joue, puis ma femme la retient et lui colle ses lèvres sur les siennes. Je vois alors Charline ouvrir légèrement la bouche et introduire sa langue entre les lèvres de Justine, qui finit elle aussi par ouvrir la bouche et accueillir cet intrus entre ses dents. Elles se roulent alors une pelle rapide et Justine s’écarte de ma femme. Elle vient alors m’embrasser aussi, sur la joue. Je lui rends son baiser, sans insister plus que ça.
Elle s’assoit alors sur la troisième chaise, à côté de Charline, mais dos à la piscine.
-Tu as bien dormi ? lui demande Charline.
-Très bien, mais j’étais étonnée de ne pas te trouver à mes côtés ce matin !
-J’avais envie de baiser avec mon mari ! Désolée de t’avoir abandonnée, mais tu dormais si bien !
-C’est vrai que je me suis endormie comme une masse !
-Tu as aimé ?
-Quoi ?
-Notre baise ? Tu as aimé comment je t’ai léchée ?
-Euh … oui ! répond-elle timidement.
-Ne sois pas timide ! Tu sais, Luc et moi, on se dit tout ! Je lui ai raconté ce qu’on a fait et je lui ai même dit que tu lèches très bien, mais que tu manques de pratique. J’espère en tout cas que tu as bien joui avec ma langue ?
-Oui, c’était très bon ! dit-elle, résignée. Oui, j’ai aimé comment tu m’as fait jouir ! Oui, j’aime ce que je vis avec toi, avec vous deux ! Je suis aussi surprise et j’ai envie de vous suivre … mais j’ai besoin d’y aller doucement !
-Ne t’inquiète pas, prends ton temps ! Et en attendant, qu’est-ce que tu veux déjeuner ? Tu veux un café ?
-Oh, oui, je veux bien un café et un morceau de pain avec de la confiture si tu as ?
Le début de matinée est très simple et aussi très sympa. Nous passons du temps sur notre terrasse tous les trois, à discuter de choses et d’autres.
Vers 10h30, Charline se lève et indique qu’elle va s’étendre un peu au soleil. Elle retire alors le tee-shirt qu’elle portait depuis sa douche matinale et apparaît entièrement nue. elle va s’allonger sur le transat positionné juste à côté de la piscine.
-Elle n’a pas peur d’être vue par les voisins ?
-Oh, non, tu sais, en ce moment, la seule maison qui pourrait avoir une vue sur notre jardin et la maison d’en face, mais elle est vide. On est protégé de la vue de tous les autres voisins par la haie de thuyas.
-Justine, tu viens me mettre de la crème ?
-J’arrive ! Elle se lève alors et va jusqu’à ma femme. Elle s’assoit sur le bord du transat, prend le tube de crème et en met dans sa main droite, qu’elle pose alors sur le ventre de Charline.
Je n’entends pas ce qu’elles se disent, mais elles en rient toutes les deux et Justine commence à enduire le corps de ma femme de protection solaire. Sans insister sur les seins plus qu’il ne faut et sans non plus faire tout geste pouvant avoir un caractère sexuel, elle enduit la face avant de ma femme.
Là encore, elles se parlent un instant et ma femme se redresse et attrape le pot de crème. Justine s’étend alors sur le deuxième transat et ma femme commence à lui passer la crème sur les jambes.
Après quelques instants, elle se redresse et retire sa chemise. J’ai alors confirmation qu’elle était bien nue dessous et que sa poitrine est bien plus grosse que celle de ma femme. D’ailleurs, cette dernière prend un malin plaisir à enduire ces deux beaux seins de protection solaire. Elle prend tout son temps pour les caresser avant de passer au ventre de sa partenaire de bronzage, puis au pubis glabre et légèrement plus proéminent aussi que celui de ma femme. Là encore, ma femme passe et repasse, tant sur le sommet du mont de Vénus qu’entre les jambes de la belle blonde. Ce manège dure bien cinq minutes pendant lesquelles je me rince goulûment l’œil.
Après cela, Charline retourne se positionner sur son transat, tandis que je rentre dans le salon pour m’installer dans le canapé pour visionner le replay d’un reportage que j’ai loupé cette semaine.
Vers midi et demi, je vois Charline arriver dans la maison et me demander ce qu’on mange. Je lui propose de faire une petite salade composée, avec des crudités, du thon et du fromage, ce qu’elle accepte. Elle repart illico sur son transat. Je prépare également une petite grillade, car on a un peu de viande marinée.
Pendant que la viande cuit, Je vois les deux femmes se relever pour me rejoindre et boire l’apéro. Charline reste nue, mais je vois Justine attraper sa chemise et commencer à la remettre. Je comprends que ma femme tente de l’en dissuader. Leur palabre dure bien cinq minutes et finalement, je vois la chemise retomber sur le transat et les deux femmes s’approcher de moi.
-Chéri, tu vas devoir te déshabiller car Justine se sent gênée d’être à poil et toi encore habillé.
-Pas de soucis, je n’osais pas jusqu’à maintenant de peur de te choquer.
-C’est moi qui suis gênée pour le moment et il va me falloir quelques minutes avant que je me lâche !
Je dépose alors mon short et mon slip de bain que j’avais mis ce matin en prévision de cet après-midi et nous voilà tous les trois dans le plus simple appareil.
Nous passons ainsi à table. Je suis assis face à la piscine, Charline est à ma droite et Justine à ma gauche. Je précise que nous sommes installés à la table du salon de jardin, en fer et verre. Eh oui, le plateau est en verre et j’ai donc une vue imprenable sur les jambes de mes compagnes, tout comme elles peuvent voir ma bite entre mes jambes. J’avoue que c’est grisant.
Le repas se passe très bien et je réussis relativement bien à cacher mon trouble provoqué par la proximité de cette charmante femme, complètement à poils à mes côtés.
Une fois le repas terminé, je propose aux deux femmes d’aller se reposer sur les transats, qui sont maintenant à l’ombre, pendant que je m’occupe de débarrasser.
Alors que je fais des aller-retours dans la cuisine, je remarque, alors que je reviens sur la terrasse, que Justine lorgne dans ma direction. Elle semble apprécier le spectacle que je lui offre avec mes attributs bien évidents mis à la disposition de son regard. Je fais mine de rien, m’efforçant de ne pas prendre trop de choses à la fois afin de multiplier mes trajets.
Une fois la table débarrassée, je retourne dans mon canapé.