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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 28/06/2023
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Agréable vengeance
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Contrairement à nos habitudes, cette aventure n'est pas candauliste (bien qu'avec l'aval de Libertin), mais une vengeance sexuelle.
Au travail j'ai une supérieur (DRH) qui ne cesse de me poursuivre de ses remontrances à propos de tout et de rien. Sans prétentions, je suis une jeune femme bien proportionnée, toujours habillée "sexysage" et qui est la coqueluche de la plupart de mes collègues H & F. Elle, elle devait être jolie étant jeune, mais n'a pas très bien vieilli.
Bref, il y a 4 mois j'ai décidé de me venger d'elle à son insu.
C'est à la fête d'anniversaire (5 ans) de la boite que l'idée a germé en moi.
Son mari ne cessait de tourner autour de moi, m'invitant à danser plusieurs fois, ce que je vis ne pas plaire à ma cheffe qui tirait la tête.
Faut dire que l'homme avait un peu abusé de l'alcool et que, à plusieurs reprises en dansant, ses mains se sont baladées sur mes fesses. C'était bref, juste de légères caresses, mais suffisamment pour me mettre une idée en tête, "baiser avec lui !".
Revenue à notre table j'en ai parlé à Libertin, lui expliquant que rien ne me ferait plus plaisir que de cocufier ma chef.
Au courant de ce qu'elle me faisait subir tous les jours, Libertin marqua son accord en me demandant de ne pas révéler à l'homme qu'il était au courant.
Sur un papier j'ai écris ceci:
"Vous avez dansé de nombreuses fois avec moi, vos mains se sont baladées sur mon cul et vous m'avez donné envie de vous (je pense que c'est réciproque). J'aimerai que vous me téléphoniez ce WE et que, si vous le désirez, nous nous rencontrions à l'hôtel un jour de la semaine prochaine, voici mon numéro et mon nom ..........".
Allait-il le faire ?
Le samedi, vers 13 h, le téléphone retentit. C'était lui !
Longue conversation, il avait peur d'un piège et je l'ai rassuré. Finalement nous avons pris RDV pour le mercredi 14 h à l'hôtel "La maison blanche" non loin de chez moi.
Moi: Je vous attendrai juste devant, je réserverai une chambre.
Le mercredi 14 h j'étais, comme convenu, à l'attendre devant l'hôtel habillée ultra sexy. Petite robe courte boutonnée tout du long, pas de SG, talons hauts, string.
Il est arrivé et, après avoir payé la chambre, je suis passée devant lui pour grimper les escaliers et en profiter pour l'exciter à la vue de mes jambes.
Petite description de l'homme: 68 ans, +- 180 cm, +- 110 à 120 kgs, très bedonnant.
Presqu'aussitôt que nous fûmes dans la chambre on nous apporta le champagne qu'il avait commandé à notre arrivée.
J'ai déboutonné entièrement ma robe et me suis assise sur le lit pendant qu'il servait les coupes. Il me donna la mienne et s'assit à côté de moi. Nous trinquèrent puis il me posa quelques questions:
- "Qu'est-ce qui vous a poussée à m'écrire le petit mot ? Votre mari ne vous satisfait pas ? Je suis fort âgé, cela ne vous dérange pas ? ...".
Je lui ai dit que mon mari me satisfaisait, mais que j'aime les hommes mûrs depuis toute jeune, que c'était là la raison de mon mot. Et j'ai ajouté que ses caresses pendant que nous dansions avaient mis le feu en moi.
- "Vous êtes une sacrée coquine, si votre mari le savait...".
Moi: "Bah, ne vous tracassez pas pour lui (si il savait!), embrassez-moi".
Il déposa son verre, prit le mien qu'il déposa également, puis m'embrassa longuement.
Sa langue jouait avec la mienne tandis qu'une de ses mains partit en exploration de ma poitrine puis de mon minou.
Sa méfiance avait totalement disparu, il devint vite un enragé sexuel.
A suivre,
Lucrèce la liégeoise
Au travail j'ai une supérieur (DRH) qui ne cesse de me poursuivre de ses remontrances à propos de tout et de rien. Sans prétentions, je suis une jeune femme bien proportionnée, toujours habillée "sexysage" et qui est la coqueluche de la plupart de mes collègues H & F. Elle, elle devait être jolie étant jeune, mais n'a pas très bien vieilli.
Bref, il y a 4 mois j'ai décidé de me venger d'elle à son insu.
C'est à la fête d'anniversaire (5 ans) de la boite que l'idée a germé en moi.
Son mari ne cessait de tourner autour de moi, m'invitant à danser plusieurs fois, ce que je vis ne pas plaire à ma cheffe qui tirait la tête.
Faut dire que l'homme avait un peu abusé de l'alcool et que, à plusieurs reprises en dansant, ses mains se sont baladées sur mes fesses. C'était bref, juste de légères caresses, mais suffisamment pour me mettre une idée en tête, "baiser avec lui !".
Revenue à notre table j'en ai parlé à Libertin, lui expliquant que rien ne me ferait plus plaisir que de cocufier ma chef.
Au courant de ce qu'elle me faisait subir tous les jours, Libertin marqua son accord en me demandant de ne pas révéler à l'homme qu'il était au courant.
Sur un papier j'ai écris ceci:
"Vous avez dansé de nombreuses fois avec moi, vos mains se sont baladées sur mon cul et vous m'avez donné envie de vous (je pense que c'est réciproque). J'aimerai que vous me téléphoniez ce WE et que, si vous le désirez, nous nous rencontrions à l'hôtel un jour de la semaine prochaine, voici mon numéro et mon nom ..........".
Allait-il le faire ?
Le samedi, vers 13 h, le téléphone retentit. C'était lui !
Longue conversation, il avait peur d'un piège et je l'ai rassuré. Finalement nous avons pris RDV pour le mercredi 14 h à l'hôtel "La maison blanche" non loin de chez moi.
Moi: Je vous attendrai juste devant, je réserverai une chambre.
Le mercredi 14 h j'étais, comme convenu, à l'attendre devant l'hôtel habillée ultra sexy. Petite robe courte boutonnée tout du long, pas de SG, talons hauts, string.
Il est arrivé et, après avoir payé la chambre, je suis passée devant lui pour grimper les escaliers et en profiter pour l'exciter à la vue de mes jambes.
Petite description de l'homme: 68 ans, +- 180 cm, +- 110 à 120 kgs, très bedonnant.
Presqu'aussitôt que nous fûmes dans la chambre on nous apporta le champagne qu'il avait commandé à notre arrivée.
J'ai déboutonné entièrement ma robe et me suis assise sur le lit pendant qu'il servait les coupes. Il me donna la mienne et s'assit à côté de moi. Nous trinquèrent puis il me posa quelques questions:
- "Qu'est-ce qui vous a poussée à m'écrire le petit mot ? Votre mari ne vous satisfait pas ? Je suis fort âgé, cela ne vous dérange pas ? ...".
Je lui ai dit que mon mari me satisfaisait, mais que j'aime les hommes mûrs depuis toute jeune, que c'était là la raison de mon mot. Et j'ai ajouté que ses caresses pendant que nous dansions avaient mis le feu en moi.
- "Vous êtes une sacrée coquine, si votre mari le savait...".
Moi: "Bah, ne vous tracassez pas pour lui (si il savait!), embrassez-moi".
Il déposa son verre, prit le mien qu'il déposa également, puis m'embrassa longuement.
Sa langue jouait avec la mienne tandis qu'une de ses mains partit en exploration de ma poitrine puis de mon minou.
Sa méfiance avait totalement disparu, il devint vite un enragé sexuel.
A suivre,
Lucrèce la liégeoise
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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Commentaires du récit : Agréable vengeance
Le 03/07/2023 - 21:54 par Bigben0308
Toujours aussi excitante... Et j arrive très bien à imaginer, connaissant très bien l hôtel et chaque chambre ( Maître B ( Ben) de Liège)
Toujours aussi excitante... Et j arrive très bien à imaginer, connaissant très bien l hôtel et chaque chambre ( Maître B ( Ben) de Liège)
Le 29/06/2023 - 14:20 par OlgaT
Très interessant!
Très interessant!
Le 28/06/2023 - 10:30 par valeriane
Vite la suite
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