Charline et Justine (fin)

Une vingtaine de minutes après, j’entends qu’une des deux femmes a plongé dans la piscine. Charline crie alors :
-Allez, venez tous les deux ! Elle est super bonne !
Je me lève aussitôt et part en courant à petite foulée à travers le salon puis la terrasse et me jette dans la piscine pour rejoindre ma femme. Je fais en sorte d’éclabousser Justine pour la tenter de nous rejoindre. Et effectivement, elle ne tarde pas à se lever de son transat et de descendre tranquillement dans l’eau.
Elle nous rejoint sans se presser, en quelques brassées.
Charline se jette sur elle et tente de la faire couler. Je viens alors au secours de Justine et l’attrape sous les bras pour la faire sortir de l’eau. J’en profite évidemment au passage pour lui toucher les seins, ce qui me confirme leur fermeté. Alors que ma femme lâche sa proie, je la tiens toujours comme pour lui éviter une noyade. J’ai un bras autour de son ventre, juste sous sa poitrine et un autre qui maintient sa bouche hors de l’eau. Je passe alors sous elle et me mets à nager sur le dos en direction du bord le plus éloigné, comme on ramène au bord une personne qui vient de se noyer. A ce moment-là, mon bassin se trouve juste contre le sien et ma queue vient caresser ses fesses à chaque brassée. Justine ne dit rien et se laisse faire jusqu’à ce qu’on arrive au bord de la piscine. Au moment où je touche la margelle et que mes pieds redescendent à la verticale, Justine reste collée à moi, sans rien dire. Je plaque alors une main sur son ventre et lui demande si elle va bien.
-Oui, ça va, merci ! Grace à toi, mon sauveur ! Tu m’a évité une noyade certaine à cause de cette fourbe. Elle a voulu me tuer, vous savez, mon héro ! Il faut me venger !
-Je n’en doute pas, belle dame, je m’en occuperai quand je serai sûr que vous allez bien.
-Je manque d’air ! me dit-elle en se tournant vers moi et en tendant sa bouche vers mon visage.
Tout en laissant ma main, qui était sur son ventre, passer dans son dos, je passe mon autre main dans son cou et l’attire à moi pour l’embrasser fougueusement. Elle se laisse faire sans sourciller, même quand ma main qui était dans son dos descend sur ses fesses nues et commencent à les peloter.
Charline arrive alors et vient se plaquer dans le dos de Justine, collant sa chatte sur ma main. L’étreinte dure un petit moment, puis elle s’écarte et se met juste à côté de nous, en nous regardant.
Justine s’écarte alors et part en brasse. Elle traverse la piscine et vient se positionner dos au bord de la piscine, juste en face de nous. Elle pose ses deux bras sur la margelle, étend son corps dans ma direction, faisant apparaître le sommet de son mont de Vénus à la surface de l’eau et me regarde droit dans les yeux.
Je ne peux pas laisser cette invitation sans réponse, alors je m’approche doucement, en marchant, puisqu’à cet endroit, j’ai pied, l’eau m’arrive au niveau de la poitrine.
Quand j’arrive à hauteur de ses pieds, elle écarte ses jambes et elle penche sa tête en arrière, comme pour regarder le ciel. Je continue alors d’avancer et passe mes deux mains sous chacune de ses cuisses, pour finir par attraper ses hanches. Je soulève son bassin suffisamment et viens coller ma bouche sur son sexe. Je commence par embrasser sa fente, par petits bisous du clitoris jusqu’en bas de sa vulve, puis je remonte en passant ma langue entre ses grandes lèvres, sans appuyer vraiment, mais suffisamment pour les écarter un peu.
Aussitôt, la blonde pousse un soupir de soulagement, me donnant ainsi le feu vert pour continuer sur cette voie. Je prends alors son clitoris qui apparaît entre mes lèvres et le fait sortir encore plus. Je le titille encore quelques minutes ainsi puis continue par le lécher vraiment. Elle pousse maintenant des râles profonds et passe ses jambes sur mes épaules, soulevant elle-même son bassin et me poussant vers elle avec ses pieds sur mes omoplates. Tout en l’excitant au maximum ainsi, je serre mes doigts sur ses hanches et ses fesses, comme pour lui faire mal, mais surtout pour qu’elle ressente autre chose qu’une simple jouissance sexuelle, ce qui prolonge le ressenti. Mais après quelques minutes de ce traitement, elle explose dans un orgasme intense et se met à trembler de la tête aux pieds en poussant un feulement de lionne en rut, profond, guttural et très sensuel.
Il lui faut bien deux bonnes minutes pour reprendre ses esprits et elle se laisse glisser le long de mon corps. Je reste face à elle et je vois qu’elle regarde ma femme, restée de l’autre côté de la piscine.
-Mon dieu, tu avais raison ! Jamais un homme ne m’avait fait ressentir ça !
-Et ce n’est pas fini, si tu le veux !
Sans même répondre à Charline, la blonde passe une main derrière mon cou et l’autre descend vers ma queue qu’elle attrape. Elle peut alors constater mon état, qui semble lui convenir. Elle balance alors son corps en avant vers moi, tout en maintenant ma queue dans sa main et elle la dirige vers son sexe. Dès qu’elle sent mon gland contre sa vulve, elle s’empale sur ma bite qu’elle enfile tout au fond de son vagin. Sans que je n’aie rien à faire, elle s’affaire sur mon sexe pour se donner du plaisir et m’en donne par la même occasion. Je sens parfaitement les parois de son vagin qui se serre autour de ma queue. Elle ondule du bassin avec des mouvements amples et savoureux, qui font qu’à chaque fois que nos ventres se touchent, je reçois comme une décharge électrique.
Ses seins sont juste magnifiques et je prends énormément de plaisir à les triturer pendant qu’elle gesticule sur ma bite. Je suis conforté, car ils sont aussi fermes que je l’avais imaginé.
Après quelques minutes à fort régime, elle finit par jouir bruyamment, les yeux révulsés et la tête en arrière.
-Oh oui, c’est tellement bon ! Charline, tu avais raison ! Ton homme est un dieu ! je n’ai jamais jouis comme ça !
Je me retire de son ventre, alors même que je n’ai pas encore joui, mais je refuse de le faire dans la piscine et je lui fais comprendre.
-Pas de soucis, sortons de l’eau.
Nous remontons sur la margelle et je me dirige vers un transat, où je m’allonge, la queue encore dressée. Sans hésiter, Justine se jette dessus et la prend en bouche. Elle me suce ainsi quelques minutes, puis elle me demande de descendre sur le transat, pour me mettre juste au bord. Là, elle me redresse les jambes en me regardant dans les yeux.
-Je crois savoir que tu aimes qu’on s’occupe de ton anus, toi aussi !
Et, sans attendre ma réponse, elle se met à lécher ma raie du cul et vient s’attarder sur mon anus, qu’elle s’applique à bien enduire de sa salive. Elle passe et repasse dessus, puis reprend ma queue en bouche, tandis qu’elle pose un doigt sur mon petit trou qu’elle s’amuse à titiller, jusqu’à ce que je sente cet intrus s’introduire dans mon fondement, doucement, petit à petit. Je prends beaucoup de plaisir, mais je sens qu’elle a besoin d’être entraînée. Ses gestes sont volontaires, mais manquent de précision et elle ne sait pas trop où appuyer pour que cela soit jouissif. Je me laisse alors aller et me concentre sur sa bouche, son corps et ses seins que j’ai caressés tout à l’heure. Je ferme les yeux et laisse mon plaisir monter. Je prends sa tête dans mes mains et je l’attire pour faire entrer ma queue jusqu’au fond de sa gorge. Elle accepte la pression et avale ma queue pile au moment où je jouis. Je sens mon sperme jaillir de ma bite et s’écraser au fond de sa gorge. Elle suffoque et écarte sa tête de mon ventre au moment où un deuxième jet est projeté hors de ma queue et vient s’étaler sur son visage. D’abord surprise, elle éclate de rire au moment où un troisième jet sort de ma queue et atterri sur sa magnifique poitrine. Ayant repris sa respiration, elle reprend mon sexe dans sa bouche pour récupérer les dernières gouttes de sperme qui perlent sur le sommet de mon pieu.
Justine se redresse alors et Charline vient lui lécher mon sperme qui se trouve sur ses seins, puis lui roule une grosse pèle bien baveuse. Les deux femmes s’enlacent et éclatent de rire en me regardant.
-Pourquoi vous rigolez ?
-Moi, parce que je suis surprise de voir comment Justine s’est donnée à toi et que je suis très contente que tu lui as mis tout ça !
-Et moi, parce que je suis heureuse de connaître enfin le vrai orgasme !
Ce fut une véritable libération pour Justine. À partir de cet après-midi-là, Elle s’est complètement lâchée et s’est révélée une véritable chienne assoiffée de sexe. Toutes les occasions étaient bonnes pour une partie de jambes en l’air. Elle est restée chez nous encore quatre jours et en a aussi profité pour sortir. Au deuxième soir, elle rencontrait un mec dans une boite de la ville et elle partait avec un autre le quatrième jour. Je l’ai revue quelques semaines plus tard et elle était heureuse de me dire qu’elle avait plusieurs mecs pour la satisfaire, mais qu’aucun n’était à ma hauteur !