Chaude comme de la braise.

Paul a une obsession, c'est de voir sa femme Linda baiser avec d'autres personnes devant lui. Pour assouvir le fantasme de son mari, qui est, secrètement, le sien aussi, Linda, un peu euphorique, accepte cette idée géniale de cocufiage, volontairement consentit.

Paul lui donne carte blanche. En quête d'amants, Linda erre dans les allées ombragées du parc voisin, en jupe, top et hauts talons. Elle suit des yeux les couples ou personnes seules qui flânent dans le parc. Elle voit sur un banc, un couple d'un certain âge qui papote. L'homme aux cheveux argentés, au charisme incontestable, ne la laisse pas indifférente. La femme, quant à elle, semble être une dame du monde, sa robe légère met en valeur ses formes. Les quelques rides qui parcourent son visage la rendent encore plus séduisante. Linda tend son filet, elle perd volontairement sa chaussure juste devant le couple. L'homme galant bondit, pose un genou à terre et ramasse la chaussure. Comme il est d'usage dans son monde, il saisit avec tact le pied de Linda qu'il relève légèrement. Il lui tient le mollet et, avec douceur, lui enfile la chaussure.

Pendant cette manœuvre, l'homme avait une vue imprenable sur les cuisses magnifiques de Linda, il pouvait aussi admirer le string, qui était enfoncé dans la fente et séparait distinctement les grandes lèvres. L'homme redresse la tête, les regards se croissent, les deux se sourient. L'homme se relève doucement, sa main glisse sur le mollet et arrive sur le bas de la cuisse, qu'il presse doucement plusieurs fois. Linda lui fait un large sourire, en remerciant le bienfaiteur. L'homme l'invite à prendre un verre à la buvette. Les trois font quelques pas et arrivent à destination. Ils prennent place à une table bien à l'abri du soleil et commandent une boisson.

Les prestations se font :

-Je me présente, Edouard, ma femme Hortense, nous sommes en vacances pour quelques jours dans le manoir de mes ancêtres de l'autre côté de la ville !

Linda se présente à son tour. Au fil de la conversation, elle apprend que ses deux personnes sont des retraités de la fiance. Hortense a une voix très douce, malgré son âge, elle s'adonne à de petits footings. Leurs passions sont les arts et le théâtre et quelques petites privautés discrètes qu'ils n'osent nommer. Malgré leur rang, ils mettent rapidement Linda à l'aise. Linda aborde directement le sujet, elle avoue que c'est volontairement qu'elle a perdue sa chaussure dont le but était de racoler des personnes, pour se faire prendre devant son mari. Hortense sourit et dit :

-Eh bien, on peut dire que vous êtes directe, donc si je suis bien, vous cherchez des partenaires sexuels !

Linda répond :

-Eh oui, vous êtes intéressés !

Hortense regarde son mari, il opine de la tête en disant :

-Pourquoi pas, c'est tentant cette histoire, en plus Linda a un beau cul, tu en penses quoi Hortense !

Avec ironie, elle répond :

-De la proposition ou du cul de Linda, si c'est du cul, il semble parfait, pour la proposition cela nous changera des bourges que l'on connait !

-Bon, où allons-nous ?

Demande Édouard. Linda souriante répond :

-Eh bien chez moi, c'est juste à côté, mon mari va être ravi, allez suivez-moi !


Une fois arrivé, Linda présente à son mari le résultat de son racolage.

Paul regarde la femme qui n'est plus très jeune, mais qui semble bien connaitre la gent féminine. Paul est heureux, il va pouvoir satisfaire son fantasme. Après avoir versé le verre de bien venue, il est temps de passer aux choses sérieuses. C'est Hortense qui commence les approches. Elle se met face à Linda, puis lentement lui relève le top au-dessus des seins. Les lobes, charnus, s'affaissent légèrement, les bouts ressemblent à de petits mats dressés au centre de cercles bruns. Hortense les regarde un moment, puis les saisit. Elle les roule entre ses doigts noueux, les étire, les presse comme pour en connaitre la texture. Linda à chaque pression sur ses mamelons pousse un petit gémissement. Hortense pose sa bouche sur les mamelons qui ont déjà augmenté de volume, elle les suce à en faire geindre Linda. Edouard, ne reste pas inactif, il fait glisser la fermeture éclaire de la jupe et la fait descendre très progressivement avec une douceur extrême. Le tissu descend sur le ventre, les cuisses et enfin les jambes dont le galbe fait sifflet d'admiration Edouard.

D'une main agile, il fait tomber le string sur le sol, et dévoile la toison soyeuse bien taillée. Il caresse avec délicatesse le fessier bien rebondit, écarte les lobes pour admirer la pastille brume. Dès qu'il pose son doigt dessus, l'anneau ridé se met à frémir. En connaisseur, il pousse doucement, Linda sursaute en poussant un petit cri de surprise. La première phalange disparait comme aspirée par le rectum. Edouard sourit et dit en s'adressant à sa femme :


-C'est magnifique, son anus est très souple, ma chérie, nous allons avec lui, prendre un plaisir fantastique !


La bouche d'Hortense descend sur le torse de Linda, en n'épargnant aucune parcelle de peau. Hortense et maintenant à genoux devant Linda. Sa langue rapeuse, glisse sur le nombril et fouille. Linda se cabre. La femme mûre sait y faire. Les baisers qu'elle donne sur le ventre approchent de la toison d'or. Mécaniquement, Linda écarte les jambes. Elle prend appuie sur les épaules d'Hortense. Edouard enfonce profondément son doigt dans la gaine étroite et la ramone minutieusement. Linda geint de bonheur sous le doigtage de l'expert. Soudain Linda pousse un grognement, la langue d'Hortense se met à glisser sur sa fente, qui rapidement se met à suinter. La langue agile taquine le clito, avec de plus en plus d'ardeur. Edouard retire le visiteur du rectum accueillant. Rapidement, il retire ses vêtements, sa queue tendue, oscille sur son bas-ventre, il la frotte contre les fesses de Linda qui sous les coups de langue d'Hortense divague de bonheur. La verge glisse entre ses cuisses, et se plante dans sa chatte dégoulinante de cyprine. Le souffle que pousse Linda pendant la pénétration et terrible, Hortense lui titille le clito encore plus rapidement, habilement Hortense donne des coups de langue sur la queue en mouvement de son mari et sur le clito de Linda. L'alternance est parfaite, Linda agite son bassin, le membre puissant et la langue agile la font couiner de plaisir.

Paul et affalé dans un profond fauteuil, la tension est au maximum, sa bite, prisonnière dans son pantalon, est douloureuse. Il l'extirpe en poussant un soupir de soulagement. Il la décalotte, des perles de rosée s'échappent du méat entrouvert. Il commence un branlage monstrueux en regardant sa femme gémir sous les assauts de ses amants. Linda est au summum du bonheur, elle gémit comme un animal en rut. Elle se cabre, pousse un cri terrible et jouit avec force. Édouard retire sa queue du vagin en ébullition, Hortense saisit Linda par les fesses et tire fortement dessus. Sa bouche se plaque sur la chatte détrempée, et aspire tout le jus disponible. Enfin Hortense gavée se relève. Elle regarde le corps fébrile de Linda, caresse la chatte un court instant puis retire ses vêtements. Ses seins en formes de poires tombent sur son torse, les bouts larges et épais sont impressionnants. Les grandes lèvres de sa chatte qui est bien épilée, pendent lamentablement.

Elle s'allonge sur le sol et invite Linda à se mettre sur elle, les deux femmes, en position soixante-neuf, n'ont d'autre choix que de se brouter. La langue d'Hortense pénètre profondément la chatte de Linda, qui elle aspire les grandes lèvres de sa partenaire. Les deux chattes sont en feu, les râles monstrueux que les deux femmes poussent, résonnent dans la pièce. Paul a déjà déchargé deux fois, mais le coquin se branle encore avec rage, le spectacle l'excite tellement qu'il veut encore jouir. Edouard s'approche du couple enlacé, il se place derrière Linda et sans ménagement lui plante sa queue jusqu'aux couilles dans le ventre.

Le bougre lui démonte la chatte avec une force inouïe, malgré qu'il n'est plus très jeune, il défonce Linda encore plus puissamment qu'un jeunot. Tout en suçant, Hortense Linda gémit fortement. La vieille aristo se cabre et jouit en hurlant de plaisir. Elle relève la tête et, à chaque coup de pilon de son mari, elle lui donne un coup de langue sur les couilles. Edouard serre les dents, il besogne Linda comme un maitre. La soumise jouit encore sous les coups de bélier. Sous la jouissance terrible, Linda mord les grandes lèvres d'Hortense qui pousse un cri de douleur. Étrangement, Hortense jouit affreusement, sous l'action involontaire de Linda. Edouard se bloque et envoie dans le ventre de Linda un flot de semence épaisse. Paul demande à Edouard d'enculer Linda, pendant que lui, enculera Hortense.

Les couples se forment et mettent en position, ils se défoncent comme des bêtes. Les bites coulissent dans les gaines anales avec violence, le souhait des sodomisées, c'est être prisent brutalement. Les coups de reins sont violents, les deux femmes gémissent fortement et atteignent le point de non-retour, elles se cabrent presque en même temps et jouissent comme des damnées. Les deux mâles déversent leur sperme dans les entrailles brulantes des deux femmes.