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Chaudes retrouvailles

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Lue : 7286 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/08/2010

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Je m’appelle Philippe, j’ai rencontré Emilie pour la première fois il y a 10 ans, à l’occasion d’un festival d’arts de la rue pour lequel j’avais un numéro de jonglerie à réaliser avec un ami à moi. Je venais d’avoir 18 ans à l’époque, et je n’étais pas spécialement doué ni en drague, ni pour repérer quand je plaisais à une fille. Je n’aimais pas vraiment l’image que je donnais de moi aux autres et j’étais persuadé que je n’étais pas un type séduisant, tout cela dû à une confiance en moi particulièrement limitée.

J’étais donc en coulisses bien avant le début du spectacle, avec quelques amis avec lesquels on s’échauffait et déconnait un peu avant le début des hostilités. Naturellement sociable par contre, j’avais vite fait de faire connaissance avec le reste des artistes qui devait passer, notamment cette petite trapéziste brune, d’environ 16 ans, avec un corps qui semblait assez bien fait, mais surtout des cheveux courts en bataille, un visage magnifique et des yeux marrons qui lui donnaient un regard sublime. Grande gueule, déconneuse, on s’est tout de suite bien entendus et c’est assez rapidement qu’elle m’a séduit.

C’est au moment de sa prestation que j’ai découvert à quel point son corps était superbe, costume particulièrement moulant oblige, j’ai pu à loisir contempler son corps de liane, musclé et fin à la fois, elle avait un ventre plat dont les muscles se dessinaient légèrement, des fesses rondes que je devinais franchement fermes, et un 90C qui à mon avis n’avait nul besoin de soutien gorge. Admirable de souplesse et de grâce, son numéro à elle était un enchantement, et je me suis alors dit que c’était une bonne chose pour moi d’être passé avant elle sur scène, parce que si mon trouble s’était ressenti dans mon numéro, j’aurais sans doute méchamment foiré.

Lorsqu’elle est sortie de scène, je lui ai exprimé toute mon admiration pour le talent qu’elle avait montré, et c’est tout naturellement qu’elle a mis ses bras autour de mon cou pour me claquer une bise sur la joue pour me remercier de mon compliment. Réellement intimidé par tant de charme, j’ai tout de même réussi à faire que nous échangions nos numéros, ce qui nous a permis de nous revoir à plusieurs occasions pendant lesquelles j’essayais de la séduire de manière particulièrement maladroite et trop subtile de peur d’essuyer un refus. Rien ne s’était donc passé, et c’est avec regret que je repensais de temps en temps à elle plusieurs années plus tard, alors que nous nous étions perdus de vue.

3 ans plus tard, alors que je faisais mes études dans une autre ville, j’ai reçu un appel d’un numéro inconnu, lorsque j’ai reconnu sa voix, mon cœur a fait un bond dans ma poitrine, et nous nous sommes mis à discuter de tout et de rien, j’ai notamment appris qu’elle habitait Grenoble, avec son copain, que ça ne se passait pas très bien entre eux et qu’elle avait envie qu’on se revoie. Rendez vous a donc été pris pour le week-end suivant à Grenoble où elle m’accueillerait. Je n’étais pas sûr qu’elle m’invitait pour une aventure, mais si il y avait une possibilité pour qu’il se passe quoi que ce soit, ça valait le déplacement.

Lorsque je suis arrivé le vendredi soir en gare de Grenoble, je l’ai immédiatement reconnue, elle n’avait pas changé, à part une certaine assurance et une maturité au niveau de son visage, son corps, pour ce que son jean moulant et son débardeur rouge me laissaient voir, était toujours aussi ferme et désirable. Elle s’est dirigée vers moi et m’a prise dans ses bras en criant qu’elle était ravie de me revoir, et que j’avais changé, mais en mieux, ce qui me laissait présager une suite de bonne augure.

J’ai abandonné tout espoir lorsqu’elle ma présenté son copain, qui au départ n’aurait pas du se trouver présent, mais il devait travailler le lendemain et avait du reporter ses projets de week-end. J’ai essayé de ne rien faire paraître de ma frustration, d’autant que voir Emilie monter l’escalier devant moi commençait à me chauffer les sens, et je mourrais d’envie de saisir ses fesses à pleines mains en la couvrant de baisers.

Etant arrivés tard, nous avons simplement bu un verre avant de nous préparer à dormir, son homme devant se coucher tôt car il se levait à 5h le lendemain matin. J’ai regagné un peu d’espoir lorsque, m’annonçant qu’elle n’avait pas sommeil, elle m’a demandé si je souhaitais regarder un film avec elle dans la chambre d’amis. Enchanté par la perspective de passer un moment seul avec elle, j’ai bien évidemment accepté et nous nous sommes installés à côté de leur chambre devant une comédie, après qu’elle ait enfilé sa tenue de nuit, un ensemble jaune brassière et shorty qui me donnait une vue imprenable sur son corps, et qui m’a fait penser qu’elle avait peut-être autant envie que moi que les choses aillent plus loin.

Après quelques minutes de film, elle s’est éclipsée un instant avant de revenir avec un pot de baume du tigre :
- Je peux te demander un service ? Je me suis fait mal au dos en loupant une sortie sur le trapèze, et je crois me souvenir que tu n’es pas mauvais pour soulager les dos coincés…

Il est vrai qu’étant moi-même fragile du dos, je commençais à avoir quelques compétences dans le domaine, j’acceptais donc bien volontiers de la masser, prétexte parfait pour faire courir mes mains le long du bas de son dos. Elle s’est allongée sur le ventre en me précisant l’endroit douloureux, et je me suis mis à lui masser doucement, mais fermement la région lombaire, en me délectant de la vue de ses fesses, si superbement moulées dans leur shorty. Arrivé à une zone que j’ai senti assez sensible, j’ai appuyé légèrement, ce qui a eu pour effet de la faire sursauter de douleur.
- Wow ! Tu m’as fait super mal ! J’avais gardé un souvenir bien plus doux de tes mains pourtant.
- Peut-être, sauf qu’à l’époque tu n’avais sans doute pas de vertèbre démise, et à mon avis ce n’est pas la seule.

J’avais dit ça en connaissance de cause, depuis que je pratique les arts de la rue, j’ai toujours plus ou moins été le masseur attitré du groupe, et ayant moi-même des problèmes de dos, je savais reconnaître un déplacement de vertèbre quand j’en voyais un.
- J’en ai combien d’autre à ton avis ?
- Il faut voir, mais en règle générale, lorsqu’une vertèbre fout le camp en bas, la colonne rétablit son équilibre en en déplaçant une autre dans le haut du dos ou le cou, tu n’as pas mal entre les omoplates quand tu respires à fond ou que tu es fatiguée ?
- Euh, si, mais je pensais que c’était musculaire
- Et bien m’est avis que non, on va regarder ça.

J’ai donc commencé à appuyer doucement sur chaque vertèbre, à la recherche d’un point sensible, et j’en ai effectivement trouvé un autre entre les omoplates.
- Tu sais soigner ça ?

Je connaissais la technique, mais quand à le réaliser, c’était tout de même différent, je risquais de lui faire plus de mal que de bien, mais pris par une impulsion stupide, je lui ai répondu :
- Je peux essayer en tout cas.

Je lui ai donc demandé de s’allonger par terre sur le côté, et j’ai commencé à la manipuler comme le faisait mon ostéopathe avec moi, je me suis donc mis à prendre ses jambes pour les positionner à ma convenance, mais en accentuant les contacts légers, pour profiter de les caresser en même temps. J’ai réussi à lui faire craquer le dos, indiquant que la manipulation était un succès, et je me suis attaqué au milieu de son dos, il fallait pour cela qu’elle soit assise et que je me positionne derrière elle, contre son corps, où le contact de sa peau contre moi m’a purement électrisé, alors que je sentais le parfum doux de ses cheveux. Deuxième crac, deuxième succès. Je n’en revenais pas de ma chance, et j’ai décidé de la pousser un peu.
- A priori c’est remis, mais les muscles sont tendus et si je ne fais rien, ça ne tiendra pas, enlève ton haut et allonge toi sur le ventre, je vais te masser.

A ma grande surprise, elle s’est exécutée, en gentleman, je me suis retourné en attendant qu’elle soit prête, puis j’ai commencé à lui masser le dos, alternant pressions fermes pour délier les muscles, et caresses pour mon propre plaisir. Son dos était tout simplement magnifique, musclé, fin, la peau douce, j’étais à genoux ses fesses entre mes jambes, et j’avais légèrement descendu son shorty, soi-disant pour mieux masser sa région lombaire. Sur le côté de son buste, je voyais une partie de sa poitrine, qui dépassait légèrement, et je profitais du massage pour venir de plus en plus effleurer cette zone. J’étais en proie à une érection monumentale, douloureuse à force d’être maintenue dans un jean pour le coup trop serré.

Les choses se sont précisées à partir de ce moment là, les très légers grognements qu’elle poussait pour me faire comprendre qu’elle appréciait le massage se sont petit à petit transformés en gémissements un peu rauques, plus indicateurs de désir et de plaisir que de bien être. Je ne massais plus rien, je caressais son dos, elle avait posé sa tête tournée vers l’extérieur, si bien que je pouvais contempler son visage, notamment sa lèvre inférieure, qu’elle se mettait à mordiller. Je me suis penché doucement vers elle, et j’ai déposé un léger baiser dans son cou, ne voyant pas de réaction de recul de sa part, j’ai recommencé l’opération plusieurs fois. Son visage exprimait de plus en plus le désir, sa respiration était devenue légèrement plus rapide, et la température de son corps semblait avoir grimpé de quelques dixièmes de degrés. J’ai laissé courir mes lèvres sur sa joue, y déposant quelques baisers furtifs, allant jusqu’à prendre le lobe de son oreille un très court instant dans ma bouche.

Je voulais qu’elle prenne un peu d’initiative aussi, et lui ai annoncé que le massage était terminé. Elle s’est donc mise à genoux, j’étais positionné derrière elle, si bien que je ne contemplais que les muscles de son dos et sa magnifique chute de reins alors qu’elle s’étirait lascivement avant de prendre en main sa brassière pour commencer à la remettre. N’y tenant plus, j’ai posé la main sur ses épaules et me suis collé contre elle, reprenant mes baisers, laissant courir mes doigts le long de ses bras pour arriver à ses hanches et les poser sur son ventre. Elle a tourné sa tête et nos lèvres se sont rencontrées pour la première fois dans un baiser doux mais profond. Mes mains sont remontées très doucement le long de son ventre, pour enfin atteindre ses seins, que j’ai doucement entourés. Ma main gauche est restée sur son sein droit pendant que ma main droite redescendait doucement pour effleurer ses cuisses du bout des doigts, remontant vers l’intérieur de celles-ci vers son entrejambe, que j’ai simplement effleuré. Son sein emplissait parfaitement ma main, il avait une douceur et une fermeté extraordinaire, et je sentais le téton durci par l’excitation. Tout son corps a été parcouru d’un frisson au moment ou ma main droite à effleuré son sexe. Elle continuait à m’embrasser, mais de moins en moins doucement, la passion et l’excitation montaient au fur et à mesure dans son baiser, et j’ai senti sa langue chercher le pourtour de mes lèvres avant de me mordiller la lèvre inférieure. J’ai remis mes deux mains sur ses seins pour les pétrir doucement, pinçant les tétons entre mon pouce et mon majeur, lui arrachant un gémissement léger et des soupirs. Elle plaquait maintenant son bassin sur mon entrejambe, ayant bien senti mon érection, et s’appliquait à la faire durer en bougeant tout contre mon sexe.

Elle s’est alors levée pour se mettre assise face à moi sur mes genoux. Enfin je voyais sa poitrine, haute, ronde, avec des aréoles assez petites et d’un rouge foncé presque brun, et des tétons, de taille modeste eux aussi, mais durcis par l’excitation. Elle m’a embrassée fougueusement, sa langue forçant le barrage de mes dents pour caresser la mienne, je la serrais contre moi, une main dans son dos et l’autre pétrissant ses fesses. Elle bougeait son bassin d’avant en arrière contre mon sexe qui tendait le tissu du jean, puis j’ai fait descendre mes lèvres le long de son cou, avant de la cambrer en arrière pour enfin atteindre ses tétons avec ma langue. Je la soutenais d’une main, tandis que mon autre main lui pétrissait un sein, et que ma bouche s’occupait de l’autre, tour à tour mordillant et léchant. Ses main à elle s’étaient perdues dans mes cheveux puis sont venues commencer à déboutonner ma chemise, jusqu’au moment où nous avons entendu un bruit venant de la chambre.

Toute excitation partie, elle à vite remis sa brassière et s’est assise sagement à côté de moi pour continuer à regarder la télévision, j’avais croisé mes jambes, un talon sur mon genou, dans une posture dont la nonchalance était étudiée, et qui avait l’énorme avantage de ne pas montrer l’état d’excitation dans lequel elle m’avait mis. Au final, Thomas (son mec de l’époque) ne s’est pas montré et à continué à dormir.

Au bout de 10 minutes, elle a commencé à faire courir sa main sur ma cuisse et a caresser mon entrejambe avec insistance, la tension sexuelle qui régnait dans la pièce à ce moment là était palpable, la possibilité d’être surpris et la frustration d’avoir été arrêtés dans notre élan nous avait encore plus excités, elle est revenue à califourchon sur moi pour enlever ma chemise, puis je lui ai enlevé sa brassière et elle s’est collée contre mon torse. Ses seins nus contre ma peau m’ont fait l’effet d’un électrochoc, et je l’ai couchée d’autorité sur le canapé pour lui enlever son shorty, j’ai découvert un sexe épilé, luisant de cyprine, qui n’attendait que ma langue. J’ai remonté le long de sa jambe en faisant courir mes lèvres sur sa cuisse. J’ai senti son parfum, légèrement salé, et j’ai commencé à explorer ses lèvres avec ma langue, au premier contact avec son clitoris, je l’ai senti se tendre et étouffer un gémissement, puis je me suis appliqué à lécher sa fente et tourner autour de son bouton, doucement, pour faire durer le plaisir, je mordillais, j’aspirais entre mes lèvres, j’avais le visage couvert de ses sécrétions. Elle se cambrait et prenait ma tête pour me guider, poussait des soupirs étouffés, je la sentais à la merci de ma langue et je voyais son ventre se couvrir d’une légère transpiration qui la rendait encore plus désirable. Au bout d’un moment de ce traitement, alors que je la devinais proche de l’orgasme, j’ai pris ses seins à pleines mains et je l’ai pénétrée avec ma langue, lui déclenchant des spasmes qui traduisaient un orgasme impressionnant, elle se mordait la main pour éviter de crier son plaisir, et n’a pas pu étouffer complètement quelques gémissements. Loin de la calmer, ce premier orgasme a semblé la déchaîner au plus au point, elle s’est jetée sur mon pantalon qu’elle a défait avec une dextérité et une rapidité impressionnantes. Elle a semblé avoir un frisson en découvrant mon membre dressé, puis a pris la base en main avant de mettre mon gland dans sa bouche pour me sucer goulûment. Elle jouait avec mon sexe de la pointe de sa langue, ou le prenait en bouche brusquement, jusqu’au fond de sa gorge, elle était brûlante, sa langue était douce, et elle se caressait en même temps qu’elle me suçait, sans jamais me quitter des yeux. Au bout d’un moment, alors que je sentais l’orgasme monter de manière inexorable, elle s’est arrêtée, et m’a pris entre ses seins en me regardant droit dans les yeux d’un regard de braise. Sa poitrine de rêve montait et descendait le long de mon membre au supplice, je n’en pouvais plus, il fallait que je vienne en elle, que je la pénètre enfin. Elle a semblé le comprendre et s’est allongée sur le canapé, jambes écartées, attendant que je vienne en elle.

J’ai positionné mon gland à l’entrée de ses lèvres, et je me suis mis à entrer en elle, millimètre par millimètre, pour ressortir à peine entré, n’y pouvant plus, elle a empoigné mes hanches et m’a amené brutalement en elle en étouffant un gémissement. J’ai commencé des va et vient profonds et lents, elle me labourait le dos de ses ongles m’embrassait goulûment et rejetait sa tête en arrière par moments, jusqu’à ce qu’elle perde le contrôle, je l’ai sentie se tendre, elle a mis son poing dans sa bouche et l’a mordu pour ne pas crier et s’est plaquée contre mon bassin au moment ou moi-même je jouissais, dans un orgasme d’une brutalité et d’une intensité exceptionnelle, j’ai eu toutes les peines du monde à ne pas crier.

Nous sommes restés une minute l’un sur l’autre, exténués, à nous embrasser doucement, puis nous nous sommes levés, elle s’est rhabillée sans un mot, m’a embrassé en me murmurant un « A demain » très prometteur, puis elle est partie se coucher.

A suivre
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Histoire de phil

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