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Cher docteur 1

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Lue : 48822 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 24/01/2009

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Premier chapitre sur trois de la part de Pierre le Grand dit Yégor

Cher Docteur,
Il y a des jours où le ciel nous tombe sur la tête.
Notre lieu de travail est en plein cœur de Paris dans une bonne vieille maison et de notre bureau au troisième étage on peut admirer le champ de mars et la tour Eiffel. Avec ma collègue José nous sommes spécialistes de l’aménagement d’appartements. C’est la fin de journée, avec José sur mes genoux nous reluquons un roman photo sexy d’un genre spécial montrant la joute amoureuse d’un beau noir et de la plus blonde des suédoises. Au fil des pages les corps se dénudent et tous les gestes amoureux s’affichent. Le noir a un très beau membre prit de main en bouche, Puis les pénétrations se succèdent, des plus classiques aux plus cochonnes. Emoustillé je glisse une main entre les cuisses de ma collègue qui gentiment mais fermement me repousse. Je n’insiste pas, c’est la poule du patron et elle a intérêt à se préserver pour lui qui la couvre de cadeaux. Pourtant elle a un tempérament de feu et je l’ai baisée à maintes reprises en l’absence du Boss.

Mais on sonne à la porte ! Qui cela peut il bien être à cette heure tardive de l’après midi ?
Je range la revue dans un tiroir et José fait entrer une très jolie femme qu’en spécialiste averti de la gente féminine je jauge en un clin d’œil : vingt cinq ans, un peu plus peut être, un mètre soixante quinze, avec talons, les cheveux longs châtain clair, un beau visage, des yeux magnifiques un peu candides et une silhouette à faire rêver. C’est une fille qui a de la classe, habillée avec goût, la cliente friquée, une alliance à la main gauche.

José nous laisse et passe dans la pièce adjacente. C’est une convention entre nous, je m’occupe des clientes et pour elle les hommes ; c’est ce qui donne le meilleur résultat commercial avec de temps à autre une petite aventure. La femme semble en effet plus à l’aise quand nous restons seuls et je lui demande de prendre place dans un des fauteuils.
- Si cela ne vous dérange pas prenez plutôt celui là dis je en montrant celui qui me fait face.

Il faut dire que j’ai fait aménager et placer ce fauteuil de manière à reluquer l’entrecuisse de mes clientes : une simple webcam renvoie sur l’écran de mon ordinateur l’image de leur intimité même si elles n’écartent qu’un peu leurs jambes. Pour ce qui est de ma cliente c’est parfait, de belles cuisses nues et au fond une adorable petite culotte.
- Que puis je pour vous….madame…. ?
- Madame Aubier…..Agathe dit elle en répondant à ma curiosité masquée Docteur….hum…docteur je viens pour une affaire délicate et j’ai beaucoup hésité avant de venir vous voir…mais votre réputation m’a décidée

Tandis qu’elle parlait justifiant sa visite je comprenais qu’elle s’était trompée d’étage, le docteur c’était au dessus. J’aurais du l’arrêter immédiatement pour la diriger à l’étage supérieur mais je ne pus excité que j’étais devant cette jeune et magnifique femme. Je continuais donc de l’écouter, mon silence et l’attention que je lui portais semblaient la mettre un peu plus à l’aise.
- Docteur, je suis malade……je souffre….souffrance n’est pas le terme exact…je ressens des douleurs au ventre….c’est délicat à dire….au bas ventre plus exactement. En disant cela elle passait sa main sur son ventre ; assez bas à vrai dire, très bas même. Mon cerveau fonctionnait à cent à l’heure pour me dépêtrer honorablement de ce quiproquo
- Je sais cher docteur que vous pouvez me guérir et je suis heureuse de voir que vous prenez sérieusement ma demande…………plusieurs de vos collègues après m’avoir bourrée de médicaments, mais en vain, m’ont dit en souriant en me prenant pour une imbécile que je n’avais rien de grave et qu’ils ne voulaient plus me revoir.

Le morceau était si beau, l’entrecuisse si attirant ; elle avait l’air si passionnée, si demanderesse de mes soins que je n’ai pas cru bon de la dissuader et j’enfourchais si j’ose dire le rôle de docteur qui m’était attribué. D’autant que mon instinct de chasseur de femmes et les réactions des médecins qu’elle avait déjà vus m’inspiraient une solution à son problème. Après avoir éteint le moniteur de mon bureau et écartant mon fauteuil je lui dis d’approcher.
- Déposer votre manteau sur le divan voulez vous ?
Ce qu’elle fit, dieu qu’elle était belle, j’avais la gorge serrée.
- En cet instant ressentez vous la douleur dont vous venez de m’entretenir ?
- Oui docteur une douleur sourde qui naît et qui je le sens va aller en augmentant pour devenir intolérable
-Vous êtes donc en crise et c’est heureux pour le diagnostic que je vais faire. Je vais vous palper doucement lui dis je d’une voix rauque Vous me direz si cela vous soulage ou si le mal empire ? Nous étions debout, face à face, d’une main tremblante je lui palpais son ventre admirablement galbé.
- Plus bas……oui plus bas encore…c’est là ouiii dit elle dans un souffle en entrouvrant ses cuisses. Ma main était sur sa robe à hauteur de son slip masquant son minou.
- Détendez vous, écartez vous bien. Pour faciliter la pression ma main gauche épousa le galbe de ses fesses et j’explorais l’entrecuisse soyeux. Je pressais son bouton que je devinais gros et velu et le malaxais mes doigts en corolles.
- C’est bien d’ici que vient votre mal ?
- Oui dit elle les yeux mouillés par l’émotion Parfois j’ai comme des élancements et pour me soulager l’espace d’un instant j’avance brusquement mon ventre en ouvrant et en serrant mes cuisses sur mon membre, le pire c’est lorsque je suis allongée.

A cet instant je me suis demandé si je n’avais pas affaire à une de ces nymphomanes qui vont au docteur pour se faire peloter. Elle semblait sincère et devait réellement souffrir du mal qu’elle décrivait si franchement. Effaré je m’entendis lui dire :
- Il va falloir que je vois cela de plus près, vous allez vous dévêtir.
- Complètement docteur ?
Après une hésitation je lui dis de garder sa culotte et son soutien gorge
- C’est que je n’en porte pas, j’aime avoir les seins libres sous mes vêtements, je suis plus à l’aise

Je fermais les rideaux aux fenêtres pour nous masquer de l’extérieur et quand je me retournais j’eus le souffle coupé par tant de beauté et je compris pourquoi ses seins n’avaient pas besoin de soutien, ils étaient superbes occupant tout le devant du buste, entre eux une large vallée merveilleusement dessinée, les deux lobes ponctués de deux petits tétons bistres jaillissaient comme deux montagnes jeunes d’un plateau continental.
- Je vais vous demander de vous allonger sur le divan….bien….pour ne rien vous cacher j’ai actuellement deux hypothèses, l’une pas grave et remédiable facilement et supprimant toutes vos souffrances et l’autre…..Je laissais deviner à mon accent que l’autre hypothèse était grave.
- Ah docteur ! que cela ne soit pas grave et que grâce à vous je ne souffre plus, je vous serais alors éternellement reconnaissante dit elle en me pressant les mains.
- Avez-vous toute confiance en moi ?...je dis bien toute confiance car l’examen que je vais vous faire est peu courant en médecine
- Docteur j’ai toute confiance en vous, je suis venue pour vous, vous êtes mon sauveur si vous réussissez à vaincre le mal qui me ronge.
- Au contraire mon petit, si je le fais bien cela devrait être agréable car il vous conduira à l’orgasme
- ???????
- A la jouissance dans tout votre corps, dans vos sens, votre vagin, vos seins, le relâchement de tous vos sphincters, au plaisir le plus total qui mettra des étoiles dans vos yeux éblouis
- Mais docteur comment allez vous procéder ?
- Rassurez vous dis je en la voyant consentante, curieuse mais inquiète par stimulation, uniquement, avec ma main, en vous caressant, en vous pénétrant avec mes doigts

Couchée sur le divan en cuir je la sentais tendue
- Doucement….doucement voilà je caresse votre ventre je descends sur votre petite culotte je sens votre fourrure….oui…bien…détendez vous…ne pensez à rien…si pensez à vous…vous pouvez fermer les yeux…c’est bien de vous offrir en écartant vos cuisses….vous sentez ma main…mes doigts sur vous…sur les lèvres de votre chatte…comment vous sentez vous ?
- ce n’est pas désagréable mais cela ne me soulage pas au contraire
- Puis je continuer mon examen ?
- Oh oui je suis prête à tout pour guérir mais j’ai un peu honte
- Surtout pas, je suis médecin, j’ai besoin de connaître vos réactions…les plus intimes, les plus secrètes…je vous presse le minou….vous mouillez déjà…c’est bon signe
- Ah tant mieux… continuez je me sens bien
- Votre chatte est de bonne taille avec de belles lèvres…c’est bien…voyons votre clitoris.je le sens poindre...oui vous pouvez vous agiter…remuer le bassin…vous offrir à mes caresses…oui comme cela…c’est très bien…laissez vous aller…si vous en avez envie vous pouvez soupirer…gémir…râler…si le plaisir arrive criez même s’il vous inonde comme je le souhaite pour votre bien…pour l’espoir de guérison..Tenez je mets votre corsage pour masquer votre visage vous serez plus à l’aise pour jouir au moment de l’orgasme

Cela la libéra et ses mouvements devinrent plus amples, plus heurtés. J’étais dans un état second, docte extérieurement mais excité au possible par cette femme si belle qui se livrait à moi. Quand je passais ma main sous sa culotte je crus défaillir, mes jambes tremblaient, je massais longuement sa touffe en empaumant son trou lubrifié, je n’eus aucun mal à pénétrer sa chatte avec le bout d’un de mes doigts. C’est alors qu’Agathe commença à geindre, à se tordre en tout sens sur le divan, à ouvrir convulsivement ses cuisses, c’est elle qui s’empalait sur mes doigts en poussant de petits cris. Avec mon autre main je pelotais ses seins qui brusquement avaient durcis. Je crois que c’est à cet instant qu’elle se mit à jouir, son ventre, sa croupe s’animèrent de circonvolutions frénétiques suivis de serrages de cuisses, ses mains forçant les miennes à aller le plus profond en elle. Cela dura et après une longue plainte son corps se relâcha, son corsage avait glissé et je vis qu’elle me souriait.
- Ces premières réactions sont très encourageantes…comment vous sentez vous ?
- Bien j’ai oublié mon mal durant votre examen mais il revient, j’ai l’impression que l’examen gagnerait à être plus approfondi
- Mais étiez-vous bien ?
- Oui très bien
- Avez-vous joui
- Je ne sais ce que jouir veux dire…oui il me semble
- Bien je vais poursuivre pour parfaire mon diagnostic en regardant du côté de votre anus, bien des insatisfactions viennent de lui…voulez vous vous agenouiller à quatre pattes comme on dit…bien….courbez vous…les fesses bien en l’air…écartez vous bien…oui un instant je prends un tube de pommade dans mon tiroir…le voici…parfait je baisse votre petite culotte….n’aillez pas peur.. Je soupèse vos seins ils sont bien durs…parfait vos tétons sont biens raidis…mes deux mains émigrent sur vos hanches…sur vos fesses…écoutez bien mes paroles car tout concoure à la montée du plaisir
- Je suis avec vous docteur mais pressez vous car la douleur revient
- Je mouille la raie des fesses de ma salive…voila un peu de vaseline sur votre petit cratère et je vous attaque….deux doigts dans votre petite chagate un doigt dans l’anus je branle….doucement…chatte……..cul….Chatte…..cul….chatte…cul plus vite…plus profond allez trémoussez vous bien… chatte cul….branlez vous…Gueulez quand vous serez bien ….je vous entends….vous jouissez ? Je continue je m’enfonce en haut…en bas….haut…bas…haut….bas cela vous soulage ? Au diable la douleur elle fait place au plaisir…allez jouissez…c’est bon n’est ce pas ! et encore ce ne sont que des doigts qui vous pénètrent….ah vous vous écroulez…je vous suis…trois doigts dans votre chatte et mon gros pouce dans votre petit cul …c’est bon ?
- Ouiiiiiiiiiiiiii ! oh ouiiiiii ! plus fort…plus fort….plus vite Ahhhh ouiii….c’est bon …oh ouii que c’est bon…..merci docteur Je meurs de plaisir…de fatigue Ahhhhh oui c’était fort c’était bon…que m’arrive t’il..Expliquez-moi
- Retour au calme allongez vous sur le dos remontez votre petite culotte fermez les yeux nous allons parler un peu qu’avez-vous ressenti ? N’ayez pas de retenue je connais le problème

Je pensais à José qui devait nous entendre dans la pièce d’à côté et en penser long sur mes compétence médicales
- Docteur j’ai ressenti au ventre des élans ignorés jusqu’alors une montée de plaisir fulgurante comme les bulles d’un vin de champagne agité….j’étais comme submergée par ce plaisir dans tout mon corps de la tête aux seins des seins à mon minou mais je vous avoue que j’ai davantage mal maintenant…la douleur est presque insoutenable centrée à l’endroit où je jouissais tant tout à l’heure quand votre main me pénétrait que faire ?
- Et bien chère patiente je peux vous dire maintenant que votre cas est simple j’ai cru le pire un moment il n’y a plus de doute vous êtes ce que l’on appelle une amoureuse votre corps est fait pour l’amour il a besoin d’amour que rien ne peux remplacer notre jeu de puceaux de tout à l’heure n’est qu’un hors d’œuvre pour vous il faut le faire suivre de joutes amoureuses d’un autre ordre avec un partenaire digne de vous mais justement parlons de vous

En parlant ma main avait repris sa moule que je pressais pour la maintenir réceptive en masquant sa douleur
- Vous êtes mariée ?
- Oui depuis plus d’un an avec un camarade d’enfance
- Avez-vous des rapports ?
- Evidemment très régulièrement
- C’est bizarre à quel rythme s’il vous plaît ?
- Chaque mois après mes règles car mon mari m’a dit qu’ainsi nous n’aurions pas d’enfants tout de suite l’an prochain nous changerons de jour car nous voulons un garçon
- Ah madame ne cherchez pas plus loin la source de votre mal avec votre constitution il faut faire l’amour tous les jours plusieurs fois même
- Vous croyez ?
- J’en suis sûr mais parlez moi de votre mari comment faite vous l’amour comment est il fait ? A-t-il une bite honorable ?
- Il me semble enfin je ne peux vous le dire car il me fait l’amour dans le noir il est très prude et trouve que c’est vulgaire…animal comme il dit
- Mais cela ne va pas ! mais pas du tout dis-je réellement hors de moi
- Il me demande de me coucher dans le noir absolu il se met entre mes cuisses il entre en moi et il s’agite et en quelques allers et retours soufflant comme un bœuf il jouit en criant….
- Et ensuite ??
- Il se retire en me demandant s’il ne m’a pas fait mal vous voyez il est gentil pas embêtant
- Mais sacrés ignorants ne savez pas que vous passez à côté du bonheur il faut au contraire prendre son temps se faire mal se baiser longuement en pleine lumière devant des glaces pourquoi pas et jouir enfin ensemble à l’unisson
- ????
- Et son membre comment est il ?
- comme votre doigt un peu plus long peut être et pointu
- Malheur rien ne va plus votre mal est là
- Que faire docteur ?
- Ecoutez je viens de recevoir de la faculté un traité imagé de sexologie où l’on voit un couple faire l’amour avec raffinement il est à l’usage des jeunes couples pour les aider à réussir leur vie amoureuse En disant cela je sortis la revue porno et montrais à Agathe page après page les évolutions érotiques du couple. Elle était toute interdite, son regard brûlait les pages, m’arrêtant si je tournais un peu vite, elle examinait tout, ne comprenant visiblement pas tout, les yeux exorbités braqués sur la grosse bite noire prise en main de la belle, en bouche, en chatte….en cul, avec les deux grosses paire de couilles toujours présentes et actives
- Dites moi que ce n’est pas vrai docteur ! est ce possible ce gros membre que l’on voit ? c’est un postiche un faux en caoutchouc en plastique
- Cela existe en effet pour femmes seules ou mal servies comme vous cela s’appelle un godemichet il y en a de toutes les formes de toutes les tailles il y en a même qui vibrent pour augmenter les sensations mais celle que vous voyez sur ce traité est véritable et toutes les positions sont possibles avec un peu d’entraînement et surtout beaucoup de complicité et de tempérament
- Pourrait on revoir depuis le début….non laissez votre main entre mes cuisses elle me calme un peu

Nous reprîmes depuis le début, son ventre ondulait quêtant la caresse de ma main sur sa chatte un doigt entre ses lèvres
- Je sens que c’est là mon remède inconsciemment c’est ce dont j’ai toujours rêvé, mais comment faire ? comment pouvoir jouir de la sorte avec un membre de cette taille ; j’en ai besoin docteur….j’en veux…..j’en veux….ahhhhhh je souffre comme jamais auparavant vous m’avez révélé mon mal sans m’apporter de solution….vous êtes pire que les autres

Agathe était en pleine crise elle s’agitait sur ma main piètre remède à son mal
- Ecoutez je dois vous soulager je le peux mais je n’en ai pas le droit voulez vous qu’en tout bien tout honneur je vous dépanne pour aujourd’hui ? nous chercherons ensuite un traitement moins aléatoire
- Vous voulez dire que nous pourrions…..ici…….maintenant ?
- C’est cela mais vous jouirez seule car la déontologie m’interdit de profiter de vous bien que derrière le médecin se cache l’homme que je suis
- Ah merci docteur ne craignez rien je n’irais pas le crier sur les toits…..comment faisons nous ?
- Agathe je vais agir et parler comme si nous étions amants mais d’abord il faut me découvrir me dévoiler c’est vous qui allez enlever mon pantalon et mon slip allez laissez vous aller à vos pulsions sachez que rien n’est interdit mais je vous guiderais
- Merci oh merci !

Je m’étais mis debout devant Agathe assise sur le divan, fébrilement elle dégrafa mon ceinturon et le petit crochet de fermeture, fit glisser la fermeture éclair faisant descendre mon pantalon dont je me débarrassais d’un coup de pied, j’étais en caleçon et elle vit mon émoi
- Caresse-la !
- Je peux ?
- Je te l’ai dit tu peux tout !

Déjà sa main me frôlait sur la soie de mon slip ses doigts agrippés à ma verge, ses mains soupesant mes couilles. Excité que j’étais mon membre était gros mais encore plastique, j’ai toujours adoré que l’on me caresse ainsi, indirectement, la verge cachée sous une étoffe soyeuse et rapidement je sentis ma tige se durcir en se dressant entre ses doigts
- Baisse mon slip maintenant ; oui c’est cela c’est bien qu’en penses tu ?
- Je n’en crois pas mes yeux docteur elle est grosse et raide je la trouve belle plus belle que celle du noir qui pourtant l’était elle aussi elle est lisse douce et blanche
- C’est la première fois que tu vois un sexe d’homme ? Regarde bien car elles ne sont pas toutes comme la mienne….tu peux toucher !
- Ca me fait drôle, c’est doux, c’est chaud, la peau se retrousse au bout oui c’est la première que je vois elle est belle elle m’excite vous croyez que nous pourrons…. ?
- Oui nous allons le faire….prends là dans ta bouche…tu te souviens du rôle de la langue

Agathe se souvenait de tout, après m’avoir léché et enduit mon membre de sa salive elle commença à m’absorber, jamais je n’avais été aussi gros, aussi raide, ses lèvres charnues serrées sur ma hampe, en même temps elle caressait mes couilles les faisant rouler entre ses doigts
- Prends les unes par une dans ta bouche !

Docile, appliquée, elle le fit comme une amante chevronnée mon membre sur son visage, sur son nez, mais sa préférence était pour ma bite qu’elle reprit dans sa bouche avec sa langue qui voltigeait autour.
- Je vais te prendre maintenant il est temps !
- Comment ?
- Reste assise oui avance toi écarte bien tes cuisses je m’agenouille je vais préparer le terrain avec ma bouche, avec ma langue

Quand je plaquais ma bouche sur sa chatte elle émit une petite plainte mais quand ma langue la pénétra ce fut un cri continu. Cela dura Agathe se tortillait en s’ouvrant, elle n’en pouvait plus
- Baisez moi…..baisez moi….je vous en prie !

A genoux je m’approchais idéalement placé entre ses cuisses, à bonne hauteur, je pris mon membre pour l’abaisser, un instant mon gland parcouru sa raie, elle était prête, sa chatte inondée, je me centrais et d’une poussée je la pris d’un coup, bien à fond. Ce fut à l’instant même un déchaînement ponctué de cris de jouissance, j’allais et venais en elle par de larges avancées et reculs de mon bassin, sa vulve d’abord serrée s’ouvrait largement maintenant sous mes coups de boutoir, je lui avait pris les seins durcis, nos regards se croisaient, je lisais son émoi, je vis le plaisir monter, sa bouche grimacer, se yeux se révulser et le moment de son orgasme où elle perdit tout contrôle.
- Ahhhh c’est bon c’est d’une bite comme çà que j’avais besoin défoncez moi plus fort plus fort ahhhh ohouiiiiiiiiiiiiiii !

Sans me désengager et tout en la pistonnant je l’avais allongée et relevant son bassin en la prenant sous les fesses je pus aller plus profond en elle, je pouvais voir ma queue énorme aller et venir dans sa chatte entre ses grosses lèvres tapissées d’une fourrure rase et bouclée. Pour Agathe c’était une jouissance continue ; moi j’eus du mal à résister et il aurait fallu peu de chose pour que j’éclate en elle. Pour ne pas me laisser aller je me retirais et avant qu’elle ne s’en rendre compte je l’avais mise en position de levrette, les fesses en l’air avec moi à genoux derrière elle. Je vis son petit cul offert, désirable, froncé, que je respectais, je replongeais mon dard dans sa chatte baveuse.
- Je te baise en levrette Agathe ma queue entre tes fesses çà te plait petite salope ?
- Oui continuez parlez moi insultez moi çà m’excite plus encore !
- Si tu voyais ma grosse queue ! tu la sens au moins ! parle putain jouis !
- Si je la sens ? oh oui elle me remplit je suis bien ! je n’arrête pas de jouir ! par moment je perds les pédales avec des étoiles dans les yeux ! vous ne m’aviez pas menti Ahhhhhhh je repars ouiiiiiiiii c’est trop bon !
- Tu serres ma queue dans ta chatte tu voudrais me faire jouir hein ! salope !
- Ouiiiiiii venez ! Rejoignez-moi ! vous l’aviez dit il faut jouir ensemble venez ! c’est un ordre !
- Non je n’ai pas le droit tu ne m’auras pas je résiste c’est dur je souffre de ne pouvoir me laisser aller de mettre mon foutre au fond de toi mais toi jouis profites tu n’auras pas souvent une queue comme la mienne dans ton cul attends je reste au bord des lèvres tu as une grosse chatte il va t’en falloir de la bite pour te calmer tu aimes quand je lime au bord ?
- Oui au bord et à fond !
- Tu inondes tout ce n’est rien ! jouiiii jouiiiiii si tu savais comme c’est bon pour moi de te révéler le plaisir la jouissance tu te souviendras du bon docteur qui a su te soigner avec sa grosse bite dans ta chatte !
- Mais que faîtes vous ? nonnn ! ne sortez pas ahhhhh oui c’est bon ! il me semble que c’est plus profond comme çà !

Je venais en vitesse de changer de position, elle toujours en position de levrette mais moi au lieu d’être à genoux derrière elle je m’étais mis debout, un pied à terre l’autre sur le divan la chevauchant. Un instant mon membre était sorti de sa chatte mais je l’avais vite reprise et cette fois plus libre de mes mouvements, par de larges avancées je la pistonnais à fond. Maître de mon éjaculation je la servi très longuement, chaque avancée lui tirait un cri, une plainte et par moment l’orgasme la reprenait ; elle était alors comme folle et jouissait bruyamment en trémoussant ses fesses, tordant mon pieu dans sa vulve ; chacun de ses cris en duo avec le claquement de mon ventre sur ses fesses. J’avais sous les yeux le spectacle de ses deux lobes divins vibrants sous mes coups de boutoir
- Caresses moi les couilles lui dis je

Amante naturelle elle comprit de suite mon ordre et passant une main entre ses cuisses elle me prit les bourses entre ses doigts fuselés. Je crois à cet instant que je me serais abandonné si changeant une fois encore de stratégie j’entrepris prenant ma verge à la base de continuer à baiser Agathe mais en sortant ma queue avant de la refourrer. Ce changement sembla l’exciter davantage, elle appréciait le moment où mon gland la pénétrait et ce fut une jouissance continue. Je m’aperçu que je pouvais enlever ma main et que ma bite retrouvait son chemin toute seule dans l’entonnoir de sa raie des fesses en se centrant elle agaçait au passage son clitoris gaillard ajoutant à son trouble. Cela dura une éternité, le la prenais par les hanches creusées par la position, ses fesses bien en valeur, je l’attirais vers moi avec force. C’est alors que sa chatte se mit à chanter, un sifflement aigu ou rauque d’air expulsé de sa vulve ouverte. Ces bruits incongrus, syncopés nous rendirent fous et Agathe replongea dans le plaisir. C’est elle qui prit l’initiative de se relever
- Elle a son compte pensais je, je me trompais assis sur le divan le membre dressé
- Prends-moi encore !
- Viens lui dis je assoies toi sur moi !

Face à moi, délicatement après s’être centrée sur ma verge elle s’enfonça cuisses ouvertes. A partir de cet instant c’est elle qui prit son plaisir, je la laissais faire comme elle l’entendait, simplement je la serrais dans mes bras en caressant son dos, ses fesses, ses seins, je pris même ses petits tétons entre mes lèvres tournant ma langue sur les pointes bistres. Elle était dans un autre monde, les yeux révulsés, elle s’agitait en tout sens en s’empalant sur ma verge la tordant en tout sens
- Embrasse-moi ! dit-elle dans un souffle abandonnant le vouvoiement
- Non je n’ai pas le droit d’essayer de te séduire à cet instant je pensais aux filles de joie qui refusent toujours ce geste tendre, étais je une pute moi aussi ?

C’est à cet instant qu’Agathe s’écroula complètement sur moi et je dus l’allonger et je lui parlais tendrement
- Voilà ! c’est fait, je vous ai dépanné ; ne voyez pas dans les propos que j’ai tenus en vous baisant la moindre trace d’irrespect, tout a été contrôlé de bout en bout pour obtenir un maximum d’excitation, de jouissance ; il faut foyer le corps, l’esprit, certains partenaires dans de telles circonstance donne de petites fessées et le plaisir est souvent à la hauteur de la rougeur des fesses.
- Ah docteur ! c’était parfait, je vous remercie de m’avoir révélé le vrai sens de ma vie, je me sens bien, je n’ai plus mal, je suis libérée, je sais maintenant ce qu’est le plaisir, la jouissance, le traitement que vous m’avez si gentiment administré est le premier pleinement efficace, le seul qui me convienne désormais.

Agathe c’était levée, nous étions nus tous les deux dans les bras l’un de l’autre, heureux de ne faire qu’un, nos deux corps enlacés. Sa jeune poitrine pressant la mienne, mon membre dressé entre nos deux ventres soudés, nous nous caressions. Quelle tendresse après nos assauts furieux. Ces fesses étaient fermes ; son dos lisse. Je dus faire un effort immense pour ne pas l’embrasser. Elle était épanouie, enjouée, coquine maintenant, libérée ; elle se retourna et me présenta sa croupe en ondulant sur ma queue.
- C’est vrai il va falloir imaginer la suite du traitement car vous connaissant maintenant je vous prédis qu’après quelques heures de repos le mal sournois, lancinant va réapparaître ; évidemment j’accepterais de vous dépanner encore quelques fois mais il faut trouver une solution fiable, durable. Aimez-vous votre mari ?
- Il est gentil…..mais maintenant j’imagine toutes ces insuffisances
- La vraie solution est là pourtant, nous allons essayer de le dégourdir, il faut qu’il adopte le rythme de vos rapports à la mesure de votre tempérament qui est extrême chère amie. Il faut aussi développer son membre ridiculement insuffisant car croyez moi il ne faudra pas vous en promettre…. Je préconise en premier lieu de vous confier quelques traités de sexologie comme celui que je vous ai montré, il vous faudra lui en faire prendre connaissance, habilement, il faut qu’il les découvre par hasard, vous pourriez par exemple vous servir de ces pages pour emballer vos courses, laisser le seul en profiter, les hommes en sont friands.
- D’accord si vous pensez que cela va l’exciter, mais son membre ?
- Il faut qu’il se masturbe, je pense aussi que vous devriez le surprendre en passant devant lui avec des sous vêtements laissant deviner vos formes, il y aura association d’idées, dites lui aussi que le médecin vous a imposer la pilule !
- D’accord, mille fois d’accord mais cela va demander du temps, que ferais je en attendant ?
- Vous allez prendre sur vous, vaincre votre timidité en cherchant d’autres partenaires, croyez moi les volontaires ne manqueront pas !
- Mais comment ?
- Un exemple, prenons les transports en commun, le métro surtout, habillez vous légèrement, avec ou sans votre culotte ; repérer les lignes, les heures de grande affluence, montez sans vous asseoir au milieu de la foule et à partir de cet instant soyez attentive, le moindre contact est important car tous les hommes aiment les caresses furtives qui la plupart du temps ne mène qu’à un petit bonheur ou à une rebuffade. Ce peut être une cuisse qui se plaque sur la vôtre, un ventre qui s’avance ; une main qui vous frôle sur la barre d’appui ou mieux sur vos fesses.
- Alors ?
- Et bien à la première attaque au lieu de vous raidir, de vous déplacer, favorisez le contact, offrez vous discrètement, le satyre aura vite compris qu’il peut continuer , qu’il peut aller plus loin, on peut jouir dans le métro savez vous avec une main sous votre culotte
- Mais vous savez bien qu’il me faut quelque chose de plus substantiel !
- Je le sais, mais si le mâle qui profite de vous vous plaît il est possible qu’il tente l’aventure de vous suivre et là si vous savez y faire cela peut se terminer au lit
- Tout cela ne me plaît pas trop mais j’essaierais…..avec vous ce serait plus simple, vous avez aimé je le sens… puis je compter sur d’autres consultations…curatives ?
- Je ne vous promets rien, essayez d’abord de résoudre seule votre besoin impérieux et vital d’amour. Je voulais avant de nous quitter et malgré la retenue que j’ai affiché durant notre……notre comment dire….notre entrevue, que j’ai eu un bonheur extrême à vous faire découvrir le plaisir sexuel et que je ne vous laisserai pas sans solution
- Ah merci docteur, combien vous dois je ?
- ?!……….Trente euros dis je honteux de tant d’hypocrisie tenez moi au courant et revenez me voir de temps à autre…..bonsoir Agathe ! à bientôt peut être !

Quand la porte d’entrée se referma c’est une José empourprée qui fit son entrée, ses yeux brillaient d’un étrange éclat
- Docteur ! voulez vous me baiser…..en levrette !

Sans attendre ma réponse elle se mit à genoux sur le divan en me présentant sa croupe. Quand elle retroussa sa robe je vis qu’elle n’avait pas de culotte, j’étais nu, nous étions tous les deux sous une extrême pression, je pris mon membre raidi et sans préparation aucune je fourrai la chatte offerte, elle était prête, ouverte, mouillée, l’instant d’après sans retenue cette fois j’éclatais en elle en feulant de plaisir. José m’avais précédé dans le monde du plaisir. Ce fut bref et fulgurant. Quand elle se rajusta en me souriant elle me dit
- Dieu ca fait du bien
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Cher docteur 1

Le 29/01/2009 - 16:04 par Pierre le Grand
Un commentaire de l'auteur c'est peu banal mais j'aimerai avoir votre sentiment, comme moi sans doute vous aimez ces histoires qui nous font fantasmer. Avez vous été ému par la candeur d'Agathe, indigné par ce profiteur de Georges pour sa bonne action. L'avis des femmes m'interresse car je peux me tromper sur leurs réactions. Ne manqez pas de lire la suite, 2 et 3 en attente. Vos commentaires......merci...Pierre le Grand dit Yégor

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