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Chez Sue Drake

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Lue : 1107 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/01/2021

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Chez Sue Drake

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Je me nomme Mélanie Collins et j’ai vingt-cinq ans. Il y a quelque temps, j’ai vécu une journée assez étrange que je me permets de vous raconter. Je me remettais à peine d’une rupture avec mon copain de l’époque. Nous avons été ensemble pendant plus de cinq ans. Un beau matin, cet abruti a déclaré qu’il ne m’aimait plus. J’ai mis du temps à comprendre qu’il me trompait avec l’une de ses copines de l’université.

Incapable de payer seule le loyer dont on partageait les frais à deux, il me fallait déménager. Je suis passé d’un superbe et vaste appartement à une garde-robe. Un mois de célibat à peine et j’étais au bord du gouffre. J’avais ma petite entreprise que j’étais sur le point de perdre. Je vivais dans des boites que je ne pouvais vider sans savoir où y mettre mes affaires. Surtout, je me remettais difficilement d’une peine d’amour. Rien de réjouissant pour moi jusque-là! Toutefois, il y avait une petite lumière qui m’ait apparu. J’ai pris contact avec une experte-comptable. À la suite d’une conversation téléphonique, elle m’a démontré qu’elle avait des idées pour sauver ma petite entreprise. Mon studio de photos était tout ce qu’il me restait. Alors, j’ai accepté de la rencontrer.

C’était un matin de juillet. Dormir sur un divan-lit inconfortable avait tôt fait de me donner un sacré mal de dos. J’avais du mal à trouver des vêtements dans les boites. J’étais donc vêtu à la va-vite d’un legging multicolore sans string et d’un t-shirt moulant jaune. C’était loin d’être la grande classe. Toutefois, je n’allais pas à un entretien d’embauche. J’ai donc pris ma Toyota de quinze ans d’âge et j’ai roulé une quinzaine de minutes hors de la ville pour me retrouver à l’adresse indiqué. Sur place, j’ai stationné ma bagnole près d’une Porche en face d’une maison qui devait valoir pas loin d’un million de dollars. C’était pratiquement un château fait de pierres avec de grandes fenêtres. Déjà que ma voiture était en ruine, c’était extrêmement visible dans ce lieu luxueux.
Dossier en main, j’ai monté les quelques marches d’escalier de béton et je suis arrivé devant la grande porte. J’ai appuyé sur la sonnette qui déclencha le son de carillon. Avec l’impression que ça n’avait plus de fin, j’ai appuyé de nouveau dans l’idée de pouvoir l’arrêter. Le truc semblait brisé.
Ce fut à cet instant que m’ait apparu le mâle. Début quarantaine avec des cheveux bruns soigneusement coupés, Torse nu et vêtu d’un simple pantalon de pyjama, cet homme était d’une beauté incroyable. Le doigt sur la sonnette, j’avais la bouche ouverte de surprise devant un tel phénomène masculin dont la taille approchait les six pieds.
--Tu veux bien lâcher cette sonnette? demanda-t-il pour me ramener à la réalité.
--Pardon! marmonnais-je en retirant le doit de sur le bouton.
Pendant les quelques secondes d’attente pour l’arrêt du carillon, il m’observa de haut en bas. J’ai omis de mentionner que je suis assez mignonne dans l’ensemble avec ma tignasse ondulée rousse et de jolies petites fesses rondes. Chose certaine, je ne déplaisais pas à cet homme.
--Je peux vous aider?
--Heu… oui! Je suis Mélanie Collins et j’ai un rendez-vous avec madame Drake!

Il me fit signe d’entrer ce que j’exécutai aussitôt pour passer devant lui. Ce faisant, je l’ai frôlé et j’ai pu sentir son eau de Cologne. Une étrange sensation me traversa tout le corps. J’avais soudainement chaud pendant qu’il refermait la porte derrière moi. Il me traversa ensuite et me fit signe de le suivre dans l’immense maison. Je ne pouvais m’empêcher de regarder les fesses de cet homme jusqu’à la cuisine. Il pointa un banc au comptoir central de la cuisine et je m’y suis installé, déposant mon dossier devant moi. Il se rendit à l’autre comptoir pour préparer le café.
--Tu veux un café? Ou un thé?
Je n’ai pas eu le temps de répondre que la sonnerie de son cellulaire qui était posé sur le comptoir s’était mise à sonner. Il s’excusa et répondit à l’appel.
--Salut!... Oui, elle est arrivée!... Très bien, je vais lui dire! OK, bye!
Sa conversation téléphonique était courte, mais je sentais que mon rendez-vous était reporté. C’était important pour moi, mais que pouvais-je faire?
--Sue pourra te recevoir vers treize heures! Elle a une réunion dont elle ne peut déroger! m’expliqua-t-il.
--Je comprends! soupirais-je en me levant.
--Tu as un problème avec ton dos? Me questionna-t-il, ayant remarqué ma posture.
--Je me suis levé comme ça ce matin! Mon lit n’est pas tellement confortable.

Il fit un petit sourire et leva le doigt pour me signaler d’attendre un instant. Il s’éloigna dans une autre pièce et ne mit que quelques secondes pour en ressortir avec un tube de crème à la main. Il se dirigea vers moi et me fit signe de me retourner. J’ai eu une certaine hésitation, ce qui le fit sourire.
--J’ai été massothérapeute dans le temps. Je peux voir que tu as un nerf de coincé! J’en ai pour cinq minutes! Autrement, tu vas passer la journée avec cette douleur!... Tourne-toi et appuis tes bras sur l’autre banc!

Il m’a dit ça comme-ci c’était totalement naturel. Sans trop comprendre ce qui se passait, je me suis tourné et je me suis appuyé les bras sur le banc. J’étais là, penché et exhibant mon cul à un parfait étranger. Il a remonté mon t-shirt, déboutonné mon soutif et il a même baissé quelque peu mon legging. Ce qui semblait être normal chez lui, c’était malaisant pour moi. Il a posé de la crème sur ses mains et commença à me frotter le dos. J’eus un petit soubresaut du contact sur ma peau, mais ce ne fut pas long qu’il ait trouvé le bobo. La douleur avait rapidement disparu et je profitais du massage dans le bas de mon dos.
D’un seul coup, je me retrouvais dans un état second. Ce qui était un massage devenait des caresses de mon point de vue. J’ai même laissé aller un petit gémissement. Mon entrecuisse mouillait et je me tortillais légèrement. J’ignorais comment il l’interprétait au début, mais ses mains se baladaient un peu plus sur mon dos. Elles franchissaient mes hanches et frôlaient mes seins. C’était dingue, mais je ne contrôlais plus mes hormones. Mon corps était en feu sous les caresses de ce mâle qui m’excitait. Je me suis penché davantage et j’ai courbé le dos. J’avais plus de force dans les bras et je tremblais comme une feuille. C’est alors qu’il a baissé mon legging à mes genoux. Ce ne fut pas long que j’ai vite senti sa bouche sur mon vagin humide. Il glissait sa langue sur les lèvres de celui-ci et il me pénétrait doucement avec. Mes gémissements s’accentuèrent alors qu’il me bouffait le cul carrément. Ses mains puissantes m’agrippaient les hanches à mesure qu’il me dévorait.
Il me retira complètement mon legging. Sans vraiment savoir ce qui se passait, j’ai enlevé mon t-shirt et mon soutien-gorge pour me retrouver entièrement nue. Je sentais ses caresses sur mon corps crémé et je ne voulais plus que ça s’arrête. Sa langue se profilait sur mon anus maintenant. Le feu montait en moi quand d’un seul coup, il me lâcha.

Sans comprendre pourquoi, il s’est levé et s’est éloigné. Je me suis tourné et je pouvais le voir disparaître dans un couloir et me faire signe de la main de le suivre. Mes jambes tremblaient d’excitation et mon rythme cardiaque était à son maximum. Je ne pouvais pas m’arrêter comme ça. Je ne répondais plus de moi. Je l’ai finalement suivi pour me rendre à la seconde porte. Celle-ci était ouverte sur une chambre incroyablement grande. Je l’observais retirer son pantalon de pyjama. Il a laissé apparaître la bête. Le membre à demi en érection était d’une taille impressionnante. L’homme a pris place assis sur le bord du lit encore défait et il m’observait avec un petit sourire. Je savais ce qu’il voulait. Je me suis agenouillé devant lui et j’ai pris la grosse queue dans ma main. J’y ai posé les lèvres puis je la caressais de ma langue avant de l’engouffrer dans ma bouche. Je le suçais comme si j’étais une affamée. Avec sa main sur ma tête, il m’encourageait dans une cadence régulière. Ma fellation était appréciée sans le moindre doute, car son membre devient en totale érection.
Il me repoussa et m’agrippa pour m’installer à quatre pattes dans le lit. J’étais surexcité de me faire baiser par un tel homme à un tel point que mon vagin était déjà lubrifié. Il glissa sa queue en moi et y allait de coups de reins réguliers. Ses mains agrippées à mes hanches, il me pénétrait profondément. Je n’avais plus de force dans les bras. J’ai donc collé mon visage sur la couverture. Je pouvais sentir une odeur de sexe et comprendre qu’il avait baisé sa femme ce même matin. J’en étais encore plus excité.
Au bout d’un moment, il retira sa queue et il me retourna sur le dos. De nouveau, il enfonça son membre en moi et donna de bons coups de reins. Je ne pouvais m’empêcher de poser mes mains sur ses abdominaux parfaits. Je ne sortais pas que de petits sons de ma bouche, car je criais presque de cette incroyable jouissance qu’il me procurait. Cinq ans en concubinage et je n’avais jamais joui comme ça de ma vie. Je ne calculais même plus les orgasmes. Le liquide que je sentais couler sur mes fesses n’était pas son sperme, mais ça venait de moi. Je coulais comme une fontaine.
Au point d’éjaculation, il a sorti son pénis de mon vagin et vient le porter à ma bouche que j’ai ouverte sur un automatisme. J’ai accepté de nouveau sa grosse queue dans ma bouche dans laquelle il a éjaculé. Il y en avait tellement que ça débordait. Je n’avais pas pu tout avaler.
Je reprenais mon souffle et il me souriait. Il posa une main sur mon ventre et glissa deux doigts dans mon vagin. Il les agita et entamait de me faire jouir encore une fois. Ce ne fut pas long que je me tortillais comme un poisson. Là, ce fut l’extase. J’avais l’impression de perdre la tête quand mon vagin explosait. Après qu’il eut retiré ses doigts, je me suis mise a gicler. Mon corps faisait des soubresauts que je n’arrivais pas à contrôler.
--Tu es une vraie cochonne, toi! M’a-t-il dit avec un sourire.
Il s’est ensuite levé et s’est dirigé vers la salle de bain adjacente à la chambre. Je me suis étendu sur le lit pour reprendre mon souffle. C’est à cet instant que j’ai entendu l’eau de la douche couler.

Dans le temps de le dire, nous étions sous la douche. Il me savonnait et ne négligeait aucune de mes parties intimes. Ce fut tout de même à cet instant que je me suis rappelé que j’avais rendez-vous avec sa femme dans quelques heures. Je me demandais sérieusement comment j’allais parvenir à la regarder en face alors que j’ai baisé avec son mari dans son propre lit. J’avais des remords d’un seul coup. Ça a passé rapidement quand j’ai senti le pénis de nouveau en érection qui me caressait les fesses.

Histoire à suivre…
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