Zelna étudiante Polonaise

Je fus surpris par sa jeunesse quand elle me fit entrer dans son studio. C’était une belle femme blonde, assez grande ; elle ne devait pas avoir beaucoup plus que vingt ans et elle avait un bon genre.
« Bonjour ! entrez
« C’est vous Zelna?
« Oui…… c’est vous qui venez de m’appeler ?
« Oui j’étais un peu perdu…… j’avais votre adresse pourtant
« Je l’avais donnée à Julie….. C’est elle qui m’a parlé de vous
« Elle a bien fait….. vous êtes belle comme le jour !
« Merci…… installez-vous…… faites comme chez vous

Je quittais mon pardessus avant de m’assoir sur le fauteuil qui meublait la pièce en face d’une banquette qui devait servir de lit et où Zelna s’assit face à moi. Je pris le temps pour mieux la regarder et elle fit de même en m’observant au travers de ses lunettes qui cachaient mal le bleu clair de ses yeux.
« Ainsi vous vous prénommez Zelna…… c’est joli comme prénom
« Merci……. je suis Polonaise
« Vous êtes à Paris depuis longtemps ?
« Quatre ans je suis étudiante en terminale à la Sorbonne…… j’ai vingt-cinq ans
« Le bel âge vous faîtes quoi comme étude ?
« Je prépare un doctorat en physique et chimie
« Je souhaite que vous soyez aussi savante que Marie….. votre illustre compatriote ……. mais protégez-vous bien…… soyez consciente des dangers qui l’ont détruite
« Vous savez cela ! Chez nous c’est Maria……nous en sommes fiers…..merci….. Je peux fumer si cela ne vous dérange pas ?
« Oui vous pouvez, je suis un ancien fumeur mais j’aime encore l’odeur de la fumée des autres
« Je fume des cigarettes Egyptienne
« Je vois…… je vous respire

Je l’observais davantage, son buste, ses seins semblaient offerts, nus sous une espèce de caraco rouge en dentelle de laine tressée laissant voir au travers de ses larges mailles sa jeune poitrine pointue et découvrant le bas de son joli petit ventre ponctué d’un ombilic discret des mieux fait. Sa jupe noire ultra courte ne cachait rien de ses jambes, presque rien de ses cuisses entre ouvertes gainées de bas couleur chair. Mais avant tout c’est son visage qui retint mon regard, un joli visage de fille tel qu’on n’en trouve que dans les pays slaves, ses yeux bleus surtout, clairs comme de l’eau de roche……sérieuse elle me scrutait elle aussi, cherchait à me deviner ……. comme si c’était possible !

« Je ne savais pas comment m’habiller pour cette occasion…… importante pour vous plaire
« Importante cette occasion dites-vous ! pour moi aussi Zelna ….. ai-je bien compris ce que vous attendez de moi…….satisfaire un besoin de tendresse ?….. oui !…… c’est bien çà ?
« Oui…….Je suis si seule
« Je vous trouve magnifique !
« Merci
« Excitante au possible
« C’est vrai ? tant mieux !
« Georges il faudra que vous m’aidiez car je n’ai pas l’habitude, c’est la première fois que je tente ce genre de rencontre…… c’est Julie qui m’en a persuadée en me parlant de vous… de votre gentillesse…. de votre expérience
« Je suis flatté….. c’est la première fois moi aussi que je rencontre une aussi belle femme que vous ….. aussi jeune…..aussi savante…. aussi désireuse de plaisir…… Vous aimez les plaisirs du sexe….. la jouissance ?
« Oui j’aime….sinon je ne serais pas là……. mais tutoyons nous si tu veux
« Oui ce sera plus pratique……. j’aimerais que tu te montres un peu plus
« Que veux-tu voir ?
« Tu pourrais pour commencer me montrer ta culotte
« Ma culotte !.....Oui …… regarde !

Zelna ouvrit largement ses cuisses, elles étaient nues au-dessus de ses bas, elle avait une culotte des plus classique, pas de string mais un slip en satin enveloppant qui masquait bien le joli bombé de son sexe.
« Approche toi que je vois ça de plus près
Elle se leva sans la moindre réticence et s’approchant de moi, debout, elle me laissa retrousser sa jupe, lui dénudant les fesses et le bas ventre. Je la positionnais de profil pour pouvoir glisser ma main droite par derrière entre ses cuisses et en m’enfonçant, paume en l’air, lui palper furtivement le sexe et les fesses que j’embrassais, nues, avant de la laisser se rassoir sur le lit , son regard était déterminé , engageant, complice ,ses cuisses ouvertes
« Montre-moi ta chatte

Elle écarta sa culotte par devant et je vis cette merveille, lisse, toute neuve, une vulve, des grandes lèvres charnues masquant les petites lèvres en corolle, un long clitoris visible sorti de son antre, comme en attente de mes caresses, un petit bouquet de poils sur son pubis, blonds comme ses cheveux
« Tu me fais de l’effet dis-je en me caressant sur mon pantalon pour constater la vigueur de mon sexe. Ma belle ne soit pas choquée si en se donnant mutuellement du plaisir je n’ai pas un langage châtié !
« Châtié ?
Je vis que malgré sa connaissance parfaite de la langue française certains mots lui échappaient encore
« Oui un langage châtié, c’est le bien parler…… moi j’aime au contraire pouvoir être grossier quand nous allons jouir…… t’insulter parfois ….. cela m’excite !
« Moi aussi je vais aimer…… pouvoir te montrer ma jouissance sans retenue…. sans souci de respect humain…… il m’arrive de gémir…… de crier même quand je jouis

« Es-tu sure que nous serons tranquilles pour ainsi nous laisser aller bruyamment à nos pulsions
« Oui sure……. j’ai loué cette chambre à des amis qui sont partis en Week end
En regardant mieux la pièce et cette grande glace qui habillait tout un mur, de profil par rapport au lit je pensais que ces soi-disant amis louaient cette pièce pour des rendez-vous galants clandestins, ce n’était pas pour me déplaire, j’aime me voir quand je baise !
« Vas-tu aimer tous mes gestes, toutes mes exigences
« Je les aime déjà sans les connaître…….quoi par exemple ?
« J’aime qu’on me suce la bite……pour bien bander est ce que cela te choque ?
« Non au contraire dit-elle en éteignant sa cigarette en se levant et en s’agenouillant devant moi
« Attends je baisse mon pantalon et mon slip….. je sors ma queue…tu la vois
« Oui , elle me fait envie !
« Comment la trouves tu ?
« Elle est grosse et bien raide ….beau calibre !
« Allez penche toi et suce

Alors Zelna se mit à l’ouvrage, elle n’attendait que çà ; j’étais toujours assis dans le fauteuil, jambes écartées, le pantalon ouvert, mon boxer retroussé au ras de mes testicules, mon sexe dressé, le gland décalotté, offert, qu’elle prit presque entièrement, sa bouche largement ouverte
« Cochonne ! aller suce moi bien, amuse toi avec….dis- moi, sous tes airs de sainte nitouche tu es une sacrée suceuse de bite……tu aimes ?
Zelna ne pouvait parler, ce sont ses grognements syncopés, synchrones sur les va et viens de sa tête qui me disaient oui à chacune de mes interrogations.
« eummmm ! eummm……….fffffff…..fffffff
« Pompe moi salope ! Dis ! tu la trouves à ton gout ?

Elle se dégagea en déglutissant ma hampe et en levant son visage sur moi d’un air calme et sérieux elle me dit avant de me reprendre
« Oui…..Elle est bien…….je l’aime bien …..oui !
« Attends je me lève ce sera plus pratique…….comme çà ……..oui…….suce moi les roubignoles……
« …………. ?!
« Les couilles quoi !......... oui…….ouiiii……. ouiiiiiii….. comme ça !....... championne !

Zelna m’aspirait chaque couille, la faisait jouer dans sa bouche avant de la déglutir et de prendre l’autre, cela tout en me branlant avec sa menotte, je crus que j’allais exploser en vol tant elle y mettait du cœur, manifestement cela lui plaisait. Moi je lui remontais sa dentelle par devant dévoilant ses seins blancs que je découvris, pointus en forme de poires, fermes, sensibles aussi car en les pelotant ils se dressèrent dans mes mains et elle m’aspira davantage en se trémoussant. Elle avait aussi de jolis petits tétons qui se rétractèrent en durcissant sous le titillement de mes doigts
« Quitte tes lunettes……. Tu pourras mieux me sucer…..Allez reprend moi……. oui…cochonne……enroule ta langue sur ma verge …. Oui….ouiiiiii……prends en plus…….prends la toute……oui…ouiiiiii. Chienne…tu es une brave petite salope……. ! serre tes lèvres sur ma queue…….que je me branle dans ta bouche……ahhhhouiiiii

Zelna continua de me sucer, de me pomper le dard, elle aimait ça, le faisait comme si je lui faisais un cadeau. Mon sexe gorgé de sang prenait de l’ampleur, mon plaisir centré sur lui, sur mon ventre. Mais il fallait que je prenne des initiatives, j’étais là pour çà
« Zelna ! tu veux que je te la mette ?...oui…..va t’allonger sur le lit….oui……sur le dos….. en travers…les fesses au bord du lit…oui….écarte bien tes cuisses… regarde moi

Agenouillé entre ses jambes je lui écartais sa culotte et j’avançais mon visage vers le fruit de sa chatte, je fus surpris de voir qu’elle mouillait déjà sans même l’avoir touchée. Alors je lui fis ce que je sais le mieux faire, la faire jouir avec ma bouche, mes lèvres, ma langue, mon nez, en quelques instants elle chavira en plongeant vers le plaisir, le buste relevé, en appui sur ses coudes elle me regardait faire, ma tête entre ses cuisses, elle me caressa les cheveux pour mieux m’enfoncer en elle.

« Oui, ouiiiiiiii, aaaouiiiicébon ! Papy bouffe moi bien la chatte
« Elle est belle ta petite chatte…… tu sens ma langue ?
« Oui je la sens bien…… c’est bon
« Tu aimes çà ?
« Oui…….ouiiiiiii…….suce mon jus
« Tu mouilles cochonne……. Çà t’a excité de me sucer la bite !
« oui j’aime te donner du plaisir……..elle est grosse ta queue Papy
« Attends je quitte ta culotte et la mienne nous serons plus libres
« Tu veux voir mon petit cul ? me demanda t’elle d’un air candide
« Oui , bien sur, allonge toi sur le ventre…… Oui comme çà relève bien tes fesses,
« En levrette ? Papy !
« Oui Zelna…….quel cul tu as !
« Merci !

Elle avait des fesses comme je n’en ai peu vues dans ma longue carrière de baiseur, sa peau sans le moindre défaut, ouvertes sur un vallon profond qui cachait son anus, il pulsait d’impatience, au fond de la petite dépression qui l’accueillait et ce fut de la folie quand langue en avant, bouche grande ouverte je cherchais à l’introduire dans ce cratère plissé en étoile, volcanique
« Oui…… ouiiiiii…….Papy bouffe moi bien le cul

A genoux sur le lit, penché derrière elle, je n’eus de cesse en la tenant par les hanches et en lui écartant les fesses d’introduire ma langue dans son fondement. Tout en suçant son petit trou, passant une main sous elle en passant par le côté, je lui caressais les seins qui dodelinaient, étirés par la pesanteur, je titillais leurs pointes avec la pulpe du bout de mes doigts. Je dus faire un effort pour que ma bouche suive ses fesses en furie animées de circonvolutions anarchiques, manifestement incontrôlées. Pour la maîtriser je passais mon autre main sous l’arc de ses cuisses et je clouais sa chatte avec mon pouce bien enfoncé dans son vagin. Ce fut indescriptible, elle m’avait dit crier quand elle jouissait, c’était le cas manifestement pour mon plus grand contentement de la mener ainsi, déjà, au plaisir.

« Je vais te baiser maintenant Zelna ! tu veux ?
Si elle voulait ? quelle question ! elle se releva pour s’installer en bonne position ; allongée sur le dos au bord du lit, cuisses ouvertes,
« Resuce moi mignonne pour me faire bien bander
Dis-je en m’approchant ma verge à portée de sa bouche, elle le fit avec tant de zéle et de conviction que mon sexe prit forme et sa rigidité de bataille, il faut dire que je suis choyé par la nature et si mon sexe à des dimensions normales en longueur, ma verge est anormalement grosse, elle a contenté les plus gourmandes, j’étais prêt pour la baiser…… elle aussi

Le lit était parfait, à bonne hauteur, fais pour, si j’ose dire , et cela me conforta dans l’idée qu’il avait dû en voir de belles. Je n’eus qu’à m’approcher entre ses jambes et en ployant mon sexe promener mon gland longuement sur sa vulve, du périnée jusqu’au clitoris. Je sais que c’est un bon prélude à la pénétration.
« Tu sens mon gland Zelna ?
« Oui je le sens bien……..c’est bon…tu sais bien ce qu’il faut faire……
« Tu mouilles
« Oui Georges …….à chaque fois que je suis bien… que le plaisir monte…. Continue

Dans la fièvre de son plaisir, pour elle, j’étais Georges ou Papy , cela me convenait, Papy quand elle jouissait. J’étais bien moi aussi, excité au possible, mon gland devenait plus intrusif, plus indiscret, il se vautrait maintenant plus franchement entre les petites lèvres de sa vulve en s’attardant à l’entrée du vagin qui d’un coup s’inonda d’un liquide translucide, visqueux avec plein de petites bulles. C’était un signe, il ne fallait pas que je tarde à la baiser. Mon gland agité, allant et venant, enfoncé de quelques centimètres à l’entrée de son vagin
« Papy …baise moi

Alors oui doucement, pour que mon gros sexe prenne sa place, je la pénétrais, sa mouille facilita l’opération et quand je fus à fond, Zelna recommença à jouir, elle ne me quittait pas des yeux, sa respiration s’accéléra, sa bouche crispée, ses yeux fous. Elle anima son ventre de reptations, de circonvolutions pour bien faire aller et venir mon sexe de toute sa longueur dans sa chatte. En quelques aller et retour elle explosa dans un orgasme fabuleux
« Ahhhhh……..oui…ouiiiiii…..Papy…c’est bon… je jouis
Comme elle l’avait dit, elle hurlait son plaisir, sa jouissance, son corps tétanisé, son visage révulsé, moi j’étais en transe
« Cochonne….chienne….tu aimes çà…la queue de Papy bien enfoncée dans ta chatte…….tu aimes…. Hein …….. salope !
« Ahhhhhh……..ouiiicéboonnnn…….bouffe moi les seins Papy…oui je suis salope…une belle salope…pour toi Papy….ouiiiiiii

Je m’allongeais sur elle, nos ventres soudés, mon sexe planté au fond du sien, mes couilles battant la chamade entre ses fesses, sur son cul et en me penchant sur ces beaux seins pointus je les pris dans ma bouche à tour de rôle mes lèvres passant d’une pointe à l’autre. J’aurais pu à ce stade, profitant de son orgasme l’embrasser dans le cou, joindre mes lèvres aux siennes mais je n’osais pas ce geste, allez savoir pourquoi ! J’étais heureux de voir le plaisir que je lui donnais, j’aurais pu jouir moi aussi il aurait suffi de me laisser emporter par le bouillonnement de mon sexe dans le sien, nous bougions tous les deux maintenant comme des forcenés, chacun allant à la rencontre de l’autre, ma queue à moitié sortie ou au contraire, à fond, nos ventres pressés l’un contre l’autre, les poils de mon sexe se mêlant aux siens caressant son clitoris ce qui eut l’air de lui plaire, d’ajouter à son plaisir
« Aahhhh Papy elle est bonne ta queue……. Je la sens bien
« Tu n’as pas mal ?
« Ohhh non au contraire elle est bien lisse …..et je mouille tellement ……

Je m’activais davantage, de plus en plus vite, de plus en plus fort et d’un coup Zelna fut terrassée, le plaisir fit place à l’orgasme……fabuleux….oui elle hurlait comme elle me l’avait dit, se tortillait sous moi, et d’un coup je fus inondé par son éjaculation, une éjaculation comme je n’en avais jamais encore vue, sa chatte, mon sexe, nos ventes souillés d’une liqueur chaude, translucide, filante, refoulée sous pression entre son vagin et ma queue et giclant à chaque pénétration.

Petit à petit elle retrouva son calme, elle me souriait, satisfaite elle avança sa bouche vers la mienne pour que je l’embrasse, tendre au début……. Notre baiser devint volcanique, nos langues lovées l’une dans l’autre et je profitais de cette étreinte pour la caresser de partout, ses seins ses hanches, ses fesses, comme sa peau était douce….
« Georges j’aimerai que tu honores mon petit cul ! Tu veux ?
Si je voulais ! la salope elle cachait bien son jeu, j’étais aux anges
« On va se mettre à poils….. oui enlève tout…… le haut…… ta jupe

Elle le voulait et fit glisser gracieusement ses vêtements en se contorsionnant, dénudant sa taille, ses seins et ses fesses. Dieu quelle était belle, qu’avais-je donc fait pour pouvoir profiter d’une telle beauté ? Merci Julie qui lui avait parlé de moi….nous étions nus tous les deux, debout collés l’un contre l’autre. J’avais envie de la serrer entre mes bras, de l’embrasser, de la caresser
« On fait comment Georges ?
« Reste debout…..face au lit….
« Oui……comme çà Georges?
« Oui mets ton genou droit sur la banquette……..penche toi bien… tes seins en appui sur le dessus de lit……relève bien tes fesses …..si tu voyais Zelna tu es magnifique
« Merci ! tant mieux si je t’excite
« Tes fesses ouvertes….ton petit cul que je vois
« Bouffe le encore…j’ai aimé tout à l’heure
« En plus il le faut car il doit être bien mouillé…..je vais bien le préparer pour que tu n’aies que du plaisir
« Merci Georges

Alors oui je fis ce qu’il faut avec ma bouche d’abord, ma langue pour bien enduire sa raie des fesses, son anus de salive, puis avec mes doigts en les trempant dans sa chatte inondée pour bien enduire ma queue et son anus de son foutre sirupeux, translucide avant de lui faire de petites enculettes pour bien lubrifier le sphincter puissant, porte d’entrée de son cul.
Je fis en sorte que cette préparation soit agréable pour Zelna qui commença à ronronner, à s’agiter en ondulant des fesses. Tout était prêt pour une bonne sodomie, son cul, ma verge lubrifiée, bandée au possible. Je vis que Zelna avait tourné son visage du côté du grand miroir qui tapissait tout le mur face à nous, elle nous regardait, enfiévrée, moi nu penché sur elle, je vis mon sexe reluisant comme un bâton de feu s’approcher de ses fesses avant de disparaître mangé par leurs rotondités.

« Je t’encule Zelna…..tu sens ma grosse queue dans ton cul…tu la sens….dis…salope….chienne….
« Oui je la sens bien……elle est bonne ta queue Papy……n’est pas peur….plus vite….plus fort…..je suis bien….je vais jouir par le cul…comme j’aime…je nous vois dans le miroir…tu es beau Papy quand tu baises…..ahhhhhh……ahhhhh ….ahhhouiiiicébon…je jouis Papy…….claque ton ventre sur mes fesses….je sens tes couilles sur ma chatte….. ahhhhhhhh !
« Caresse toi salope passe ta main entre tes cuisses par-dessous….. masturbe toi….caresse moi les couilles aussi…chienne…ahhhhh…tu vas me faire jouir toi aussi
« Oui viens Papy…inonde mon cul…remplis moi de ton foutre

Alors elle m’expédia au paradis, jamais mon éjaculation n’avait été si puissante, si durable, mon foutre, ma jute, comme une trainée de feu, monta des profondeurs de mes entrailles pour gicler comme la lave d’un volcan de mon gland dans ce merveilleux cul offert, ce cul béant à la dimension de ma verge . J’eus du plaisir pour, comme hypnotisé, attiré par cet œil borgne, d’entrer et sortir, de ce puits sans fond…je me mis à gueuler moi aussi et mes cris n’étaient pas feints au contraire ils étaient nécessaires pour accompagner ma jouissance et la montrer à Zelna qui se pâmait elle aussi.

Sa jouissance dura plus longtemps que la mienne et je m’efforçais de la faire durer en variant la nature de mes pénétrations, leur profondeur, leur rythme, les angles de la queue dans son cul. Je la tenais par ses hanches en l’attirant vers moi pour bien claquer mes couilles sur ses fesses
« Continue Papy ! si tu savais comme j’aime ton gros sexe…ouiiiiiii…je le sens bien dans mon cul…….July ne m’a pas menti en disant du bien de toi…..plus fort si tu peux Papy……..ouiiiiicébooonnn ! Je te vois dans la glace…tes fesses qui s’agitent comme celles d’un pantin désarticulé…je n’ai jamais tant joui……jamais….ahhhhhhhh !

Les meilleures choses ont une fin, Zelna s’écroula comme une chiffe mole, ivre de plaisir son corps s’étalait devant moi, offert, elle me regardait, reconnaissante du plaisir qu’elle attendait et que j’avais su lui donner. Je m’allongeais contre elle, peau contre peau pour un retour au calme
« Merci Georges, je n’en reviens pas, jamais je n’ai été si bien, jamais je n’ai tant joui
« Tu es satisfaite, moi aussi j’ai bien profité de ton jeune corps . Que puis je faire pour toi ?

« Si tu voulais tu me sucerais encore, c’était tellement subtil ces caresses de ta langue dans ma chatte que j’aimerais retrouver ce plaisir. Julie m’a parlé d’un sexe toy que tu lui as donné !
« oui…alors…..Elle l’a essayé ?
« Oui et cela la rendue comme folle tant sa jouissance a été forte
« Elle t’a dit de quoi il s’agissait ?
« Non mais je serais curieuse de savoir
« J’en ai plusieurs
« Tu en a un avec toi ?
« Oui !
« Montre le moi Georges je t’en prie

Alors je sortis ce sex-toy si jouissif au dire de mes amantes et de Julie, Zelna venait de me l’apprendre. Un boitier plastique mais en en levant le couvercle, le diable se montrait sous forme d’un langue longue et large, pointue, sans trop, mince sur les bords, sinon épaisse mais souple, sa texture un peu rugueuse lubrifiée, sa couleur rose presque orange. Je la montrais à Zelna incrédule de voir cette muqueuse hors norme et quand jouant sur le bouton je la fis vibrer, s’agiter en tous sens elle poussa un cri hystérique, elle devait imaginer l’effet de cette langue sur sa chatte. ?
« Tu veux l’essayer ?
« oui! mais saurais-je m’y prendre pour bien jouir. Tu veux m’aider Georges ?
« Tu veux que je te caresse avec ?
« Oui !

Ce n’était pas pour me déplaire, déjà Zelna s’était installée comme lorsque je l’avais sucée, assise sur le lit, cuisses ouvertes, elle avait mis ses pieds en appui sur le dessus de lit, pour mieux s’offrir, s’écarteler, sa chatte offerte, le buste relevé, penchée en arrière en appui sur ses bras pour bien me voir faire. D’un coup je me sentis l’âme d’un artiste, d’un peintre se servant de cette langue comme d’un pinceau.




J’avais mis les vibrations au minimum et on entendit le léger chuintement de l’ogive qui faisait son œuvre. Avant de caresser Zena sur sa chatte je fis prendre le chemin des écoliers à cet avatar de langue, sur le bout de ses seins d’abord , en m’attardant sur ses tétons avant d’émigrer sur son ventre, d’obliquer sur ses hanches pour un détour sur le haut de sa cuisse gauche avant de remonter doucement dans l’entre cuisse, là où la peau est douce, arriver sur son périnée. Je fis comme si je lui léchais l’anus mais ne voulant pas multiplier les genres j’arrivais enfin sur le sexe de Zéna, il était temps car durant ce parcours érotique elle avait perdu pied, elle gémissait, me disait des oui…ouiiii langoureux, elle avançait son ventre à la rencontre de ses caresses incongrues, irréelles jamais encore ressenties, elle mouillait abondamment.

« Ahh Papy que me fais tu ? tu es le diable…oui….ouiiiiii caresse moi bien la chatte……..si tu savais l’effet de cette langue
« C’est mieux que la mienne ?..
« C’est différent Papy, plus fort, ces vibrations, c’est invraisemblable…mais je te laisse faire, je sens que je vais replonger

Comment vous décrire le parcours jouissif de l’engin, comment il fit pour agiter, triturer la vulve de Zelna, ses petites lèvres , son clitotis, comment il fit mine de léchouiller avant de s’insérer dans tous les plis de cette merveilleuse chatte, ses grandes lèvres rougies toute gonflée par l’orgasme, comment ne tenant pas compte des cris hystériques de Zelna il s’engagea dans son vagin pour petit à petit y pénétrer en entier toutes vibrations au maximum…..ce n’est pas possible…j’étais spectateur de sa jouissance, mon regard fasciné par tant de beauté…. effrayé par ses cris……..rassuré sur mon pouvoir par l’anarchie de tout son corps en émoi. Comment une langue, une vraie, la mienne peut-elle concurrencer cette langue factice, ce n’est pas possible Zelna me le démontra par son orgasme fabuleux.

« Zelna tu veux prendre les commandes ? guider le diable en des endroits jouissifs seuls connus des femmes, tu le veux……..oui…….je te laisse faire et je te regarde en me caressant en me branlant devant toi……je vais jouir moi aussi c’est sur
« Merci papy je vais aimer te voit juter j’espère que je serais assez lucide pour en profiter……

Nous nous quittâmes satisfaits en nous promettant de se revoir quand Zelna en sentirait le besoin, depuis j’attends.