Chose promise, chose due.

Céline n'a connu qu'un seul homme dans sa vie. Jeune adule, un vieux la séduite et l'a déflorée comme un soudard sans fioritures ni préliminaires. Depuis, traumatisée par ce dépucelage raté, Céline fuit les hommes. Pourtant, un jour, elle fait la connaissance de Julien, un homme charmant plus vieux qu'elle, rapidement les deux tombent amoureux l'un de l'autre. Céline lui raconte son échec avec l'homme. Julien lui promet de l'initier aux pratiques sexuelles que lorsqu'ils seront mariés. Ils se fréquentent un bon moment, sans qu'il n'y ait entre eux de rapports sexuels. Seul Julien se permet de lui donner des baisers. Enfin, ils décident de se marier. La noce se passe très bien, l'ambiance est fabuleuse, le repas délicieux. Comme le veut la tradition, tard dans la soirée, les jeunes mariés s'enfuient pour rejoindre le nid d'amour.

Une fois dans la maison, les deux s'enlacent et s'embrassent longuement. Céline est fière de portée le nom de son mari. Avec douceur, Julien dégrafe la longue robe de mariée de sa jeune épouse, un peu intimidée, Céline ferme les yeux en soupirant fortement. Une fois la robe sur le sol, Julien avec tact s'attaque aux sous-vêtements, le soutien-gorge rejoint la robe, il s'agenoux face à elle et passe ses mains sous l'élastique de la culotte blanche, comme tous les vêtements qu'elle porte. Lentement, Julien baisse le fin tissu de dentelle, Céline frissonne. Au fur et à mesure que son ventre se découvre, Céline tremble de plus en plus. Julien, pour la rassurer, lui donne des petits baisers bruyants sur le ventre, mais le coquin, amoureux, continue de descendre la culotte. Il decouvre enfin la toison soyeuse, il hume avec force le temple qui n'a connu qu'une seule verge. Céline pose ses mains sur les épaules de son mari, elle tremble comme une feuille. Julien lui donne un baiser sur la fente, en insistant un peu. Enfin, la culotte se retrouve aussi à côté du soutien-gorge et de la robe immaculée. Céline se retrouve nue devant son mari. D'un geste de défense, elle place une main sur son temple et l'autre sur ses seins. Cette réaction fait sourire Julien qui regarde avec envie le corps sublime de sa femme.

Julien entreprend un effeuillage, en prenant son temps, il ote un à un ses vêtements. Céline regarde en ravalant sa salive la verge molle balancer entre les cuisses de son mari. Une fois nu, Julien lui prend la main et l'entraine dans la salle de bain, avant d'entrer dans la douche les jeunes mariés s'enlacent et s'embrasse fougueusement. Julien ouvre le robinet, les deux corps reçoivent une pluie de perles tièdes. Julien enduit de gel un gant de crin et commence à frotter les dos de Céline, tout en faisant de petits cercles sur le corps laiteux, le gant descend sur le bas des reins de Céline qui se cabre légèrement. L'épais tissu s'insère dans le sillon qui sépare les lobes fessiers, Céline frémit lorsque l'intrus passe plusieurs fois sur son anus. Puis, reprend sa progression pour atteindre la vulve, avec tact, il passe sur la fente, monte jusqu'à la perle de tous les plaisirs et la frotte avec une douceur extrême. Céline soupire bruyamment, Julien, sans vouloir brusquer les choses, retire sa main, il se plaque contre sa femme, la serre fortement. Le coquin se frotte contre les fesses bien rebondies de Céline en ondulant du bassin.

Il passe ses mains sur le ventre de sa femme et le caresse longuement. Lentement sa verge entre en érection. Céline sent contre ses fesses le manche de chair qui ne cesse de prend du volume. L'eau fumante qui glisse sur les deux corps fébriles, se sert des sillons fessiers comme d'un canyon pour s'écouler. Céline est de plus en plus gênée, car la verge, volumineuse, voyage entre ses fesses, bute régulièrement contre son anus. Avec habileté, elle se dégage, et se retourne pour faire face à son mari. Elle l'enlace, il la serre contre lui, elle cherche ses lèvres. Les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler. Julien appuie son bas-ventre, contre celui de sa femme, elle ne peut plus éviter la verge de son mari, qui frotte sur son ventre. Elle ne semble pas rassurée, elle tente de décoller son bassin, mais Julien la maintien fermement. Enfin le baiser cesse, Julien ferme le robinet, il sort de la douche en entrainant son épouse. Il la bascule sur le carrelage sans lui laisser le temps de s'essuyer.

Il reprend ses lèvres, le baiser qu'ils échangent est un vrai baiser d'amour. Une fois le baiser terminé, Julien caresse le torse de Céline avec une douceur inégalée, sa main s'approche lentement de la poitrine. Ses doigts s'enfoncent sans brusquerie dans la chair souple, comme pour en connaitre la texture. Céline soupire, elle est sans force. Les doigts agiles s'emparent d'un mamelon, le roule un bon moment, l'étire le plus possible. Rapidement, le mamelon change de taille. Avant de le gober, Julien fait subir à l'autre le même sort. C'est avec une tendresse remarquable, qu'il suce et tête les petits mats de chair qui ne cesse de grossir. Céline est fébrile, elle qui n'a jamais connue ce genre d'attouchement, défaille. Julien appuie délicatement, sur les seins qui gonflés de désir. Sa bouche glisse sur le corps de sa jeune épouse, embrasse chaque parcelle de peau. Puis progresse vers le ventre, elle s'arrête un instant sur le nombril que sa langue fouille longuement. Céline se cabre, elle se tend comme un arc. La bouche reprend sa route, en s'approchant dangereusement du trésor qui se trouve entre les cuisses de Céline. Plus ma bouche avance, plus Céline stresse. Elle repense à son dépucelage raté.

La bouche de Julien s'attarde sur le ventre, pendant que sa main s'aventure sur le mont de venus, ses doigts s'enfoncent dans la fine toison, glissent sur la fente. Céline serre les poings, sa respiration s'accélère. Deux doigts s'insèrent entre les grandes lèvres, et partent à la recherche de la perle magique. Céline pousse un long râle lorsque les doigts saisissent son clitoris. Avec amour, Julien le titille, l'agace avant de le branler doucement. Céline qui ne connait que des plaisirs digitaux, là, c'est autre chose. Elle pâme, de bonheur, la tension monte dans son corps. Julien sait y faire le bougre, il accélére le branlage, le clito devient de plus en plus volumineux, il ressemble à une grosse noisette. Céline agite son bassin, elle est dans un état d'extrême d'excitation. Julien lui presse le clito, Céline se cabre et Jouit fortement. Julien lâche le clito, prend place entre les cuisses que Céline avait inconsciemment ouvertes. Il plaque sa bouche sur l'abricot, aspire tout le jus que le fruit rejette. Sa langue s'enroule sur le clito, le titille énergiquement, Céline croit mourir, elle se cambre comme un pont un jour de tempête et jouit une seconde fois. Céline ignorait tous les plaisirs qu'une bouche peut donner. Julien est un homme de parole, il l'initie aux plaisirs charnels. Elle gémit :


-Oh mon chéri, mon chéri, c'est merveilleux !

Le bougre se gave de jus que lui offre généreusement sa jeune femme. Céline sursaute, la langue de son mari vient de s'enfoncer profondément dans son vagin et le fouille. Elle délire, elle dit des mots inaudibles. Elle pousse un cri rauque lorsque Julien lui aspire le clito et le tète comme un bonbon, jusqu'à ce que sa femme jouisse encore une fois. Céline n'en revient pas, elle halète comme une bête traquée par des chasseurs. Julien se redresse, il regarde sa femme, pose ses doigts sur ses lèvres et un à un les lui enfonce lentement dans la bouche. Céline se met à les sucer, les téter. Julien se dit que sa femme est prête pour l'acte suivant. Il avance sa verge vers les lèvres de son épouse et lui dit avec tendresse :

-Décalotte-la ma chérie puis suce-la, tu vas gouter pour la première fois de ta vie à du sperme !

Céline regarde l'engin qui lui parait monstrueux, elle tend la main, saisit avec douceur l'objet vivant, l'observe un bon moment avant de le décalotter maladroitement. Sous les conseils de son mari, elle lèche le chapeau gascon, sa langue en fait plusieurs fois le tour, titille le frein, lape les perles qui s'échappent du méat ouvert. Enfin, elle gobe le gland marbré. Elle fait du mieux qu'elle peut, elle veut le rendre heureux. Au fil des minutes, elle devient experte en fellation. Sa bouche fait cabrer Julien qui grogne de plaisir sous les coups de langue efficaces de sa femme. Céline regarde le méat suinter, sa langue monte et redescend plusieurs fois sur la hampe veineuse gorgée de sang. Pour elle c'est une première, jamais, elle n'avait sucée une verge, mais pour cela, elle à un bon professeur. Elle reprend en bouche le gland, le suce comme une affamée, la coquine y prend goût. Soudain Julien se raidit, il pousse un rugissement de fauve et répand sa semence dans la bouche de sa femme. Surprise par la puissante décharge, Céline recrache le gland. Julien lui crie :

-Avale ma chérie, c'est divin, avale !

Avec difficultés, Céline déglutie et finit par tout avaler. Julien la félicite pour sa performance, elle s'essuie les lèvres d'un revers de la main. Les deux s'embrassent comme des malades, il lui offre un flot de salive, cette pratique inattendue met en confiance la jeune mariée, les deux échangent leur salive en signe d'amour. Julien regarde Céline, il lui dit en souriant :

-Ma chérie, je vais te prendre et te faire délirer si fort que tu oublieras l'échec de ta première pénétration !

Céline regarde la verge gluante de son mari, elle n'est pas très rassurée, car elle ne peut oublier la première pénétration désastreuse qu'elle a subi. Julien prend place être ses cuisses, frotte un petit instant sa verge contre la vulve qui suinte comme un fruit trop mûr. Il pousse doucement, les grandes lèvres s'écartent, le gland s'engage lentement dans la gaine étroite. Elle s'accroche à son mari pendant que le bougre là pénètre le plus délicatement possible. Céline se cambre, s'ouvre davantage, elle veut malgré la douleur qu'elle ressent, appartenir à Julien l'homme de sa vie. Un fois bien planté en elle, Julien commence un va-et-vient dont seul en a le secret. le membre coulisse comme un piston bien reglé dans son cylindre. le gland qui frotte contre les parois sensibles du vagin fait gémir de plaisir Céline, elle ignorait qu'une verge bien utilisée pouvait donner autant de plaisir. la mandrin gonflé par l'afflux de sang, voyage dans la gaine en prenant de la vitesse. céline est dans un etat d'excitation incoyable, elle s'accroche à son mari amant en agitant son bassin comme une frocenée. Elle donne des couos de reins plus puissants que ceux de son mari, elle veut etre possédée totalement par la verge puissante de julien.

Julien change de tactique, il ressort entierement son membre et le replonge brutalement au plus profond des entrzailles de son amour. Il reitere de nombreuses fois se mouvement qui n'est pas ppur deplaire à Céloine qui crie a chaque enfonceùent du pieu en elle :

-Oui,oui ,fais moi mal mon chéri, oh comme je t'aime !

Encouragé par les paroles de sa femme, julien la défonce comme un malade, bien que dilaté par le manche volumineux Céline s'agite encore plus brutalement. Elle serre les dents, grogne comme une bête blessée, en donnant des coups de reins violents. Elle souffle comme un beouf, en gémissant :

Plus fort mon chéri, oui, oui je vais mourir tellement c'est bon, plus fort oui, oui !

Julien ne retient plus ses coups, il défonce sa femme en poussant un han de bucheron à chaque enfoncement de son glaive dans le ventre de sa femme. Céline se cabre pousse un cri presque inhumain et jouit comme jamais. c'est ma premoere fois qu'elle gicle, son jus noie les couilles de Julien qui accélere en serrant les dents. Céline à plusieurs orgasmes a la suite, son corps est secoué de spasmes violents, jamais elle n'avait connu ça. Elle s'arque-boute lorsque Julien lui remplit le ventre de sa semence brulante. Céline geint elle est au bord de la syncope, une ultime jouissance la fait hurler comme un animal tombé dans un piege. Julien ralentit la vitesse comme un train qui entre en gare pour enfn s'arreter. Il retire sa verge gluante et regarde la vulve qui laisse echapper le surplus de semence. les deux s'embrassent fougueusement, Julien dit en souriant à sa femme :

- Je n'en ai pas fini avec toi, ma chérie, je vas faire de toi une bonne salope !

Elle repond en se blottoisant contre lui :

-Oui, fais de moi une grosse salope, je veux etre ta pute, fais moi decouvrir encore pleins de bonnes choses mon chéri !

Julien, replique :

-j'y manquerai pas crois moi, tu devendras une bonne pute entre mes bras !

Céline lui sourit et l'embrasse elle attend avec impatience la suite.