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Cinq ans après

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Lue : 6742 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/10/2013

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Rendez-vous dans cinq ans.


C’est encore Théo qui prit l’initiative de cette réunion amicale, cinq années plus tard. Il avait réussi à joindre tous les anciens et anciennes du 26 et tout le monde ou presque, d’après lui, avait répondu présent. A l’époque de mes quinze ans les quatre étages de notre HBM grouillaient de filles et de garçons de mon âge.
(Voir éducation sexuelle )



Je suis Eva la fille du troisième, j’ai maintenant un appartement à Paris loin de ma banlieue natale ; je n’ai absolument rien vécu ou presque dans ma vie sentimentale. Une ou deux aventures sans lendemain qui m’ont laissée frustrée à cent lieues de mes fantasmes et en rentrant de ces aventures nocturnes je dois me contenter seule la tête dans les étoiles pour faire exulter mon corps qui ne demande pourtant que caresses, que plaisir.



Je n’ai que les souvenirs de nos jeux érotiques dans la cage d’escalier ou le vestibule du rez-de-chaussée entre garçons et filles quand ce fameux Théo et d’autres nous pelotaient les fesses ou les nichons en faisant mine de jouer. S’ils avaient su comme nos colères étaient feintes et comme nous recherchions ces bagarres, ces corps à corps qui nous laissaient pantoises et insatisfaites ; s’ils avaient su que la nuit, les filles de la maison, nous nous caressions plus intimement dans notre lit, rêvant à des étreintes plus complètes ils auraient peut être poussé un peu plus avant leurs caresses, j’y étais prête, en résistant bien sûr.



Moi par exemple mon fantasme c’était de me faire caresser par Lucas, pourquoi Lucas mon voisin du deuxième à l’époque ? Parce que sous sa timidité on sentait une passion, une envie de faire comme son déluré copain Théo. Mais il se contentait de regards langoureux quand je le croisais dans l’escalier et moi, comme une imbécile je ne l’encourageais en rien.



Pourtant c’était le plus beau garçon de la maison, sportif, intelligent disait-on. Je me souviens même l’avoir souffleté le jour où enhardi, mine de rien, il avait posé sa main sur la rondeur d’une de mes fesses : Pardon ! m’avait-il dit au bord des larmes. Plusieurs nuits durant je pleurais de rage, de ma bêtise, serrant mon oreiller entre mes cuisses en me frottant le sexe sur ce Lucas imaginaire.



Depuis, rien, ou presque ; j’ai bien eu quelques aventures d’un ou deux soirs, mais c’est en fantasmant, en me caressant que je calme le feu qui me dévore, j’aime le plaisir en solitaire, je sais et j’aime me faire jouir, cela me contente, enfin presque !



Il faisait une chaleur torride quand j’arrivais dans la vaste propriété de campagne où Théo nous réunissait, nous étions une bonne vingtaine, filles et garçons. Nous avions changé, les retrouvailles furent l’occasion de cris, de rires, d’embrassades, d’étreintes amicales, quelques mains s’égaraient déjà. Je cherchais Lucas, en vain, et d’un coup, je me sentis triste, désemparée, déçue.



A ce moment je sentis une présence derrière moi et une main se poser sur mon épaule ; je me retournais…..c’était lui…. Lucas.



Sans son regard qui m’enveloppait je ne l’aurais peut-être pas reconnu il avait tellement grandi, c’était un homme qui me prit la main en souriant. Qu’il était beau avec ses cheveux longs, sa barbe soignée de trois jours comme on dit, sa bouche, son sourire, ses yeux clairs.


« Eva ?

« Oui Lucas, c’est moi

« Que tu es belle, j’ai quitté une ado et j’ai une belle jeune femme devant moi

« Merci Lucas…on s’embrasse

« Bien sur



Quand il me serra dans ses bras et que je sentis son visage près du mien mes jambes ne me portaient plus et je sentis une émotion me submerger au plus profond de moi et mes seins se dresser ; je m’inondais sans pouvoir me retenir et cela coulait sur mes cuisses.



« Comme je suis heureux de te revoir, comment vas-tu ?

« Bien, Lucas, que tu es beau

« Et toi donc, tu dois faire des ravages dans les cœurs !

« Bah !



Il prit son temps pour m’embrasser son visage penché vers le mien, sa bouche proche de la mienne, nous étions en suspension, le temps s’était arrêté, manifestement il attendait que je choisisse. Je posais mes lèvres sur les siennes entrouvertes d’étonnement. Il me regardait intensément il appuya sa poitrine sur mes seins et il m’enveloppa la taille à deux mains, je fus saisie d’un grand frisson quand nos langues se mêlèrent en s’enroulant intimement.



« Tu ne vas pas me gifler me dit Lucas en souriant

« J’étais bête à l’époque, c’est un geste que j’ai toujours regretté, Lucas

« J’espère que l’on va bien s’amuser

« J’espère, resterons nous ensemble ? Le veux-tu Lucas ?

« Si cela te fait plaisir, j’aimerais aussi ; mais il faut que tu saches avant que je ne suis plus le petit garçon timide qui ne te dévorait que des yeux

« Tu me mangerais maintenant ? Vraiment !

« Attends que je te regarde mieux, hem….oui….. cela a l’air bon tout ça, tu es encore plus désirable qu’il y a cinq ans, ton visage, tes yeux, tu as des jolis seins, je peux toucher ?




Et avant ma réponse qui allait de soi, il le voyait, il me reprit dans ses bras et il me caressa le dos, des épaules en descendant jusqu’à la commissure de mes fesses ; il se rendit compte de ma complicité à la douce pression de mon ventre sur le sien.



Il était prévu un petit encas avant une partie de ballon, ‘les gars contre les filles’ avait dit Théo. Ce fut une douce pagaïe, le motif pour tous de s’étreindre et de se peloter, je n’osais m’insérer dans ces mêlées où fusaient des cris de vierges outragées quand des mains se perdaient sous les robes écartant les cuisses, c’était un beau bordel, celui que nous attendions tous et toutes en venant.



« Avons-nous besoin de ce prétexte pour nous faire plaisir, Eva ?

«Que veux-tu dire Lucas?

« Nous pourrions nous éloigner de ce tohu-bohu, de ces jeux de puceaux ?

« Tous les deux ?

« Ce serait dommage de faire la même erreur qu’il y a cinq ans

« Quelle erreur ? Lucas

« De passer l’un près de l’autre en nous ignorant ; à l’époque j’avais une envie folle de te serrer dans mes bras, de te caresser et je crevais de jalousie de te voir te débattre sous les pelotages de ce sacré Théo et de quelques autres

« Cela ne tenait qu’à toi de te joindre à ces jeux

« Je me souviens de ta gifle lorsque j’ai essayé, cela m’a remis à ma place

« Il ne fallait pas, je criais, je griffais mais dans le fond j’aimais ces caresses à la sauvette, j’aurai aimé que tu me bouscules toi aussi !

« Ce serait maintenant oui j’oserais


« C’est maintenant Lucas, allez viens ! osons !



Je m’étonnais de mon langage, de mon audace, Lucas devait penser que j’avais vu du pays depuis notre adolescence. S’il avait su que j’en étais resté à pas grand-chose, presque rien, des expériences sans plaisir très loin de mes attentes.



Nous n’eurent aucun mal à nous éloigner en douce, à ouvrir une porte au fond d’un couloir, à entrer, moi en tremblant dans la pénombre d’une chambre, Lucas donna un tour de clé derrière nous et me prit dans ses bras, nous étions tous les deux saisis d’une frénésie amoureuse, ses mains me caressaient de partout, pelotaient mes seins généreux , mes fesses rondes et fermes, sa bouche prit la mienne et nos langues se mêlèrent, je me laissais faire, j’en avais trop envie, ouvrant mes cuisses, offrant mon sexe sous ma robe à sa main curieuse, je sentais ses doigts frôler ma chatte sur mon petit, tout petit cache sexe, je crus hurler quand ils s’immiscèrent sous le fin linon, je me tortillais de plaisir.



« Tu mouilles Eva ! j’aime

« Oui , pardon Lucas, je suis excitée au possible

« Ne t’excuse pas, moi aussi tu m’excites, je te fais de l’effet ? tu es bien ?

« Si tu savais Lucas le nombre de fois où tu m’as fait jouir

« Comment, Quand ? dis-moi



Alors serrés contre lui, tout en le laissant caresser ma vulve inondée je lui dis que je fantasmais sur lui depuis toujours ; par exemple après l’avoir croisé dans l’escalier il me tardait d’aller m’isoler dans ma chambre pour me caresser. Lucas se mit a sourire en me racontant que lui aussi s’excitait comme un jeune chien sur le mannequin de sa mère, ce qui me fit rire aux larmes.



« Quel gâchis me dit il, et maintenant ?

« Maintenant c’est pire Lucas et toi ?



« Oh moi tu sais j’ignorais ton attirance, ton envie de moi. Alors un jour ma timidité a disparue. Je dois cela à une femme admirable qui m’a tout appris de l’amour en m’emmenant avec sa fille en vacances à la mer, J’ai tout fait cette année-là, avec elle, avec d’autres et depuis je ne manque aucune occasion . J’aurais alors osé te montrer mon désir


« Et alors que ne l’as-tu fais ?

« Tu étais déjà partie Eva

« Je connais cette femme Lucas ?

« Oui Eva, c’est madame Travil

« Je n’en reviens pas.. madame Travil….. ? mais alors sa fille c’est Lola la fille du premier étage?

« Oui c’est elle

« Je l’ai vue, elle est là aujourd’hui ; tu l’as baisée ?

« Je l’ai déflorée à sa demande, depuis je ne l’ai plus rencontrée

« Tu as envie de la revoir ?

« J’ai envie de toi Eva, tu es belle, tu es femme, j’aime ton regard clair qui me transperce, j’aime ton corps, tes beaux et gros seins, tes fesses admirables, j’aime ton désir que je sens sous mes doigts, je vais aimer ton ardeur que je devine, j’ai envie de te caresser, te baiser, là, maintenant, tu veux ?

« Quelle question, tu le sais, tu le vois je suis à toi, fais de moi ce que tu veux, j’en ai…oui….une envie folle….en fait je suis folle de toi Lucas, embrasse-moi encore…..



Jamais un baiser ne m’avait fait un tel effet, je ruisselais de plaisir et ma mouille coulait sur mes cuisses. Je sentais sa langue dans ma bouche, ses doigts dans mon vagin, c’était doux et rude à la fois, j’avançais mon ventre pour être pénétrée bien à fond et d’un coup je ne pus m’empêcher de crier mon plaisir en m’enfonçant sur sa main en agitant frénétiquement mon bassin.



Lucas me caressa ainsi sans discontinuer jusqu’à ce que je me calme. Que cette caresse était douce, savante, il faisait aller ses doigts entre mes petites lèvres et je sentais mon clitoris bandé rouler aux bouts de ses doigts. J’étais complètement ouverte et quand il me pénétrait j’étais comme folle, jamais je n’avais joui si fort



Il me souriait tendrement il était ému lui aussi et je sentais son excitation au travers des étoffes sur le côté de ma cuisse droite emprisonnée entre les siennes. Il bougeait lui aussi son bassin en rampant sur moi de bas en haut et je sentais sa verge rouler sur la chair tendre de ma cuisse. Pour bien montrer ma complicité ; à plusieurs reprises j’ai glissé ma main droite entre nous pour sentir son sexe et à chaque fois en me rendant compte de sa vigueur je l’imaginais aller et venir en moi comme il allait et venait plaqué sur ma cuisse.



C’est alors qu’en se détachant légèrement de moi je sentis qu’il touchait ma robe par l’arrière avec sa main gauche; il l’avait prise par le bas et la fit remonter des jambes à la tête où elle resta coincée à mon cou .



Par cette chaleur, à part ma culotte j’étais nue sous ma robe, mes seins à l’air ; aveuglée, la tête encapuchonnée par mon vêtement. Au lieu de me débarrasser de ce masque Lucas me reprit ainsi nue dans ses bras face à moi cette fois, me couvrant de caresses. J’étais décontenancée de ne rien voir, de ne plus le voir ; mais cette sorte de soumission qu’il m’imposait m’excita davantage et je me concentrais sur ces caresses en le laissant faire.



Avec douceur il m’étendit sur le tapis et s’allongea sur moi, je devinais sa bouche sur la pointe de mes seins, nos ventres soudés, je me laissais aller, lui permettant tout, offrant tout, j’étais bien, c’était autrement plus excitant que les chatouilles de mes quinze ans, que lors de mes peu nombreuses expériences, plus jouissif que mes caresses nocturnes en solitaire. Je me prêtais à son jeu, tous mes sens en éveil à part ma vue oblitérée par ma robe retroussée sur mon visage.



Lucas cela se sentait avait l’expérience, connaissait les endroits qui nous transportent vers le plaisir. Un court instant, ses étreintes devinrent bizarres, moins intimes, mon regard masqué ne pouvait voir son jeu et d’un coup je compris quand il m’enlaça à nouveau, je sentis sa peau , ses cuisses s’insérer entre les miennes, il était nu lui aussi et le contact en fut radicalement changé, il se frottait doucement sur moi sa peau contre la mienne, dans toutes les positions, nous roulions, glissions l’un sur l’autre, nos corps, nos bras, nos cuisses enchevêtrés .



C’est alors que j’eus une sensation nouvelle, en plus de ses mains, de ses cuisses, de son ventre, autre chose me caressait, me frôlait visitant tout mon corps, je devinais les positions que Lucas devait prendre pour que les frôlements de la chose m’épousent entièrement. C’était doux, c’était chaud, c’était gros, long, ce ne pouvait être son sexe ? Je dû me rendre compte que si, c’était bien le sexe de Lucas qui me frôlait car au hasard de son parcours sur moi, sur le bout de mes seins, sur mon ventre ; entre mes cuisses ou descendant de mon visage au-dessous de mes bras, l’espace d’un instant je l’eus dans la main,



Ce fut pour moi comme une décharge électrique, sans rien voir de la chose je me rendis bien compte de sa douceur, de son ampleur, une sorte de rigidité sereine émergeant dressée, décalottée de son ventre plat musclé sans excès, soutenue par deux testicules bien ronds, deux gros œufs en appui sur ses cuisses, le tout dans un écrin très doux de poils soyeux et frisés au bas de son ventre.



Lucas m’avait reprise, enfourchée face à face et il me caressait la poitrine en mouvements symétriques, il comprit l’effet qu’il me procurait car de tout mon corps c’est la partie la plus érogène, je me donne souvent du plaisir en me les caressant dans mon bain, en les laissant flotter, en titillant leurs bouts. Lucas se pencha sur moi et je sentis sa bouche sur eux, il les butinait l’un après l’autre en tournant sa langue autour de mes mamelons dressés. Je sentis une petite fraîcheur entre eux et je compris qu’il avait enduit le canyon étroit qui les sépare de sa salive, il s’avança et je sentis la chose s’immiscer entre mes seins gonflés qu’il referma sur elle avec ses mains, l’emprisonnant.



Par, des mouvements de son bassin le gros cylindre coulissa en doux vas et viens dans la vallée lubrifiée, le sexe puisqu’il en est ainsi et les mains les serrant sur lui me transportèrent d’un plaisir nouveau, puissant, profond, à chaque aller et retour mes seins étaient comprimés par son ventre, ses pouces agiles titillant mes pointes érectées par la plaisir, je sentais les couilles à l’arrière de la verge se vautrer sur mon torse, je ne pus m’empêcher de gémir en me tordant sous mon amant, en l’imaginant agenouillé, ses cuisses écartées de chaque côté de ma taille et ahanant de plus en plus vite de plus en plus fort entre mes seins en gémissant.. j’étais heureuse qu’il soit bien lui aussi et je pensais



Je vais bien baiser….enfin !



J’étais toujours aveuglée mais cela ne nuisait en rien au plaisir que j’éprouvais, au contraire. A un moment je sentis Lucas tirailler sur ma robe retroussée sur mon visage, je me rendis compte qu’il ouvrait un bouton de mon col, dégageant le bas de ma figure, la bouche à l’air libre je pouvais mieux respirer. Lucas s’avança plus près encore, son sexe remontant plus haut, je sentis le bout de son sexe entre mes lèvres ouvertes et je m’appliquais sur son gland avec ma bouche, avec mes lèvres, avec ma langue.



Dans l’état de transe où j’étais, je m’avançais, mon visage vers lui, ouvrant ma bouche sur l’énorme gland et je tournais ma langue autour. Je tenais Lucas des deux mains par la taille et le laissait faire, il contrôlait les avancées de son bassin et l’enfoncement de sa verge dans ma bouche, quand il se retirait, le gland au bord de mes lèvres il laissait le temps à ma langue de le laper, puis doucement il replongeait le plus profond possible sans m’incommoder, je sentais mes lèvres arrondies autour de l’énorme cylindre et quand j’aspirais j’entendais un gémissement de plaisir de mon amant et cela amplifia mon émotion et ma détermination de lui donner du plaisir, de le faire jouir s’il le voulait dans ma bouche..



En pleine montée de notre plaisir, il me délaissa quelques secondes, son sexe abandonna ma bouche, je compris qu’il se tournait, pivotait sur moi en m’enfourchant à nouveau mais dans l’autre sens ; ses genoux à hauteur de ma tête car quand son sexe se glissa à nouveau entre mes seins mais en sens inverse et ce sont ses parties qui frôlèrent mon visage ; avec ma bouche je tentais d’en gober une mais elles m’échappaient et je dû me contenter de les lécher de les agiter avec ma langue.



Toujours dans le noir je sentis ses mains sur moi, sur mes seins comprimant sa verge ; elles émigrèrent sur ma taille, ce qui me fit frissonner de plaisir ; sur mon ventre, sur mes hanches, sur mes cuisses et enfin sur ma chatte, entre mes jambes, ses doigts s’agitant sur mon slip, c’est à ce moment que je recommençais à jouir


« Lucas je veux te voir, ôtes ma robe complètement ....oui comme ça, c’est bien... c’est mieux...si tu savais comme j’aime ce que tu me fais



J’eus alors un curieux spectacle, j’avais ma tête entre ses cuisses, ses parties sur mon visage et une vue plongeante sur sa raie des fesses ponctuée du petit trou bistre et plissé de l’anus



« Je vais écarter ta culotte tu verras comme c’est bon.. voilà je la fais glisser sur tes cuisses..... tu es belle....j’aime ta minette... tes fesses biens rondes... montre moi ta chatte... tourne un peu.. écarte tes cuisses....tu as une belle toison, ah j’ai envie de toi Eva.

« Oui parle moi Lucas, dis moi ce que tu me fais, j’aime ta voix comme tes mains comme ton sexe que je sens sur moi et qui m’affole

« Tu aimes ?

« J’en suis folle…fais moi tout Lucas….tout……oui….ouiii…. ouiiiiiiiiii



Nous étions l’un sur l’autre, de face, en sens inverse, moi sous lui, unis pour l’instant que par sa verge qui allait et venait entre mes seins et sa main droite entre mes cuisses. Il se pencha sur moi et il commença à me caresser doucement, il promenait ses doigts entre mes grosses lèvres ses doigts glissaient dans la fente lubrifiée de ma chatte, ils montaient et descendaient de mon clitoris jusqu’à proximité de mon anus qu’ils contournaient en l’effleurant, par contre ils s’attardaient sur le petit bourgeon que je sentis se raidir,



C’est alors que de la pointe de mes seins aux profondeurs de mon ventre le plaisir pris naissance, imperceptiblement d’abord mais allant crescendo au fur et à mesure de la hardiesse des caresses, je poussais un petit cri quand il me pénétra pour la deuxième fois penché sur moi et je commençais à m’agiter ondulant du bassin, ouvrant et refermant mes cuisses sur sa main qui me touchait



Lucas approcha son visage de mes cuisses et ouvrant grande sa bouche et sortant sa langue il plongea entre les lèvres de ma chatte. Jamais je n’aurai imaginé une telle caresse, jamais je n’avais ressentie une telle douceur, je me laissais aller, sa langue branlait ma vulve, sa bouche me suçait , ses lèvres me pinçaient . Nous étions collés l’un à l’autre unis par tous les pores de notre peau. Avec ses mains il m’avait écarté les cuisses pour pouvoir bien me bouffer la chatte et passées sous moi elles me pétrissaient les fesses en m’attirant vers lui, la pulpe de ses doigts dans ma raie inondée.



Malgré mon plaisir qui me tétanisait avec une de mes mains passée entre nous je rabattis son sexe de mes seins vers ma bouche pour le sucer et je caressais sa hampe qui allait et venait entre mes lèvres et j’agitais ses valseuses. D’un coup je me mis à jouir, jamais je n’avais ressenti ce plaisir avec une telle violence, j’en étais presque aveuglée par les étoiles qui dansaient devant mes yeux. Quand d’un doigt il me pénétra mon petit cul je me cambrais de surprise et de bonheur et je sus ce qu’était cette sorte de pénétration dont on m’avait parlée.



C’était la première fois que mon anus était visité ainsi, et ce fut une découverte pour moi. Au plaisir que me donnait sa bouche sur mon sexe s’ajouta celui de ces petites pénétrations dans mon petit trou. Ce devait être l’auriculaire enduit de ma mouille qui entra en moi sans même que je m’en rende compte, il entrait et sortait doucement et je me mis à aimer le moment où la pulpe du bout de son doigts entrait à nouveau dans mon anus refermé, d’une poussée il forçait le passage et cet instant était délicieux. La sensation devint plus forte quand progressivement l’annulaire, enfin je crois, prit le relais, c’était plus gros, plus long, la sensation plus forte, c’était mieux, plus jouissif, je sentais mieux ce doigt en moi qui glissait dans mon fondement. D’un coup sans crier gare je comprenais que le plus gros de ses doigts avait pris le relais, Je me sentais pleine de lui ; qu’il était jouissif le moment où il forçait mon œillet avant même qu’il ne se referme. D’un coup je fus submergé par le plaisir et je ne pus retenir un petit cri d’approbation



« Ahhh, Lucas tu me fais jouir....oui....ouiiiii…..oufffff….c’est bon.... .continu.. plus vite...oui à fond....plus vite.. plus vite....ahhhhhhhhh.....ouiiiiiii



J’aurai voulu que cela dure l’éternité et pourtant le bonheur diminua comme il était venu, me laissant heureuse, satisfaite, repue, reconnaissante Je savais maintenant que je pouvais jouir par le derrière



« Cela vaut bien les petits pelotages à la sauvette dans les escaliers du 26

« Oui, cent fois, mille fois, j’étais bien tu sais !

« Tu vas jouir encore, je te le promets Eva et plus fort encore, tu le veux ?

« J’aimerais si tu veux que l’on reste dans cette position mais avec moi au dessus de toi

« Pourquoi ?

« Il me semble que je serais encore mieux, plus libre de te caresser moi aussi, tu veux ?



L’instant d’après j’étais sur lui allongée de tout mon long en sens inverse.

Cela peut paraître anormal mais cette position presque similaire à la première changea tout pour moi comme pour lui et le plaisir, la jouissance qui suivit fut incomparable.



Je pouvais bouger, j’étais libre, libre d’agir à ma guise, libre de pouvoir décoller mon buste de sa poitrine en appui sur mes coudes et être à mon aise pour m’occuper de son sexe, de le voir, de le caresser de lui faire mille caresses, mille baisers. Je pouvais écarter ses cuisses et relever mon bassin en appui sur mes genoux et onduler pour que le visage de Lucas soit bien placé près de ma chatte, mon cul, dans ma raie écartelée, offerte.



J’avais le sexe de Lucas devant moi, dressé, tendu, je le voyais par l’arrière, plaqué sur son ventre, sa hampe, la grosse veine bleue gorgée de sang, ses bourses libres dans leur besace fripée, bizarrement sa peau épaisse recouvrait la presque totalité de son gland , je le trouvais beau , quel bonheur pour moi quel cadeau que de le voir si gros, si lisse offert là, rien que pour moi.




Lucas poussa une sorte de feulement quand je pris en main cette merveille et que je fis jouer sa peau en tirant dessus pour le dépuceler, pour bien dégager son gland de sa gangue. jamais je n’en avais vu un d’aussi près ; il était tout rose, gorgé de sang avec une corolle bien formée qui laissait sous lui un sillon avant sa hampe qui allait grossissant vers son ventre et ses parties . Je commençais de le caresser avec ma langue, le gland d’abord, je tournais autour sur sa corolle et quand j’arrivais là où la peau est ancrée, sur son frein je me rendis compte par les gémissements de Lucas de la sensibilité extrême de cet endroit.



Je l’avais redressée avec ma main, détachée de son ventre, verticale, dressée, ramenée vers moi, vers ma bouche, je continuais en léchant sa verge de haut en bas, elle luisait de ma liqueur nacrée et quand j’arrivais au sommet je penchais ma tête pour prendre son gland dans ma bouche. Ma salive avait coulé sur ses testicules et elles glissaient dans mes mains qui les tripotaient nerveusement. Je crus être la maîtresse du jeu quand je pris une bonne partie de son sexe dans ma bouche, Lucas se trémoussait en tous sens ; il haletait, allait il jouir ainsi ?

Mais d’un coup je me sentis prise à revers, incapable d’un coup de me concentrer sur l’objet de mes désirs ; une sensation nouvelle, inconnue de moi, envahissante d’un coup naissait en moi, entre mes cuisses, entre mes fesses m’empêchant de continuer mes caresses je continuais de le sucer bien sur mais avec moins de conviction tant ce plaisir me submergeait maintenant.



Je sentais une caresse extraordinaire entre mes fesses écartelées et quand je compris que c’était le visage de Lucas qui m’ouvrait ainsi , qui s’agitait sur moi , qui glissait sur ma peau, au tréfonds de ma raie, je crus défaillir. Son front, ses joues, son nez avait étalé toute ma mouille sur mes fesses, il la buvait en me léchant et les caresses avaient une douceur délicieuse inimaginable.




Mais bientôt sur ce fond de caresses de ses joues, de sa barbe soyeuse entre mes lobes lubrifiés il m’apparut, en plus d’elles, des caresses plus subtiles, plus rudes, plus jouissives, plus profondes, dues aux aspérités de son visage ; ce nez, ce menton, cette bouche qui passaient et repassaient sur ma vulve, mon périnée, mon anus. En remontant son nez écartait mes grosses lèvres, comme un soc préparant la terre, ouvrant un sillon où la bouche venait se vautrer, il s’attardait plus haut sur mon petit trou qui s’entrouvrait par son insistance têtue à vouloir rentrer tandis qu’au dessous sa bouche avait tout son temps pour mâchonner les petites lèvres de ma vulve qui d’un coup je le sentais étaient sorties de leur antre en grossissant en commençant à me faire jouir.



Il en fut ainsi un bon moment, le plaisir déjà me tétanisait, mes mains et ma bouche continuaient comme des automates à caresser la verge de Lucas mais mon esprit et mon corps étaient ailleurs, pour le dire entre mes cuisses, entre mes fesses, bien au fond d’elles sur ma vulve. Des changements m’emportèrent plus loin encore quand je sentis que sa langue se joignait à la fête, j’étais prête, bien préparée, ouverte, inondée.



Je la sentais vivre en moi, elle s’insérait en partant de mon ventre, léchait l’entrée de mon vagin sans s’y attarder inspectait ma vulve entre mes petites lèvres en s’agitant et là prenait tout son temps sur le capuchon de mon clitoris que je n’avais jamais connu si sensible. Avec la pointe de sa langue Lucas manifestement cherchait pour sentir si mon petit gland durci sortait de son antre et il du le trouver et s’y attarder car à chaque lipée je ne pouvais retenir des plaintes, des cris, des oui, des ouiiiiii c’est bon, des ahhh je jouis, je jouis geooooorrrrgees, euuuuu !




Je voyais que mon émoi était communicatif car sa verge était dure, dressée, il avançait son ventre vers moi, vers ma bouche tout en continuant avec son visage de transcender ma jouissance. De temps en temps, il remontait plus haut et sa bouche se plaquait sur mon anus mais il revenait vite plus bas où cela devint plus hard. Je sentais sa langue largement déployée s’enfoncer dans mon vagin de plus en plus profondément, y restait en s’agitant puis tout en restant en moi bien profond sa langue durcie remontait en ravageant ma vulve entre mes petites lèvres en remontant toute ma mouille accumulée et la liqueur nacrée de sa salive. J’étais inondée, mon clitoris noyé, mes grosses lèvres écartelées par ses joues. Ce fut comme une danse satanique, ces vas et viens jouissifs et profonds.



J’étais depuis longtemps dans un autre monde, celui du plaisir, mon corps tendu comme un arc , mes cuisses raidies, tétanisées. Lucas était comme fou, il criait lui aussi : Eva, Eva tu es belle , je suis bien, ahhh quel cul tu as ! quelle chatte, j’ai envie de te baiser maintenant tu veux…… et avec le reste de lucidité que j’avais encore je me demandais si cela allait enfin nous arriver, si son intention n’était pas que de me caresser et de me faire jouir ainsi, seulement.



Mais en cet instant j’étais si bien, je jouissais tant que c’est moi qui en bougeant mes fesses en ondulant mon bassin en de savantes circonvolutions allait au-devant de cette langue, devenue mon esclave. Je lui présentais mes endroits les plus jouissifs, restais en place ou au contraire j’agitais frénétiquement mes fesses de haut en bas en m’écartelant sur son visage comme si je voulais qu’il m’essuie. Je devenais folle moi aussi comme Lucas qui se pâmait et d’un coup au comble du plaisir je sentis mon vagin se durcir, s’ouvrir, béer, je l’enfonçais sur la langue raidie de Lucas et durant quelques instants je me branlais sur elle en criant comme une perdue abandonnant toute ma dignité et ma réserve. Lucas pétrissait convulsivement mes seins qui dodelinaient d’un bloc, compacts et souples à la fois avec ses mains passées sous moi. Alors plus rien ne compta pour moi, je n’étais que plaisir dans tout mon corps, dans ma tête, le bonheur complet, total, destructeur



Mais d’un coup ce fut cataclysmique nous roulions l’un sur l’autre, c’est Lucas qui avait repris le commandement et je n’ai pas eu à m’en plaindre, je me retrouvais à quatre pattes sur le tapis les fesses offertes . je n’eus que le temps de voir Lucas dressé avant qu’il ne s’agenouille derrière moi, je vis son sexe bandé, érigé, raidi, décalotté, plaqué sur son ventre . Bêtement, incompréhensiblement j’avais remonté ma culotte cachant mes fesses, pourquoi ce geste idiot ?



Il n’échappa pas à Lucas qui se mit à hurler, ce barrage ridicule qui retardait le moment de l’hymen alors qu’il était à bout de résistance : Ahhh nonnn que fais tu Eva moi je criais prends moi vite, j’en ai envie moi aussi, arrache tout




Alors oui il me prit comme un fou, il empoigna ma culotte à deux mains et la fit éclater au droit de la couture, mes fesses, mon cul, ma chatte étaient libres, dénudées, offertes . je me sentis prises aux hanches et son sexe s’enfonça en moi entre les deux lambeaux de ma culotte et ce fut comme une épée de feu. Ouverte comme j’étais cela fut facile et ce n’est qu’au bout d’un moment en me calmant en me resserrant sur son membre que j’en sentis ces bienfaits. Jamais dans mes expériences je n’avais ressenti un tel bonheur une telle plénitude.



Lucas y allait fort son ventre claquant sur mes fesses. Jamais on ne m’avait baisée ainsi si longtemps et si fort. Je crois avoir joui plusieurs fois de suite, je n’ai pas compté, j’en étais incapable, après chaque brèves accalmies la jouissance ressurgissait plus forte encore. Abandonnant mes hanches Il m’avait repris les seins par-dessous et c’est avec eux qu’il m’attirait vers lui. Les pénétrations allaient s’accélérant de plus en plus violentes de plus en plus profondes pour mon plus grand plaisir, Lucas haletait il me parlait lâchant ses mots par bribes inarticulées, il ne contrôlait plus rien lui aussi


« Eva ?

« Oui Lucas !

« Je vais jouir en toi, enfin…..tu es bien toi aussi,

« Oui, ouiiiii…..ouiiiiiiii!

« Ahhhh Eva, je ne peux plus me retenir

« Viens….. viens vite, je t’attends, je te sens bien, c’est bon

« Je jouis, je jouis oui ouiiiii ouiiiiii

« Oh……ohhhhh….ohhhouiiiicéboooon.. je jouis moi aussi

« Eva çà part de mes couilles, cela remonte dans ma verge

«Laisse toi aller, donne moi tout

« Ahhhh j’éclate c’est comme la lave d’un volcan, je jouis ahhhhh c’est bon..

« Oui Lucas je sens ton foutre au fond de moi…. ouiiiiiii… continue de te branler en moi….ouiiiiiii…plus fort…plus vite Lucas

« Ahhhh oui c’est bon je suis toujours bien, serre bien ta chatte sur ma verge…ouiiiiiiiii …….ouiiiii……ouii……oui ahhh comme je suis bien

«Oui….. je sens ton plaisir, notre mouille qui remonte entre nous et qui m’inonde, qui gicle,



Mon plaisir dura longtemps après le sien, Lucas su faire durer ma jouissance et je sus qu’en ces instants son plaisir c’était de me voir jouir si fort et si bruyamment. Il allait en moi par de larges avancées de son bassin si bien qu’à un moment son sexe sortit de moi, mais quand il entra de nouveau nos mouilles mêlées, refoulées sous pression giclèrent sur son ventre dans ma raie de fesses, c’était comme une caresse nouvelle et quand c’est de l’air qui s’échappa de mon vagin en faisant froufrouter mes petites lèvres déployées en des sons incongrus je crus que j’allais mourir de honte et de plaisir.



Après cet épisode jouissif nous éprouvâmes tous les deux le besoin d’une petite pose ; nous avions renfilé petite culotte et boxer. Lucas trouva dans un petit frigidaire de quoi nous réconforter, nous en avions besoin après ce que nous venions de faire. Assis sur le lit nous prîmes le temps de nous parler et ce fut délicieux de nous raconter ce qui faisait notre vie.



Puis la conversation s’orienta sur notre vie sexuelle, très riche et variée pour Lucas et moi j’avouais la pauvreté de la mienne. Nous étions proches sur le lit



« Que faisons-nous maintenant Eva ?Es-tu fatiguée ? As-tu encore envie de moi ?

« J’ose à peine te le dire, oui j’ai envie, envie de jouir, envie de toi de tes caresses, de ton sexe , de ton inventivité ?

« Moi aussi j’ai envie, profitons si tu veux, tu es belle, ardente, tu as de beaux et gros seins que j’aime et qui m’excitent.



Et disant ces mots Lucas me caressa la poitrine et mes seins se pétrifièrent à nouveau de plaisir, ils se dressèrent d’un coup, ronds et durs sur mon torse


« Tu aimes cette caresse ?

« J’adore Lucas

« Alors viens Eva

« Lucas !?

« Oui

« J’aimerais que tu me fasses l’amour…là, sur le bureau



Nous nous levèrent, nous étions excités tous les deux, cette petite pose et cet en cas nous avaient fait grand bien. Lucas était debout devant moi et tout en me caressant la poitrine, le dos, les fesses il baisa ma culotte en lambeaux et l’envoya ad patres. Il voulut que ce soit moi qui le mette nu et j’ai adoré le découvrir, revoir son sexe dans toute sa plénitude.



« Allonge toi là sur ce bureau…comme tu le souhaites ?



Oui je le voulais, j’escaladais le bureau , un genou d’abord pour me hisser, j’avais conscience du spectacle que j’offrais ainsi, fesses écartelées, il me regardait et à son regard je vis qu’il était excité lui aussi. J’étais maintenant allongée sur le dos et je rampais en reculant pour que ma tête soit en dehors du plateau, légèrement inclinée,



« Lucas, approche-toi de moi….oui… ;encore plus proche de mon visage….écarte tes cuisses….oui……tu comprends mon fantasme ?...avance encore…..non…..laisse tes bourses sur moi……sur mon visage….. ouiiiii….. caresse moi avec…..et branle toi …..oui…tu es bien ?



Lucas ne disait rien mais à son regard fixé sur nous, sur mon visage, sur sa verge, sur mes seins , sur mes cuisses entre ouvertes je vis qu’il aimait mon initiative. Il branlait son sexe formidablement bandé au-dessus de mon visage et de mes seins et ses testicules s’agitaient en cadence sur moi, sur mes joues, mon nez, sur ma bouche grande ouverte, j’aimais et il aimait lui aussi , il se masturbait comme un enragé, le sexe dressé, oblique et je voyais bien les mouvements de son bassin pour se vautrer sur moi, quelles étaient douces les caresses de ses couilles sur moi. En aspirant je réussissais à les gober l’une après l’autre et je me régalais à voir le rictus de Lucas, d’entendre son souffle haletant, son regard perdu.



Depuis un moment j’avais glissé ma main gauche entre mes cuisses et moi aussi je branlais ma minette inondée avec mes doigts. A un moment Lucas se pencha sur moi et lâchant son sexe il prit mes seins à pleines mains en les agitant en tout sens . Nous étions comme fou tous les deux et au mépris de tout respect humain je me mis à gémir, à crier presque et Lucas se lâcha lui aussi en des onomatopées, des borborygmes incompréhensibles. D’autant que j’avais repris son sexe de ma main droite libre et tout en l’agitant je le faisais aller comme avec un pinceau sur mon visage, sur mon front, les joues, mon cou, mais surtout sur ma bouche, je glissais son gland entre mes lèvres l’enduisant de ma salive pour qu’il glisse mieux sur moi, je joignis mes gémissements aux siens.



D’un coup Lucas se pencha sur moi et bouche grande ouverte il me suça les seins en aspirant leur bouts tout en continuant d’une main à me les tripoter. Ils étaient durs comme de la pierre et faisaient bloc en une sarabande infernale et jouissive. Il était penché sur moi et sa main libérée s’égara entre mes cuisses et il pénétra ma minette avec plusieurs de ses doigts en remplacement des miens



J’étais libre de nouveau et j’avais mes deux mains sur lui, de ma main gauche je lui tripotais ses valseuses par-dessous les agitant en tous sens et prenant sa verge de l’autre main je la guidais et l’abandonnais au bon soin dans ma bouche et par des mouvements de mon visage j’en prenais le plus possible à chaque fois que je m’enfonçais en elle pour mieux la faire ressortir pour garder son gland entre mes lèvres avant de replonger.



Lucas poussa un cri quand il sentit mon bras droit entre ses cuisses et mes doigts sur son anus et quand j’entrais en lui avec le plus long de mes doigts, il devint comme un fauve en rut , nous ne dominions plus rien tous les deux, moi je jouissais depuis longtemps par les seins et par mon vagin, et Lucas se branlait dans ma bouche en feulant, son visage était terrible, méconnaissable tout en restant d’une beauté sauvage, il hurlait.



« Ah oui c’est bon.. ;je vais jouir dans ta bouche…tu permets..je n’en peux plus



J’étais incapable de lui répondre, de lui crier oui, de lui dire que je voulais son sperme dans ma bouche, que ce serait la première fois, que j’allais adorer, que j’en avais rêvée…alors d’un coup, tout en gardant son sexe dans ma bouche, mes doigts dans son anus, comme un fou il se pencha, s’allongea complètement sur moi, m’écrasant presque sa tête entre mes fesses et, lui aussi, fit en sorte que je mouille dans sa bouche, à deux mains il avait relevé mes cuisses pour me bouffer la chatte à pleine bouche, sa langue enfoncée en moi, dans ma minette béante.



Le moment était arrivé je sentis son éruption dans ma bouche et je gardais tout, j’en avalais une partie, heureuse de l’avoir fait jouir, quant à moi je le laissais me manger la vulve, me maltraiter mes seins jusqu’à ce que le plaisir face place au bien-être et à une immense bouffée de reconnaissance.



Nous eûmes beaucoup de mal à refaire surface, Lucas était venu se coucher à mes côtés et incroyablement c’est sur cette couche dure du bureau que nous nous endormirent, enlacés, heureux.



Quand je refis surface, je le retrouvais allongé sur la moquette, le bois du bureau lui avait sans doute paru inconfortable. Qu’il était beau ainsi, dormant, allongé nu sur le dos, comme j’en avais envie ! Sans faire de bruit je ne me lassais pas de le regarder et je ne pus m’empêcher de me caresser tant j’étais excitée, j’étais inondée. J’avais encore envie de lui, de son sexe en moi. Je descendis le rejoindre et sans le réveiller je m’installais sans le toucher à califourchon sur lui ; face à lui, les genoux écartés de part et d’autres de ses jambes.



J’entendais le souffle régulier de sa respiration, je voyais les mouvements de sa poitrine et aussi son sexe au repos devant moi près de mon ventre. Doucement, délicatement je le pris dans ma main et émerveillée je le vis se réveiller. Cela prit du temps avant qu’il ne se dresse mais je n’étais pas pressée. je vis avec excitation l’instant où son gland émergea de son manteau.



Je voulais être baisée dans cette position ; pour l’instant Lucas ne m’avait possédée que derrière moi, je voulais le voir jouir, voir sur son visage le plaisir que je lui procurerais, sa jouissance, le moment où il perdrait tout contrôle, toute réserve, j’allais dire toute dignité en jouissant de manière animale. Sa verge était prête et il ouvrit les yeux au moment où en m’avançant vers lui j’avais relevé mes fesses au-dessus de son gland pour qu’il me pourfende, pour pouvoir le chevaucher, l’enfourcher.



Il comprit et il me sourit dans un demi-sommeil. J’avais pris son sexe d’une main sous moi et en descendant mon bassin doucement, en écartant mes fesses je le centrais sur ma vulve en feu. Je scrutais son visage et je vis le plaisir que je lui donnais ? J’étais assise sur lui, lui en moi jusqu’au ventre. Quand je commençais à bouger, d’avant en arrière pour bien le sentir en moi, sentir son sexe m’écarteler et aller et venir en faible amplitude. Il regardait mon ventre ; mes cuisses ouvertes, mon clitoris sorti de son capuchon entre mes grosses lèvres écartelées, il voyait son sexe dans le mien entre la fourrure de nos ventres, il le voyait sortir légèrement de moi quand je me penchais en arrière et moi en ces instants je sentais sa verge arquée me ravager l’intérieur de mon vagin du côté de mon ventre.



Maintenant, complètement réveillé Lucas était complice de mon envie, il tendait ses mains vers moi pour me prendre mes seins, s’avançait en relevant son torse pour les prendre dans sa bouche grande ouverte. Avec la pulpe de deux de ses doigts il me branlait la vulve. Moi j’étais libre de mon plaisir, libre de m’agiter comme une folle, de lui tordre son sexe en moi, de bouger mes fesses, mes seins, je touchais au but j’étais en pleine orgasme, sa respiration devenait haletante , il perdait pied lui aussi, son visage se crispa d’un coup et il hurla en avançant son ventre, il jouissait, je le voyais enfin , qu’il était beau dans sa jouissance et je me sentis inondée par des jets de sa semence dans mon ventre.



Que c’était bon, je fis durer notre plaisir jusqu’au retour au calme, nous étions souriants, contents de nous, apaisés. Il releva son buste pour me prendre dans ses bras et pour m’embrasser



« Tu étais bien Eva

« Oui, si tu savais ce que j’ai ressenti…et toi Lucas ?

« Tu m’as rendu fou tu as du t’en rendre compte

« Oui j’étais heureuse,



C’est à cet instant, dans la position où nous étions qu’un bruit de clé nous fit regarder la porte de la chambre qui s’ouvrait en grand et qu’une jeune femme apparut



« Oh pardon, excusez-moi, je ne pensais pas trouver quelqu’un içi !



La visiteuse importune disparut et la porte se referma sur elle



« Lucas je crois que c’était Lola

« Tu crois ?

« J’en suis presque sure Lucas, tu ne crois pas que c’est dommage qu’elle soit partie

« Que veux-tu dire ?

« Tu ne veux pas que je te fasse un dessin Lucas, moi cela ne m’aurait pas déplu….et toi……soit franc ?

« Je ne sais, n’importe comment elle est partie


La porte d’un coup s’ouvrit et Lola, car c’était elle, apparut de nouveau



« Eva…Lucas…je vous ai reconnus…est ce que je peux entrer…depuis ce matin je m’emmerde et je vois que vous avez trouvé la solution



Je regardais Lucas, ses yeux brillaient, je le sentis rebander en moi, je m’entendis dire à Lola



« Viens si tu veux, tu ne seras pas de trop

« Merci à vous deux, vous ne le regretterez pas………………..
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Histoire de Pierre le Grand

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