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City Break partie 2

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Lue : 800 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/05/2019

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J’ai été jusqu’aux volets et je les ai ouverts. Ils donnaient sur une petite place. Des gens passaient, un couple âgé, une mère avec ses enfants, inconscients de ce dont je venais d’être témoin. J’étais toute chavirée. J’ai fait le tour de l’appartement. La description et les photos ne mentaient pas. Il était spacieux, copieusement meublé, et confortable. Cette partie du séjour serait agréable.

Une pensée est remontée de mon subconscient, trahissant sans doute mes aspirations les plus profondes. Je me suis dit que le séjour serait encore plus parfait si je pouvais avoir l’un des deux. L’homme ou la femme. Ou les deux. Ils me plaisaient autant l’un que l’autre.
Je me suis laissée tomber sur le lit. J’avais le ventre en feu, je sentais mon sexe tout dilaté, et que j’inondais littéralement ma petite culotte. Il fallait que je me caresse, pour soulager les tensions qui m’habitaient, à défaut de pouvoir soulager mes pulsions. Je me caressais très souvent, autant pour soulager mes pulsions que pour éprouver simplement du plaisir. Sous ma jupe très courte, je portais des bas stay-up. J’ai amené ma main contre le cuir de mes cuissardes. J’aimais ce contact au bout de mes doigts, érotique.
Les images tournaient dans ma tête, fortes, en boucle, comme une obsession. La beauté de la fille, mais aussi de l’homme. La position de la fille, penchée en avant, la jouissance sur son visage, son corps dénudé. Le sexe de l’homme, long et bandé, allant et venant dans la fille, ressortant maculé, puis venant frotter sur le cuir avant de cracher sa semence.
J’aurais voulu mille choses… Mille fantasmes qui se succédaient et se mélangeaient. Sans doute, très basiquement, que ce ne soit pas la vulve de la superbe brune que la queue, si longue, fouille, mais la mienne… Mais au-delà, j’aurais voulu être aussi celle qui aurait prise la brune… Impossible ? Non pas vraiment quand on est équipée d’un gode ceinture, comme cela m’était arrivé de par le passé…Bien sur ce n’était que du plastique, pourtant le plaisir montait très rapidement, autant parce que le socle frottait contre les parties intimes que parce l’imagination faisait facilement penser qu’on avait une véritable queue… Mais j’aurais sans doute aussi aimé simplement tourner autour du couple, caresser de la langue et des doigts la vulve dilatée et ruisselante de la fille, ou le sexe congestionné de l’homme, venir chercher leur bouche…¨Pourtant, la perspective la plus alléchante, parce que toute nouvelle, je n’y avais jamais pensé avant, c’était de voir l’homme frotter sa queue contre mes cuissardes…Elles prenaient soudain une nouvelle dimension…Mon regard a glissé sur elles, et j’ai vu le sexe congestionné les arroser de semence, le blanc du sperme tranchant avec le fauve…Ca m’aurait énormément plu qu’il en soit ainsi. Je crois bien que j’aurais joui sans même me toucher, simplement en regardant le sperme jaillir…
J’ai remonté ma jupe de quelques centimètres, elle était courte et avait déjà glissé quand je m’étais posée sur le lit, l’effort était minime, et je suis venue poser mes doigts contre ma culotte. Sans grande surprise, le tissu était mouillé sur une grande surface. Au-delà du tissu, je me sentais ouverte, et je sentais aussi mon clitoris saillir, signe indéniable d’excitation. J’ai commencé à me caresser à travers mon slip. J’aimais bien la sensation du tissu entre ma chair et mes doigts, tout mouillé, et aussi qu’il rentre dans ma fente et frotte contre mes lèvres. Généralement, je commençais comme ça, puis j’écartais le tissu de ma culotte pour venir me caresser dessous… Mais rien ne s’est passé comme je l’avais prévu…Je voulais me donner du plaisir, puis sortir pour explorer la ville avant la première conférence, le soir même…
On a sonné à la porte. Je me suis demandé de qui il s’agissait. J’étais encore assez loin de la jouissance pour faire le choix de renoncer provisoirement à celle-ci. J’ai ramené ma main à mon visage. J’avais le bout des doigts humides. J’ai respiré mon odeur avant de laper le bout de mes doigts, puis, à regret je me suis décidée à aller ouvrir, après avoir redescendu ma jupe.
Il se tenait devant moi avec un énorme panier garni et une pile de brochures.
Il avait plusieurs options, il avait choisi la plus simple, faire comme si je n’avais rien vu, et qu’on se rencontre pour la première fois.
—Bonjour. Je suis votre voisin du dessous. Les propriétaires ne sont pas là, mais je pense qu’ils vous ont prévenue... Ils m’ont chargé de vous accueillir…
J’ai eu envie de lui demander si le spectacle qu’il m’avait offert quelques minutes plus tôt faisait partie de l’accueil, mais je me suis tue. Il y avait quelque chose en lui de chaleureux. Il était vraiment bien bâti…Un beau spécimen de mâle, il ne se laissait pas aller contrairement à pas mal d’hommes. Il avait du mal à ne pas loucher sur moi, moins attiré sans doute par mon visage ou ma silhouette que par les cuissardes qui enveloppaient mes jambes, sur lesquelles son regard ripait, me confirmant son fétichisme. En parallèle, et parce qu’il s’était changé et portait un survêtement, et quant bien même il avait joui très peu de temps auparavant, j’ai vu sa queue se tendre, et venir déformer le pantalon de son survêtement.
—Rentrez, je ne vais pas vous laisser sur le pas de la porte, j’ai dit. Vous aviez bien deux minutes ?
—Mon amie m’attend, a-t-il répondu, se rendant soudain compte que sa queue bandée tendait son pantalon, et qu’il ne portait rien pour masquer cela. Il a esquissé un geste ridicule, de descendre sa main devant son bas-ventre.
Il est quand même rentré, contredisant ses paroles. J’ai posé le panier garni, prenant le temps de défaire le cellophane, moins pour découvrir ce qu’il y avait dessous que pour lui laisser l’occasion de me mater. Pas de doute, je l’observais du coin de l’œil, il était vraiment attiré par mes cuissardes, plus sans doute que par le reste de mon anatomie. Mais cela ne me posait pas vraiment problème. C’était comme une perche tendue vers de nouvelles expériences…La perche en l’occasion étant cette queue qui semblait devoir encore s’allonger et tendre le pantalon de survêtement.
—Votre amie est vraiment très belle…Ce doit être très agréable de lui faire l’amour. Comme pour elle que vous lui fassiez l’amour. Vous êtes tous les deux splendides et vous formez un beau couple.
Il a rougi, je n’aurais pas pensé cela d’un grand gaillard comme lui, avant de me répondre :
—On s’est connus il y a trois mois lors d’une soirée de Noel, chez des amis à moi, et depuis on ne se quitte plus. On s’entend parfaitement, malgré la différence d’âge. Et puis, elle est comme moi, elle adore faire l’amour.
—J’ai pu constater que vous aimiez vraiment beaucoup les bottes féminines, et ce qu’on peut en faire. Ca vous dirait de profiter des miennes ?
Il m’a regardé, très surpris. Pour finir de le convaincre, j’ai tendu la main vers le pantalon de survêtement, et j’ai mis sa queue à nu. Elle était vraiment belle, et ça m’a rempli de félicité que de l’entourer de ma main, avant de la caresser. Le fait d’avoir joui même pas une heure plus tôt n’empêchait pas sa queue de durcir et de s’allonger comme s’il n’avait pas eu de rapport avec sa copine en bas de l’immeuble…
Je me suis approchée de lui, et j’ai posé son gland, épais, tout rouge et bien fendu contre mon sexe à travers le tissu de ma culotte. Ca m’a envoyé de l’électricité dans tout le corps, et je n’ai pas pu m’empêcher de gémir. A ma grande surprise, lui aussi s’est mis à gémir, d’une manière plus sourde. Je tenais fermement la queue dans ma main, et je l’ai promenée sur ma fente, déjà bien ouverte… Je sentais l’épaisseur et la fermeté de son gland contre mes muqueuses les plus sensibles, comme lui pouvait sentir l’ouverture de mon sexe, le dessin de mes lèvres, l’humidité qui coulait de moi, le renflement de mon clitoris…
Quand j’en ai eu assez, j’ai tiré ma culotte bas. C’était moi la maitresse du jeu, et il l’avait bien compris. On est restés ainsi face à face, debout, et j’ai fait frotter le gland contre mes lèvres, chair contre chair, sans plus l’obstacle de la culotte. C’est peu de dire que mon plaisir était intense. Nos jus se mélangeaient, je mouillais abondamment, et de son gland coulait un jus pré-sécrétif très abondant…
J’ai trouvé petit à petit mon rythme. De mes lèvres, j’ai commencé à le faire rentrer en moi, un petit peu plus profond, le tenant toujours, et le bougeant pour lui faire caresser mes chairs intimes. Il a fini par se retrouver emmanché aux trois quarts en moi… J’ai délaissé ma main pour lui prodiguer une autre caresse, quelque chose que j’avais appris à faire très tôt, mais qui plaisait toujours aux hommes. Le hasard avait fait, quand j’étais adolescent, je devais avoir quinze ans, que, je ne savais même pas comment ca s’était passé, j’avais contracté mon vagin autour de la queue du garçon… Je l’avais fait une fois, par hasard, et je l’avais refait, cette fois consciente…Il avait gémi et lâché tout son sperme dans la capote…Ca m’avait fait réfléchir…Les garçons qui étaient venus après, dont lui, mais j’aimais avoir plusieurs copains, à l’époque j’étais avide de sexe, étaient fous de cette pratique, qui les excitait et faisait monter en eux le plaisir trop vite sans doute. Je n’y avais jamais renoncé, parce que ça me procurait moi aussi des plaisirs emmêlés, avouables ou moins avouables, de leur donner du plaisir, de les sentir jouir en moi, mais aussi de les contrôler, d’évidence.
Avec le temps, cette pratique, qui avait été, à un moment donné, une véritable obsession, m’était passée. Je la réservais pour les moments exceptionnels…Comme maintenant…Tout en resserrant les muscles de mon con autour de sa queue, je lui ai soufflé :
—Ne jouis pas tout de suite, mon chéri…Pas encore…Rappelle-toi que ton plaisir, c’est en frottant ta queue contre le cuir de bottes…
Ca l’a calmé. J’avais bien senti que cette caresse intime était tellement excitante qu’il risquait de jouir, et le rappeler à sa priorité fétichiste était un moyen de maîtriser l’orgasme que je sentais gonfler entre mes muqueuses, jusqu’à l’explosion. Ma jouissance à moi, par contre, montait avec intensité, au rythme de mes crispations musculaires…C’était un moyen d’appréhender le sexe qui était en moi bien mieux que quand simplement une queue allait et venait. Ainsi, on se sentait vraiment remplie, habitée.
Quand je l’ai fait enfin ressortir de moi, sa queue était dilatée comme elle ne l’avait pas été avec sa chérei, et j’en ai retiré de la satisfaction, une satisfaction sans doute égoïste. Sa chair dégoulinait littéralement de mes sécrétions vaginales qui l’avaient enveloppé et trempé, et pendaient en long filets en plus de l’avoir lubrifié.
Je suis partie en arrière sur le lit. J’ai monté mes jambes vers lui, qui est resté debout, lui offrant mes bottes. Ma main a retrouvé mon sexe, cette fois sans la barrière de mon slip, et je me suis mise à me caresser. Ma chair était trempée, mon vagin continuait de sécréter d’abondance, et mon clitoris hyper gonflé, dur et long. J’étais dans un état d’excitation extrême, et ça n’a pas contribué à le faire baisser que de le voir frotter sa queue dilatée contre le cuir…Je n’étais pas fétichiste, et pourtant ça me plaisait. J’avais toujours aimé ce qui sortait de l’ordinaire.
Un orgasme s’est amorcé au bas de mes reins, qui a grandi dans mon ventre et qui a littéralement explosé quand, en tremblant, il a inondé le cuir de mes cuissardes de sperme, sans sembler devoir cesser de se vider, quant bien même il avait joui peu de temps avant.
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Histoire de JamesB

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