ACCUEIL > Exhibition > Récit : City Park

City Park

+11

Lue : 650 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 05/11/2021

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Ce matin-là, comme tous les matins, je suis descendu vers le city park pour m’entraîner.
Mais tout a été différent.
J'habite une petite ville de province, dans une zone rurale, entourée de prairies, de forêts et de champs, en même temps très proche d'une ville moyenne, à moins de trois minutes. C'est agréable de vivre à la campagne. Il y a la détente, l'absence de stress. Une certaine morosité, parfois, je le reconnais.
Et puis il y a le city park. Situé sur un plateau, c'est l'endroit idéal pour s’entraîner. Alors, d'accord, le terme city n'était peut-être pas le meilleur pour un petit village, mais, une chose était sûre, de plus grandes villes pouvaient nous envier ce qu'on avait. Des équipements vraiment très complets, une piste pour courir, de quoi s'accrocher, Se suspendre pour des exercices, des sacs de frappe, un espace pour les enfants, y compris handicapés, des balançoires...On ne pouvait qu'y trouver son bonheur. Moi, je faisais des tours de piste, avant de basculer sur les sacs de frappe.
J'arrivais tôt le matin, le jour se levait à peine. J'aimais être seul, et m’entraîner sans être dérangé par personne. Pouvoir ainsi me concentrer sur mes performances.
Du village, il y avait une forte déclivité jusqu'au plateau du city park. Généralement, je venais de chez moi en courant, et je descendais la trentaine de marches en rythme jusqu'à arriver au city park.
Ce matin, en arrivant, l'esprit encore embrouillé, je n'ai pas remarqué tout de suite qu'il y avait quelqu'un installé sur l'un des bancs autour. Quelqu'un dont la silhouette s'est précisée alors que je m'approchais.
Je suis resté interdit sur la dernière marche.
Elle ne m'avait encore pas perçu.
En quelques secondes, j'ai embrassé toute la situation.
La fille calée sur le banc était en tenue de sport. Une tenue assortie, un pantalon et un haut bleus et gris, même s'ils n'étaient pas exactement où ils auraient du.
Elle était dans mes âges. Le début de la vingtaine. Un corps longiligne, fin et musclé, un visage triangulaire, avec des pommettes marquées, un nez et une bouche fins et de grands yeux en amande, en voir la couleur c'était impossible pour le moment, en plus elle avait les yeux mi-clos, et pour couronner le tout, des cheveux couleur miel rassemblés en un chignon.
Je ne l'avais jamais croisée encore au village. Ca ne voulait pas dire grand chose. D'abord parce qu'il y avait un bourg central et de petits groupes de maisons éparpillés sur des kilomètres, et ensuite parce que d'autres villages étaient tout proches. Une chose était sûre, elle avait décidé de s'entrainer sur le city stadium.
Avant de basculer sur autre chose.
Je me suis demandé si je voyais bien ce que je voyais.
Si je n'avais pas d'hallucinations.
Pourtant, les produits stupéfiants et moi ça fait deux. Quant à l'alcool...Je dois boire une bière par trimestre...
Le spectacle était étonnant.
La ravissante jeune femme se masturbait.
Difficile de voir les choses autrement, étant donné qu'elle avait son pantalon et sa culotte aux chevilles.
Elle avait les jambes parfaites et fines, le ventre en dessous du nombril et le sexe à nu.
Et elle se caressait.
Parfois on se trompe sur les intentions de quelqu'un en le regardant. Mais là...Comment penser qu'elle faisait autre chose ?
D'abord, elle avait le ventre nu, les vêtements descendus. Et puis son geste disait clairement, dans sa répétitivité, qu'elle se caressait. Elle tournait sur son sexe, le masquant en partie, dans un geste circulaire. Je me souvenais bien de ce que m'avait dit une de mes amantes, qui aimait que je la regarde se caresser en inversant le rapport, elle voulait que je me branle en même temps et avait les yeux fixés sur ma queue : 'C'est la répétition du même geste qui m'amène vers l'orgasme.' Et puis il y avait la chair de j’entrapercevais en dessous, le fait que son sexe soit gonflé, gorgé de sang, ouvert, et qu'il laisse couler un liquide qui faisait luire ses chairs.
Quand elle a joui, elle s'est tendue, basculant en arrière. A ce moment, elle était magnifique. Une beauté juvénile dans toute sa splendeur, étincelante.
Elle s'est redressée, et elle est venue laper ses doigts, l'un après l'autre. J'ai eu envie de lui demander si elle avait bon goût.
Elle ne me voyait toujours pas. Ou faisait semblant de ne pas me voir.
Le spectacle n'était pourtant pas fini.
Elle a semblé se concentrer. Je me suis demandais ce qui se préparait.
Elle a lâché un premier trait de pipi qui est parti en arc-de-cercle et est venu maculer de sombre le macadam devant elle, dans la longueur. A ce moment, sa miction s'est épanouie dans un long jaillissement continu. Ca a duré longtemps. Elle devait avoir la vessie pleine. Puis le trait s'est tari, avant de s'interrompre. Elle a eu un mouvement de bassin avant de se redresser, de se rajuster. Elle s'est élancée de nouveau et a repris sa course. Elle est passée devant moi, à quelques centimètres, sans même me regarder. Comme si je n'existais pas. Je me suis demandé si je n'étais pas devenu un fantôme. Elle en tout cas est devenu un, partant dans la descente dans un mouvement rapide et disparaissant de ma vue.
Il restait d'elle une flaque de pipi qui stagnait sur le macadam, et qui a fini par partir, parce qu'il y avait une légère déclivité, vers le bord, pour se perdre dans l'herbe. Perturbé, dérouté, je suis parti sur le terrain du city park pour commencer à me chauffer, et j'ai basculé sur du travail au sac.
Même si je n'en comprenais pas bien les tenants et les aboutissants, j'avais l'intuition que les choses n'en resteraient pas là.
J'en ai eu la confirmation dès le lendemain.
Je dois dire qu'en partant de chez moi, je ne pensais qu'à une chose : Je vais la retrouver. Une partie de moi ne le souhaitait pas, l'autre en avait vraiment envie.
On dit souvent que, dans la vie, on ne sait pas ce qui nous attend. Le meilleur. Le pire.Souvent le pire. Plus rarement le meilleur. Mais en tout cas, on n'arrive jamais à imaginer ce qui est devant nous. On construit un schéma, et c'est toujours un autre qui se met en place.
Une chose est certaine, ce que j'expérimente ce jour-là, ainsi que les suivants ressemble tout à fait au schéma du film UN JOUR SANS FIN. Chaque matin est pareil. Je me lève, je me prépare, la douche et le petit déjeuner c'est pour après, je descends le long escalier et...Elle est là.
C'est après que ça varie. Comme dans le film chaque nouvelle journée variait. Ca colle bien au final. Même si le parcours est différent.
Ca m'a quand même fait, jour après jour, un drôle d'effet. Le sentiment de basculer dans l'étrange. Un sentiment mitigé, celui d'avoir à la fois un moment très agréable...Et très désagréable...Agréable de voir une aussi jolie fille prendre du plaisir...Un merveilleux spectacle. Désagréable de la voir totalement m'ignorer et de ne pas comprendre les tenants et les aboutissants de l'affaire.
J'avais sans doute la possibilité de rester chez moi. J'avais tout ce qu'il me fallait pour m’entraîner...En même temps...J'avais mes habitudes, et je ne voulais pas céder, y renoncer.
Je suis donc arrivé à mi-chemin, ce deuxième jour, le long de l'escalier qui descendait vers le city park.
Et je me suis figé.
Elle était là. Et elle n'était pas seule.
J'étais partagé entre l'idée qu'elle ne serait pas là, et qu'elle serait revenue. Je n'avais pas imaginé qu'elle puisse être avec quelqu'un.
Les deux filles étaient calées sur l'un des six bancs qui entouraient le city park. Elles étaient face à face, et dans un spectacle qui ne pouvait qu'être troublant, elles frottaient leurs langues sorties l'une contre l'autre, en même temps qu'elles caressaient les seins, dénudés, de l'autre.
J'ai sans doute été déconcerté, mais en même temps il y a eu un élément auquel j'ai pu me raccrocher. En effet, je connaissais cette fille brune. Elle faisait partie de ma génération, et c'était une des filles les plus belles du village et des villages alentours. Je pouvais dire que tous les hommes se retournaient sur elle, quel que soit leur âge, avec envie ou regret, ça dépendait de la tranche d'âge. Des jolies filles il y en avait, et puis, comme on dit, à 20 ans on est forcément beau, mais il y avait en elle quelque chose de très sensuel, allié à une nette connaissance de ses charmes, et de l'impact qu'ils pouvaient avoir, et dans ce cas-là, c'était assez dévastateur.
Ses parents étaient agriculteurs. Je savais, parce que tout se savait ici, qu'elle avait entrepris des études de comptabilité. Ce que je savais aussi, pour en avoir été témoin, c'était qu'elle aimait le sexe, et les hommes.
Apparemment les filles aussi.
Et qu'elle monnayait ses charmes. Ce n'était pas une rumeur. J'en avais été témoin. Le village était fait de ruelles, d'appentis, de hangars, de salles vides et ceux-ci étaient toujours la scène de moments qui se voulaient discrets, mais qui se retrouvaient mis en scène. C'était comme ça qu'un jour, sans l'avoir voulu, je l'avais vue avec un type du village qui devait bien avoir vingt ans de plus qu'elle. Ca se passait près d'un hangar qui regorgeait de bois, qui sans doute appartenait au type. Elle était passée. Elle était simplement en jean, pantalon et veste, avec une chemise, mais celle simple tenue suffisait à souligner ce qui faisait son charme, et le trouble qu'elle pouvait inspirer, un corps parfait, dont le dessin inspirait, plus que d'autres corps, sans doute du désir.
C'était bien le désir d'ailleurs qui avait poussé l'homme à lui remettre une liasse de billets. Elle les avait rangés dans l'une des poches de la veste de jean, sortant d'une autre une boite de préservatifs qui pouvait laisser penser qu'elle était coutumière de ce type d'actes. Elle s'était penchée pour défaire le pantalon du type mettant à jour une belle queue, bien épaisse et bien longue. Elle avait eu la même expression qu'un gosse qui découvre ses cadeaux de Noël. Elle aimait les queues, c'était une évidence. Qui se prolongeait dans la manière qu'elle avait eu de déchirer l'emballage du préservatif et de faire coulisser le latex le long de son membre d'une main experte, un geste d'un seul bloc, d'un seul mouvement. Puis elle avait défait son jean. Dessous, elle avait une simple et grande culotte blanche, qu'elle avait tiré vers le bas, tout en se retournant vers les stères de bois, contre lesquelles elle s'était appuyée. L'occasion pour moi d'entrevoir un sexe dépourvu du moindre poil, mais aussi une croupe très charnue, vraiment saillante, coupée en deux par un sillon profond.
J'étais là, à l'entrée de la ruelle que j'avais prise comme un raccourci, tapi fans l'ombre, me sentant stupide, mais, en même temps, ne souhaitant pas bouger et tout voir, capturer le moindre détail de ce moment qui me figeait, me troublait, me fascinait.
L'homme s'est approché d'elle. En me décalant un peu, j'avais à présent une vision un rien différente de la scène. La croupe projetée vers l'homme, entrouverte, et entre ses cuisses, son sexe, dont sortaient ses lèvres. Il s'est appuyé contre celles-ci et il a fait rentrer son membre en elle. Dans le silence de la ruelle et des lieux, il m'a semblé entendre un gémissement. Il s'est enfoncé en elle aux trois-quarts, puis il s'est mis à bouger. Il avait sur le visage une expression sauvage, qui disait son plaisir à être en elle, à sentir sa queue frottée par la muqueuse. Si j'avais pu me poser la question de ce que elle, elle ressentait, souvent ce genre de fille qui se donnait à beaucoup d'hommes était frigide, ne ressentant absolument rien, sinon le plaisir de tenir des hommes par le sexe, ou agissant pour le fric, mais les gémissements qui me parvenaient laissaient entrevoir qu'elle avait du plaisir. Le type avait fini par pousser une sorte de râle sauvage, qui avait marqué la fin de cette parenthèse. Je m'étais demandé si elle, elle avait joui.
Une autre fois, sous la halle qui servait pour des manifestations populaires, dont les marchés du mardi et du vendredi, un peu en retrait, mais très visible quand même, comme si elle se foutait totalement d'être vue, je l'avais aperçue, entourée par des hommes. Elle était posée sur les marches, et il y avait quatre garçons autour d'elle, elle sur la dernière marche en haut, eux sur des marches plus basses. Ce qui avait attiré mon attention, ça avait été une touche de couleur, le fuschia d'un slip visible parce qu'elle portait une jupe ultra-courte et qu'elle avait les jambes ouvertes. Elle arborait de magnifiques cuissardes couleur fauve, apparemment toutes neuves, qu'elle avait du se payer avec l'argent que lui donnaient les hommes.
Là, elle était avec des jeunes, et le tableau s'est précisé peu à peu. Ils lui proposaient leur queue, dilatée et elle les caressait, de la main et de la bouche, allant de l'un à l'autre, et venant, quand elle sentait qu'un des garçons allait jouir, le pousser à la jouissance des doigts ou de la langue, et, la bouche ouverte, accueillir son sperme.
Il y avait eu un moment où nos regards s'étaient croisés. Elle avait une queue devant sa bouche, entrouverte, un gland violacé qui crachait sa semence, jet de sperme après jet de sperme. Son regard avait accroché le mien, même si je me doutais bien qu'elle m'avait déjà vue avant, et m'avait dit clairement 'Viens nous rejoindre, et je m'occuperai de ta queue'. La semence prenait des chemins divers, venant maculer le pourtour de sa bouche, ses lèvres, ou garnissant son palais. Mais il ne s'était rien passé entre nous.
Deux superbes filles, ensemble. Un moment troublant bien sûr, et qui a pris une autre dimension, quand la magnifique blonde a écarté le pantalon de son acolyte, et l'a baissé. Sur le moment, je n'ai pas compris vraiment ce qui se passait. Fidèle à ses grandes culottes blanches, la jolie brune a vu sa partenaire tirer sur le tissu, ménageant un espace dans lequel est apparue, comme un diable surgissant de sa boite, une queue dont j'ai tout de suite compris qu'elle n'était pas naturelle, oblongue, plutôt épaisse, couleur lavande. On n'était pas en plein transhumanisme, une queue ne lui avait pas poussé, j'imaginais bien qu'elle avait une sangle autour du ventre pour maintenir la queue artificielle.
La blonde a pourtant fait comme s'il s'agissait d'une vraie queue. Elle s'est penchée dessus, et elle a fait une fellation à l'objet en plastique. Ca a déclenché une réaction qui m'a surpris. La brune s'est trémoussée en disant 'Oh oui...' J'ai pensé que le pénis de plastique devait reposer sur un socle qui appuyait sur son sexe. La suite m'a révélé que c'était bien le cas. Après avoir travaillé la queue de sa langue puis de sa bouche, la beauté blonde s'est redressée. Elle a descendu le pantalon de sport, entièrement rouge ce jour-là, avec une culotte assortie, qui elle a aussi suivi le même chemin, et elle est venue se caler au dessus du membre artificiel, le tenant du bout des doigts, Elle s'est installée dessus, remplie par le membre de plastique sur lequel elle s'est assise.
C'était un moment troublant. J'avais aimé, et j'aimais regarder du porno, mais j'avais pensé que ce type de scène, une fille en prenant une autre avec un gode, appartenait au X, sans application dans la vie réelle. Or c'était exactement ce qui produisait sous mes yeux. Une scène abstraite prenait vie, en mettant en scène deux filles magnifiques. Oui, comment ne pas être troublé ?
Je l'ai été encore plus dans les minutes qui ont suivi. Comme elle l'aurait sans doute fait si elle s'était empalée sur la queue d'un homme, à ceci près qu'elle chevauchait une fille magnifique. Elle était en plein trip, et je ne doutais pas que le membre de plastique lui procurait autant de plaisir que s'il s'était agi d'un vrai membre. Il y avait dans ce moment la joie d'être décalée, de se faire pénétrer par une fille, laquelle semblait d'ailleurs aussi remuée qu'elle, et, j'en étais à peu près sûr à présent, la joie de s'offrir en spectacle, car, j'en étais à présent certain, ce n'était pas un hasard si je la surprenais en plein plaisir deux jours de suite. Il y avait quelque chose derrière, même si je ne comprenais pas bien quoi. La seule certitude que j'ai eu, ça a été celle du plaisir qui a traversé les deux filles, l'une après l'autre.
Deux filles qui se sont éclipsées devant moi, passant devant moi, ensemble, avec un total mépris, comme si elles ne me voyaient pas, comme si je n'existais pas.
Et là, ça a vraiment été le jour de la marmotte. Un jour sans fin qui se répétait quand je descendais, tôt, m’entraîner. Avec deux schémas prédominants, si je devais tenter de faire une analyse. Il y avait les moments où elle était seule et où elle se caressait. C'était intéressant de voir comme on pouvait concevoir des manières différentes de se donner du plaisir quand on était une fille. Des gestes différents, répétés jusqu'à l'orgasme, circulaire, de bas en haut, en appuyant sur une partie du corps, en pinçant son clitoris, en mettant un doigt, ou deux, ou trois dans son sexe et en les faisant aller et venir, en glissant un doigt dans son anus en plus...Avec un gode...Même si les godes, elle les gardait pour le spectacle en alternance, avec sa copine brune...Je me demandais si c'était une mise en scène ou si il y avait vraiment quelque chose entre elles, une sorte de passion...Des postures qui me rongeaient, qui hantaient mes soirées et mes nuits, quand je me donnais du plaisir, tentant d'apaiser ma queue congestionnée...L'une des deux filles, accroupie devant l'autre, calée sur un banc, les jambes aussi ouvertes qu'il était possible, offrant son sexe à sa partenaire qui le fouillait des doigts et de la langue, ou bien l'une sur l'autre, malgré l'étroitesse du banc, caressant la vulve de l'autre avec un gode...
Il s'est bien écoulé...Trois semaines comme ça...Le matin, quand je partais m’entraîner, je savais que j'allais trouver sur et autour du city park un spectacle qui me mettrait le feu au ventre. Une partie de moi avait envie de fuir, d'aller ailleurs, après tout j'avais un sac de frappe à la maison, mais en même temps, une autre partie de moi me poussait à aller là, assister à un spectacle qui je le savais me subjuguerait. Je me faisais du bien et du mal en même temps.
Jusqu'à ce matin, c'était un mardi, où je suis arrivé au skate park. Elle était là bien sûr. Seule, mais ce n'était pas anormal, si je me calais sur le rythme binaire qui était le sien, un jour avec la brune, un jour sans.
Elle était simplement assise, et elle attendait. Elle ne se caressait pas, d'aucune manière. Non, elle était simplement là, posée, et je comprenais bien qu'elle m'attendait.
Je me suis approché d'elle.
--Rien de croustillant,aujourd'hui ?, j'ai demandé.
--Je m'en suis lassée.
C'était la première fois que je l'approchais d'aussi près. Dans une situation de calme. Elle était vraiment magnifique. J'avais déjà remarqué que, si on prenait deux filles qui jouissaient de tout l'éclat de leur beauté, il y en avait une qui allait voir plus d'impact que l'autre. Une question d'éclat intérieur. Hé bien elle, elle avait cet aura qui manquait à certaines.
--J'ai du mal à comprendre tes intentions.
Elle a eu un ricanement dont je n'ai pas bien perçu le sens.
--Mes intentions ? Oh, elles ne sont pas très belles. Je voulais me venger de toi. Te tourmenter comme tu m'as tourmenté...J'habite ici, dans ce village, et tu ne m'as jamais regardé. Alors que moi, je t'ai vu, et que je te désire depuis longtemps. Mais tu n'as jamais daigné poser les yeux sur moi.
Je ne sais pas si elle a perçu ma surprise.
--C'est-à-dire que...Non...Je ne t'ai pas snobée...Je ne t'avais pas vue...Tu sais je suis toujours plongé dans mes pensées...Le sport, les études, bientôt finies, l'espoir de trouver un travail...
Elle a été un rien déconcertée. Comprenant que les raisons qu'elle avait de m'en vouloir n'étaient finalement pas forcément justifiées.
--Enfin, maintenant, on ne peut plus dire que ce soit vrai...Je t'ai remarquée, et bien remarquée. Difficile d'oublier de tels moments.
Elle a souri.
--J'ai donné le meilleur de moi-même.
--Mais rien n'est perdu, tu ne crois pas ? Tout reste possible, maintenant que je sais que tu existes.
--Tu crois que je pourrais enfin avoir accès à ta queue ? Cette queue à laquelle j'ai tant rêvé ?
--Tu n'as qu'à essayer.
Elle a tendu la main vers mon pantalon de sport et elle l'a descendu en même temps que le caleçon que je portais dessous. Elle a eu un sourire gourmand en voyant surgir une verge gorgée de sang, qui, si elle n'avait pas atteint les stades ultimes de l'érection, était déjà bien gonflée. Ca tenait un peu du réflexe de Pavlov. La voir me troublait, et faisait remonter des scènes qui ne pouvaient que faire venir puis monter le feu dans mon ventre.
Alors qu'elle s'est mise à tourner sur ma queue de la langue, avec une réelle avidité, j'ai bien compris que ses paroles n'étaient pas du bluff. Elle était effectivement très attirée par moi. Tout le disait dans son attitude. On avait atteint le même niveau elle et moi. Un désir mutuel.
Elle m'a caressé longuement, avant de me dire :
--Tu veux qu'on reste là, ou.. ?
--Tu as bien utilisé les alentours du city park, mais pas le city park lui-même. Tu sais ce qui me plairait ?
Trente secondes plus tard, elle se collait contre l'un des deux sacs de frappe qui étaient implantés sur le site, enfoncés dans des tiges d'acier. Elle avait bien compris mon envie. Elle a tendu ses fesses vers moi, et m'a laissé descendre le pantalon de sport ainsi que le string qu'elle portait dessous. Il manquait un élément essentiel, qu'elle a tiré de sa brassière de sport. Je me suis gainé du préservatif, avant de venir frotter mon gland congestionné contre ses lèvres. Elle a poussé un long gémissement. J'ai senti ses jus intimes couler sur moi et m'arroser. Ces trois semaines de tourment m'avaient donné vraiment envie d'elle. J'avais commencé à glisser en elle, de quelques centimètres, quand j'ai senti une présence se dessiner sur ma gauche. J'ai tourné la tête pour voir arriver la silhouette élancée de sa copine brune.
--Hé, il faut en garder un peu pour les copains.
La blonde a eu un petit sourire qui en disait long sur leur complicité, pendant que sa copine venait se placer contre le sac elle aussi, accrochant sa main comme signe d'une complicité après avoir elle aussi baissé son pantalon de survêtement et son caleçon. Ses fesses étaient plus rondes, moins allongées, mais aussi rebondies.
Mon envie, issue de leur beauté, de leur féminité troublante, mais aussi d'avoir été troublé pendant un mois, s'est exprimée alors que j'allais de l'une à l'autre, gainé par une vulve chaude que je délaissais pour passer à l'autre, avant de revenir à la première. Si j'éprouvais du plaisir, le leur ne me semblait pas feint. Je sentais leurs corps frémir, elles ruisselaient le long de ma queue, et gémissaient de concert. Comme preuve de leur complicité, je les ai vues amener chacune sa main sur le sexe de l'autre, pour caresser son clitoris, en le frottant avec intensité, faisant monter leur plaisir de plusieurs degrés.
Au moment où j'ai senti que je ne tiendrais plus bien longtemps, je me suis dégagé. J'ai arraché le préservatif, trempé par leurs jus mélangés, et j'ai commencé par arroser les fesses de l'une de sperme, avant de basculer sur l'autre tandis qu'elles se frottaient jusqu'à l'orgasme. Elles ont crié en se tordant.
On est resté un moment immobile, avant que la blonde ne me dise :
--Au fait...Moi c'est Sarah...Ma copine Lise...Maintenant qu'on a réellement fait connaissance...On peut se voir ailleurs qu'au city park dans la journée...Tu as ton portable sur toi ?
Je leur ai tendu...Elle y a enregistré les deux prénoms, ainsi que deux numéros.
--On est devenues très copines toutes les deux, a précisé Sarah. En fait, j'ai été la chercher parce que je voulais une partenaire pour te troubler, et ça a été l'entente entre nous comme on n'aurait pas osé imaginer. A trois c'est très bien...Mais on se verra aussi séparément, si ça te tente...Selon nos disponibilités.
Les deux filles se sont éloignées pendant que des scénarii s'écrivaient dans ma tête, en partie inspirés par les scènes des jours précédents, et que je me mettais à danser autour du sac en frappant.
11 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : City Park


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :