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Claire secrétaire

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Lue : 1620 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/09/2021

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Par un après-midi ensoleillé j'étais allongé sur mon lit. Je me remémore alors la première fois où je l'ai vu. Celle que j'ai vu se prénomme Claire. Pourtant tout avait mal commencé. Je suis facteur et je l'ai croisé dans le cadre de mon métier. Dorénavant tous les jours où je la croise elle est un peu mon rayon de soleil. Elle travaille comme secrétaire dans une entreprise ou je distribue le courrier.

Je dis que tout a mal commencé car au départ dans cette société il y avait deux secrétaires que j'appréciais énormément. Il y avait d'une part Nadine qui était l'archétype de la milf, elle était juste splendide. Etant un peu jeune à l'époque elle me faisait un peu peur. Disons que la première fois que je l'ai rencontré je n'étais pas forcément le plus expérimentés des hommes qu'elle a dû croiser dans sa vie. Sa façon de s'habiller et tout simplement d'être faisait que j'étais régulièrement sur la réserve avec elle. Puis il y avait Priscilla qui était simplement la plus belle jeune femme que j'ai vu de mes yeux ( avant de rencontrer Claire ). Priscilla ce n'était pas le type même des secrétaires comme on peut l'imaginer ( où les voir dans les films pour adultes ), elle ne portait pas forcément de tailleur sexy ou de décolleté pigeonnant mais elle avait plusieurs atouts et tous ceux-ci assemblés ensemble faisait qu'elle frôlait la perfection du moins à mes yeux.

J'ai plusieurs fois tenté ma chance avec Priscilla mais je me suis toujours heurté à un mur. Pourtant je m'entendais super bien avec elle. Elle riait à mes petites blagues, j'avais le droit à de magnifiques sourires elle m'avait même donné son numéro de téléphone. Pourtant à chaque fois que je tentais une approche pour avoir un rendez-vous avec elle ou un simple baiser elle me mettait un stop. À chaque fois elle me servait le même couplet elle me disait :
-ça n'a rien à voir avec vous, bien au contraire, Je vous trouve très mignon et très sympa mais mon fiancé m'a sauvé la vie et jamais je ne pourrais le tromper ou aller voir ailleurs

Puis un jour Priscilla m'annonca que c'était une des dernières fois où je la voyais car elle avait démissionnée pour pouvoir aller faire le tour du monde avec son compagnon. J'ai appris par Nadine quelques temps après son départ qu'en plus de lui avoir sauvé la vie, son fiancé était blindé car c'est lui qui avait payé la totalité du tour du monde. Je comprends mieux pourquoi je n'ai jamais eu aucune chance avec elle car en plus de l'avoir sauvé si on compare son train de vie à celui d'un facteur il y a plusieurs classes d'écart. Et environs 3 mois après le départ de Priscilla, Nadine partit en burn-out. Plusieurs fois elle m'avait dit je fais le travail de deux toute seule maintenant, de plus ils ne veulent pas recruter d'autre secrétaire à ce rythme-là je ne vais pas tenir longtemps.

Après quelques temps sans secrétaire dans cette entreprise, une nouvelle fit son apparition. Elle se prénommait Célia et malgré tout sa gentillesse et son professionnalisme elle n'atteignait même pas le dixième de la beauté de Nadine ou de Priscilla. Nous avions des échanges très courtois mais sans plus. Puis un jour Célia me dit une autre secrétaire va faire son arrivée à partir de lundi vous la découvrirez à votre prochain recommandé pour nous (c'était une entreprise située dans un immeuble avec plusieurs sociétés et je ne m'amusais pas à aller voir les entreprises pour le courrier simple que je mettais dans leur boîte aux lettres ).

Puis le mercredi ou le jeudi suivant je l'ai vu pour la première fois. Je suis resté scotché devant une beauté pareille. J'aurais pu rester planter là pendant des heures à la regarder. Environ une trentaine de seconde à être resté bloqué j'ai bafouillé:
-bon bon bonjour. J'ai un recommandé il me faut une signature à cet endroit s'il vous plaît. Elle s'appelait Claire, elle était petite, relativement mince, elle possédait un visage sublime avec de magnifiques yeux verts et une bouche que l'on a envie d'embrasser. Le tout surplombé par une magnifique chevelure châtain clair légèrement ondulée comme j'aime. En un éclair l'image que j'avais de Priscilla c'est quelque peu ternie. Claire avait une élégance et une classe sans égales. Ce jour-là elle portait un petit haut blanc moulant un jean bleu très slim qui lui moulait son corps parfaitement une veste marron et des Adidas blanche. Elle était habillée relativement basiquement pour une secrétaire par rapport à certaines que je vois en jupe et tailleur mais c'était son style de vêtement et c'est lui allait à ravir. Cependant, à mon grand regret, pendant quelques temps elle est restée une beauté froide.

Le genre de beauté pour qui ça peut mettre très longtemps à faire fondre la glace. Après plusieurs semaines je découvris quelqu'un de beaucoup plus ouverte et qui avait quasiment toujours le sourire. Je ne me suis pas gênée pour lui faire remarquer qu'elle était bien plus charmante quand elle souriait. Elle a rougi et m'a répondu :
-avec le nombre de lourds qui me drague chaque semaine je me suis méfiée, je voulais savoir si vous étiez de la même espèce ou non. Je vous ai beaucoup analysé, et j'ai été aussi attentive à ce que votre regard ne s'éternise pas sur certaines parties de mon corps qui ne vous sont pas destinées.
-dois-je en conclure que j'ai passé le test avec succès ? Lui répondis-je.
-votre regard a pu dériver par certains moments sur mon décolleté. Mais ce n'est pas un regard de pervers et puis je dois avouer que si je mets des décolletés pour que personne ne les regarde autant ne pas en mettre. Sinon pour le reste vous êtes sympa, agréable plutôt mignon donc il n'y avait pas de raison que je ne baisse pas un petit peu ma garde.

Au fil du temps ma relation purement professionnelle avec Claire avait quelque peu évoluée. Je n'étais pas vraiment son ami, ni même un confident proche, mais j'arrivais les jours où je la voyais, à savoir si tout allait bien ou si elle était plutôt chafouin. Un jour elle m'emmena dans les couloirs car j'avais un recommandé pour le cuisinier et je ne savais pas où se trouvait la cuisine des entreprises de ce bâtiment. Elle était plutôt d'humeur joyeuse ce jour-là, et je dois avouer que j'aurais pu la suivre jusqu'au bout du monde tellement son déhanché dans son petit jean blanc qui moulait son cul était parfait. Ce n'était pas un déhanché exagéré, je pense même sincèrement que c'était sa démarche habituelle mais ça m'a fait plus que craquer. Le chemin pour aller voir le cuisinier durait environ 3 minutes mais pour arriver jusqu'à lui. J'avais cependant l'impression qu'il n'avait duré que quelques secondes tellement j'étais subjugué par la vue de ses fesses. Je ne sais pas si elle s'est rendue compte que je la matais outrageusement mais disons que vu ce que j'ai à la maison avec ma femme ce n'est pas vraiment du même acabit. Certes ma femme a eu des enfants mais je dois avouer que le cul de Claire n'a à ce jour encore jamais été égalé par aucune paire de fesses.

Puis un jour fin juillet elle avait l'air d'être seul dans les locaux de son entreprise et ne paraissait pas très joyeuse. Je lui dis alors :
-vous êtes toute seule aujourd'hui ? C'est pour ça que ça n'a pas l'air d'aller très fort ?
-oui et non, disons qu'être toute seule ne me dérange pas forcément, même si le temps me paraît un peu long et ça va être comme ça jusqu'à la fin de la semaine.
-les vacances approchent, patience et bon courage pour la fin de semaine.
-j'ai préféré finir plus tard que les autres mais du coup forcément reprendre plus tard car il fallait que je gère tous les planning pour la rentrée.
-si c'est ce qui vous arrange le plus tant mieux pour vous, et peut-être à dans la semaine.
-est-ce que ça vous dirait que un jour entre midi et deux on mange ensemble ? Déjà que je passe mes journées toute seule, que dans le bâtiment il doit y avoir à peine un dixième des personnes qui travaillent par rapport à d'habitude ça me fera un peu de compagnie.
-cela ne me dérange pas, par contre je risque d'avoir du mal à être là avant 13h30, et je n'ai pas de quoi tenir ce que j'aurai préparé au frais.
-ne vous inquiétez pas, je m'occupe de tout le repas, on pourra même manger dans le parc adjacent si il fait beau.
-je lui dis très bien et rendez-vous certainement jeudi ce sera le plus simple pour moi.
-parfait, donc au plus tard à jeudi ou avant si on se voit pour un recommandé.

Le jeudi fut arrivé, j'avais un recommandé j'en ai donc profité pour lui remettre une bouteille de rosé pour qu'elle la mette au frais pour midi. Elle n'avait pas l'air d'aller très fort encore moins qu'au début de semaine je lui dis alors :
-j'espère que ce n'est pas ce déjeuner avec moi qui vous met dans cet état-là sinon pour vous rendre votre sourire je préfère annuler.
-non, non ça n'a rien à voir avec vous, je suis même plutôt heureuse de manger avec vous disons quelques petits soucis personnels avec mon compagnon. Je vous en parlerai peut-être tout à l'heure durant le déjeuner. Ou peut-être pas on verra si la conversation viens là-dessus.
-vous n'êtes obligé de rien, si vous souhaitez vous confier à moi je prendrai la confidence si vous préférez vous taire et garder ça pour vous je respecterai votre décision.
-merci pour la bouteille de rosé en tout cas j'adore cela.

Ayant fini un peu plus tôt j'arriva vers 13h10 à son entreprise. Ça avait l'air d'aller un peu mieux que le matin même et je lui propose à mon aide pour descendre ce qu'elle avait préparé. Nous parlions de tout et de rien mais le rosé aidant je me suis lancé et lui dit:
-qu'est-ce qui vous tracassait ce matin ?
-c'est pas que ça me gêne de vous le raconter, je ne suis pas spécialement pudique, mais ça relève quand même de l'intime.
-comme je vous ai dit ce matin vous êtes libre de faire ce que vous voulez.
-disons que en parler à une amie éventuellement à quelqu'un que je tutoie pourquoi pas mais...
Sur ce je lui coupe la parole et lui rétorque:
-tutoyons nous alors.
Elle se servit un verre de rosé qu'elle but cul sec. Nos regards se sont croisés et ses yeux pétillaient. Le rosé devait commencer à faire effet puis elle se lança.
-avez-vous déjà entendu parler l'épilation intégrale du maillot ?
-oui, je vois ce que c'est, mais mais malheureusement jamais eu l'occasion avec ma compagne où mes différentes petites amies à y avoir droit.
-pourquoi malheureusement ?
-pour découvrir, pour voir ce que ça fait de voir un sexe totalement vierge de poils, pour le cunni, pour le toucher, pour tout ce qui est sexuel autour de ça et que je ne connais pas.
-si seulement mon mec avait réagi ainsi me dit-elle.
-maintenant vous en avez trop dit ou pas assez il va falloir m'expliquer.
-hier j'ai fini ma journée plus tôt étant la seule dans l'entreprise je suis donc partie. J'ai décidé de passer chez mon esthéticienne avant de rentrer à la maison. Le soir je me suis allongé sur le lit toute nue pendant que mon homme prenait sa douche. Une fois arrivé dans la chambre je pensais qu'il allait me féliciter et que nous y allions faire l'amour une bonne partie de la nuit mais rien.
-comment ça rien ? Et j'ai pensé avec moi ma cocotte tu n'aurais pas dormie tout de suite.
-il m'a demandé ce que j'avais fait, qu'est-ce que c'était que cette lubie de m'épiler intégralement. Il a rajouté que coucher avec des petites filles ou des adolescentes prépubères ne l'intéressait pas. Il veut une chatte bien entretenue et que tant que les poils n'aurais pas repoussés nous ne ferions pas l'amour.
-c'est dur quand même ?
-il a rajouté qu'il aimait chez moi mon côté femme et que donc la vue de ma chatte totalement lisse ne me correspondait pas.
-ton côté femme, ton côté femme je je veux bien, mais tu as quelque chose de jeune fille en toi. Moi à sa place j'aurais été loin de m'en offusqué.
-le pire c'est que mon esthéticienne m'a dit que les premiers poils ne réapparaîtront que dans un mois, alors là j'ai un mois de vacances avec lui je pensais prendre du bon temps et je ne vais pas faire l'amour du tout je suis vraiment dégoûtée.
-en le chauffant un peu je pense qu'il oubliera cette histoire de poils et rien ne t'empêchera de coucher avec lui.
-mais je ne veux pas, ses mots hier m'ont blessée. Ça m'a coûté assez cher comme ça, j'ai eu relativement mal car ça reste une épilation et monsieur n'est pas content.

Le rosé commença à me monter à la tête aussi c'est pour ça que je lui proposa de me montrer son entrejambe afin que je puisse lui dire si je trouvais çela joli ou non. Je pense qu'elle devait être un peu pompette car elle releva jupe et écarta son string. Je pousse un juste un waouf d'admiration.
-ça te plaît me dit-elle.
-depuis le temps que je demande à ma femme de faire cela qu'elle refuse je trouve que c'est du gâchis car je trouve ça magnifique.
-vu que mon homme n'est pas très attiré par cela et que je ne vois pas passer un mois sans faire l'amour est-ce que ça te dit d'en voir plus de le lécher de le toucher de le sentir ?
-je suis en couple bafouillais je. Et puis tu représentes pour moi une sorte de perfection physique et je n'ai pas envie de tout gâcher cette relation naissante juste pour un coup de sexe.
-qui le saura ? Qui t'en voudra ? Je te parle juste de deux adultes dont une des deux a envie de prendre du plaisir et visiblement ça ne dérangerait pas l'autre. Je ne risque rien, tu ne risques rien, au pire des cas tu es un mauvais coup et tant pis pour moi dans le meilleur des cas tu es un bon coup et on peut monter au septième ciel si tu le désires. Je ne vais pas me mettre à genoux non plus c'est oui ou c'est non mais c'est maintenant où c'est pas du tout.

Jamais je ne l'avais vu aussi directive, elle d'habitude si douce si calme était devenue une assoiffée de sexe. J'avais l'esprit torturé, entre d'une part ma femme et d'autre part le fait qu'une femme assume de vouloir du sexe et et qu'elle l'affirme de manière totalement libérée.
-et bien c'est maintenant alors lui répondis-je, mais pas ici pas au milieu du parc alors que les bâtiments donnent sur celui-ci même s'il n'y a plus beaucoup du monde dans les entreprises.
-j'ai dit que j'avais envie de toi pas que j'étais exhibitionniste répondit elle.
Nous avons remballer les affaires dans sa glacière, fini le rosé en route et nous sommes arrivés devant son bureau.

À peine eut-elle ouvert la porte de son bureau que je l'ai refermé, l'ai plaqué contre le mur et l'ai embrassé. J'ai profité de ce baiser et de sa bouche de longues secondes. Je n'avais encore jamais dans ma vie reçu de baiser comme ça je cru rêver. On aurait dit la déesse de l'amour tellement son baiser était tendre, passionné, enjoué et terriblement bon.
-c'est pas là que je veux être embrassée me susurra tel à l'oreille.
-tu es encore un peu trop habillée lui répondis-je sur le ton de la boutade.
-ça ne tient qu'à toi me répondit-elle en me fixant dans les yeux. Déshabille-moi lentement j'adore ça.
Je pris mon temps pour la mettre à nu, j'enleva son petit top rouge à bretelles, retira son push up violet d'une main. La vue de ses seins était juste magnifique, ses décolletés n'étaient que le reflet de ce qu'ils sont une fois à l'air libre. Je m'arrêta alors quelques secondes pour contempler le tableau qui se dessinait devant moi quand elle m'attira vers elle et me dit :
-c'est encore plus bas que je veux sentir ta bouche et ta langue.
Je m'exécuta lui retira sa jupe noire et son string violet elle était totalement nue devant moi ne portait que ses talons.

Je la fis asseoir sur le bureau, moi à genoux devant et je commence à faire jouer ma langue sur son sexe. Au départ ce fut bizarre. La sensation de lécher un sexe imberbe était encore inconnu pour moi puis au bout d'une ou 2 minutes je me suis habitué et je dévora sa chatte. Je sentais quelques soupirs s'échapper, son corps était couvert de frissons et les tétons de ses seins devenaient durs.Ce fut un soulagement de voir qu'elle appréciait ma caresse buccale. Je remonta légèrement afin d'aspirer son clitoris et de le mordiller légèrement elle poussa un râle de plaisir et me supplia de continuer. J'avais maintenant son clitoris bien en bouche et je continuais à le titiller avec ma langue, mes lèvres et mes dents. Au vu de la mouille qui s'échappait de son sexe j'en conclus qu'elle prenait énormément de plaisir. Je lui demande de se relever et de se mettre dos à moi en écartant bien les jambes je passais alors ma langue de son clitoris à son trou du cul bien lentement et bien délicatement. Ses cris sont de plus en plus fort et sa respiration plus saccadée. Après plusieurs minutes de ce traitement j'insère à un doigt dans chacun de ces trous de façon à ce que je lui doigte la chatte et le cul. Entre deux soupirs de plaisir elle parvint à me dire
-doucement avec mon anus, je ne suis pas spécialement experte monsieur n'a jamais voulu m'offrir cette caresse mais toi tu le fais plutôt très bien.
-je suis tout à ton écoute, c'est déjà magnifique pour moi de pouvoir baiser avec toi. Je n'ai jamais forcé quiconque à faire quelque chose qu'elle ne voulait pas si jamais je vais trop loin, trop fort, tu me dis stop je ne vais pas me vexer.
J'ai rajouté :
- depuis le début tu mènes la danse mais je vais te montrer qui est le dominant ici. Tu m'excite trop, tu mérites une punition. Allons dans le bureau de ton chef son siège doit être plus confortable.

Nous avons quittés son bureau, elle juste en talons et moi encore tout habillé avec une bosse énorme dans mon short en jean trahissant mon envie. Une fois dans le bureau de son chef je la poussa sur le siège de son patron et lui attacha les mains dans le dos avec le cordon de la souris de l'ordinateur. Puis je lui fis écarté la chatte pour pouvoir reprendre un sublime cunni. Elle couinait et invectivait des bordel, sa mère c'est bon, putain, surtout t'arrête pas... Après de longues minutes de léchage de chatte j'enleva ma ceinture et commença à la fouetter avec. Les pieds, les cuisses, le ventre, les seins, les épaules. Seul son visage ne subit pas le supplice de la ceinture. Une fois terminée cette petite séance sado maso je l'embrassa un long moment. Cette fois le baiser était plus volcanique que le première, plus explosif aussi. J'en profita pour retirer mon short et mon caleçon. Je posa mes fesses sur le bureau elle face à moi toujours attachée. Je pris sa tête avec mes mains et la fit se pencher de manière à ce qu'elle me suce. J'enfonça mon gland jusqu'au fond de sa gorge. En relâchant la pression sur sa tête toutes les 10 secondes histoire qu'elle reprenne sa respiration et qu'elle puisse déglutir.

Après plusieurs minutes ma bite était inondée de bave. Je la détecha, la releva et la plaqua les seins contre le bureau le cul face à moi. Je la sodomisa directement sans préambule. Un souci strident s'échappa d'elle.
- ça va ?
- est ce que je t'ai dit stop?
Effectivement il n'y avait pas eu de stop, je continua ma sodomie de manière assez brutale. En fait j'étais énervé de tromper ma femme, mais tellement excité aussi. Après m'être retiré de son cul je la fis se retourner et l'assis sur le bureau. Je lui inséra 3 doigts dans sa chatte et branlant le clitoris avec mon pouce. Puis un quatrième doigt rentra dans son orifice. Elle poussait des cris de plus en plus puissants. Intérieurement je pensais heureusement qu'il n'y a quasiment personne dans le bâtiment sinon il l'entendrait forcément. Puis j'inséra mon pouce. J'avais mes cinq doigts dans son sexe. Ça n'avait pas l'air de la déranger. Je dois même dire qu'elle devait déjà avoir pratiqué le fist car c'est elle qui imprimait le rythme et la profondeur de pénétration aspirant ma main millimètre par millimètre. Ma main était maintenant en elle jusqu'au poignet. Une fois ma main retirée j'étais debout, elle s'agenouilla pour me sucer. J'allais venir je le sentais, j'allais lui déverser tout mon sperme dans sa bouche d'une seconde à l'autre.

C'est à ce moment là que je sentis une douce chaleur envahir mon sexe. C'était maintenant ma femme qui me suçait.
Je ne comprenais plus rien. Une fois mes esprits en place j'avais rêvé. Effectivement j'étais dans notre chambre allongé nu sur mon lit. Ma femme entre mes jambes en train de me faire une fellation. Je ne finirais pas dans la bouche de Claire, qu'à cela ne tienne je finirais dans celle de ma femme. Une fois terminée ma femme me dit :
- il est 17h20, il va falloir aller récupérer les enfants au centre aéré.
- j'ai dormi visiblement.
- oui et tu as du faire un rêve très agréable car à la base j'étais venu juste te réveiller mais quand j'ai vu ton sexe dur et prêt à l'emploi j'ai décidé de te réveiller en douceur.
- tu recommences quand tu veux mon amour.

Le lendemain je revis Claire pendant mon travail.
- bonjour, vous allez bien ? Vous n'allez pas me croire, j'ai rêver de vous cette nuit me dit elle.
- ah et c'était agréable au moins.
- oui plutôt, même beaucoup.
- vous me raconterez une prochaine fois peut-être.
- on verra si vous êtes sage.
Le tout avec un sourire en coin qui a fait ressortir ses faussettes ce qui la rendait encore plus magnifique.
Je la quitta le sourire aux lèvres en me disant si c'était aussi agréable que mon rêve sa culotte devait être bien mouillée ce matin au réveil.
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