L'essayage érotique de ma belle soeur...cette garce

J'étais assis dans le patio de la maison de mon frère, en attendant qu'il rentre chez lui, lorsque Sarah, sa ravissante épouse, m'appela de la fenêtre de sa chambre. Je montais, et la trouvais debout devant le dressing ouvert, regardant avec découragement ses vêtements suspendus.

-Que veux-tu? Ai-je demandé.
-Je sors avec Richard ce soir, nous allons à la « Féline», tu y es déjà allé.
J'ai besoin de porter quelque chose de sexy, mais je ne sais pas quoi.
-Tu as un placard plein de vêtements sexy, je t’ai vu porter toutes sortes d’habits excentrique. Alors, je le répète, qu'est-ce que tu voulez?
-Que tu me conseilles, tout simplement. Richard rentrera tard ce soir.

Elle leva les yeux vers moi, me dévisagea.

-Allez Sylvain, aides-moi à choisir, je n'arrive pas à décider ce qui semble bien. Si tu y es déjà à ce club, dis moi la tendance.

Je me suis éloigné de ma belle-sœur et l'ai regardée de haut en bas. Elle mesure environ un mètre soixante dix, et doit peser entre cinquante huit, et soixante kilos. Elle est belle, a un joli minois, quand elle ne fait pas la garce. Ses cheveux blonds sable tombent en boucles au-delà de ses épaules.
Elle portait un short en jean, et un chemisier blanc noué à la taille, pour que son ventre et son épingle de nombril en cristal soient visibles. On aurait dit qu'elle avait oublié de mettre un soutien-gorge ce matin-là.

-Mets ce que tu veux, de toutes façons, tu es toujours sexy.
-Non, je veux donner à Richard une chance de jouer avec moi pendant que nous sommes à table, il ne peut pas mettre les doigts sous le short.
-Tu veux qu'il te doigte au club?
-Lui ou un autre...ça me fait chaud pour plus tard quand on baise. S’il n’y a pas de préliminaires, je ne me sens pas prête. Si tu savais comme ça m’excite de sentir sa main glisser entre mes cuisses…
-Et ça veut dire quoi...lui ou un autre.
-Parce que un soir, la main et monter plus haut, caresser ma chatte, alors que lui, ne va jamais jusqu’au bout...pour me faire râler. J’étais vraiment très excitée, et nous avons passés une nuit de passion, très intense.

Ses révélations sur ce qui la rend chaude, m’a stupéfait, et a eu un effet immédiat sur ma queue. J'imaginais à quel point ce serait amusant de la doigter dans un restaurant, ou un endroit comme ça.

-D'accord, alors tu es une salope publique, qu'est-ce que je fais ici?
-Tu dois me dire ce que je dois porter ce soir, dit-elle en riant à mon insulte. Je vais essayer des trucs et tu seras le juge. Souviens-toi, ça doit être assez sexy pour mettre Richard à genoux plus tard, je veux qu'il mange le dessert qui l’attend entre mes jambes. Je suis déjà toute excitée, rien que d'y penser.

Je m'assis sur le bord de son lit puis, me détendis la tête calée sur un oreiller. Sarah fouilla dans plusieurs articles, et en retira cinq des cintres, puis les jeta sur le lit.
Je m'attendais à ce qu'elle tienne les robes contre son joli corps, et me demande mon avis, mais une fois qu'elle a eu sa sélection, elle a dit "D'accord, je vais les essayer." Elle a jeté un coup d'œil à sa salle de bain attenante pendant quelques instants et je pensais qu'elle irait se changer. Après une courte hésitation, ma belle-sœur m'a surpris en faisant tomber son short et en retirant sa chemise. En quelques secondes, elle se tenait sans vergogne devant moi, vêtue d'un audacieux string rouge. Alors que je regardais ses seins fermes aux bouts dressés, ma queue commença à se transformer.
Tandis que Sarah prenait une robe sur le lit, elle m'a jeté un regard. Quand elle a vu où je regardais, elle a baissé les yeux sur ses propres seins, et a compris l’effet que ça me faisait, de la voir ainsi.

-Elle est dressée comme eux? Dit-elle en faisant allusion à ma queue.
-Bon Dieu, tu aurais dû m'avertir, j'aurais porté une coque en acier pour la maintenir en place.
-Tu es censé réagir aux vêtements, pas à mes seins.
-Eh bien, couvre-les pour éviter de m’allumer de cette façon.

Sarah étendit ses bras au-dessus de sa tête, et glissa une robe fourreau, le long de ses bras et de son corps. Elle ajusta la taille, tira sur l'ourlet qui n'était qu'à quelques centimètres sous son entrejambe, puis se tourna pour regarder par-dessus son épaule dans le grand miroir.

-Mmm, ça me fait un gros cul, tu ne penses pas ?
-Non, mais la couleur ne convient pas à l’ambiance de la « Féline » Le jaune est trop flash, essaie quelque chose de moins criard.

La robe jaune fut rapidement jetée. Alors qu'elle se déshabillait, et essayait la robe suivante, ma bite grandissait encore plus, et commençait à devenir inconfortable dans mon pantalon.
La robe bleu qu’elle passa ensuite, était agréable mais ne montrait pas assez son décolleté. Elle ne voulait pas porter de soutien-gorge, elle devait donc porter une robe, qui mettrait ses charmes en valeur.
Le vêtement bleu rejoignait le jaune. Au moment du troisième essaie, elle ne m’a pas sollicité. Elle était tout simplement sublime, moulée dans une robe ultra courte, au décolleté pigeonnant.
Ma bite et mes couilles me faisaient mal, serrées dans mon pantalon.

-Hé, j'ai besoin d'un peu d'espace pour me libérer, je retire mon pantalon, d'accord ?.

Je n'ai pas attendu de réponse, puisqu'elle était entrain d’ajuster sa dernière robe. Je me suis levé du lit et j'ai ôté mon jeans. En un instants j'étais en chemise et slip, qui gonflait avec la longueur de mon érection.
Sarah a regardé les résultats de son défilé de style en souriant.
La quatrième mini-robe était semi-transparente, et faisait ressortir les lignes de son corps. Le tissu était bien serré autour des fesses et les seins, la taille et les hanches étaient parfaitement soulignées. Le haut de la robe était plus opaque donc je ne pouvais voir les bourgeons, mais le string rouge était visible à travers le fin tissu.

-Si tu portes cela, tu devrais couvrir ton entrejambe différente, ai-je conseillé.

Elle se regarda dans le miroir puis passa la main sous la courte robe, et fit glisser le sous-vêtements le long de ses jambes. Elle se tourna vers moi, le string en équilibre sur un pied puis l'a propulsé vers moi. Le string rouge s'est arqué à travers la pièce et a atterri sur mon épaule.

-J'adore cette robe, donc je suppose que je ne porterai pas de string.

J’ai retiré le string de mon épaule, l’ai mis sous mon nez tout en la regardant droit dans les yeux. J'ai senti l'odeur musquée de son corps, puis j'ai embrassé l'entrejambe encore chaude. Les yeux de ma belle-sœur se sont agrandis et je jure que je pouvais voir ses bourgeons se raidir sous la robe. Mon érection pulsait, palpitant à chaque battement de mon cœur. Sarah traversa la pièce, se pencha pour poser ses mains sur le lit et me regarda dans les yeux. Ses longs cheveux blonds encadraient son visage et tombaient en cascade sur ses épaules pour masquer ses seins. Je regardais ses lèvres ou se formaient comme un petit sourire séduisant.

-Tu as embrassé ma culotte. Tu es un putain de pervers vulgaire.

Elle a retiré le string de ma main puis s'est levé tout en le dénouant. Elle l'a étiré puis l'a mis sur ma tête et l'a ajusté jusqu'à ce que l'entrejambe soit sur mon nez. Quand elle a eu fini, elle murmura à mon oreille.

-Tu veux goûter la vraie ?

Elle m'a poussé à plat sur le dos, et se mit à califourchon sur ma poitrine. J'ai passé mes mains sous sa jupe courte et pris ses fesses en coupe. J'ai tiré son corps jusqu'à ce que mon visage soit sous le bord de la robe. Sarah a roulé des hanches et s'est levée jusqu'à ses genoux, puis a pressé sa chatte suintante de miel sur mon menton. J'ai éloigné le string de ma bouche, et avec ma langue léché les lèvres gonflées de la chatte de ma belle-sœur.
Sarah a jailli lorsque ma bouche a formé une ventouse sur ses lèvres intime. Le bout de ma langue se mit à vaciller. Elle bougea ses hanches, les faisant pivoter jusqu'à ce que ma bouche soit là où cela lui faisait du bien et me laissa la lécher et la sucer. Elle se réchauffait rapidement, son corps a commencé à se balancer, elle s'est penchée, et a attrapé mes cheveux d'une main, a commencé à rouler sa chatte contre mon visage. Je la léchais et regardais les muscles de son ventre trembler sous la courte robe. Elle s'est levée jusqu'aux genoux, ce qui a fait que sa chatte s'est retirée, puis a attrapé la robe par l'ourlet et l'a retirée. Elle l'a jeté au sol puis s’est laissé tomber sur son dos, a écarté ses jambes.

-Mange-la, salaud, suce mon clitoris et baises-moi avec ta langue.

Mon érection grandissait. J'ai retiré son string et ma propre chemise, puis je me suis agenouillé entre ses jambes. Sa fissure brillait de rosée que j'ai léchée, puis changé de cible. J'ai embrassé la couverture de peau de son clitoris, l'ai exposé en écartant le capuchon avec deux doigts, puis l'ai chatouillé avec le bout de mon nez.
Sarah secoua les hanches et haleta légèrement, puis commença à onduler en synchronisation avec la bouche qu'elle recevait. Pendant que je suçais sa chatte, j'ai levé une main, et j'ai enfoncé deux doigts dans l'entrée de son sexe. Quand j'ai enfoncé mes doigts en elle aussi profondément qu'ils allaient, ses jambes ont commencé à trembler.
J'ai mangé et doigté la chatte chaude, pendant seulement quelques minutes, avant qu'elle ne se cambre sur le lit, et ne crie un orgasme terrible. Sa chatte a commencé à couler, alors qu'elle se secouait la tête d'avant en arrière, tout en glapissant son plaisir. Après qu'elle ait atteint le sommet, elle est tombée sur le lit. J'ai retiré mes doigts d'elle et me suis assis. Sarah m'a souri.

-Oh, mon dieu ça fait du bien, allonges-toi.

Je me suis allongé sur le dos à côté d'elle. Elle a roulé vers moi, posait sa tête sur mes genoux. Ma bite était dure comme du granit et pointait vers le plafond, quand elle décalotta le gland avec ses lèvres, et commença à me souffler. La bouche de la femme de mon frère a branlé ma bite, a bercé mes couilles dans une main. Mon sors était sellé. Je n'ai pas hésité à laisser les jets de sperme jaillir de ma queue sur ses dents. Elle n'a même pas bronché. Sarah à formé un vide sur mon érection et a sucé mon sperme comme si elle buvait du petit lait. J'ai mis une main à l'arrière de sa tête, ai appuyée jusqu'à ce que son nez côtoie mes couilles, pendant que j’envoyais mes dernières giclées dans sa gorge.
Nous étions allongés côte à côte à regarder le plafonnier, nos poitrines toujours gonflées d'air frais. Sarah a tourné la tête vers moi, m’a souri.

-Putain, on ne m'a jamais fait ça avant.
-C’est sur ça...et Richard…
-No comment, sourit-elle. Je m'en serais souvenu si nous l'avions fait comme ça.
-T’imagines, ça a commencé par un défilé de mode...que s'est-il passé, pourquoi es-tu devenu chaude d’un coup ?
-J'étais excitée avant de te dire de monter, et de commencer à te taquiner pendant que j'essayais les robes, pour voir comment tu réagirais. C'était amusant de te voir te faire plaisir pour moi, puis quand tu as senti mon string, ma tête et mon corps se sont en quelque sorte détraqués et je voulais faire quelque chose alors...
-Tu es toujours excité ?

Elle s'est levée sur un coude et m'a regardé, puis a attrapé ma bite semi-rigide. Elle m'a caressé plusieurs fois en réfléchissant à ma question.

-Pourquoi, tu veux me baiser ?

Elle s'est retournée jusqu'à ce que nous soyons allongés face à face sur le côté. Ma bite était pressée contre sa cuisse. Sarah a levé sa jambe et l'a accrochée à ma hanche. Ma queue en érection glissa entre ses jambes et se cala contre son corps. J'ai commencé à caresser ses lèvres intime, mélangeant les fluides qui s'écoulaient d'elle avec les miens. Elle a mis ses bras autour de moi et m'a serré fort, ses seins étaient écrasés sur ma poitrine. Je ne suis pas sûr d'avoir déjà senti une fille devenir instantanément chaude auparavant, mais ma belle-sœur est passée du mijotage, à l'ébullition en quelques secondes. Elle bougeait par vagues, à bout de souffle, alors que je lui cognais le cul. Elle était tellement excitée, qu'elle m'a mis le feu partout où nous nous sommes touchés. Je l'ai roulée sur le dos, en restant enfermée dans ses bras, je me suis retrouvée sur elle, entre ses jambes. Sarah a desserré son emprise sur moi pour que je puisse manœuvrer la tête de ma queue entre les replis de la chatte.
Ma belle-sœur a fait rouler ses hanches et le bout de ma bite s'est glissé en elle. Nous étions immobiles. Je pouvais sentir l’aspiration de sa chatte, entourant mon érection, qui se développait de plus en plus. Mes fesses se sont serrées, ce qui m'a forcé à aller plus profondément en elle; elle a éloigné ses jambes, ce qui m'a donné de la place pour bouger. Mes mains s'enfonçaient dans le matelas de chaque côté de sa tête, mes bras étaient raides de sorte que ma tête était inclinée à l'endroit où nos aines se touchaient. J'ai poussé jusqu'à ce que mon érection solide comme le roc, soit aussi loin que possible dans Sarah. Nos poils pubiens étaient emmêlés, nos corps épinglés.

Aucun de nous n'a bougé pendant quelques secondes, nous nous sommes juste regardés puis Sarah a commencé à sourire. Elle lécha ses lèvres avec le bout de sa langue et fléchit ses hanches, ma bite glissa de quelques centimètres puis rentra. Je lui rendis le sourire et me retira d'elle jusqu'à ce que ses poils pubiens chatouillent le bout de ma bite, puis repoussé en elle. Après une deuxième poussée, elle me rejoint... nous baisions.
Nous avions des relations sexuelles ensemble pour la première fois, nous n'étions pas totalement synchronisés. Pendant les premiers instants, je la martelais, tandis qu’elle essayait de s’adapter, mais nous n'avions pas le même rythme de baise. Alors que je glissais hors d'elle, elle saisissait mon muscle gonflé, pour le remettre en elle.
J'ai ralenti délibérément pour qu'elle puisse se déplacer avec moi. Il ne fallut pas longtemps avant que Sarah et moi nous baisions à des niveaux d'excitation de plus en plus élevés. Je m'émerveillais de la sensation de glisser dans et hors du conjoint de mon frère.

Elle gémissait doucement, les mains sur mon dos, me serrant contre elle. Ses seins étaient enfouis dans ma poitrine, son ventre frottait contre le mien. Je regardais son visage, chaque fois que j'enfonçais ma bite profondément en elle, elle serrait les dents et soufflait légèrement. Je pouvais sentir son souffle dans mon oreille. Je voulais que tous mes sens fassent l'expérience de cette fille, alors j'ai penché la tête, et léché son cou. Cette touche finale de ma langue sur sa peau a déclenché nos orgasmes. Je ne pouvais pas l'arrêter, je ne pouvais pas le contrôler, je ne voulais pas non plus. J'étais en proie à une baise sauvage et excitante et j'ai senti qu'elle prenait autant de plaisir que moi. J'ai claqué sa chatte, éjectant un flot de fluides au plus profond d’elle.
Elle m'a senti perdre totalement le contrôle et a basculé plus fort avec moi, me laissant la remplir de sperme, alors qu'elle tirait un coin de drap sur son visage pour atténuer ses hurlements de plaisir.
Nous étions à nouveau allongés côte à côte, haletant, laissant la sueur s'évaporer, nous rafraîchissant. J'ai tourné la tête vers elle.

-Tu es le meilleur coup que j'ai eu depuis des lustres, pourquoi diable n'avons-nous pas fait ça avant ?
-Nous n'avons jamais eu chaud l'un pour l'autre avant, du moins pas en même temps.
-Et as-tu chaud pour moi ?
-Eh bien, pas tous les jours, par respect pour Richard, mais j’avoue que de temps en temps, je me demandais ce que ça pouvait être, être baiser par toi. Je veux dire nous sommes proches, et parfois je pense juste à toi. Me considères-tu comme une fille, ou comme ta belle-sœur ?
-Chaque fois que je te vois, j’ai envie de te baiser, et ce, depuis ton mariage. Être ton beau-frère ne m'a jamais empêché de fantasmer sur toi.

Sarah sourit à ma révélation puis m'embrassa légèrement, c'était la première fois que nos lèvres se rencontraient intimement. Elle m'a tapoté légèrement sur la poitrine.

-Tu dois y aller maintenant, je dois me préparer.
-Finalement, quelle robe as-tu choisi pour ta soirée.
-Je pense que je vais m’habiller sobre ce soir, j’ai eu mon compte aujourd’hui. Et puis tu sais ce qu’on dit. Une femme trompe son mari, jamais son amant.

Je suis descendu du lit puis, pris le string rouge, et l'ai utilisé pour essuyer les traces de sperme sur ma queue. Je l'ai laissé tomber sur son ventre. puis me suis retourné pour partir. Juste au moment où j'ouvrais la porte, elle rejeta son string en arrière, il heurta mon bras puis tomba au sol.