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Cloé, en mainque, ce donne à son fils 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/08/2025

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Maryse fronce les sourcils et demande, avec un soupçon de curiosité :

-Allez raconte ma chérie, qu'est-ce qui t'es arrivé ?

En faisant un large sourire Cloé dit :

- Tu sais que mon mari ne me touche que très rarement, alors accroche-toi bien Maryse. Bien que je sois consciente, que cela soit immoral, mais tu n'en reviendras pas. J'ai suivis tes conseils. J'ai cédé aux avances de mon fils, et je viens de faire l'amour avec lui, à l'instant !

Maryse sursaute et réplique :

-C'est pour cela que je te trouve radieuse, raconte ma chérie comment c'était ?

En prenant une grande aspiration, Cloé répond :

- Bien que j'ai honte de moi, mais j'avoue que c''était magnifique, nous, nous sommes aimer comme des bêtes, jamais je n'avais subi de tels assauts, et être aussi bien, j'ai joui comme une grosse salope, c'est un amant merveilleux mon fils, oh putain comme c'était bon !

C'est à cet instant que Franc apparait vêtu d'un peignoir, il salue Maryse. Elle le regarde, sans dire un mot, son regard est soutenu, elle le dévisage, puis répond à son salut. Sa maman lui demande de servir une boisson, Maryse, ajoute :

- Bien alcoolisée car j'en ai besoin !

Une fois le service fait, il s'assoit en face de l'amie de sa maman. Maryse en levant son verre dit :

-Je trinque aux amants !

Franc écarquille les yeux, et regarde sa maman. Elle, avec un peu de gêne dans la voix :

-Mon chéri pardonne-moi je n'ai pu m'empêcher de tout lui raconter !

Franc en se pinçant les lèvres, secoue la tête négativement et dit :

-Eh ben toi alors maman tu me la copieras, je vais passé pour quoi moi maintenant devant Maryse !

Maryse en souriant réplique :

-Mais mon grand, pour un bon coup, mon cochon, il parait que tu as fait grimpé ta maman aux rideaux, hum, si ce qu'elle m'a dit est vrai, je suis un peu jalouse !

Cloé sourit, elle sait que son amie aime le sexe, et qu'elle est prête à tout pour s'envoyer en l'air, et la façon dont elle regarde Franc, elle sait pertinemment que la coquine, pense à ce le faire. Les yeux de Maryse brillent, le peignoir mal fermé, de son amie, laisse voir ses cuisses et une partie de son bas-ventre. Elle regarde la toison qui semble rêche. Elle dit en souriant :

-Il t'a bien remplit, le cochon, d'ici je peux voir sur ta chatte, des traces de sperme séchées !

Cloé ouvre largement les cuisses et se frotte la vulve et dit en souriant :

-Oui, tu as raison, je suis encore pleine de semence de mon fils chéri !

Maryse se lève, s'approche de son amie, et dit :

-Laisse-moi voir de plus près, comment que le coquin t'a arrangé !

Sans se soucier de la présence de Franc, elle se penche sur le bas-ventre de Cloé et observe la vulve fraichement pilonnée. Elle pousse un gros soupir et dit :

-Oh putain oui, il t'a bien foré le bougre, il doit avoir une bonne queue pour t'avoir dilaté comme ça !

Elle regarde Franc en souriant, et dit :

- Es Tu capable de recommencer ? allez fais moi voir comment tu la fais jouir ta maman !

Franc regarde sa maman, elle à les yeux qui brillent de mille feux, elle ravale sa salive, dans le font d'elle même, elle a eu tellement de plaisir, qu'elle aimerai que le coquin lui laboure le ventre à nouveau, et peu importe si c'est devant son amie. les deux se regardent longuement, la demande de Maryse, l'excite, lentement sa verge se tend sous le peignoir. franc fait tomber la ceinture de tissu et ouvre très doucement son peignoir, sans quitter des yeux sa maman. Elle écarquille les yeux en voyant la verge dressée comme un mat. On l'entend déglutir bruyamment. Maryse pousse un oh de surprise et dit :

-Oh la vache, il est bien monté le salaud !

Franc fait tomber le peignoir sur le sol, et avance comme un automate vers sa maman. Il fait glisser de ses épaules le peignoir. Il regarde le corps de sa maman avec des yeux de vorace, puis, se laisse tomber à genoux face à elle, automatiquement elle ouvre les jambes en se cambrant un peu, et dit :

-Bouffe-moi la chatte mon chéri, comme tu l'as fait tout a l'heure, c'était si bon, vas-y, vas-y, montre à Maryse comment tu sais me faire jouir !

Franc, sans ce le faire dire deux fois, plaque sa bouche sur le vulve et aspire les grandes lèvres. Immédiatement sa maman se met à geindre. La bouche affamée avale tout ce que la vulve libère. La langue habile, en fouillant chaque recoins du vagin, arrache des gémissements terrible à la maman soumise. Mais lorsqu'il lui gobe le clito elle pousse un gémissement de bête blessée. Il suce et tête devant mes yeux écarquillés de Maryse, sa chatte suinte de plus en plus, elle serre les cuisses, pour atténuer le filet de cyprine que sa vulve brulante rejette.

Des gémissements rauques sortent de la bouche de Cloé, Franc commence à lui lécher l'anus. Sa langue tente plusieurs fois de le pénétrer, Un gémissement très long, fait sursauter Maryse. La langue de Franc, réussit à pénétrer le muscle rectal de sa maman. Il fouille la gaine étroite du mieux qu'il peut. Cloé n'a jamais subit un tel attouchement, pour elle c'est démentiel. elle marmonne :

Maryse, Maryse, il me fait mourir, oh putain comme il me bouffe le cul, c'est monstrueux, Charles ne m'a jamais touché le cul, oh putain, oh putain, je meurs !

Maintenant, le fils amant aspire l'anus, il s'acharne dessus, sa maman grogne comme un fauve sur sa proie. Après des efforts, il réussit à le faire sortir de logement, et le suce comme un affamé. Cloé râle, geint, c'est exceptionnel comme sensation. Elle se cabre et en poussant un cri presque inhumain, elle jouit du cul pour ma première fois de sa vie.


Maryse mouille sa culotte de plus en plus. Elle retrousse sa jupe, et ne peut s'empêcher de se caresser. Ses doigts glissent sur sa culotte trempée, s'insèrent entre les grandes lèvres en entrainant le tissu dans le fond di sillon. Son clito est vite agressé, elle le malmène, le triture, l'écrase. Elle grimace, mais ne quitte pas des yeux les deux amants incestueux.

Franc se redresse, ses mains moites, glissent sur la peau satinée de sa maman, qui ne cesse de geindre. Son souffle rauque, est court, elle respire mal. Elle dit en marmonnant :

-Oh mon chéri, oui, oui, fais encore jouir ta maman, prends-la comme une salope !

Les doigts agiles, s'emparent des lobes mammaires, les pressent, les malaxent, les doigts s'enfoncent dans les chairs souples, en pétrissant les demi-sphères sans les ménager. Cloé geint se tend comme un arc, son corps est sous tension. Franc saisit les mamelons, il les roule entres ses doigts, les presse plusieurs fois pour le stimuler. Enfin, il pose sa bouche dessus, les suce, les tète longuement, les succions qu'il pratique deviennent de plus en plus violentes, les aspirations puissantes font geindre la maman au bord de la syncope.
Il les mordille, les étire avec ses dents, en arrachant à sa maman des gémissements de bêtes blessées.

Maryse, se fait violence, elle se masturbe à travers le tissu, les grognements qu'elle pousse prouvent, qu'elle y prend beaucoup de plaisir. Soudain, elle arrache sa culotte, elle jette sur le sol les lambeaux de tissu. Elle saisit rapidement son clito, le bougre est hyper gonflé. Elle l'agite en soufflant comme une chaudière, son visage est marqué par une moue affreuse. Ses gémissements prennent de l'ampleur. La bouche de franc continue de œuvrer sur le corps fébrile de sa maman. lentement, elle descend sur les torse, taquine le nombril de la pointe de la langue avant de reprendre sa progression. Les lèches, et les baisers qu'il donne, font geindre sa maman qui lui appuie sur la tête.

La bouche avide du fils amant, se pose sur la vulve détrempée de la maman soumise. Il l'embrasse de nombreuses fois, avant d'aspirer les grandes lèvres. Cette action fait cabrer Cloé, qui se dresse comme un cheval fougueux. le coquin lui suçote les lèvres vaginales, en arrachant des gémissements incontrôlables à sa maman. Il enfonce sa langue râpeuse, profondément dans le puits débordant de cyprine. Il le fouille longuement, en aspirant le jus qu'il rejette. Mais lorsque qu'il gobe le clito, sa maman pousse un grognement bruyant, le coquin, lui fait subir les pires outrages.

Il le tète avec férocité, le mordille sauvagement. Cloé se cabre, une brûlure atroce lui traverse le ventre, pour elle c'est la délivrance, elle jouit copieusement en couinant comme un animal blessé. Maryse en serrant les dents, explose à son tour, sa jouissance est formidable. Elle grimace en gémissant de plaisir. Sa vulve rejette son jus, ses doigts sont trempés de cyprine. Franc regarde Maryse, il délaisse sa maman, et s'avance vers elle. Sa verge et dressée comme un mât. Il l'offre généreusement aux lèvres pulpeuses de Maryse, qui comme une affamée se jette dessus, elle décalotte le gland et commence à donner des coups de langues bien ajustées sur le mont chauve.

Franc geint doucement, Maryse sait se servir de sa langue, elle fait le tour du gland de nombreuses fois, monte et descend sur la hampe épaisse, avant que Maryse, ne le gobe. Elle suce et tète comme une hystérique, ses gémissements et ses souffles sont très bruyants. D'une main, elle triture les couilles de Franc qui défaille :

-Oh putain ce que tu suces bien salope, je vais te remplir la bouche de ma semence, oh putain, ça vient, oui, oui, tiens avale, avale !

Une giclée abondante remplit la bouche de Maryse, qui sans rechigner, avale. La coquine semble aimer ça, elle se lèche les babines après avoir tout avaler. Franc se retourne, il regarde sa maman haletant étendue sur la canapé. En souriant, il la rejoint et prend place entre ses cuisses. Il lui enfonce brutalement sa queue dans le ventre, et en s'accrochant à ses hanches, il la pilonne férocement. la verge gluante, coulisse dans le ventre que le coquin à déjà visité. Cloé dit en marmonnant :

-Oui, mon chéri défonce bien ta maman, fait d'elle ta salope, oh comme ta queue me laboure bien les entrailles, c'est trop bon mon chéri, vas-y, vas-y défonce-moi comme une chienne, oh putain, oh putain je la sens bien dans le ventre ta grosse queue !

La bite de Franc lui racle les parois garnis de muqueuses sensibles. A chaque aller et retour, Cloé geint comme une bête. Elle s'agrippe à son fils en soufflant comme un dragon. les yeux de Cloé sont vitreux, sa bouche est déformée par un rictus affreux, elle dit entre deux souffles :


-Maryse, Maryse, regarde comme il prend bien, mon Dieu c'est merveilleux, oh que sa queue est bonne, elle m'ouvre bien, Franc, Franc fais-moi mal, montre à Maryse comme tu es puissant mon chéri !

Franc ne ménage pas sa maman, sa verge voyage dans la gaine, en lui arrachant des gémissements inhumains. Son gland frappe à chaque enfoncement le col de son utérus. Cloé délire, elle est au bord de la jouissance. Un hurlement se fait entendre, Cloé cambrée comme un pont, vient d'exploser, sa jouissance est monstrueuse. Elle retombe lourdement sur le canapé en haletant. Franc continue de la défoncer, maintenant il cherche son plaisir. Ses coups de reins sont dévastateurs, à chaque enfoncement de sa verge dans le ventre de sa maman, elle pousse un gémissement. Enfin, en grognant comme un fauve, il déverse dans le ventre de sa maman son sperme épais. Maryse n'en peut plus, elle dit :

-Baise-moi, baise-moi Franc !

Elle s'allonge sur la petite table en faisant tomber les verres, elle ouvre largement les cuisses et les yeux implorants, elle attend l'estocade. Franc, ne débande pas sa verge gluante est bien raide, il se retire du ventre de sa maman qui est secouée par des spasmes violents, plusieurs orgasmes la font geindre.

Il prend place entre les cuisses largement ouvertes de la demandeuse, et brutalement, lui plante sa bite au tréfond de la chatte. Maryse en poussant un râle s'accroche à lui et c'est elle qui mène l'ébat. Elle donne des coups de reins redoutables, pousse de longs gémissements, en s'accrochant à, son jeune amant. Soudain, elle repousse son amant et lui saisit la verge, elle la place contre son anus, et dit en grognant :

-Encule-moi Franc vas-y, encule-moi !

Franc ne se fait pas prier, il tire sur les haches de Maryse, et lentement sa verge s'enfonce dans la gaine étroite. En grimaçant Maryse dit :

-Oui, vas bien à fond, je veux sentir tes couilles contre les fesses, vas-y, vas-y !

franc pousse fortement, ses bourses velues viennent en contacte avec les fesses bien rebondis de la demandeuse. Le ramonage peut commencer, la bite voyage dans la gaine en prenant de la vitesse. Franc dit :

-Oh la vache comme tu es étroite salope, ton cul emprisonne ma queue, oh comme c'est bon !

Il la défonce sans la ménager, bien dilatée, Maryse subit ce qu'elle a demandé. Ses grognements prouvent qu'elle aime ça. Elle agite sa croupe, en marmonnant :

-C'est merveilleux mon chéri, tape fort éclates moi le cul !

Le pilonnage anal dure de longues minutes, Maryse pousse un hurlement et jouit du cul comme une damnée. Franc la défonce comme un forcené, ses coups dont violents et dévastateurs, une seconde jouissance, fait hurler Maryse, enfin il déverse dans l'intestin de Maryse, un flot de sperme visqueux. Maryse regarde son amie et dit :

-Cloé, ton fils est un phénomène, c'est une bête de sexe, j'espère que souvent, il me prendra !

Cloé en béguant :

-Oui c'est un amant merveilleux, je souhaite qu'il me prenne aussi, par le cul !



































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Commentaires du récit : Cloé, en mainque, ce donne à son fils 2

Le 05/08/2025 - 17:11 par Kristof41
Belle histoire dommage qu'elle soit déjà terminé

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