Julie

Comme tous les vendredis midi, je profitais d’être en télétravail pour aller faire un footing. Je l’avais commencé depuis un petit moment lorsque j’aperçu à une centaine de mètres, sur le bord du chemin, une femme assise qui se tenait la cheville. De toute évidence elle faisait également son footing et avait mal !
Je m’approchais, m’arrêta et lui demanda si tout allait bien. Elle me répondit que « pas terrible », et qu’elle s’était tordue la cheville en courant. Elle avait un regard vif, la cinquantaine, et je devinais quelques courbes qui vont avec nos âges. Elle était habillée d’un legging, et d’un teeshirt. Je lui proposais de l’aider et de voir cette cheville. Ayant déjà eu des entorses, je constatais qu’il ne devait rien en être, c’était plutôt une petite foulure. Je manipulais doucement sa cheville, relevant un peu le legging. Je fus frappé par la douceur de sa peau…elle se mis un peu en arrière, en appui sur les mains. Je remarquais de suite que son teeshirt dissimulait une poitrine des plus généreuses, ce qui généralement ne me laissait pas insensible !
Elle me laissa la manipuler, mes yeux essayant de rester fixés sur sa cheville, bien que je n’avais qu’une envie, balader mon regard sur son teeshirt et les trésors qu’il cachait. Des idées folles commençaient à me parcourir l’esprit…je n’avais pas couché depuis un moment et étais facilement excité ces derniers temps….tout en essayant de faire passer sa douleur en lui massant la cheville, je me disais que si je pouvais laisser courir mes mains sur ses seins….ces idées commençaient à provoquer une tension certaine dans mon short, je me rendis compte que cela pouvait se voir, et surpris le regard de cette femme passer sur mon short. J’étais gêné mais fis comme si de rien n’était. Je lui dit que ce n’était qu’une petite foulure et proposa de la raccompagner chez elle afin de l’aider et qu’elle ne souffre pas plus….
Elle me sourit, me dit que c’était très gentil de ma part et qu’elle acceptait bien volontiers, ajoutant avec un grand sourire, qu’avec la pluie, cela pouvait être glissant….je surpris son regard descendre vers mon short, ce qui me provoqua de nouvelles idées …et si elle avait les mêmes envies que moi…
Elle n’habitait pas très loin, prit appui sur mon épaule. Je sentais que son sein s’écrasait sur moi, il semblait vraiment d’une générosité affolante. Je commençais à avoir du mal à me concentrer sur les discussions autour du jogging que nous avions.
Elle me fit entrer chez elle, un joli petit appartement, avec une grande table dans le salon, un canapé. Tant d’endroits qui feraient de délicieux lieux où……On ne peut pas dire que j’allais vers plus de calme avec ces pensées
A peine rentrée, elle retire ses baskets, s’allonge sur le canapé et me dit que sa cheville lui fait déjà moins mal. Elle me propose d’aller me servir un verre, et je lui en propose un. J’amène les verres et m’assied en face d’elle. Je ne peux m’empêcher de l’observer, de toute évidence elle m’excite au plus haut point, et me fait déjà bander alors que rien ne s’est passé. J’essaie de me retenir car mon short a du mal à masquer mon émotion, mais à nouveau je vois son regard tomber dessus. Elle relève les yeux et me sourit. « tu sembles un peu gêné dans ton short » je rougis et ne sait plus où me mettre. « Approche, je ne voudrais pas solliciter ma cheville ». Mon cœur s’affole, mais je sens que tout va être possible. Je m’approche, je suis debout devant elle, et la voilà qui laisse passer sa main le long de ma cuisse pour aller sur mon short. Elle me caresse à travers, me faisant bander encore plus fort

A continuer...