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Cocu consentant - 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 13/09/2022

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Dans la partie 1 j’ai dis que nous étions mariés depuis près de 30 ans, j’ai tout simplement oublié de dire qu’à l’époque Claire avait 21 ans et moi 28. Elle est donc aujourd’hui dans une petite cinquantaine épanouie mais n’en paraît que 40/45.

Pour la suite du récit, je dois préciser qu’Eric pour bien marquer mon cocufiage encourage Claire à m’envoyer des mails dans lesquels elle doit me raconter toutes leurs turpitudes dans les moindres détails, c’est pourquoi dans la suite de ce récit je ferai des copier/coller des mails les plus croustillants que j’ai reçu.
Beaucoup de mails ne font que raconter des après-midis ou des nuits de baise sans réellement présenter un grand intérêt sinon m’exciter moi tout seul dans mes chambres d’hôtel ou avec une fille locale.

L’année que nous avons passé, moi comme cocu, eux comme amants a été très riches en expériences diverses.

Pour commencer Eric a « dressé » Claire pour en faire, avec son accord évidemment, son esclave sexuel. Claire a été d’autant plus d’accord qu’elle a pensé que cela allait lui permettre de réaliser ses phantasmes les plus inavouables, de laisser s’exprimer tous les vices qu’elle s’était imaginé, de se soumettre sans réserve aux désirs, aux perversités d’un homme jusqu’à espérer qu’il soit même un peu brutal, violent avec elle.

Par ce qu’elle m’a raconté j’ai découvert une autre femme, une femme qui était avec moi l’épouse parfaite était devenue avec Eric une salope, une vicieuse, une dépravée sexuelle adepte du SM, de l’exhibitionnisme, de l’échangisme, ….
Je pense que les hormones qui lui avaient été administrées pour sa ménopause avaient décuplé ses besoins de jouissances.
De même Eric s’est révélé être, sous ses airs intello, un jouisseur pervers, un sadique soft, mais sadique quand même et un manipulateur de première.

Comme la femme d’Eric n’était pas au courant de sa liaison avec Claire il devait faire très attention mais sans grand risque vraiment leur relation de couple étant assez froide et ses activités professionnelles à lui justifient ses absences répétées du domicile conjugal.

Cela étant, soit Claire et lui se voyaient dans un Formule 1 à mi-chemin de nos deux domiciles, soit il venait chez nous, soit il l’emmenait avec lui dans certains de ses voyages en France et/ou à l’étranger.
Ils adoraient leurs après-midis au Formule 1 où ils partageaient souvent avec les chambres voisines, cris et gémissements de plaisir et quand ils en sortaient il leur arrivait de croiser des couples adultérins en général la mine ravie avec lesquels ils échangeaient un sourire complice.

Le Formule 1 a d’ailleurs été la première opportunité pour Eric de mettre Claire à l’épreuve.

« Mon cocu préféré,
Mardi de la semaine dernière nous avons passé une bonne partie de l’après-midi à baiser dans notre Formule 1 à Arpajon.
A la sortie nous avons croisé pour la troisième fois le même couple.
Cette fois-ci nous nous sommes salués et comme ils avaient l’air très sympa Eric leur a proposé d’aller prendre une bière dans un bar à proximité.
Contre toute attente ils ont accepté et nous avons lié connaissance autour d’un verre, en fait ils travaillent ensemble dans la même entreprise, lui comme ingénieur, elle comme comptable.
Nous avons parlé chacun de nos situations de couples et ce qui nous poussait à l’adultère.
Lui s’appelle Guillaume, grand, brun, beaucoup de charme, la cinquantaine, elle Valérie est une petite brune, assez jolie mais un peu plus jeune, 40/45 ans.
Ils sont tous les 2 mariés chacun de leur côté avec des enfants.
Nous nous sommes séparés après s’être fixé rendez-vous pour le vendredi suivant »

Le vendredi suivant :

« Mon cocu préféré,
Vendredi, après nos séances de baise, nous avons de nouveau croisé nos nouveaux amis avec qui nous sommes retournés prendre un verre. Cette fois-ci nos discussions ont naturellement portées sur le sexe, ce qu’ils aimaient, ce que nous, nous aimions.
Eric m’a fait dire que j’étais une petite salope, une vicieuse, un peu maso, soumise à ses désirs et que j’étais prête à faire tout ce qu’il me demandait ou voulait me faire subir.
Eux nous ont dit qu’il leur arrivait de fréquenter des clubs libertins, ce qui a paru intéresser Eric qui leur a posé beaucoup de questions.
Guillaume notant son intérêt a suggéré que le mardi suivant nous fassions un échange de partenaire si Eric et moi en étions d’accord sachant que sa femme ne demandait que ça.
Eric le premier a répondu que la proposition était tentante et qu’il était d’accord.
Guillaume se tournant vers moi m’a demandé ce que moi j’en pensais, ce à quoi je lui ai répondu en le regardant bien droit dans les yeux que j’étais une petite femelle obéissante et que je ferai ce qu’Eric me dirait de faire et Eric a répondu oui pour moi.

Pour des raisons propres aux emplois du temps et aux obligations de chacun, le rendez-vous du mardi a été reporté au vendredi suivant :

« Mon cocu préféré,
Nous nous sommes retrouvés à 15 heures sur le parking de l’hôtel.
Ayant bien intégré que j’étais une femme soumise c’est à Eric que Guillaume a demandé si sa proposition tenait toujours.
Ce à quoi Eric a répondu positivement en ajoutant qu’il devait me traiter comme une pute.
Guillaume après un instant de réflexion a dit que ça lui plaisait mais que pour ça il devait me payer. Les deux hommes se sont mis d’accord sur le montant de ma prestation.
Devant Valérie le sourire aux lèvres parce qu’elle se doutait surement de ce que son amant allait m’infliger, Guillaume a sorti 2 billets de 50€ qu’il a donné à Eric qui s’est empressé de m’en rendre un en me disant que j’avais intérêt à bien faire jouir mon client.
Ce billet je le garde précieusement comme témoin de ma première passe…
Pour te dire la vérité, d’un côté j’étais très excitée par la situation et de l’autre un peu anxieuse de savoir si je serai à la hauteur de ce que cet homme attendait de moi, j’allais vite le savoir.
Nous avons pris le code et avant de monter, Guillaume m’a ordonné de retirer ma culotte et ma jupe et de monter l’escalier devant lui. Malgré la trouille que nous croisions d’autres personnes je me suis exécutée et je suis monté devant lui le cul serré en sentant son regard vissé sur mes fesses. Finalement nous n’avons croisé personne et sommes entrés dans la chambre.
Sans la voir venir, j’ai reçu une paire de claques et un ordre sec de retirer mon chemisier et mon soutien gorges, de me mettre à genoux devant lui, de lui ouvrir son pantalon, sortir sa bite et la sucer.
Encore sonnée, les larmes aux yeux en bonne petite pute je me suis exécutée.
Curieusement cette gifle qui m’a fait mal, m’a aussi fait entrer dans un état de pute.
J’avais été payée pour faire jouir cet homme, j’allais tout faire pour qu’il jouisse comme il n’avait peut-être encore jamais joui, pour qu’il s’en souvienne.
A partir de ce moment-là j’ai ressenti de l’excitation, j’ai senti ma chatte qui mouillait.
J’ai pris sa queue encore un peu flasque entre mes mains, je l’ai branlée doucement pour la faire se tendre et durcir, une fois qu’elle a pris de très belles proportions j’ai approché ma bouche et tout doucement j’ai léché son gland avec ma langue que j’ai fait tourner autour jusqu’à le sentir devenir plus gros, plus dur.
Comme il me tenait la tête, c’est lui qui a fait entrer sa verge dans ma bouche jusqu’à ce qu’elle vienne frapper le fond de ma gorge et sans ménagement il m’a baisée par la bouche.
Quand il a senti qu’il aurait surement du mal à se retenir il s’est retiré et il m’a dit de me coucher sur le lit, les cuisses bien relevées et écartées pour voir dixit : si mon con lui plaisait et était digne de sa bite.
Satisfait par son examen il s’est allongé sur moi et il m’a pénétrée brutalement en me serrant le cou avec une main, avec l’autre il m’a de nouveau administré une paire de claques.
A la façon brutale avec laquelle il me baisait j’ai senti qu’il cherchait à évacuer la rage qu’il avait en lui, même ou parce que j’avais du mal à respirer, sa rage, sa brutalité ont déclenché chez moi du plaisir, une jouissance sourde, profonde dans mon ventre qui est devenue de plus en plus forte quand il s’est mis à littéralement me labourer. Je l’ai encouragé en lui disant, plus loin, plus fort, je suis une pute, baise-moi comme une salope.
En même temps qu’il resserrait sa main sur mon cou, je l’ai entendu gueuler sa jouissance en lâchant des jets puissants de sperme sur ma paroi interne et qui ont déclenché dans mon ventre un orgasme violent.
Comme il ne bougeait pas, toujours allongé sur moi et dans moi, j’ai doucement retiré sa main de mon cou qu’il continuait à serrer et j’ai attendu qu’il reprenne ses esprits.
Toujours sans un mot, il s’est ensuite allongé à coté de moi et nous sommes restés comme ça au moins une bonne demi-heure avant qu’il me dise de le sucer de nouveau.
Ce que j’ai fait pendant aussi un bon quart d’heure, le temps que son gourdin reprenne forme et qu’il m’ordonne de me mettre à quatre pattes, les cuisses bien écartées.
J’ai cru qu’il allait me saillir sans préalables, mais non, il s’est longtemps amusé à me caresser mes petites lèvres, titiller mon clito, introduire un puis deux, puis trois doigts dans mon vagin et les faire aller et venir le plus loin possible.
Comme c’était super bon, je mouillais terriblement.
Ensuite il s’est mis à genoux derrière moi et d’un coup sec il m’a enfoncé son dard, qu’il a fait aller et venir de plus en plus loin, de plus en plus profondément dans mon vagin.
Là encore, sa rage, sa brutalité m’ont excitée, je lui disais d’aller plus loin, plus fort, je gémissais, hurlais de mal mais aussi de plaisir à chaque fois qu’il me donnait une claque sur les fesses, que je sentais la chaleur sous sa main puissante quand nos peaux, celle de sa main, celle de mon cul, se rencontraient.
J’étais comme folle, plus il me claquait le cul, plus j’avais mal, mais plus je lui disais encore, plus fort, plus j’étais excitée, plus mon ventre ne demandait qu’à recevoir son foutre pour exprimer ma jouissance, laisser exploser mon orgasme.
Il a joui, j’ai joui.
Il m’a demandé de lécher sa queue encore toute humide, recouverte de son sperme mêlé à ma mouille. Je l’ai fait et j’ai adoré le faire, j’aurai même voulu qu’il ait encore assez d’énergie pour remplir ma bouche de sa semence.
Nous n’avons pas pris de douche, il voulait que je garde les stigmates de ma déchéance, de mon passage de femme, d’épouse, de maitresse à celui de pute.
Nous sommes descendus, moi cul nu, il avait réquisitionné ma petite culote, je sentais son sperme s’échapper de ma fente, couler le long de ma cuisse.
Nous avons retrouvé Eric et Valérie dans notre bar habituel, ils avaient tous les deux l’air satisfait et ravi et ils nous ont dit avoir passé un très bon après-midi, sans nous donner plus de détails.
Je saurai le soir même qu’ils se sont bien éclatés et qu’ils sont prêts à remettre ça.
Guillaume lui a dit que j’étais une bonne petite pute qui avait su le faire bien jouir et qu’à l’occasion il paierait bien encore pour une autre séance.

Mais ça ne s’arrête pas là, comme tu es en voyage, Eric m’a proposé de venir passer la nuit de vendredi à samedi chez nous.
A peine arrivés il m’a fait déshabiller, comme je lui disais que j‘avais envie de faire pipi, il m’a dit d’attendre et il m’a passé un collier de chien autour du cou auquel il a accroché une laisse, il m’a enfoncé un gode anal en acier dans mon anus et m’a fait mettre à quatre pattes.
En tirant sur la laisse il m’a faite sortir dans le jardin et m’a dit de m’accroupir et de pisser devant lui comme une petite chienne en le regardant bien dans les yeux avec un air de chien battu.
J’avais honte mais je l’ai fait et je me suis mis de la pisse plein les pieds qu’il n’a pas voulu que j’essuie. Il m’a fait m’allonger sur le tapis à ses pieds pendant qu’il regardait la télé et de temps en temps il me caressait les cheveux en me disant que j’étais une bonne petite chienne.
Je n’en reviens toujours pas d’accepter tout ça et surtout d’y prendre un tel plaisir que je suis demandeuse, comme je suis demandeuse de ses fessées, de ses doigts qui jouent avec mon clitoris, qui entrent dans ma chatte, de sa bite que j’adore sucer, de sa jute que j’aime sentir gicler dans ma bouche, ripoliner mon palais et avaler avec gourmandise.

Comment ai-je pu vivre aussi sage autant d’années, enfouir au plus profond de moi toute cette perversité, ces vices. Ne voir dans ta bite qu’un organe reproducteur et pas assez une source de plaisir. Mais ne t’inquiète pas, je me rattrape et je vais te donner encore beaucoup plus d’occasions pour te branler en pensant à ta petite salope de femme qui te fait cocu et qui y prend de plus en plus de plaisir.
Même si je suis amoureuse d’Eric ne t’inquiète pas je continue à t’aimer comme mon mari, mais un mari cocu.
PS. Dis-moi quand tu rentres parce qu’Eric veut que nous partions quelques jours lui et moi dans le sud de la France. Où ? c’est parait-il une surprise.

Je lui ai répondu que je revenais dans une dizaine de jours pour 2 semaines et que je repartais en Chine après pour 6 semaines.

A suivre,
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Histoire de jipi4931

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Commentaires du récit : Cocu consentant - 2

Le 13/09/2022 - 22:22 par OlgaT
On est en effet dans du cuckold. Jusqu'où celà ira-t-il?
Le 13/09/2022 - 20:37 par DBHB24
Merci pour cette suite, qui en appelle d'autres. Jusqu'où Claire va t'elle aller dans son adultère et sa soumission??? Vivement la suite.

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