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Cocu par mon fils 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/02/2023

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— Dis-oui papa. Je veux rattraper le temps perdu. Surtout qu’elle a travaillé un certain temps au chiffre *1. On pourrait travailler ensemble.

Après une quinzaine de travail dur pour rattraper les commandes arrivées pendant les vacances, nous commençons à pouvoir souffler, La modélisation du terrain pour la N9 est pratiquement acquise.
C’est alors que Marinka me fait part de ce qu’elle a vu :
— Tu me croiras ou pas, mais j’ai vu Jean avec les mains dans le bénitier de Heidi et elle pendant ce temps-là lui repassait le pli de la braguette avec la main. Je pense que tu devrais faire un peu plus attention.
— Merci de l’info, je vais aviser. Je ne pensais pas que pour la deuxième fois mon épouse me trompe.
— Il y a eu déjà un précédent ?
— Hé bien oui, toi et ton mathématicien.
— Ah oui, j’oubliais
Alors que le lendemain, prétextant une affaire à finir, je laisse Heidi rentrer à l’avance pour préparer le repas du soir,
— J’en ai bien pour une grosse heure et demie.
À peine a-t-elle tourné les talons que je la suis en direction de la maison, Je la devance, sans qu’elle me voit et vais me cacher dans la remise. Je suis à peu près sûr qu’elle ne va pas y aller. J’attends un certain temps.
— Jean, viens vite, on a une grosse heure pour nous.
Je suis stupéfait. Ainsi c’est vrai. Je patiente un moment et je les entends entrer dans la chambre de Jean qui est juste à côté de la remise. Lorsqu’ils sont pris par la passion, je me déplace sans bruit jusqu’à la porte qu’ils n’ont même pas pris la peine de fermer. La poussant légèrement, j’assiste à un spectacle sans appel. Je vois les fesses bien fermes de mon fils, monter et descendre au fur et à mesure qu’il s’enfonce dans ma chérie qui a les pieds sur ses épaules. Les miaulements qu’elle fait ne laisse pas de doute sur le plaisir qu’elle prend. Quant à lui, les grognements ressemblant à ceux d’un ours en rut sont aussi explicites.
Dégoutté, je pars et vais dans le bistrot le plus proche pour m’enfiler un grand verre de whisky.
« Que vais-je faire ?
• Divorcer une nouvelle fois, moi qui suis si fier de mon fils ? Et l’aide de Heidi est très précieuse.
• Éloigner Jean pour casser cette idylle ?
• Me remettre avec Marinka ?
• Ne rien faire, mais demander à Heidi d’être plus discrète ? Le mal étant fait, préserver la famille au maximum. Quitte à avoir moins de scrupules vis-à-vis du contrat de mariage.
Finalement après bien des hésitations j’opte pour la dernière solution, en tout cas provisoirement.
Comme annoncé, je rentre une heure et demie plus tard et les deux, sortant de la douche m’accueillent avec le sourire et un visage très prévenant. Les faux-culs.
À la fin du repas, j’annonce à Marinka que je désire faire une promenade avec elle en ville. Jean désire nous accompagner, mais je m’y refuse net.
Après cinq minutes à parler de tout et de rien, je commence à questionner :
— Cela fait longtemps entre Jean et toi ?
— Mais depuis toujours.
— Je veux dire que vous baisiez !
— Quoi qu’est-ce que tu m’invente-là ?
— Pas besoin de prendre des grands airs, je vous ai vu cette fin d’après-midi, quand tu as appelé Jean que vous n’avez qu’une petite heure et ensuite c’est de visu que j’ai constaté.
Là, elle part dans une crise de larme, incapable de sortir une seule parole. Inflexible :
— Alors ?
Reniflant, se mouchant, elle me présente un visage nettement moins extasié que cette après-midi.
— C’est depuis les vacances, alors que tu étais en Amérique, j’ai résisté jusqu’au dernier jour, mais là, je n’ai plus pu. Depuis, c’est sans arrêt dès qu’on a un moment à nous. Il faut dire que ton fils, c’est toi avec vingt ans de moins. Que vas-tu faire ? Tu veux divorcer ?
— Je ne sais pas. De mon côté, je ne suis non plus pas tout blanc. Je suis encore sous le choc. En tout état de cause, je te demande d’être plus prudente et de moins vous donner en spectacle. J’ai mon honneur et c’est pas agréable les remarques des autres sur son cocufiage. C’est Marinka qui m’a avisé de mon infortune.
— Je suis désolée, mais je n’arrive pas à me retenir. Il faut dire qu’il est increvable comme toi il y a déjà longtemps.
— Écoute, je veux bien ne rien changer, mais Jean ne doit pas savoir que je suis au courant et quand je suis ici, c’est moi le prioritaire. En plus, j’aimerais bien voir vos ébats. Je vais installer une caméra dans la chambre qui se met en route lorsqu’il y a mouvement. J’ai triqué comme un fou quand je vous ai vu.
— Alors tu n’es pas fâché ?
— Je ne dirai pas cela, mais que puis-je faire ? Je ne veux pas me séparer de vous alors comment faire ? T’interdire, maintenant que le mal est fait, tu serais toujours sur la défensive avec Jean qui insisterait et ne comprendrait pas pourquoi cela ne marche plus et tu replongerais avec un sentiment de double trahison.
… Tu me raconteras en détail ce soir.

La confession de Heidi.
« Le jour où tu es parti, nous sommes allés sur la plage, il y avait vraiment peu de monde et on s’est baigné quand tout d’un coup j’ai senti une morsure carrément sur la fesse droite. Je suis sortie affolée de l’eau suivie de Jean, tout aussi affolé que moi. Je saignais assez fort, d’autorité, il m’a baissé mon slip de bain et a commencé à lécher la plaie, en me disant que la salive désinfecte. Il est resté un bon moment à me lécher la fesse avec une vue directe sur mon cul. Si au début, tout était normal, cette vue a commencé à l’exciter et le bandit bandait très fort. C’était la première fois que je voyait son sexe gonflé. Très beau spécimen. Je me suis permis de lui demander ce qui faisait qu’il était si excité, si c’est mon sang qui a des vertus aphrodisiaques.
Un peu rouge, il m’a avoué que c’était la vue de mes fesses et de mon sexe. J’en fus à mon tour troublée. Je lui ai demandé de me le montrer. Après l’avoir fait, je l’ai pris en main, c’était chaud et palpitant. Mais à peine que je l’aie pris en main qu’il a explosé d’une longue salve de sperme, jusqu’à atteindre mes lèvres. Par curiosité, je n’ai pu m’empêcher de passer la langue dessus pour gouter cette crème abondante. Elle n’était pas du tout repoussante, je dirais même de très bon goût.
Aussi je n’ai pas pu m’empêcher de cueillir les dernières gouttes qui perlaient sur le bout de son sexe. Cela lui a tellement plu qu’il est resté tout dur. Sans penser à mal, j’ai continué à le sucer pour mon plus grand plaisir.
Le soir après souper, il a tenu à me suivre dans notre chambre. Il m’a dit que je lui avais fait un plaisir incroyable et qu’il se sentait redevable de me le rendre. Je l’ai vu venir avec ses gros sabots, mais j’étais très excitée par ce que nous avions fait sur la plage. Je lui ai dit que cela n’irait pas plus loin. Promis juré craché (dans le lavabo)
Vu qu’il avait déjà tout vu de mon système poilu, j’ai trouvé de mauvais esprit de faire ma mijaurée et je lui ai présenté ma figue à déguster. Il a bien passé une heure à me lisser mon fruit, m’amenant plusieurs orgasmes consécutifs. Il n’en avait jamais assez et je trouvais cela très agréable.À la fin, je n’ai pu m’empêcher de reprendre sa queue en bouche pour avoir un supplément de dessert. Après cela, j’ai vraiment bien dormi.
Le lendemain, pleine de remords, je lui ai proposé d’aller visiter plutôt quelques monuments et qu’il m’explique le sens des hiéroglyphes. Là, j’ai touché la corde sensible et il a été beaucoup moins pressant. Le surlendemain, le temps était détestable, des trombes d’eau tombaient du ciel. Pire que sous la douche, mais paradoxalement elle était très chaude. On s’est habillé de nos affaires de bain et nous sommes retournés sur la place sous l’averse, c’était fantastique.
Mais vu l’aspect de la mer, on a jugé plus prudent de ne pas se baigner, mais de nous promener jusqu’à arriver à un abri, comme une cabane abandonnée de pêcheurs.
Là, malgré nos résolutions, il a voulu à tout prix me lécher la peau et surtout les seins que j’avais totalement mouillés. Je n’ai pas eu le cœur de le lui refusé, surtout que tu étais absent depuis déjà quatre jours. Mon minou s’est rapidement transformé à un marécage odorant et après avoir léché de long en large ma poitrine aspiré mes mamelons pour mon plus grand plaisir, il m’a descendu mon slip et comme avant-hier, il m’a léché et encore léché, il était infatigable. J’ai eu au moins trois orgasmes monstrueux. Évidement qu’il bandait comme un taureau et j’ai eu envie de le remercier de tout le plaisir que j’avais pris et à mon tour je lui ai léché sa bite, jusqu’à sa jouissance.»

Ensuite, nous sommes rentrés à l’hôtel et nous avons encore pris une douche ensemble. On a failli recommencer, mais je n’ai pas trouvé ceci raisonnable, malgré mon envie de pousser plus loin. Je voyais bien qu’il était très frustré.
Enfin le dernier jour avant que tu ne rentres, il est venu dans ma chambre pendant que je dormais et que je faisais un rêve délicieux, je rêvais que tu étais dans mon lit et que tu me léchais mon minou pour me prendre. Tout d’un coup je me suis réveillée et j’ai constaté que j’étais bien prise, mais pas par toi. Il me pinait vigoureusement, c’était tellement bon entre le rêve et la réalité que je n’ai pas eu le courage d’arrêter le carnage. Je me suis donnée à lui à fonds et depuis on arrête pas de baiser et encore baiser. Je n’arrive pas à m’empêcher, ni de l’en dissuader. Voilà, tu sais tout. Maintenant à ton tour de te confesser. Je pense que ce n’est pas resté sans rien avec Marinka puisqu’elle nous a accompagnés au retour.

La vie continue
C’est ainsi que s’installe une drôle de situation dans la maison. Je sais que dès que je pars au travail, si Heidi ne m’accompagne pas, cela va recommencer. Par défi, tous les matins, juste avant de partir au travail, je lui bourre la crousille de mon jus de couille. J’adore voir la tête de Jean quand il vient déguster les restes de ma copulation. Il ne peut s’empêcher de lui dire de se laver, mais elle lui explique quand elle le suce, il ne se lave pas et qu’il est bien content qu’elle avale sa sauce.


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