Problème de succession.

Présentation
Mon prénom est Adrien, j’ai actuellement 44 ans, propriétaire d’une usine de matériaux stratégiques qui marchent très bien, l’usine et les matériaux, financièrement parlé.
Je mesure 188 cm pour une masse de 88 Kg, ma femme, morte trop jeune en couche a mis au monde un charmant bambin qui s’est bien développé, mais au cours de son adolescence. Il a eu une hernie inguinale dont l’opération a plutôt mal tourné et qui l’a rendu pas impuissant, mais stérile, J’ai l’impression que son problème a un peu bloqué son développement au niveau du slip. Contrairement à moi, c’est pas Manfred manchinchose, d’autant plus qu’il a tendance à apprécier plus les athlètes masculins que féminines en fait il se dirige gentiment vers la chevalerie de la jaquette fendue, ce qui me désole un peu.

Comme je n’ai pas voulu me remarier, j’ai un problème d’héritage et je n’ai pas envie du tout que ce soit hors de ma descendance que passe l’argent difficilement acquis.
J’ai fait part de ce problème à mon fils Jérôme à ses 18 ans et on a trouvé une solution un peu originale, mais vu ses tendances, c’est tout à fait réalisable.
Lors de ses 19 ans, une connaissance m’a proposé sa fille en mariage pour mon garçon. Très jolie jeune fille, d’une éducation catholique très stricte, qui risquait de mettre à mal notre plan. Mais mon caractère m’incite plutôt à toujours franchir l’obstacle plutôt que de l’éviter. Elle s’appelle Rosalie, 1m68, paradis avec ses deux saints 95 B, rousse flamboyante, de très jolies fesses, des jambes à cacher au Vatican sous peine de désertion massive, même à l’âge canonique.



Le mariage
C’est en grande pompe que le mariage a lieu, refoulant ses penchants, mon Jérôme se conduit très amoureusement avec sa future femme. Elle est enchantée d’avoir un homme si charmant plein d’attention vis-à-vis de la gent féminine, son oui à l’église et à la mairie est très décidé. Sa nuit de noces s’est très bien passée, de même que sa lune de miel, c’est après que cela s’est un peu gâté pour elle. Rapidement elle s’est sentie un peu délaissée. Jérôme estimant qu’il a fait ce qui devait être fait, n’a plus les attentions aussi délicates qu’avant et juste après le mariage.
Comme une de ses amies est une fieffée coquine, je me méfie qu’elle ait voir ailleurs si l’herbe du voisin n’est pas meilleure que celle qu’elle a à disposition. Jérôme d’une part se plaint qu’elle ne l’inspire plus et qu’elle est trop fleur bleue, manquant d’imagination et ne voulant pas se plier à certaines fantaisies. Bref me dit-il, elle ne m’intéresse pas vraiment. Il a fait son coming out et qu’il a fait sa partie. Il me demande, puisque je suis veuf depuis si longtemps, si je n’aimerai pas m’en occuper un peu. C’est le moment de mettre notre plan machiavélique en place. Je respecterais en ça ce que l’on avait plus ou moins convenu, le mariage ne l’ayant pas fait revenir dans le camp des hétéros, je respecte toujours son choix.
Le plan machiavélique.
Le soir, je lui demande de bien la préparer, de faire un effort de séduction, qu’elle soit vraiment demandeuse et de le faire dans le noir, si possible et quand elle est prête, on se change sur un motif futile.
— Pas de problème pour le noir, elle n’aime pas la lumière quand on copule, après j’espère qu’elle ne verra pas la substitution tout de suite.
— Ne t’en fait pas, je vais d’abord lui brouter son gazon, jusqu’à plus soif, cela fait longtemps que je ne l’ai plus fait, je sens que je vais me régaler.
— Moi, je ne le lui ai jamais fait cette délicatesse, même pas ses seins, cela ne me disait rien. On en est resté au missionnaire dans sa plus simple expression. Quand j’ai voulu emprunter la face nord, ce fut un échec.
— Alors elle sera probablement enchantée de la substitution, avant le changement pelote-la quand même un peu, ne te contente pas du coït amish même lèche lui les seins, ce sera plus facile de reprendre le flambeau.
Le soir, Jérôme commence à taquiner son épouse, en lui faisant des choses qu’il n’avait jamais faites jusqu’alors. Elle est vraiment surprise qu’il s’intéresse à sa poitrine et qu’il ait plus que le missionnaire qui la laisse sur sa faim habituellement. N’ayant rien connu d’autre, elle pense que c’est comme cela pour tous et son éducation rigoureuse l’empêche d’imaginer d’autres possibilités.
Toujours dans une nuit relativement profonde, il lui annonce qu’il a besoin de pisser. Après environs une minute, j’entre pour prendre sa place et je me glisse entre ses jambes que j’écarte pour goûter son nid. C’est un peu broussailleux, mais quel arôme. D’abord surprise, elle veut se soustraire à ma langue curieuse, mais rapidement se laisse aller à des uf uf uf et ses mains enserrent ma tête pour que je continue ma dégustation. Quand je suis rassasié de ce festin, je m’intéresse à son bouton d’amour, elle part dans un orgasme de très bonne facture. Je ne la laisse pas reprendre ses esprits et je monte à l’assaut de son puits de plaisir et présente mes armes à l’entrée du détroit de Gibraltar. Doucement je m’introduis dans la place, sans violence, c’est terriblement serré, c’est plus que délicieux, je commence à prendre un rythme qui très rapidement la fait à nouveau grimper aux rideaux. Elle part dans des vocalises dont la Castafiore en aurait été jalouse. J’en profite pour lui arroser abondement les ovaires. Une fois l’orgasme consommé, un doute effleure son esprit.
« C’est pas possible, ce n’est pas mon mari, je ne l’ai jamais senti si important, ni eu un plaisir semblable- » Elle tâte dans le noir et me demande
— C’est toi Jérôme ? Me dit-elle en se détachant de mon contact.
— Est-ce que tu as aimé ?
— Oui, mais Adrien que fais-tu dans notre lit ?
— Cela fait longtemps que je n’ai pas eu une si belle fille dans mes bras qui en plus est négligée. Je n’ai pas eu le cœur de la laisser dépérir en manque d’amour.
— Mais je vais aller en enfer, j’ai trahi mon mari.
— Ne te fais pas de soucis là-dessus, c’est avec son approbation que je suis venu te faire plaisir, il n’est pas très intéressé par le sexe et moi cela fait longtemps que je suis seul.