COLLECTION ÉCHANGISME. Le chouchen (2/3)

Et viens l’heure de l’apéritif.
C’est chez nous que nous recevons tous nos amis espérant les entraîner dans nos jeux échangistes.

• Mes amis, vous savez tous que Natalie, ma tendre épouse est bretonne.
Elle souhaitait nous faire boire plusieurs spécialités de sa région !
Bien sûr, du muscadet des deux sèvres pour les huitres, des belons, que j’ai ouvert une bonne partie de l’après-midi.
Pour ceux qui aiment les huitres de Marennes Oléron, elles sont nettement plus fortes en goût.
Je voudrais que les puristes évitent de se prendre la tête, ce muscadet est un vin des abords de Nantes, que certains refusent de considérer comme une ville bretonne, il fallait du blanc avec les huitres.
Pour accompagner le dessert, c’est facile vous devrez tous trouver.
• Du crément breton.

Nous éclatons tous de rire, c’est Rosette, la Bourguignonne qui nous sort cette ineptie même si j’ignore si cette façon de faire du vin avec des bulles est inconnue dans la région de ma femme.

• Du cidre bien sûr, j’espère que vous avez fait des crêpes pour manger avec j’en raffole.
• Merci Alexandre, vous verrez, mais en attendant, pour l’apéro, goûter au chouchen merveilleux breuvage de sa région à boire sans limite.
Cette boisson est faite à base de miel et de jus de pomme.
Pomme au début et pomme pour faire la boucle à la fin de notre soirée.

Cette phrase quand je la termine est le moment de vérité, si l’un de nos invités connaît la traitrise du chouchen surtout pour les dames, notre plan tombe à l’eau.
Coup de chance, tous veulent goutter, cette boisson inconnue de tous.
Les verres se remplissent, j’en ai prévu des grands, le saladier étant conséquent et la bonbonne aux trois quarts vide, j’ai de la réserve.

• Quand passons-nous à table, ces petites crêpes farcies de moules et autres calamars que tu as préparé Natalie, sont loin de me permettre de marcher droit ?

C’est Marie qui nous dit cela après trois verres bus de mon piège.
Je les fais passer à table, inutile de les retrouver cuvant avant le jeu me permettant de refermer mon piège, bien sûr, à tout moment par ma chère et tendre.
Repas huitres avec du muscadet, crêpes salées puis sucrées avec le cidre, chacun plaçant les ingrédients qu’ils aiment, Natalie a préparé plusieurs possibilités qu’ils peuvent étaler.
Elle en a fait toute la journée, pâtes au sarrasin et froment le matin pour qu’elle repose, cuisson l’après-midi.

Viens, l’heure du jeu, il est vingt-trois heures, il reste assez de temps pour arriver à nos fins.

• Mes amis, nous allons jouer à Collin paillard, voici cinq cagoules noires.
• Nous avons aussi un saladier avec des boules, chacun de vous en tire une.
Elles vont de 1 à 5, j’appelle le plus petit numéro qui cherche dans la pièce.
• Et nous devons trouver l’un d’entre nous la cagoule sur les yeux, si nous trouvons, que gagnions-nous ?

C’est Marie, petite perfide qui nous pose la question.

• Marie, nous nous connaissons tous, il est impossible de perdre, Alexandre porte la moustache, Rosette sa femme en a une aussi.
• Je suis peut-être complètement torché, mais dire que j’ai de la moustache !
• Laisse tomber Rosette, c’était pour rire, non, toi tu es la seule portant ton éternel tailleur, si je te caresse de la tête aux pieds, je suis sûr de dire que c’est toi.
• Tu as raison, qu’est-ce que l’on gagne à trouver ?
• Vous enlevez, un vêtement à la personne ayant été reconnu, bien sûr, si un homme trouve un autre homme, il cherche une femme, idem pour les femmes.
• Pourquoi je me vois bien enlevez son slip à Raoult ?
• Et tu pourras tâter mon gros chibre.
• Ok, homme ou femmes vous leur enlevez un vêtement.

Quand avec Natalie nous avons cherché comment arriver à ce qu’ils soient nus, ce moment était le plus critique, combien de nos amis seront partants pour jouer et combien pour partir ?

• Sofian, acceptes-tu que je risque de me retrouver nue devant nos amis ?
• Vanessa, nous en parlons souvent, mettre du sel dans notre couple peut être bénéfique.
• Souvenons-nous de ce que nous avons signé sur la nappe, tu l’as toujours conservée Marie ?
• Bien sûr, dans mon sac dans l’entrée

Merveilleux chouchen, qui aide à délier les langues, surtout que pendant mes explications, Natalie a rapportées de la cuisine le saladier dans lequel je verse le reste de la bonbonne.
Une nouvelle approche de verre, surtout de ces dames, pour les remplir.
Le chouchen recommence à être bu.

• Comme maître du jeu, pas de numéro pour moi, pas de cagoule, je suis juge-arbitre, venez que je vous mette les vôtres et que je constate que le jeu se passe sans tricher.
Je vous distribue vos numéros de 1 à 5 avant de tirer.
Vous avez bien tous vos numéros en tête,
• Par exemple numéro 1.
• C’est moi Raoul, je commence à chercher.

Pour arriver à nos fins, il faut savoir tricher, je prends Natalie par la main comme nous l’avons convenue.
Elle me suit et je la place dans le sens où il se dirige, juste devant Natalie, mon épouse.
Il la tâte de la poitrine à ses pieds et de ses pieds à sa poitrine, je suis sûr qu’il en profite, mais j’aime ça, sous sa cagoule, le connaissant elle doit être aux anges.

• Natalie, je sais que c’est toi !
• Enlève-lui un vêtement.
• C’est fait, ma femme est nue, j’espère que tu as respecté la règle, en ayant sur toi un seul vêtement ma chérie.
• Je vais être honnête, moi aussi j’aime être nue sous mes vêtements, mon dieu que j’ai soif, ton sirop breton est si bon.

C’est Vanessa qui vient d’avouer qu’elle est nue sous sa petite robe d’été.
Merde, ça fonctionne mieux qu’espérer, à ce rythme la partouze se trouve à la porte de notre salle à manger.

• Déplacez-vous, chacun doit prendre une place différente.

J’ai l’impression de voir des zombis se déplacer, les mains en avant.

• Pardon.

C’est Raoult qui a percuté Alexandre, sans conséquence.

• C’est bon, je tire un nouveau numéro, le 2.
• Le 2 c’est moi Vanessa !

J’ai suivi Rosette dans son déplacement, par chance elle est éloignée des autres.
Je l’enlace par l’arrière, cette situation est imprévue, du moins lors de la préparation avec Natalie, mais le chouchen aidant, je tente ma chance.
Elle se recule collant son cul à mes fesses, je lui passe la main sur la chatte, je l’entends soupirer, j’approche ma bouche de son oreille.

• C’est moi, j’ai envie de toi.
• Moi aussi.

Le tout dans un souffle.

• J’ai trouvé, c’est Marie.

Tout a mon pelotage de la chatte de Rosette, j’ai perdu le sens du jeu, je continue à lui caresser la poitrine, elle passe sa main derrière elle, me saisissant la verge à travers mon pantalon.

• Oui, c’est moi, enlève-moi ce que tu veux.

Le chemisier saute me montrant sa poitrine généreuse dans des bonnets grandes tailles.
À ce jeu, j’ai tout loisir de tricher, moi seul est la vision de tous les participants.

• Attention on se déplace, quand je dis stop, vous devez tous rester statique.
Numéro 5, Natalie à toi de chercher.

J’ai tiré le 3, mais comme je tiens à ce que Natalie m’aide, je change la boule me saisissant de la 5.
Je la dirige avec mon aide vers Raoul, je sais que c’est sa cible de prédilection.

• Je tiens quelqu’un, attendez, je tâte, c’est un homme, Raoul, c’est toi !
• Oui, c’est moi, j’enlève ma chemise.
• Je te rappelle la règle, c’est à Natalie de choisir le vêtement qu’elle t’enlève.
• Je choisis le pantalon.

Ma femme défait la ceinture, fait tomber le pantalon et baisse par là même le caleçon de celui qu’elle convoite.
Elle fait entrer la verge déjà bandante sous la cagoule et sans tout voir, je sais qu’elle lui suce la bite.
C’est pour moi la situation la plus bandante que j’ai éprouvé depuis qu’avec elle nous faisons de l’échangisme, surtout que Raoul évite de se retirer et se laisse faire.

• On continue, Raoul vient de perdre son pantalon.

Je connais les attirances pour les uns ou les autres, je pourrais marier les couples plus rapidement, car je sens que tous doivent avoir soif.
Raoul et Natalie, c’est fait, il faut que je m’occupe de Vanessa et Marie, un couple de lesbiennes dans le groupe, serait loin de me déplaire.
J’ai remarqué le regard de l’une et l’autre depuis bien des soirées, il va falloir seulement leur donner un coup de pouce.
Surtout que connaissant Natalie, lécher leurs chattes, je suis sûr qu’elle serait partante...