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Eté 2014 : Pélerinage en Corse (4)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 29/01/2024

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Nous laissons le calme retomber. Manu n’essaie pas de relancer, d’une part parce qu’il n’ose pas prendre l’initiative, d’autre part parce qu’il est un peu essoré et que sa queue reste bien vers le bas. Pour vérifier ça, je lui raconte un peu nos antécédents :
— Eh bien, tels parents, tel fils !
— Comment ça ? Vous voulez dire que…
— Ben oui ! Et arrête de nous vouvoyer, au pont où on en est.
— Euh… bon , d’accord. Donc…tu… disais ?
— Que quand on est passés la première fois en 1991, on s’est bien amusés avec eux. Et c’était surtout ta mère qui était une belle coquine.
— Non ? Euh… Par exemple ?

Là je lui raconte rapidement comment nous avons profité d’être les seuls clients à mi-septembre pour nous mettre d’entrée à poil sur la terrasse. Et comment son père, qui était déjà estomaqué de nous découvrir comme ça, a été dépassé par sa mère qui nous a dit de ne pas nous gêner et qui est revenue elle aussi à poil. Et ensuite comment elle a été plus rapide à se lancer à sucer Ber alors que Gilbert était plutôt passif pendant que je m’occupais de lui.

De raconter ça fait remonter la queue de Manu. je le lui fais remarquer :
— Tiens, ça a l’air de bien t’exciter d’imaginer tes parents avec nous…
— Euh, oui… C’est chaud ce que vous… tu me racontes !
— Et encore, le mieux c’est quand elle s’est fait prendre en même temps la chatte par mon mari et le cul par ton père !
— Ouah ! Pas possible…

A ce moment, j’entends du bruit venir du bar. Il me vient une idée :
— Attends, pose-toi dans ce transat et ne fais surtout pas de bruit. Avec un peu de chance, tu vas perdre ton pucelage de manière originale…

Je me lève et vais voir à l’intérieur. C’est forcément un des deux hôteliers qui s’est levé. Espérons que ce soit Nathalie. Effectivement, je la trouve en nuisette en train de boire un verre d’eau bien fraîche au comptoir. Elle est moyennement étonnée de me voir arriver à poil :
— Tiens, encore debout ? Et à poil, ce qui m’étonne pas.
— Et toi, un petit rafraîchissement après une partie de jambes en l’air ?
— Tu parles, ça fait longtemps que Gilbert est aux abonnés absents de ce côté-là.
— Ah bon ? Ça doit te manquer un peu, non ?
— Ouais, mais bon… Une petite branlette par-ci par-là et ça va.
— Allez, viens dehors, nous on s’est un peu amusés au bord de la piscine mais Ber a encore de la réserve. Ça te rappellera notre première visite.
— Oh, tout de même…
— Quoi, dis-moi que ça te tente pas… Allez, enlève ce bout de tissu et viens !

Elle cède et enlève sa nuisette et sa culotte, me dévoilant un petit triangle toujours bien entretenu. Comme quoi elle n’avait pas encore complètement perdu espoir puisqu’elle s’entretient. Je commence à la mettre en conditions en lui roulant une pelle tout en lui pelotant les seins. Puis je lui prends la main et elle me suit.

Dehors, elle ne peut pas voir son fils dont le transat est sur la gauche et lui fait dos. Surtout qu’elle a la surprise de voir sur la droite notre fille assise à côté de son père dans les transats qui lui font face. Mais elle n’a pas le temps d’y réfléchir car je suis derrière elle en train de lui caresser les seins tout en me frottant sur ses fesses. Je sens qu’elle réagit rapidement et je le vérifie en envoyant un doigt entre ses cuisses qu’elle ne resserre pas et où je rencontre une zone déjà bien humide. Ber se lève, en demi-érection, et surprend Nathalie en se retournant pour se placer devant le transat de Lola à qui il demande :
— Dis, tu veux bien me mettre en pleine forme pour notre amie ?
— Volontiers, P’ap.

Elle le branle tranquillement, comme si tout était naturel devant Nathalie qui n’ose rien dire, deux de mes doigts s’occupant de son clito. Ber qui est maintenant bien préparé lui fait signe d’approcher :
— Et voilà, je suis à toi ! Viens ici et mets-toi à genoux.

Comme elle est braquée sur lui, elle s’avance mais ne voit toujours pas Manu qui est maintenant derrière elle sur sa gauche en train de mater cette scène. Il bande en matant sa mère qu’il voit nue pour la première fois. Ber continue :
— Allez, montre-moi si tu suces toujours aussi bien que dans mon souvenir.
— Là, devant votre fille ?
— T’inquiète, elle a l’habitude, comme tu as pu le voir juste maintenant.

Elle se fait une raison et prend la queue de Ber en main. Elle le branle un peu avant de commencer à le lécher puis enfin le prendre en bouche. Manu est aux anges car il est aux premières loges et se masturbe doucement en regardant sa mère à l’œuvre. Heureusement qu’il a déjà bien giclé deux fois, sinon je sens qu’il partirait directement tellement ça le chauffe de voir Ber se faire pomper par sa mère.

Ber intervient à nouveau et stoppe Nathalie pour lui proposer la suite :
— Un peu à toi maintenant. Tourne-toi et mets-toi à quatre pattes. Un bonne levrette, ça peut pas faire de mal !

Dans le mouvement elle se retrouve dans l’autre sens, agenouillée devant un transat vide. Trop occupée à se placer, avec encore la tête dans les étoiles plus Ber qui l’embroche d’un coup, ce n’est qu’une fois qu'il est en train de la prendre lentement de toute sa longueur qu’elle réalise qu’il y a Manu juste dans le transat à côté. Elle n’a d’abord pas le réflexe de s’insurger car c’est trop inattendu. Elle est d’abord hypnotisée par la vision de son fils qui s’astique la queue devant le spectacle qu’elle lui offre avec ses seins qui ballottent sous elle pendant qu’elle se fait démonter en levrette par Ber après lui avoir démontré ses qualités de suceuse.

Enfin elle réagit. Elle ne se dégage pas mais tourne la tête pour me dire :
— Non, Caro, pas devant mon fils quand même…
— Trop tard, ça fait un moment qu’il te voit faire. Attends, je m’en occupe.

Je me place à genoux devant Manu et prends le relais de sa main avec la mienne avant de gober son gland devant les yeux de sa mère. lli-même n’a plus l’air de s’offusquer de la situation car je l’entends soupirer largement. Quand elle est bien lancée, j’arrête ma fellation et fais signe à Manu de se décaler d’un siège. Il ne demande pas mieux et se retrouve pile en face de sa mère, la bite à trente centimètre de sa tête. Ber la pousse un peu à chaque coup de reins et elle essaie de ne pas entrer en contact avec cette queue qui envahit son champ de vision.

Mais lui en a trop envie et il lui présente son gland contre ses lèvres qu’elle garde serrées dans un premier temps. Mais elle abdique et ouvre sa bouche, donnant le passage libre à cet organe qu’elle n’avait plus vu depuis des années, et toujours au repos. Là, elle fait la connaissance avec une bite bien dure et vibrante et y prend goût visiblement bien que ce soit celle de son fils.

Ber continue à la pilonner lentement mais fermement en levrette pendant qu’elle s’applique maintenant sans retenue à sa fellation. Il est enfin temps de passer à la suite logique. Nathalie le sent bien mais ne fait rien maintenant pour s’y opposer lorsque Ber ressort sa bite et lui fait lâcher prise le temps de se poser dans l’autre fauteuil. Elle va docilement se mettre devant lui et reprend sa fellation sur cette autre queue. Elle sait très bien ce que cela signifie car elle voit son fils se lever et disparaitre derrière elle. Elle sent ce gland nouveau investir sa chatte sans qu’il rencontre la moindre résistance, ayant choisi de profiter du bon côté de la situation.

A ce régime, Manu ne tient pas longtemps, mais a le réflexe de sortir juste à temps pour lâcher le solde de son sperme sur le cul de sa mère. Ber en profite pour stopper la fellation et se termine entre les seins de Nathalie.

Le temps de reprendre ses esprits, je la fais s’installer dans un transat. Elle est toute dégoulinante de sperme mais ne s’en aperçoit même pas. Elle me lance :
— Non mais… ce que vous m’avez fait faire…
— Oh, avoue que ça fait du bien. Non ?
— Euh… oui, mais tout de même ! C’est mon fils.
— Eh bien, ça te fait de quoi relancer l’ambiance à la maison.
— Et Gilbert ?
— Oh, je suis certaine qu’une partie à trois ne lui fera pas peur, va !

Elle finit par voir le bon côté de la chose et tout le monde se lève pour aller dormir. Manu la suit avec un nouveau début d’érection. A cet âge, il y a de la vigueur en réserve, surtout en matant le cul de sa mère devant lui dans le couloir.


Vendredi 18 juillet 2014

Ce matin, nous sommes habillés pour le départ dès notre descente pour le petit-déjeuner. Ce qui veut dire que Lola et moi sommes en robe légère sans rien dessous et que Ber est en short et T-shirt. C’est Gilbert qui assure le service et apparemment il n’est pas encore au courant des évènements de la nuit. J’aimerais bien savoir si Nathalie va lui raconter ou si elle va garder ça pour elle.

Nous reprenons la route pour aller passer deux jours au camping naturiste de Bagheera. La mini-villa que nous avons réservée a le numéro A 13 et se trouve au milieu du domaine. Elle comporte une seule chambre avec un grand lit en 180, mais ça nous suffira amplement. Nous nous mettons à poil rapidement et allons sur la plage profiter de l’eau et du soleil, en toute simplicité naturiste.

Le soir venu, nous profitons de la fraicheur relative sur la petite terrasse après un repas léger. Lola offre une pipe à son père pendant que je me caresse en les regardant. Je constate que nos voisins, un jeune couple à qui nous nous somme présentés en arrivant, nous voient mais qu’ils préfèrent faire comme si rien ne se passait. Ce qui ne les empêche pas de ne pas se priver de tout mater discrètement jusqu’à l’éjaculation de Ber. Surtout qu’en faisant connaissance, nous avons bien présenté Lola comme notre fille.


Samedi 19 juillet 2014

Ce matin, c’est moi qui me fais prendre en levrette, visible par la grande fenêtre, au moment où nos voisins sortent de leur villa pour aller vers la plage. Je leur fais un petit coucou de la main mais il y répondent furtivement par un signe avant de s’éclipser vers la plage. Nous y allons aussi une dernière fois. Nos voisins de bungalow sont là mais ils font semblant de nous ignorer, donc nous en faisons de même. De toute manière, nous devons reprendre la route pour Bastia car le bateau ne nous attendra pas.
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Histoire de Hannapurna

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